Entre chien et vous

Entre chien et vous Éducation canine et rééducation, pension, vente d'alimentation, élevage de labrador, formateur, Préparation éducation, chiot avant départ en famille.

Centre d'éducation canine, cours particuliers et collectifs;
Club "d'affaction" canine,
Pension chien;
Élevage Labrador chocolat.

23/08/2024

Épuisés à ne rien fo**re !!! La vie de chiot, c'est dur. Regardez comment celui qui revient de la gamelle d'eau, s'échoue contre son frère.

22/08/2024

Pour conclure sur l'éducation et la discipline.

12/08/2024

La notion "travail" en éducation canine, volet 3. Je vous parle des deux efforts à fournir : l'attention et la projection. Je vois souhaite un bon dimanche. Et pour cause, j'ai oublié de la poster hier. Bon lundi!!

07/08/2024

Travailler son chien, vidéo 2.

Ce matin, il y a du contenu intéressant. Ce qui explique la virulence de certains "amoureux des bêtes" quand on publie q...
31/07/2024

Ce matin, il y a du contenu intéressant. Ce qui explique la virulence de certains "amoureux des bêtes" quand on publie quelque chose qui ne leur plait pas. Lisez les commentaires. C'est passionnant.

29/07/2024

C'est la première. Demain, on développera l'idée. "Le travail" vid3o 1.

22/07/2024

"Ça va chien". On vous explique....

A quoi ce logo vous fait-il penser? On a voulu être explicite tout en restant dans le chien. il y a plusieurs sens. Dite...
14/07/2024

A quoi ce logo vous fait-il penser? On a voulu être explicite tout en restant dans le chien. il y a plusieurs sens. Dites-nous. Ce qu'il vous inspire, nous intéresse. Bon dimanche.

14/07/2024

Nouveau projet. On vous en parle....

Facebook ou disons les réseaux sociaux, youtube et autres, c'est quelque fois, heureusement, de bonnes vidéos, sur de bo...
13/07/2024

Facebook ou disons les réseaux sociaux, youtube et autres, c'est quelque fois, heureusement, de bonnes vidéos, sur de bons sujets et hélas, parfois ou trop souvent ce genre de vidéos. C'est-à-dire des personnes, qui s'imaginent pouvoir parler de tout parce qu'ils sont "soi disant" experts du chien. sauf que le chien, c'est vaste. Elles reconnaissent au départ qu'elles sont incompétentes sur le sujet. Mais que nenni, on en parle pendant 25 minutes. Pourquoi, quand on veut faire une vidéo sur un sujet, que l'on ne maîtrise pas, ne pas faire venir un vrai connaisseur qui porrait en parler correctement et en connaissance de cause. J'ai été homme d'attaque. Je suis titulaire d'un certificat de capacité mordant. Et pourtant je ne me sentirais pas capable aujourd'hui d'aborder un sujet pareil ! Quand on ne sait pas ou pas grand chose, la meilleure des stratégies, c'est encore de se taire. AFFLIGEANT !!!!

Bienvenue sur la chaîne Youtube de Nature de Chien ! 🐕 Cette chaîne YouTube parfait pour l’éducation de votre chiot ou de votre chien en éducation positive ...

11/07/2024

L'empathie animale. C'est beau. Mais j'espère que le chien sauvé ne portera pas plainte pour maltraitance. En effet, lors du sauvetage, le sauveur attrape le miraculé par l'oreille. La pauvre bête a dû souffrir. C'est inadmissible!!! Humour. Vaut mieux préciser. Après c'est du "fait exprès "

10/07/2024

Pension : Nos 4 chiens, mode liberté. Et on commence à intégrer "Ola", qui est en longe. Je ne la connais pas suffisamment pour oser la liberté. Mais, ça ne saurait tardé....

09/07/2024

A l'arrache et en sortie de 4 chiens qui sont en pension, je vous parle de la différence entre l'imprégnation et l'éducation. Les deux sont importants, mais en pension, l'imprégnation à l'humain est fondamentql pour que le chien passe un super séjour. Ceux- là peuvent sortir en liberté et sans que l'on craigne la fuite!!!

18/06/2024

Ok!!! Nous y voilà !!!!

16/06/2024

Louna m'impressionne. Elle est déjà très précise du haut de ses à peine 3 ans.

19/05/2024

Louna et Volt. Quand le chiot revient, retour gagnant. Elle récompense justement.

02/05/2024

En faire trop peut desservir la relation. Il faut doser la socialisation et surtout la sociabilisation. Sinon, votre chien apprendra que ce qui est autour de vous, est plus important que la relation que vous devriez créer avec votre chiot.

25/04/2024

LES CARESSES :

Elles sont utilisées en éducation pour renforcer un bon comportement. La caresse est une récompense physique, très efficace, en ce sens que le chien la recherche. Mais en éducation, la caresse doit être parcimonieuse et la frustration qu’elle provoque permet au maître d’exercer comme une sorte de chantage afin d’obtenir un meilleur résultat. C’est ce que je nomme le non-contact.

LE NON-CONTACT :

Dans l’apprentissage, il est primordial de savoir jouer des deux pour renforcer l’envie du chien ou juste lui donner l’envie de continuer à s’exercer, à travailler, à regarder afin qu’il décèle avec attention, le moment où la main va se poser sur lui.
J’exerce une forme de chantage pour obtenir de mon chien son respect. Tout notre corps, notre regard, la position des mains le suggèrent. Le chien tend le cou comme pour recevoir son dû, mais la main de l’homme ne se pose pas encore. Comme pour créer une sorte de frustration qui aurait pour but d’apprendre au chien à résister à son envie de l’obtenir, comme pour lui dire, après qu’il y ait pris goût, elle va venir, mais résiste à l’envie de t’exciter pour l’obtenir.

LES CONTACTS LUDIQUES :

Le jeu est une bonne interaction à partir du moment où elle provient du maître et qu’il en maîtrise le déroulement. Ne jamais permettre au chien d’en avoir le contrôle. Vous perdriez ! Le jeu doit aider à nourrir la relation, sans générer de l’excitation intempestive. Le jeu doit dynamiser la relation entre les deux protagonistes en réservant au maître son contrôle. J’insiste sur cette notion qui pour moi est primordial. Laisser au chien l’initiative du jeu, c’est le construire avec l’idée qu’il peut agir à tout moment et qu’il peut, quand il le désire, solliciter son maître pour lancer une partie. C’est le pousser à prendre une sorte de leadership qu’il ne doit pourtant jamais obtenir. Non, l’initiative du jeu ne vient pas du chien, mais d’une volonté du maître. Le jeu, c’est magique. Pourquoi ? Parce que l’on est dans l’attention, la pure attention. On est tous les deux dans le partage, l’envie d’être ensemble. Le jeu comme le câlin sont les deux interactions qui matérialisent le plus l’attention, la pleine présence pour peu que l’on s’investisse totalement et en toute conscience.

LE FRÔLEMENT:

Je passe près de mon chien et ma main le frôle. Le frôlement est juste l’interaction qui signifie au chien « Je suis là », « Tu es là ». Une sorte de prise de contact comme pour lui dire, « nous sommes bien tous les deux » ou « Même, si je travaille, que je suis occupé, je pense à toi ». Le frôlement permet au chien de patienter, d’attendre. Il permet au maître de montrer combien il n’est pas indifférent à la présence de son chien. Il permet de montrer au chien combien le maître est capable de se sortir de sa bulle pour le gratifier au passage. L’humain ne doit pas être une machine froide et trop sérieuse. Il donne l’occasion au maître d’être plus humain que celui qui se jette dans la besogne sans jamais remarquer tout ce qu’il a autour de lui. Le frôlement est le petit intermède qui nourrit notre existence, qui nous emplit d’amour et surtout qui en distribue et donne à l’autre le sentiment d’être aimé !

LE MASSAGE :

C’est le cran au-dessus du câlin. C’est le niveau supérieur. Masser son chien, c’est lui envoyer le message que l’on prend le temps de lui en accorder pour lui procurer un soin. Masser, c’est de la pure attention. Masser, c’est prendre soin de l’autre. C’est apaiser les meurtrissures du corps en renforçant l’intersection de deux âmes qui se rapprochent.



LES SOINS :

Manipuler pour soigner, plaie, blessures n’est pas agréable, mais procure toujours de la part de l’animal une forme de reconnaissance quand, après l’intervention, les douleurs s’estompent. L’ingratitude n’est pas canine ou animale !

10/04/2024

Existe-t-il une hiérarchie chez les chiens ? "LE GRAND DEBAT" Vous voulez mon avis : Oui, non ? Je vais quand même vous le donner : Qu'est ce qu'on en a à fo**re ! On s'en tape.

09/04/2024

Préparation des chiots. L'imprégnation à l'humain est faite, maintenant on vise la découverte et le plaisir d'être ensemble.

08/04/2024

Le bien-être animal ! En France !!! Elle est bien bonne celle-là !

Depuis quelques années, cette notion de bien-être est à la mode. Il est clair qu’elle n’émane pas du pouvoir politique, qui n’a cure du bien-être des français ! A chaque élection, leur grande préoccupation n’est-elle pas la « grandeur de la France » au détriment sans scrupule du « bonheur des français ». Dans nos pays de l’abondance, on est obsédé par cette notion de grandeur matérielle et surtout l’idée d’en mettre plein la vue aux autres pays ou, en ce qui nous concerne, à notre voisin. Cette année se sont les jeux olympiques, les 80 ans du débarquement et la réouverture de notre Dame de Paris. Bien entendu, il s’agit de grands évènements importants, certes, mais ne sont-ils pas de la poudre aux yeux pour cacher le mal-être des gens qui dans notre pays se généralise. L’inflation, qui a considérablement augmenté la paupérisation de notre pays, sauf pour ceux qui la favorise et en profite, est devenu une véritable angoisse pour beaucoup de famille, qui ont de plus en plus de mal à s’en sortir ! Rassurons-nous le pouvoir comprend nos inquiétudes et par l’art de la rhétorique, nous explique que ce sera dur, mais que nous vivons dans un beau et grand pays ! C’est une compensation. A côté de ça, les milliardaires augmentent, grossissent et se gavent comme jamais. Ne payent pas ou peu d’impôts, si on compare à la classe moyenne qui, elle, en donne de plus en plus et s’appauvrit. Une poignée d’individus vit dans l’indécence, alors qu’à chaque sortie, à chaque balade qu’ils feront dans la ville, ils pourront contempler la misère que leur avidité provoque en toute impunité ! D’un côté, un petit monde sans scrupule aspirent toutes les richesses et de l’autre beaucoup souffrent en se demandant comment ils se chaufferont, comment ils mangeront et ce qu’ils deviendront, dans cet univers où l’individualisme, le chacun pour soi est devenu un principe de survie.

Et on se demande pourquoi l’abandon canin augmente ! Comment en serait-il autrement ? Entre ceux qui produisent en espérant mettre un peu de beurre dans les épinards et ceux qui sautent sur l’occasion d’acquérir un chien sans réfléchir aux conséquences financières, il semble compromettant de réussir le tour de force d’inverser la tendance de cette misère. Bien entendu, on critiquera les uns et les autres. Leur comportement est indigne et mercantile et causera bien de la souffrance aux animaux qu’ils abandonneront afin de s’en sortir eux même. On les fustigera, on les jugera, on les condamnera et certains seront menacés par d’autres qui, vivant de solitude et sans aucune épaule sur laquelle se reposer dans les moments difficiles, se sont donnés pour mission de sauver les animaux de ce méchant humain qui ne sait plus aimer ses semblables ! Tout en haut de ce monde de miséreux, quelques yeux contempleront leur œuvre en caressant machinalement leur petit chien qu’ils gâtent exagérément et qui, à son cou, porte un collier en diamant, pardon un harnais plaqué or !

La démesure d’un côté et l’usure de l’autre ! Cet argent et ce désir d’en avoir toujours plus a fait de l’humain, un stressé, un avide, un condamné à vivre à courir toujours et encore plus vite pour en avoir davantage ou maintenir son niveau de vie. Nous sommes devenus les esclaves de ce système, qui s’offusque officiellement de la misère qu’il engendre, en l’alimentant officieusement pour que quelques mains continuent d’en prendre, continuent de racler les fonds. L’abandon augmentera, c’est une certitude et personne n’y pourra rien. Le pouvoir est coincé dans l’imposture de vouloir y remédier, en adoptant une posture pour l’accentuer. En effet, « l’industrie du chien », dans le sens le plus péjoratif, représente des milliards, qu’il s’agisse de l’alimentation, des accessoires, des gadgets, des soins, de la rééducation aux psychotropes. D’un côté, ces grands groupes véhiculent une image de bien-être animal, de le favoriser, de lutter contre la misère, alors que de l’autre, ils en vivent grassement et espèrent qu’elle continuera. Plus il y a de problèmes, plus il y a des solutions payantes à mettre en face. Les dégâts collatéraux, les chiens sur le carreau n’est pas leur problème. Leur préoccupation, ce sont les dividendes, les bénéfices et l’augmentation de leur chiffre d’affaires et comment y parvenir. L’abandon n’est qu’une conséquence, dont les miséreux se préoccupent.

Bien entendu, de temps en temps pour l’image, ils lâchent quelques sacs de croquettes, quelques dons, qu’ils passent dans les colonnes comptables de leur publicité, tant le renforcement de cette bonne image leur rapporte ! Ils aident la misère, qu’ils provoquent en augmentant leur marge ! Le pire, c’est que cette misère profite à tous. Les centres de protection animale, qui accueillent les animaux abandonnés et qui sont devenus tellement énormes, sont passés d’une collecte pour les animaux à une véritable préoccupation pour leur propre fonctionnement. La cause a été dévorée par l’infrastructure, qui coûte des millions. Les salaires, les structures qu’il faut entretenir, les véhicules, le siège social, basé à Paris, coquet et bien aménagé pour que ceux qui gèrent, non pas les chiens mais l’argent des dons, travaillent dans de bonnes conditions, alors que de l’autre bout certains touchent une misère pour gérer la misère ! Déjà au sein même de ces structures, il y a un énorme décalage entre la tête qui administre l’argent et les pieds et les mains, qui gèrent les chiens. Qu’il soit investi pour le bien-être animal ou pour soulager les animaux qui souffrent, à chaque humain qui y croit, qui croit à cette cause, il y aura toujours une poignée d’humains qui en profitent ! L’humanité est ainsi. Je ne critique pas la protection animale. Je dis juste qu’avant d’aller chercher ailleurs les causes, il serait bien pour la base, de lever les yeux et de voir comment l’argent est gérée tout en haut. C’est triste à dire et à écrire, mais la misère canine ou féline est devenue un marché à part entière. Ils ne l’arrêteront jamais. Elle rapporte trop. Si d’aventure, la France ne remplissait plus les chenils, ils augmenteront leur champ de prospection pour racler ailleurs la misère et ils l’importeront. Dites-moi, si j’ai tort ! En Europe, ce trafic de la misère canine, c’est un milliard d’euro, qui favorise une mafia sans scrupule ! Un milliard, juste pour l’élevage clandestin, l’écoulement « des stocks de chiens mal dans leur peau ». Mais c’est surtout l’espoir de réduire le bien-être canin ! Je m’explique, qui ne voudrait pas que son chien souffre moins, soit mieux dans sa peau. Rassurez-vous, les industries pharmaceutiques, les laboratoires s’en occupent. Votre chien est dans le mal-être, il est stressé, inquiet, hyperactif, peureux, la pilule pour le rendre mieux dans ses pattes existe. Elle promet le bien-être de ces animaux en ingérant de la chimie, savamment dosée ! Le monde à l’envers !

Le système, l’Europe favorise par sa politique curative, la misère, le mal-être canin pour augmenter les marges de groupes, qui officiellement « aiment les animaux » et ne désirent d’un côté que leur bien-être, alors que de l’autre, ils rêvent que le mal-être s’accentue et s’installe durablement pour faire du chiffre ! Ils ont tout compris. Ils sont cyniques et sans scrupules. Tout est fait pour entretenir cette misère. Ils la favorisent en critiquant les élevages, les maîtres, qui continuent de prendre des chiens dans les élevages, alors qu’il y en a tant à adopter. Quand il y en a moins, qu’on les importe, les pays de l’Est y pourvoiront ! Ils s’appuient sur une base d’humains, qui détestent l’humanité, qui ont survécu ou qui survivent grâce à l’amour des bêtes, qu’ils vénèrent ! Des gens seuls, désœuvrés, qui investissent les réseaux sociaux pour insulter, accabler les professionnels français, qui comme moi, vivent de leur passion en élevant des chiots bien dans leur tête ! Ils luttent contre la maltraitance, en occultant, qu’en fragilisant ceux qui travaillent correctement et qui au sein de leur élevage, se préoccupent du bien-être des « géniteurs » et de leurs progénitures, ils augmenteront ou aideront ceux qui produisent sans s’en soucier à grossir davantage et à produire encore plus de misère, que les grands groupes médicaliseront ! On cultive le mal-être pour artificiellement le transformer en bien-être !

Aujourd’hui, on s’attaque à ce qui en rééducation canine fonctionne bien, les outils. Des campagnes de publicité contre leur usage, des photos, des vidéos détournées pour provoquer l’indignation et surtout pour généraliser l’usage forcément maltraitant ! Ils stigmatisent, non pas pour sauver les chiens de la maltraitance, mais parce que l’outil en question est trop efficace et ne permet pas d’augmenter les marges de l’industrie pharmaceutique. Ils ont créé tout une histoire, toute une idéologie, un panel de produits vertueux pour éduquer dans la bienveillance et quand cette nouvelle technologie ne fonctionne pas ou est défectueuse, dans leur formation, prodiguées par des vétérinaires comportementalistes, ils reçoivent le petit formatage qui va bien, pour qu’ils passent la main, aux grands experts, aux psychotropeutes !

Il est temps de redéfinir le bien-être animal. Car, si pour l’obtenir, on doit droguer le chien, n’est-il pas au final, qu’un mal-être qu’on dissimule ? Quel drôle de monde.

Alors oui, je fais encore parti de ceux qui tirent parfois sur la laisse pour reprendre un chiot qui réagit, justement pour lui apprendre à réfléchir. Je fais parti de ceux qui n’abonnent pas l’idée que le respect est une valeur sûre, qui permet d’éviter à nos chiots de finir sous médicament. Je fais parti de ceux qui osent encore dire non, dans une société où le « non » permet de mettre des limites, qui du coup, font perdre des milliards, à ceux qui aimeraient que les cachets les restaurent, quand on a omis de les placer en temps et en heure ! Je fais parti de ceux qui résistent à cette société malade, qui veut droguer, non seulement les maîtres, mais aussi les chiens. Je fais parti de ceux qui veulent encore continuer à produire des chiots sains, qui ne nécessiteront jamais d’ingérer des pilules pour se sentir mieux ! Je fais parti de ceux qui veulent que l’on arrête de parler de protection animale, qui est une notion de plus en plus intéressée, pour instaurer en France, une vraie prévention, pour limiter les problèmes ! Je fais parti de ceux que l’on critique, bien que mes chiens sortent chaque jour, plus que le chien de nombreux de mes détracteurs. Je fais encore parti de ceux qui mettent des limites, mais qui ne médicalisent pas ses chiens. Je fais parti de ceux qui n’abandonnent pas leur chien, qui n’en n’ont jamais abandonnés et qui s’appliquent par éthique à placer les « mamans » pour, qu’après l’élevage, elles bénéficient du cadre aimant d’une famille. Je ne cherche pas à me justifier. J’ai ma conscience pour moi.

Travailler en amont pour éviter la misère en aval ! Quelle idée ! Et les milliards qu’ils perdront, cette minorité de privilégiés, qui s’engraissent sur la misère que votre naïveté ne fait qu’amplifier ! Tiens pour vous convaincre, organisons dans toute la France, l’opération, « un mois sans croquette », vous allez voir, si le prix des croquettes ne baissera pas ! Mais en France, c’est bien connu, nous sommes des « lover », à la baisse nous préférons la baise !

C’est contre tout ça que je me bats, qu’une poignée se bat. Nous dénoncerons cette manipulation. Nous dénoncerons, nous, une simple poignée de courageux, qui refusent ce monde de l’incohérence, d’une logique à l’envers instrumentalisée par des profiteurs, qui s’appuient sur la naïveté humaine, sur les réseaux sociaux pour défaire ce qui marche, pour imposer leur solution, leur cache misère médicamenteuse. Bien entendu, nous ne serons pas nombreux à le faire. Beaucoup n’ont pas le temps d’agir, ils ont trop de travail pour réparer, pour rééquilibrer, pour rapiécer la relation en lambeau, que le système se complait à détruire, par des campagnes de désinformation. C’est à se demander, si au final, le mal-être canin, ces chiens mal dans leur peau, n’est pas une volonté française ! Vous qui parlez sans cesse de bien-être animal, qu’allez-vous faire, pour qu’il émerge vraiment, pour qu’il soit garanti à tous ces maîtres, qui ne rêvaient juste d’un bon chien à leur côté ?

Sur ce, le « moralisateur » que je suis devenu, c’est si facile de ne rien faire en critiquant ceux qui prennent le risque de faire, vous souhaite une bonne journée dans ce monde, où tous les chiens y sont gentils et bien dans leur tête, où la chimie fait des miracles !

Étienne Girardet, d'Entre Chien et Vous!!

C'est intéressant le décalage qu'il peut avoir entre les bobos écologistes radicalisés allemands, mais en FRANCE, on a l...
07/04/2024

C'est intéressant le décalage qu'il peut avoir entre les bobos écologistes radicalisés allemands, mais en FRANCE, on a les mêmes, et ceux qui habitent des pays où certains animaux peuvent devenir un problème pour la population humaine locale. Ce président africaine est juste et propose à l'Allemagne de prendre 20 000 animaux et de les laisser vivre à l'état sauvage, sans restriction.

Le Botswana abrite la plus importante population d’éléphants au monde, avec lesquels la cohabitation est souvent difficile.

05/04/2024

Dossier animalisme, partie 3 et fin du dossier

L’ANIMALISME EXTRÉMISTE : Contre l’exploitation des animaux,

LES "ANTITOUT" !

Ils veulent interdire :
La chasse, la pêche, l’équitation, le dressage, l’éducation canine qu’il nomme coercitive, l’agriculture, surtout l’élevage, la corrida, la filière viande, les cirques, les zoos et j’en passe.

La force qui les rend encore plus puissants : Nous sommes tous des anti quelque chose !
Exemple :
On peut être chasseur et militer contre son propre camp en étant anti vénerie.
On peut être éducateur canin et détester la chasse.
On peut être céréalier et détester la chasse ou ne pas vouloir en accepter sa pratique.
On peut être pêcheur et contre la corrida.

Être anti quelque chose, c’est avant tout, être contre sa propre cause. Quand on renforce un camp, on renforce l’animalisme extrémiste !

LA QUESTION N’EST PAS SAVOIR SI NOUS SOMMES « POUR » OU « CONTRE » telle ou telle pratique.
LA QUESTION EST DE SAVOIR SI NOUS SOMMES PRÊTS A DÉFENDRE NOTRE CAUSE, NOS PROJETS, NOS CONVICTIONS, NOS PASSIONS EN ACCEPTANT CELLES DES AUTRES.
Être contre, bien souvent, c’est être intolérant. Notre intolérance, que nous communiquons sur les réseaux, par le biais d’insultes, de manipulations, d’émotion et d’images ou vidéos choquantes, renforce globalement l’animalisme et fragilise nos propres positions, nos propres passions.

L’animalisme est un concept global. L’animal est la victime de l’humain, l’esclave de l’humain contre lequel ils doivent lutter. L’antispécisme, qui s’est considérablement radicalisé, par le biais des réseaux sociaux, n’est pas « pro animaux », mais avant tout « anti humain ».
A chaque fois que nous sommes « contre » quelque chose et que nous en demandons l’interdiction, nous renforçons obligatoirement l’animalisme qui un jour sera « contre » notre propre pratique, nos propres passions !
Car « ces gens-là » sont contre ce qu’ils qualifient « d’exploitation animale » sous toutes ses formes. On peut être passionné d’équitation et détesté la chasse, en le criant haut et fort. Un jour, quand ils se seront occupés, mais ça reste difficile pour la chasse, ils viendront vous dire que monter à cheval est de l’exploitation et qu’à sa place, seriez-vous heureux que l’on monte sur votre dos ?!
Aujourd’hui, beaucoup ne qualifient pas d’esclavage, de maltraitance, le fait de mettre un collier à leur chien ou de voir un chien en porter un, mais certains, les plus influençables par le biais de campagnes, de propagandes, de mensonges et bien souvent, ceux qui n’ont pas de chiens, commenceront à adhérer à l’idée, à l’admettre et petit à petit grandiront le camp des animalistes radicaux, qui toujours à force de manipulations retourneront l’opinion public !
Qui n’adhérerait pas au concept de « bien-être animal ». Leur force est d’arriver à faire croire que seules, leurs associations s’en soucient et militent pour. Comme-ci, ils étaient les seuls à en avoir le monopole. Comme l’a dit Giscard un jour « Vous n’avez pas le monopole du cœur » !
Bref : La tolérance est la seule voie possible pour lutter contre la radicalisation de l’animalisme, mais surtout pour lutter contre la haine de l’autre, des autres. Ce n’est pas parce que je ne comprends pas quelque chose, que je n’en admets pas la pratique, que celle-ci n’est pas légitime, justifiée ou utile.

NI « POUR », NI « CONTRE », JUSTE « CE N’EST PAS MA CULTURE »

Et ça ne veut pas dire, pour celui qui n’aime pas la chasse, par exemple, de ne pas avoir le droit de le penser, juste d’éviter de stigmatiser ou de colporter des images ou des idées, qui bien souvent sont isolées et ne représentent en rien l’ensemble de cette pratique ! En tant qu’éducateurs canins modérés, on sait plus que quiconque ce qu’est la désinformation et la manipulation. Dites-vous, que dans les autres disciplines, c’est la même chose !
Et ça ne veut pas dire non plus qu’il ne faut pas reconnaître que dans nos disciplines, nos métiers, nos pratiques, il y a des irresponsables, qui adoptent des comportements inacceptables contre lesquels nous devons tous lutter ! Car ces personnes ne donnent pas une bonne image de nos métiers ou de nos disciplines.

Je voulais vous expliquer comment l'animalisme radical a réussi facilement à prendre de l'ampleur. Améliorer le bien-être animal est l'une de nos préoccupations, comme tout le monde, mais pas dans l'exagération, nous préférons la modération, pas dans l'interdit, mais la réglementation, pas dans le débat idéologique, mais dans une délibération politique et impartiale.

05/04/2024

Dossier animaliste, partie 2 :

MOUVEMENT POLITIQUE : Un œil rapide sur le programme des mouvements politiques qui se sont créés.
D’après l’analyse en 2020 de sept partis animalistes du monde entier montre que leur préoccupation, qui s’appuie sur l’égalité des droits entre toutes espèces (antispécisme abolitionniste) n’est pas seulement l’amélioration de la condition animale, mais aussi et surtout l’abolition de ce qu’ils qualifient d’exploitation animale. (Chasse, pêche, équitation, élevage, cirque et un jour, tout ce qui se rattache au chien d’utilité, y compris le chien de famille). Pour ces gens-là, la lutte qu’ils prônent est une espèce de prolongement des droits humains, comme la lutte contre l’esclavage ou l’amélioration de la condition des femmes et leur émancipation.
Bien entendu, si je vous mets en garde sur le chien de famille en précisant qu’ils en demanderont l’interdiction, vous me rirez au nez en me disant que ce n’est pas pour demain. Certes. Pourtant, quand on décrédibilise systématiquement les capacités des maîtres à éduquer leur chien convenablement, après avoir créé un discours éducatif contradictoire pour les embrouiller, ne sommes-nous pas dans les prémices d’une manipulation, qui dans l’ombre, aspirent à des projets plus obscurs ! Quand on durcit la loi sur la détention, quand on durcit l’appareil juridique pour pouvoir poursuivre plus facilement les maîtres, en leur mettant tout sur le dos et en les rendant responsables de tous les maux que les chiens modernes ont développés, ne sommes-nous pas dans une volonté de rendre l’acquisition plus difficile et donc de la freiner ? Attention, je ne dis pas qu’il fallait laisser faire. Ce que je dis, c’est que le but n’est pas seulement la protection des animaux, mais qu’il y a une volonté politique et idéologique d’aller plus loin que ce que l’on veut bien nous dire !

EXEMPLE :
Si je prends l’exemple du cheval et le « pour » ou « contre » les mors et que j’écoute celles et ceux qui, par mode, sont contre, que c’est une forme de torture pour l’animal. Admettons-le, peu importe, que diront-ils, ces même-personnes, quand d’autres leur diront qu’il est inadmissible de s’assoir sur le dos d’un cheval ? Cette exploitation est d’une autre époque. "tu aimerais que l'on te monte dessus, toi ? " Admettons qu’ils consentent à l’idée et qu’ils décident de marcher à pied près du cheval qu’ils promènent, que diront-ils ou que feront-ils quand d’autres leur diront qu’il est intolérable qu’en 2024, un cheval puisse être attaché à l’humain qui le promène ! Un animal doit être libre de toute contrainte humaine ! Et admettons, là encore, qu’ils le lâchent dans un pré pour le laisser tranquille et qu’il vive sa vie de cheval libre, que feront-ils quand d’autres leur diront qu’il est inconcevable qu’un cheval soit contraint de rester à l’intérieur d’un enclos, alors qu’il est génétiquement programmé pour courir dans la vraie nature, sans clôture ! Enfin, que diront ceux qui vous ont obligé à « libérer » le cheval, quand un jour une meute de loups l’encerclera pour en faire un bon repas ? Certains, ça a déjà été évoqué, diront qu’il faut attraper les loups et leur limer les dents (!!!), quand d’autres vous diront que c’est la nature de la proie libre de finir dévorer. Mais qu’elle a tout de même une chance de s’en sortir ! Bien entendu, que dans ce monde-là, l’homme doit refouler au plus profond de lui-même son instinct de prédation et bouffer des carottes et du quinoa !

Il n’y aura jamais aucune limite. Pour eux, l’humain est un exploiteur, qu’ils doivent rééduquer. On est plus dans l’antispécisme et l’idée de considérer les animaux à l’égal de l’homme pour ses droits, ses besoins et cette possibilité qu’ils vivent, libres comme nous (si seulement nous l’étions) On bascule dans une sorte de surenchère animaliste où, à bien des égards, l’animal est supérieur à l’homme, ce qui, pour certaines choses comme ses capacités sensorielles, n’est pas faux, et que, quand l’humanité aura disparue, au moins ils pourront librement renaître dans la nature, comme autrefois ! Nous ne sommes plus dans l’équilibre où l’homme et l’animal doivent cohabiter en se respectant, mais dans un déséquilibre causé par la détestation de l’humain, de l’humanité. Comment peut-on défendre une cause, quand on n’est déjà pas capable de s’entendre avec sa propre espèce ! Je ne comprendrais jamais la motivation de tous ces gens agressifs envers leurs semblables qui aimeraient imposer à ces mêmes semblables leur vision des animaux, alors qu’ils sont incapables d’aimer ceux qu’ils veulent convaincre ! Pour des gens qui prônent la méthode positive en éducation canine, je trouve que la méthode qu’ils ont pour s’imposer ou imposer leurs idées s’apparente beaucoup à de la coercition !

Adresse

Lieu-dit Rente Rouge
Bèze
21310

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Entre Chien et Vous

ENTRE CHIEN ET VOUS est un panel d’activités et de services canins! (Éducation et rééducation canine, pension canine, zoothérapie, club de loisirs canins, vente d’aliments et élevage de labradors

Centre d'éducation canine, cours particuliers et collectifs; Club d’éducation canine, basé sur le lien Pension chien; Élevage Labrador chocolat, noir et sable Education et rééducation et développement de la notion de prééducation

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