Association Ethi-Canis 03

01/08/2022

Partager les souvenirs en famille et entre amis est amusant, rapide et facile. Combinez les photos et les vidéos avec une narration de la musique pour créer un montage diaporama avec un logiciel professionnel et gratuit.

21/07/2022

Encore un bel article de Céline Oz qui explique parfaitement les règles à adopter pour les sorties des chiens de tous âges, Oublions les vieux tableaux des "5 minutes de promenade par mois d'âge" 🙂

Aujourd’hui, mettons les pieds dans le plat. Les promenades sont une super activité néanmoins, vous pourrez facilement trouver des tableaux présentan…

26/06/2022

Cela paraît plus facile pour contrôler son chien, mais ne l'aide pas à gérer ses émotions, donc à exprimer des comportements apaisés.

Nombreuses sont les personnes à demander à leur chien un « assis » lorsque ce dernier se trouve dans une situation qui fait monter sa joie, sa peur, ou toute autre émotion forte. Et alors qu'il commence à se tendre, voire à aboyer, on se retrouve avec des « assis », « assis », « assis » répétés à de nombreuses reprises. Généralement, dans ce genre de contexte, le dit chien n'est tout simplement pas en capacité de s'asseoir. Il n'écoutera donc pas l'humain ou, tout au plus, il se retrouvera à s'asseoir, tendu, prêt à partir au quart de tour à la moindre approche du stimulus qui le met dans cet état.

Le fameux « assis », celui qu'on demande généralement en tout premier, parce que ça semble si important aux yeux de l'humain d'avoir un chien qui sait se mettre dans cette position, n'est possiblement pas la chose la plus adaptée à demander à son chien dans une situation d'excitation. Si vous observez les chiens et leur façon de réagir face aux émotions fortes, ces derniers vont avoir tendance à rester en mouvement, à prendre des comportements qui peuvent les apaiser ou au contraire, leur permettre de décharger ce trop-plein émotionnel. En aucun cas un chien dans un état émotionnel intense ne se mettra assis, dans une position statique. D'ailleurs, c'est là quelque chose de très similaire à l'humain : si dans un endroit où vous avez peur (avec une grosse araignée très proche de vous si vous les craignez, ou un serpent sur une table, à un ou deux mètres de vous) ou au contraire, dans un lieu où vous êtes très enthousiaste (avec votre chien que vous n'avez pas vu depuis plusieurs jours à quelques mètres de vous), je vous demande de vous asseoir et de ne pas bouger... Vous trouveriez ça très compliqué, si ce n'est impossible. C'est pourtant là ce qu'on demande à une majorité de chiens au quotidien.

Pourtant, cette position n'apprend absolument pas à un chien à être calme, ni à redescendre en émotion lorsqu'il vient juste d'en vivre une plus forte que les autres. Pour parvenir à faire descendre la pression de façon progressive, un chien choisira soit de décharger en courant partout sans vraiment réfléchir, aussi appelé zoomie, en creusant de façon énergique, en sautant, etc., soit de se calmer petit à petit, notamment en utilisant sa truffe. En effet, lorsque le chien utilise son flair, il est capable de revenir à un état de calme alors qu'il se concentre sur les informations qu'il récolte ici et là sur les différentes surfaces.

Ainsi, non seulement le célèbre « assis » ne sert à rien quand on souhaite rendre son chien calme, mais en plus on va totalement à contre-courant de ce qu'un chien fait naturellement pour retrouver un état d'équilibre émotionnel. Contraindre un chien à l'immobilité, c'est l'empêcher de revenir à lui après un moment de stress ou d'excitation, et si on le contraint... Alors on pourra forcer un « assis » mais quid de ce qu'il ressentira ? Est-ce bien bienveillant envers lui ? Qui nous dit que ce calme apparent ne cachera pas une réaction bien forte à un moment donné ? N'oublions pas qu'un chien communique également grâce à sa position corporelle : le fait d'être assis peut tout à fait envoyer un message qu'il ne souhaiterait pas envoyer de lui-même à un congénère par exemple.

Au lieu de vouloir ce « assis » à tout prix, demandez-vous si c'est pour vous ou pour votre chien que vous demandez cette position. Le fait de prendre de la distance, de se remettre en mouvement et de revenir sur les odeurs lui sera bien plus bénéfique que ce qui est attendu de la part de l'humain. Alors certes, aux yeux des gens autour, un chien qui s'assoit est possiblement vu comme étant mieux éduqué, mais est-ce ce qui lui convient, à lui ?

Le fait de flairer des odeurs est quelque chose de réellement important pour nos chiens, non seulement cela a un effet sur le fait de les faire redescendre d'un moment fort émotionnellement, mais en plus les stimulations olfactives participent au développement d'un cortex cérébral plus grand avec une augmentation du nombre de connexions synaptiques. En résumé, le fait de flairer des odeurs permet à votre chien d'avoir davantage de stimulation cognitive, il augmente donc sa rapidité de réflexion.

Penchez-vous sur la façon dont les chiens communiquent sans intervention humaine : voyez-vous beaucoup de canidés s'asseoir alors qu'ils sont dans un état émotionnel intense ? Restent-ils immobiles ou au contraire, cherchent-ils à évacuer cette pression, voire à redescendre en émotion en flairant autour d'eux ? Gardez en tête que le « assis » est une exigence humaine, bien loin pourtant de faire partie d'une communication que le chien privilégierait dans ce genre de situation.

Un « assis » n'induit pas le calme, on peut parfaitement avoir un chien calme debout, en mouvement, qui flaire des odeurs autour de lui. Et n'est-ce pas là une meilleure situation, autant pour lui que pour vous ?

Sources :

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0168159118304325?fbclid=IwAR0AT5i4b-igIIH-gRlHswuhvAvYQ93fADTrPpnZbtMYMQXNLc0G-wRzvQk

https://www.mdpi.com/2076-2615/10/8/1385/htm?fbclid=IwAR0eNsGUYmKZVfN21J4FU3Tz7JQO-8m10RucPG8-HREAFrXPmvHmWlVHMmE

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18/06/2022

Chiot ou adulte, d'élevage ou de refuge, l'adoption donc l'arrivée dans un environnement nouveau, ce n'est pas toujours la fête !

ADOPTION D'UN CHIEN ADULTE ET SOLITUDE: à quoi s’attendre les premières semaines ? Que mettre en place pour l’aider ?

Tout d’abord : c’est tout à fait normal si votre chien nouvellement adopté ne supporte pas la solitude les premières semaines post adoption. Et ce pour plusieurs raisons :

▪️ Perte de repères totale (visuels, olfactifs, affectifs, auditifs, sécuritaires…) : il doit faire face à de nombreux stimuli inconnus qui le submergent et qui , en fonction de l’origine et de la sensibilité du chien, peuvent le mettre dans un état de stress important. Le chien aura besoin de temps pour intégrer et traiter toutes ces nouvelles informations.

▪️ Insécurisé dans ses attachements et dans son nouvel environnement : le plus souvent, le chien ne connaît pas vraiment ses adoptants, le lien n’est pas crée. Contrairement au mythe du « chien meilleur ami de l’homme », le lien avec nos chiens se construit et s’entretient : le chien nouvellement adopté a, lui aussi, besoin de temps pour apprendre à connaître, faire confiance et à apprécier son nouvel adoptant. Quant à l’environnement, le chien ne sait pas immédiatement que c’est « chez lui » : il y a donc une phase d’adaptation plus ou moins longue pour que le chien atterrisse et puisse considérer que son lieu de vie est son « safe place ».

▪️ Mauvaises expériences récentes avec la solitude (vie en chenil, abandon, voyages en camion...) : pour beaucoup de chiens adultes adoptés, il est possible qu’ils aient vécu une expérience traumatisante liée à la solitude juste avant l’adoption. Il leur faudra donc du temps et un apprentissage pour qu’ils soient capables de rester détendus pendant les absences.

▪️ Niveaux de stress élevés (changements, voyages, sortie de refuge, habituation aux stimuli…) : tous les changement déjà mentionnés créent un niveau de stress élevé chez le chien. Chaque chien exprimera ce stress de manière différente, mais il est possible que pour certains chiens cela s’exprime à travers des comportements étiquettés à tort « d’hyper attachement » : besoins de contacts et de proximité, demande d’attention, du mal à se poser, incapacité à rester seul dans une pièce… Tous ces comportements sont le symptôme d’un stress sous-jacent et d’un attachement encore insécurisé : il sera donc inutile d’ignorer/ de repousser votre chien qui a au contraire besoin d’être sécurisé et rassuré le temps que ses niveaux de stress redescendent.

Que mettre en place pour l’aider ?

▪️ Phase de décompression impérative : éviter la sur-stimulation les premières semaines en valorisant le calme, le sommeil, les balades "reniflage", l'enrichissement…

▪️ Restez près de lui les premières nuits:
dormir avec son chien à son arrivée ne crée pas de problèmes avec la solitude: au contraire cela le sécurise dans son environnement. Si vous ne voulez pas dormir avec lui plus t**d, c'est ok: vous l'éloignerez progressivement quand il sera détendu.
Sécuriser le dans son nouvel environnement:
laissez le découvrir la maison à son rythme, offrez lui des lieux de couchage au calme, respectez ses moments de sommeil, valorisez une routine stable et cohérente, limitez les mauvaises expériences dans ce nouveau lieu

▪️ Créer du lien, un attachement sécurisé: passez du bon temps avec lui, apprenez à respecter ses limites/ ses peurs, aidez le quand il est en difficulté, comblez ses besoins, donnez lui de la distance et du temps pour observer et intégrer les informations en balade… Devez son phare dans la tempête, son QG de sécurité pour qu’il gagne progressivement en confiance et en autonomie

▪️ Apprennez à lire son langage corporel: observez votre chien au quotidien: quel est son langage corporel quand il stress? mange? joue? apprenez à reconnaître ce qu'il aime, qui lui fait peur, le rassure : cela sera crucial pour évaluer sa sensibilité à la solitude

▪️ Diversifiez ses figures d'attachement: si vous êtes plusieurs dans le foyer, faites en sorte que tout le monde s'investisse dans la vie du chien (nourissage, promenade, jeu): le but étant de lui montrer qu'il est en sécurité avec plusieurs personnes et pas qu'avec une seule. Si vous êtes seul.e: faites participer vos ami.es ou vos voisins!

▪️ Prévoyez des solutions de garde: il est possible que pendant les premières semaines votre chien ne sache pas rester seul. Faites en sorte d'avoir des solutions de garde sous le coude pour ne pas l'exposer à la solitude plus longtemps qu'il ne le tolère pendant l'apprentissage. Lui faire vivre une expérience négative/ traumatisante empirerait la situation !

▪️ Faîtes un apprentissage très progressif de la solitude: à l'aide d'une caméra de surveillance et sans nourriture, observez son langage corporel pendant que vous banalisez les départs sans durées puis des durées très progressives (30s, 2min, 5min...)

▪️ Progressez à son rythme et répétez: le but de l'apprentissage est d'associer vos départs à des émotions neutres/ relax. Cela demandera de rester sous le seuil de tolérance du chien, et de répéter de nombreuses fois!

👽 Mettez vous à sa place: on sous-estime l'impact qu'une adoption peut avoir dans la vie d'un chien: cela peut être parfois vécu comme un choc. Imaginez votre réaction si vous vous faisiez adopter par des extra terrestres qui ne parlent pas votre langue, que vous ne connaissez pas et qui vous laissent directement seuls et enfermés à double tour dans un endroit qui vous intimide !

Ne paniquez pas !

Encore trop de retours à l'adoption sont dus à une méconnaissance de cet apprentissage de la solitude. C'est normal si votre chien, dans les premières semaines post adoption et à un certain degré, vous suit partout, n'aime pas être dans une autre pièce, ne sait pas rester seul... il va progressivement se détendre et vous allez lui montrer qu'il n'y a rien à craindre!

Faîtes vous accompagner par un professionnel à jour dans ses connaissances. Si vous remarquez une sensibilité exacerbée à la solitude, ou que vous n'y arrivez pas: contactez un professionnel spécialisé dans ces problématiques! C'est possible que malgré tout votre chien souffre d'un problème lié à la séparation.

Anaïs Dethou - consultante en comportement canin spécialisée en anxiété de séparation

18/06/2022

Un article qui invite à savoir remettre en question les méthodes éducatives "clé en mains" .

18/06/2022

L'accent est mis sur le développement et l'éducation du chiot, on omet souvent les perturbations qu'apportent les montées d'hormones chez le chien avant maturité.

Non, votre chiot qui grandit ne teste pas vos limites. Il n'est absolument pas en train de se demander comment vous rendre chèvre, d'ailleurs même une fois adulte il ne le fera pas. Au contraire, il a bien trop affaire avec ses propres émotions pour être capable d'appréhender les vôtres (ça, c'est votre travail). L'adolescence chez le chien est un vaste sujet qui mérite d'être abordé car c'est quand même pas rigolo d'être un chiot perdu dans un corps de grand, surtout quand les humains ne savent plus quoi faire.

En premier lieu, lorsque votre chiot devient adolescent, la communication entre son amygdale et le cortex frontal diminue. Alors qu'est-ce que ça signifie ? Ça veut dire que l'amygdale, qui est responsable des réponses émotionnelles, et le cortex frontal, qui est quant à lui responsable de la prise de décision consciente et de la mémoire, ne communiquent plus aussi bien qu'avant. Votre chien peut donc avoir des réactions disproportionnées par rapport à des choses qui vous semblaient pourtant acquises et être tout à fait incapable de répondre à une demande de votre part, tout simplement car la communication se fait moins bien qu'avant entre ces deux parties de son cerveau.

Ensuite, il faut également savoir que la mémoire est perturbée. Des peurs sont donc susceptibles d'apparaître chez votre chien adolescent après une mauvaise expérience qui le marquera par la suite. Il se trouve dans une période sensible où les expériences qu'il percevra comme étant négatives seront ensuite difficiles à oublier. Une seule mauvaise expérience pourra programmer par la suite des réactions de peur alors que jusque là, votre chiot « faisait avec » certaines choses qui ne semblaient pas l'atteindre plus que ça. Un chien adolescent peut donc, tout d'un coup, faire un écart en voyant un objet qui auparavant ne lui aurait pas fait peur. C'est une période où les expériences positives doivent être multipliées, de sorte à ce que ces petits moments de crainte ne deviennent pas de véritables associations négatives imprimées dans sa mémoire.

Enfin, les neurotransmetteurs inhibiteurs produits par les neurones de l'amygdale, qui servent donc à atténuer les réponses émotionnelles, ne seront matures qu'à la fin de l'adolescence. En clair, cela signifie que les réponses émotionnelles seront globalement plus fortes dans cette période de la vie de votre chien étant donné qu'elles ne pourront pas être aussi atténuées qu'elles le seront à l'âge adulte, lorsque l'amygdale aura atteint sa maturité.

En résumé, si votre chien adolescent se met subitement à ne plus savoir gérer ses émotions, à sauter alors qu'il ne le faisait pas avant, à avoir peur des ombres ou d'objets du quotidien, et à avoir des comportements que vous jugez indésirables... Ne mettez pas ça sur le compte des « limites » qu'il testerait, il ne fait absolument rien pour vous agacer vous en particulier. Au contraire, il est complètement perdu à travers tous ces changements (et c'est sans compter sur les hormones sexuelles qui vont commencer à venir l'enquiquiner).

Au lieu de lui demander l'impossible, à se montrer calme alors qu'il en est incapable, permettez-lui de décharger un trop-plein émotionnel sur une activité sur laquelle vous le redirigerez et qui sera acceptable pour vous. Créez autant d'associations positives que possible, mettez-vous au niveau de ses peurs et accompagnez-le dans sa « redécouverte » de son environnement, en l'encourageant et en allant à son rythme. Et enfin, récompensez à foison les comportements que vous souhaitez voir se reproduire, tout en prenant en compte le fait que ses capacités de concentration peuvent être altérées.

En résumé : mettez-vous à sa place et ne lui demandez pas la lune, n'oubliez pas que l'adolescence passera un jour (car elle dure globalement de six à dix-huit mois) et qu'à ce moment-là, vous pourrez être fier de tout le chemin que vous avez parcouru main dans la patte avec votre poilu !

Sources :
• https://www.cambridge.org/core/journals/psychological-medicine/article/abs/triadic-model-of-the-neurobiology-of-motivated-behavior-in-adolescence/60D7FAB8086D4E84A61292680F663F32
• https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0149763411000698
• https://nyaspubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1196/annals.1308.017
(Les études ont été faites notamment sur des rats, des singes et des humains, pour autant un consensus a été trouvé indépendamment de l'espèce : l'adolescence amène avec elle son lot de perturbations au niveau neurobiologique. Cet article est une vulgarisation de ces études, avec une simplification pour permettre à tou(te)s d'appréhender du mieux possible ce qui se passe chez les chiens à cette période délicate : il n'a pas pour vocation à se substituer à des études plus poussées qui ont quant à elles bon nombre d'informations supplémentaires à apporter.)

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27/06/2021

Plus on est de fous plus on rit? Pas forcément. Prendre un deuxième chien implique de se poser les bonnes questions pour une cohabitation réussie.

09/06/2021

PROTOCOLE pour les BALADES

Un des objectifs de l’association est d’organiser des balades canines dans une ambiance conviviale, positive et sécurisée. Elles seront adaptées selon les besoins ou souhaits exprimés préalablement et les chiens présents.

Pour y parvenir, il faudra respecter certaines règles lors des promenades :
Les nouveaux inscrits et personnes n’ayant encore jamais participé devront prendre contact préalablement avec l’association pour une présentation de leur chien.
Matériel : collier plat ou harnais et laisse ou longe (la longe ne peut être utilisée qu’avec un harnais).
Un chien présentant des troubles importants de la socialisation (agressions avec morsures) ne sera pas accepté en balades pour la sécurité de tous.
Pas de chiennes en chaleurs lors des balades, même si il n'y a pas de mâle présent
Pas de jeux de balles ou de bâton en groupe et éviter la position statique (lors des pauses, reprendre son chien à côté de soi).
Les chiens s'excitant de manière exagérée et « harcelant » leurs congénères seront rattachés et légèrement éloignés du groupe afin de permettre le retour au calme.
Les chiens seront systématiquement rattachés lors des passages à proximité d’habitations ou de pâtures avec du bétail ou des chevaux.
De même, par respect, les chiens seront rattachés lors de rencontres avec les randonneurs, joggers, vélos, cavaliers et chiens extérieurs au groupe.

ORGANISATION DES DEPARTS

Au point de rassemblement, salutation des humains alors que les chiens seront encore en voiture.
Départ légèrement échelonné avec chiens en laisse ou longe (on ne fait pas se sentir les chiens au. bout de leur laisse!), puis, ils seront tous lâchés simultanément, en marchant, laisse détendue, au signal de l’organisateur.

_______________________________

Pour mémoire :
"L'article 1385 du code civil pose clairement la responsabilité civile du propriétaire ou gardien de l'animal à l'origine d'un accident, de dégâts...même si l'animal est tenu en laisse, ou non. Les responsabilités civiles et pénales sont directement imputables au responsable de ces animaux »

09/06/2021

Balade en forêt de Marcenat demain jeudi 10 juin à 10h30. Inscriptions par sms au 06.89.45.77.36

17/05/2021

14/05/2021

Voici les deux petits derniers de la bibliothèque, je conseille, pour comprendre toutes les étapes de vie de nos compagnons, accessibles à tous. Des chapitres courts, bien construits. L'un invite à faire un petit test de notre connaissance du chien, l'autre propose un petit lexique des termes plus "techniques" couramment employés, 😍

14/05/2021

https://www.onf.fr/onf/+/96::promener-mon-chien-sans-laisse-foret-peux-peux-pas.html

Les habitants des réserves naturelles sont protégés, ceux des forêts aussi sur certaines périodes. Profitons des balades avec nos chiens sans les déranger 🥰.

À l’occasion d’une promenade en forêt, détacher nos animaux de compagnie peut s’avérer tentant. Mais ce petit geste en apparence anodin peut avoir un impact non négligeable sur la faune sauvage.

28/04/2021

20/04/2021

Voici quelques livres qui ouvrent les portes de la compréhension du monde canin et qui balayent les théories de dominance qui font encore tant de dégâts.

19/04/2021

Après 3 années de formations (et je continue !) je souhaite mettre mes connaissances au service de votre relation avec vos chiens, dans le cadre d'une communication bienveillante et harmonieuse. Et surtout, je souhaite apporter ma petite pierre à l'édifice du recul des abandons !

Voici quelques informations pour me présenter :

Certificat de Capacité (CCAD/ACACED) n° 2018/ddf8-93a9
Formation éducateur comportementaliste canin, Sté Humanimalis
Monitorat 1er degré éducation canine
Formation 1ers secours canins
Formation PECCRAM (programme prévention des morsures Mme Chantal Hazard)
Stage Nosework (travail du flair, discrimination d'odeurs)
Stage "Relax Max", Pauline Debarbat
Formation et stage accompagnement du chien de refuge (Muzo+ et C+Canin, Nicolas Tessier)
Stage chien réactif humains et congénères (Jérémy Serindat)

19/04/2021