Societe D’aviculture De La Guadeloupe SAG

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Promouvoir le loisir des volailles de races anciennes, dans le respect de leur standard et travailler sur la naissance d’un standard du « combattant antillais »

Naissance au 23 mai de Marans à camail noir cuivre et bleu cuivre
13/06/2023

Naissance au 23 mai de Marans à camail noir cuivre et bleu cuivre

08/05/2022
Ça peut servir…..
27/01/2022

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Un jeune coq Brahma prêt à rejoindre une nouvelle famille afin de vous donner de nombreux poussins.Prix en MP
22/05/2021

Un jeune coq Brahma prêt à rejoindre une nouvelle famille afin de vous donner de nombreux poussins.
Prix en MP

01/03/2021
Le canard de Rouen. Auteur : Henri Blin Mots clé : animaux de basse cour |Canards de Duclair © Jean-Claude GirardLa Norm...
01/03/2021

Le canard de Rouen.
Auteur : Henri Blin

Mots clé : animaux de basse cour |
Canards de Duclair © Jean-Claude Girard
La Normandie a ses titres de gloire, non seulement dans l’héroïsme de ses enfants, qui luttent pour la sauvegarde de la Patrie et de la liberté, et dans ses hommes illustres par leur talent dans les arts, les sciences, les lettres, etc., mais encore par le renom qu’elle a conquis pour la valeur des produits de son sol fertile. Parmi ces produits qui jouissent d’une renommée légitime et, en quelque sorte, mondiale, le fameux canard de Rouen mérite, à tous égards, les honneurs d’une particulière citation. C’est d’ailleurs, pour lui, un droit au même titre que la citation du poilu qui, en se comportant vaillamment devant l’ennemi, illustre nos gloires nationales et fait honneur à son pays.

Sans médire des canards gascons, nantais ou vendéens, qui ont d’incontestables qualités, on me permettra bien cette manifestation toute spéciale en faveur du régionalisme - oserai-je dire du régionalisme... avicole - dont l’utilité ne me paraît pas discutable puisque nous voulons, ici, mettre en relief l’importance et la valeur des ressources de notre petite patrie, en même temps que l’intérêt qui s’attache à leur accroissement, à leur amélioration, en vue de retirer de leur exploitation le plus grand profit. Il me semble que l’on ne saurait traduire en termes plus élogieux ni plus exacts les brillantes qualités du canard de Rouen qu’en débutant par la flatteuse appréciation et le portrait fidèle, frappant, qu’en a donné le très érudit et très spirituel Fulbert Dumonteil, le subtil écrivain à qui l’on doit les plus enthousiastes descriptions mettant en relief l’attrait qu’offre le peuple de nos basses-cours :

« A la Normandie, si riche en tant de choses, appartient le plus délicat, le plus fin, le plus gras, le plus savoureux, le plus opulent, le plus estimé de tous les canards de France et de Navarre. La merveille de la broche et la volupté de la table, c’est le canard de Normandie. C’est à croire que les navets ne poussent que pour lui faire cortège et que la douce Provence se pare d’oliviers pour lui faire honneur. Ses aiguillettes roses, que le citron relève, sont exquises, et ses cuisses, un peu grasses, triomphent dans ces daubes odorantes qu’adorait le vieux Corneille.

« Le premier de tous les canards de Normandie : fine chair, fine graisse et fine fleur, c’est le canard de Rouen. Il est de noble origine, issu en ligne directe du canard sauvage dont il a gardé le plumage superbe et le fumet original. On dirait qu’il porte son extrait de naissance sons son aile. Un jour de jeûne, il s’est laissé séduire par les charmes de l’auge et l’attrait du grain. Le voilà conquis à la civilisation et à la casserole. C’est le mieux vêtu de nos canards : bec jaune taché de noir, couleurs vives et tendres, capuchon d’un vert charmant aux reflets veloutés, poitrine marron et collier blanc ; ventre gris-perle, ailes cendrées que terminent de beaux miroirs à reflets verts et bleus, rehaussés d’un liseré blanc. La robe est fort jolie, mais c’est particulièrement le dessous qui nous intéresse : la plume s’envoie, la chair reste, et la fourchette a des plaisirs aussi sacrés que le regard. Quelque admirable profusion de teintes et de nuances artistement combinées que présente son plumage, la plus belle couleur d’un canard de Rouen est la robe d’or qu’il emprunte à la flamme des cuisines. »

Ainsi s’exprime Fulbert Dumonteil, ce fervent de la lèchefrite, autre Monselet, autre Brillat-Savarin, amateur délicat, fin connaisseur sans être disciple de Pantagruel. La description physique et gastronomique qu’il nous donne du canard de Rouen est d’une exactitude, d’une fidélité que l’on ne saurait contester, car notre canard rouennais est bien de ressemblance parfaite avec son ascendant, le canard sauvage, le joli col vert, joie du chasseur au marais ; mais sous l’influence de la domestication et d’un élevage qui en a amplifié les formes, augmenté le volume, le canard de Rouen présente une différence de poids considérable. Tandis que le poids du canard sauvage n’atteint que 1 k. 500 environ, celui du canard de Rouen amélioré par la sélection et un élevage rationnel, atteint jusqu’à 4 k. 500. Le même écart existe entre la cane sauvage et la cane rouennaise, dont l’aptitude à la ponte s’élève au quintuple. Cette dernière a le fond du plumage isabelle clair, les plumes du dos, des flancs et du ventre marquées de brun, d’un liseré marron et d’une autre marque en fer à cheval, de couleur marron. Son plumage est moins riche que celui du mâle, mais dans l’ensemble elle présente bien les caractères d’une parenté extrêmement étroite avec la cane sauvage. Notre canard de Rouen est, avant tout, un canard pratique, gros, gras, plantureux, massif comme nos rudes gars normands. On critique son allure, on dit qu’il marche en titubant comme s’il avait bu six pintes de cidre. On oublie trop que son véritable élément c’est l’eau, la mare ou la rivière où il déploie toute son élégance aquatique, surtout quand il baigne sa tête veloutée et tourne vers le ciel l’antipode du bec, friandise artistement rôtie des bouches sensuelles, croupion fameux qu’on appelle avec une gaîté gouailleuse : « Le sot-l’y-laisse. » M. de Talleyrand, qui l’aimait fort, ne le laissait jamais. C’était sa bouchée de prédilection ; et c’est de même celle de tout gourmet qui se respecte.

Le canard de Rouen aime ses herbages, ses vergers de pommiers, ses marais et ses ruisseaux. S’il se balance fièrement comme pour faire sonner les écus que la nature a mis sous son aile, s’il traîne en chantant, comme un bourgeois de Lisieux ou de Pont-l’Évêque, et prend toujours à droite..... pour aller à gauche, c’est qu’il transporte avec lui, en lui, le trésor que représente la plasticité de ses formes rebondies, riches des plus séduisantes promesses gastronomiques. Car le canard de Rouen est une race utile, sérieuse, productive, ainsi que l’atteste le rôti du pays arrimé en un grand plat de Rouen à fleurs bleues tout tapissé d’aiguillettes fumantes et roses.

N’est-ce pas aussi une race facile à élever ? Le canard de Rouen est apprécié partout en France et à l’étranger. En temps ordinaire, la Vendée, particulièrement, en fait un important commerce. Les huttiers vendéens élèvent de grandes quantités de canards, et ce sont nos canards rouennais, qu’ils expédient à Nantes. A son tour, Nantes expédie sur Paris, en sorte que le commerce de notre précieux canard est bien plus important qu’on ne le croit, généralement, puisqu’il n’est pas limité à la Normandie, mais s’est étendu, de longue date, dans d’autres régions françaises. Le canard de Rouen, suivant la route de son glorieux compatriote, Guillaume le Conquérant, s’est même implanté jusqu’en Angleterre où ses descendants ont su conquérir ..... les fourchettes britanniques.

Le canard de Rouen a pour lui les plus authentiques parchemins, et l’on a tout intérêt à le conserver dans toute sa pureté, à éviter, dans son pays d’origine, les mésalliances qui terniraient la grande et légitime renommée acquise par cette race. Dans les petites vallées qui aboutissent à la Seine, dans la partie occidentale de l’arrondissement de Rouen, à Yvetot et dans ses environs, l’élevage des canards a toujours été une spéculation avicole d’un excellent rapport. Les canards se vendent principalement sur les marchés de Duclair, Gournay et Dieppe.

Mais qu’est-ce que la race de Duclair ? demandent les profanes.
Le canard de Duclair est une variété locale du Rouen, obtenue et sélectionnée plus particulièrement à Duclair, localité située à vingt kilomètres de Rouen. Ce canard a le bec vert noir, la tête et le derrière du cou d’un beau vert bronzé brillant ; deux traits blancs au-dessus des yeux et à la base du bec ; le devant du cou et la poitrine sont blancs, formant une sorte de bavette blanche, large comme le fond d’un verre ; le corps est brun en dessus, noir en dessous ; le miroir est vert ; les tarses sont bruns ; les formes massives ; l’envergure a 1m05. C’est, comme on le voit, un très gros canard.

La cane a le bec presque noir, le plumage gris et brun ; chez les jeunes, le duvet est brun et jaune. Les oeufs sont verdâtres.

Le canard de Duclair est précoce, fécond ; à neuf semaines, les canetons sont bons à consommer. La chair est excellente, à saveur plus prononcée, plus « canard » que celle du Rouen ; c’est du reste ce que l’on constate chez les races où le noir domine (Duclair, Cayuga, Labrador). On attribue cette saveur prononcée à l’effet du milanisme, à la présence, dans le sang, d’une grande quantité de pigment, colorant non seulement la plume, mais aussi la chair. L’excès contraire, l’albinisme, produit l’effet opposé ; plumage blanc et belle chair blanche.

L’influence favorable exercée par le canard de Rouen sur la production du canard de rapport, sur les autres races qui doivent être améliorées dans ce sens, est connue de longue date. On sait que pour produire le canard bien gras, c’est au gros canard normand qu’il faut s’adresser, et que si l’on donne à une cane ordinaire un beau canard rouennais, on obtient des sujets de bonne taille, robustes, faciles à élever et à nourrir. On sait aussi que la chair des canards qui se baignent régulièrement est plus savoureuse, et qu’en exploitant une grosse race comme le Rouen, à développement rapide, on a des canetons bons à consommer vers huit à dix semaines. Si on les gardait jusqu’à sept ou huit mois, ils seraient certainement moins appréciés pour la table.

Les qualités du canard de Rouen sont mises à contribution largement, dans bien des contrées, même les plus méridionales. C’est que ce canard a de aptitudes telles qu’on trouve en lui un excellent facteur de croisement améliorateur. C’est le croisement du canard de Barbarie avec notre cane de Rouen qui permet aux éleveurs du sud-ouest (régions de Toulouse, des Landes, du Gers, etc.), de produire ce canard dit Mulard ou Mulet, de fort poids, de grande taille, métis infécond, mais dont la chair est fine, délicate, et ayant une forte propension à l’engraissement et un foie volumineux chargé de graisse extrêmement fine, que l’industrie des foies gras met en oeuvre, et dont elle obtient ces pâtés exquis, renommés dans le monde entier. Pour obtenir ces volumineux foies, les éleveurs gascons ont recours au gavage des mulards. L’élevage de ce canard mulard devrait être répandu dans toute la France. Ce serait une grande ressource. Pour cela, il faudrait que se vulgarise cette industrie des pâtés de foies de canards et autres conserves alimentaires fournies par cet utile palmipède. Quelle précieuse ressource alimentaire ne serait-ce pas par ces temps de restrictions et de vie chère !

Notez que les croisements du canard de Rouen avec d’autres races telles que le Pékin, l’Aylesbury, donnent d’excellents résultats : chair fine et succulente, juteuse, croissance rapide, grande précocité, forte taille, rusticité. Le croisement du canard anglais d’Aylesbury avec la cane de Rouen est en tous points recommandable.

Ce même canard anglais croisé avec notre excellente race de Duclair donne des sujets encore plus robustes que ceux issus des croisements précités, et ayant même précocité, forte taille et finesse de chair. Les canes de Rouen mariées au canard de Barbarie donnent des produits à chair excellente et abondante ; sur leur poitrine, on détache des filets qui ont l’épaisseur d’une tranche de gigot. On a constaté qu’il faut près de trois kilogrammes de nourriture sèche pour produire un kilogramme de canard vif. En passant, qu’il me soit permis cette simple observation relative à la préparation des canards pour la vente sur les marchés ou l’expédition : le canard étouffé a une chair rouge, de goût et d’aspect sauvage. Le canard saigné est plus blanc, plus fin, sa chair a une saveur plus douce, moins caractéristique. Mais si on saigne « à blanc » la chair devient alors trop sèche. Il semble que la méthode de sacrifice qui consiste en la désarticulation du cou est la plus simple, la plus expéditrice et la moins cruelle.

En terminant ce panégyrique amplement justifié par les mérites, les qualités réelles qu’on doit reconnaître au canard de Rouen - qui est à sa façon une de nos célébrités locales - souhaitons que nos éleveurs normands en développent le plus possible la production, non seulement pour subvenir, présentement, aux grands besoins de l’alimentation, mais encore pour apporter, dans l’avenir, une part contributive à la reconstitution du patrimoine national.

12/08/2020

Pour UNE EXPOSITON AVICOLE

il me faut au minimum :

- Un certificat vétérinaire attestant que vous avez vacciné contre la maladie de Newcastle et la Paramyxovirose. (volailles - Pigeons)

- Ce certificat ou la facture d’achat des produits sera obligatoire lors de la mise en cage.

- Tout sujet participant au concours doit être porteur d’une bague homologuée.

-Tous les sujets qui ne seront pas porteur de la bague « EE F » seront exclus des jugements sauf les canards d’ornement.

Vaccination non obligatoire mais souhaitable
contre les maladies VHD et Myxomatose.

Pour les pigeons voyageurs mis en vente,

- apporter impérativement les cartes de baguages.
- Les animaux concernés par la convention de Washington fixant la liste des oiseaux protégés sur l’ensemble du territoire, ne seront pas admis à l’exposition.

Nouvelle mise en couvée.... rendez vous ds 21 jours
23/06/2020

Nouvelle mise en couvée.... rendez vous ds 21 jours

LA POULE AUX OEUFS D'OR= LA MARANScomment la choisir et éviter de se faire avoir.Ou comment éviter de se faire avoir La ...
09/06/2020

LA POULE AUX OEUFS D'OR= LA MARANS
comment la choisir et éviter de se faire avoir.
Ou comment éviter de se faire avoir

La poule de Marans a beaucoup de succès, notamment pour la particularité de son œufs extra roux. Ce sont en effet ses œufs couleur chocolat qui lui ont permis d'avoir le succès que cette poule a aujourd'hui. Mais ce succès a ouvert la porte à beaucoup d'arnaques et de contre façon. On trouve aujourd'hui beaucoup d'annonces de vente de poules de Marans sur différents sites, j'entend aussi beaucoup de personnes qui se plaignent d'avoir acheté des poules de Marans pondant hélas des œufs crèmes comme dans le commerce...
Alors escroquerie du vendeur ignorance de l'acheteur, essayons de faire le point.


Comme toutes les poules de race pure la poule de Marans obéit aussi à un standard, qui définit exactement comment doit être une poule et un coq de Marans, le standard définit donc la silhouette, les couleurs , la forme du plumage, etc...

Caractéristiques du coq :
Corps : fort, rectangulaire, assez allongé et large.
Cou : long, assez fort, camail abondant couvrant les épaules.
Dos : long, plat, légèrement incliné vers l’arrière.
Épaules : larges.
Ailes : Assez courtes, serrées au corps et portées horizontales.
Selle : large, sans coussin, recouverte de lancettes abondantes.
Queue : forte à la base, pleine, plutôt courte, légèrement relevée sans dépasser 45° par rapport à l’horizontale.
Poitrine : forte, large, profonde.
Abdomen : bien développé et large.
Tête : plutôt forte, et légèrement allongée.
Face : rouge, avec léger duvet.
Crête : rouge, simple, droite, assez épaisse, taille moyenne, texture un peu grossière. Lobe ne touchant pas la nuque.
Barbillons : rouges, moyens, texture fine.
Oreillons : rouges, moyens, allongés.
Yeux : iris rouge orangé.
Bec : couleur selon variété, assez fort, légèrement busqué.
Cuisses : fortes, sans bouffant ni manchettes.
Tarses : couleur selon variété, moyens, légèrement emplumés.
Doigts : 4, doigt externe parfois légèrement emplumé, semelles blanches dans toutes les variétés.
Plumage : serré au corps.

Caractéristiques de la poule :
Même caractéristiques que le coq compte-tenu des différences sexuelles. Ligne de dos moins inclinée. Queue petite et serrée. Crête fine, droite ou légèrement inclinée.

Prenons comme exemple pour la couleur la plus populaire, la Marans noir à camail cuivré:
-Noir à camail cuivré :
Coq : ensemble du plumage noir ; camail, dos et lancettes liserés de cuivré uniforme, couvertures des ailes rouge acajou, poitrine noire ou légèrement tachée de cuivre. Brassards et miroirs noirs.
Poule : ensemble du plumage noir, camail cuivré uniforme, poitrine noire ou légèrement tachée de roux.
Bec corne foncé, tarses et semelles blanc rosé à grisâtres.
Défauts graves de coloris : parures d’autres couleurs, ou pas assez marquées, coq avec miroirs bruns, poule avec du brun sur le corps.

Vous pouvez retrouver le standard des autres variétés de la poule de Marans sur le site officiel du Marans club de France


Echelle colorimétrique
L'œufs de la poule de Marans:
Pour porter le nom de poule de Marans, elle doit aussi pondre des œufs extra roux, noté au minimum 4 sur l'échelle colorimétrique qui va jusqu'à 9, 1 étant un œufs blanc et 9 un œufs très foncé presque noir.
Vous pouvez vous procurer cette échelle au près du MCF.

poule Marans "noir à camail cuivré"
Vous savez donc qu'avant d'acheter une vraie poule de Marans vous devez vous renseigner sur le standard, pour savoir à quoi doit ressembler une poule de Marans, c'est le minimum pour ne pas se faire avoir. Par exemple pour une poule noir à camail cuivré, vous devez de suite regarder que la poule soit noire et que son camail soit cuivré (c'est à dire le tour de son coup), qu'elle ai les tarses et le doigt externe légèrement emplumés. Déjà rien qu'avec ça vous allez éliminer beaucoup de fausse Marans ( ou des poules marans avec défauts), en effet il n'est pas rare de voir des annonces même sur des sites professionnels avec des photos de Marans (enfin soit disant) où la poule est toute noire sans camail cuivré et ou sans plumes sur les tarses.
Apres vous pouvez aller plus loin dans le descriptif du standard.

Attention, certaines marans peuvent être de pure race et avoir des défauts du style: un manque de plumes aux tarses, un manque de couleur au camail, malgré ces défauts qui pénaliseraient la poule lors d'un concours, si elle est de pure race elle doit pondre des oeufs minimum n° 4.

Conclusion, renseignez vous avant d'acheter observez bien les photos ou les poules, n'hésitez pas à vous rendre sur le site du MCF pour consulter tous les standards de toutes les variétés de Marans. En respectant ces quelques conseils vous éviterez bien des déceptions.

LE PIGEON STRASSER: Caractéristiques principales & standardLe STRASSER est originaire de TCHECOSLOVAQUIE mais le standar...
09/06/2020

LE PIGEON STRASSER: Caractéristiques principales & standard

Le STRASSER est originaire de TCHECOSLOVAQUIE mais le standard de race est piloté par l'ALLEMAGNE.
Race créée en MORAVIE en utilisant le Poule Florentin, le Boulant et le Biset. Ce pigeon fût importé en Allemagne après 1875. A l'origine pigeons des rues.
Vu son volume, il n'aimait pas trop chercher sa nourriture dans les champs, les propriétaires le nourrissaient au bord de la route, et de ce fait, on l'a appelé "STRASSENTAUBEN" d'où son nom actuel de STRASSER.
D'un comportement et d'un tempérament assez nerveux, souvent agressif envers ses congénères, ce pigeon de forme et de couleurs séduit par l'harmonie de ses marques le profane comme le chevronné.
Le Standard de race





Aspect général :
Pigeon grand, gros, large, relativement court, bas sur pattes.

Caractères raciaux :

Tête
lisse, grande, large, bien arrondie, front haut.
Bec
de longueur moyenne, fort, noir chez les noirs et les bleus, corne à noir chez les rouges cendrés, corne clair chez les jaunes cendrés, corne avec un coup de crayon foncé chez les argentés, de couleur chair clair chez les rouges et les jaunes. Morilles bien développées mais de texture fine.
Yeux
rouges à rouge orangé
Paupières
étroites, de couleur chair clair chez les rouges et les jaunes. Chez les autres variétés, elles sont en harmonie avec la couleur du plumage.
Cou
de longueur moyenne, fort, bien soudé aux épaules, gorge bien arrondie
Poitrine
très large et profonde, proéminente et bien arrondie
Dos
large, relativement court, légèrement incliné
Ailes
fortes, relativement courtes, reposant sur la queue.
Queue
bien serrée, dépassant à peine les rémiges, formant une ligne continue avec celle du dos.
Pattes
courtes, puissantes et lisses, ongles de la couleur du bec.
Plumage
bien développé, mais sans être duveteux et flou, plumes larges et pas trop longues, biens serrées au corps.

Variétés :
Noir, rouge, jaune.
Bleu sans barre, barré noir, écaillé ou écaillé foncé.
Argenté barré, écaillé, écaillé foncé ou sans barre.
Rouge cendré barré, écaillé, écaillé foncé ou sans barre.
Jaune cendré barré, écaillé, écaillé foncé ou sans barre.
Bleu barré blanc ou maillé blanc.
Bleu clair (opale) barré blanc ou maillé blanc.
Barré blanc en noir, rouge ou jaune.
Liseré en noir, rouge ou jaune.

Couleur, dessin et marques :
La couleur de fond du plumage est blanche. Sont colorés, la tête avec une bavette de taille moyenne, les ailes, le dos, les couvertures de la queue, la queue, le coin et les manchettes, ces dernières étant les plus réduites possible.
Noir, rouge et jaune de couleur soutenue et lustrée. Le bleu est d’une tonalité délicate, clair chez les mâles, un peu plus foncé chez les femelles. L’extrémité des vols est foncée. Chez les rouges cendrés et les jaunes cendrés barrés et écaillés, la pigmentation doit être présente sur le dos, les vols (cachée), la queue et le coin. Chez les écaillés, le dessin du bouclier doit être le plus régulier possible. Chez les écaillés foncés, le bouclier doit être le plus régulièrement possible écaillé foncé avec ou sans dessin en forme d’ourlet. Les bleus barrés blanc et maillés blanc ont les vols, en position fermée, et la queue entièrement colorés, les barres alaires et le maillage ourlés de noir. Les bleus clairs barrés blanc et maillés blanc ont l’extrémité des vols claire et la barre caudale claire, les barres alaires et le maillage sans ourlet (un léger ourlet gris toléré). Le maillage est le plus pur et le plus régulier possible. Les barrés blanc et les liserés noir, rouge et jaune ont un miroir sur les vols et la queue ou bien sont liserés (les vols et la queue entièrement colorés ne sont pas un défaut). Les plumes du bouclier des liserés noir sont les plus blanches possibles, celles des liserés rouges et des liserés jaune les plus claires possible. La pointe de chaque plume du bouclier est liseré dans la couleur du dessin.

Défauts graves :
Sujet trop léger, trop petit ; corps étroit, trop long ; sujet trop haut sur pattes ; queue relevée ; ailes pendantes ; dos découvert ; tête étroite et non typique ; iris jaune ou verdâtre ; paupières grossières ou rouges ; bec fortement fumé chez les rouges et les jaunes ; plume blanche dans les vols ou la queue ; coin blanc ; rémiges, queue ou coin farineux (sauf chez les barrés blanc, les maillés blanc et les liserés blanc) ; dos blanc ; tâches colorées sur la poitrine et le v entre ; cuisse trop colorées ; bavette trop grande ; mauvaises marques à l’arrière de la tête ; couleur impure ou nuageuse ; manque de lustre ; traces de plumes sur les tarses ou les doigts ; plumage trop flou.

Jugement :
Aspect général ; forme et gabarit (largeur et profondeur de poitrine, largeur du dos, tenue, corps court, hauteur sur pattes) ; tête (forme, yeux, paupières, bec) ; couleur, dessin, marques.

Bague : 10 mm.

La Leghorn blanche ( il existe 17 coloris homologués par la FFV) dispose d’origines italiennes ( mais Charlie Le Coq des...
02/06/2020

La Leghorn blanche ( il existe 17 coloris homologués par la FFV) dispose d’origines italiennes ( mais Charlie Le Coq des looney tunes a été inspiré de cette race)
ASPECT & STANDARD:
Championne de la ponte ( en moyenne 300 oeufs/ an) la leghorn blanche a des tarses de couleur jaune; elles peuvent s’éclaircir chez certains sujets.
Les oreillons sont de couleur blanche.
MASSE IDÉAL:
Coq=2,25kg à 3kg
Poule= 1,75kg a 2,5kg
Crête = simple grande chez le coq, tombante chez la poule
Œuf : couleur blanche

Poussins faverolles allemandes nés le 19/05/20
22/05/2020

Poussins faverolles allemandes nés le 19/05/20

Coq Marans noir cuivré et « ses dames »
17/05/2020

Coq Marans noir cuivré et « ses dames »

Oeufs de nos Marans noir cuivrée (la poule aux œufs d’or) Sur l’échelle colorimétrique la couleur de la coquille doit se...
12/05/2020

Oeufs de nos Marans noir cuivrée (la poule aux œufs d’or)
Sur l’échelle colorimétrique la couleur de la coquille doit se situer entre 4 et 9.
Sa coquille est l’une des plus épaisse chez les poules, ce qui en fait l’œuf le plus hermétique aux bactéries extérieures.

Adresse

Gourbeyre
97113

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 12:00
14:00 - 17:00
Mardi 09:00 - 12:00
14:00 - 17:00
Mercredi 09:00 - 12:00
14:00 - 17:00
Jeudi 09:00 - 12:00
14:00 - 17:00
Vendredi 09:00 - 12:00
14:00 - 17:00
Samedi 09:00 - 12:00
16:00 - 17:00

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