05/12/2023
Hieronder het project volledig uitgelegd.. in 't Frans.
Barakatoulahi , par et pour la Cavalerie Spirituelle au Sénégal
Un Refuge et Centre d’éducation pour et par les Chevaux du Sénégal
La situation au Sénégal
Comme on peut le constater en circulant au Sénégal, les chevaux ont toujours leur place dans la société économique du pays.
Le Paysan a besoin des chevaux pour le transport des biens et des gens du village aux marchés, et de juments pour la reproduction et l'agriculture.
Les charrettes sont utile pour l' apprivoisement des boutiques et marchés ou encore le transport des matériaux de construction. Les charrettes passent dans le sable de la plage pour chercher le poisson des pirogues.. Elles passent dans les ruelles étroites.
Les charrettes passent partout où les camionnettes de transport ne peuvent s'engager. En ville, les calèches « voiture » transportent les femmes de leur quartier aux marchés alimentaires.
Ainsi les charretiers ou conducteurs de calèche ont une rôle vitale dans l’ économie du pays, a la campagne ainsi qu’ en ville.
Il est bien vrai que beaucoup d’ entre eux font leur métier avec dignité et leur chevaux sont leur fierté. Ils les lavent tous les jours, respectent les rations de nourriture et le repos, et parfois brandissent un harnachement décoratif ou encore des coiffures de crinière etc. conscient du fait que leurs chevaux assurent les dépenses quotidiens et bien plus, quand ils travaillent bien, ils prennent bien soin d’eux – avec beaucoup de savoir-faire s’ils ont le cœur et un « Grand « qui s’y connaît pour leur éduquer et conseiller.
Malheureusement, sous l emprise de la mécanisation galopante des derniers décennies, le cheval n’est plus toujours considérée comme un allie important vivant, et en conséquence, traitée comme une machine- Ajoutons l’ effet de l’ignorance et manque d expérience a cause du bas age des conducteurs a l indifférence au bien être des équidés, chevaux et ânes, aux besoins élevées des dépenses quotidiennes, et c est le désastre.
De très nombreuses personnes sont touchées par cette situation, ainsi que des personnes touchées dans le cœur en constatant la grande souffrance chez les équidés ainsi employées.
Le ministère de l'élevage a formulé et instauré des lois quant au traitement des chevaux sur la route publique, notamment en précisant l' age minimum d'un charretier ou conducteur de , comme on appelle les calèches dont on se sert pour le transport des ménagères dans les villes de moyenne et petite taille.
Les recommandations et les lois ne sont pourtant souvent pas bien suivi et il n'y a aucune contrôle ni répercussion. Depuis quelques décennies on peut noter pas seulement le bas- age des conducteurs, mais aussi celui des des poulains attelés devant des lourdes charrettes. Bien sur l'explication de ces faits ne réside pas seulement dans le manque de savoir et de bon raisonnement, elle est aussi liée à la situation économique précaire dans cette grande souche de la population qui a le plus besoin de ces moyens de transport pour vivre et survivre.
Les Grandes ONG qui œuvrent pour l'amélioration des conditions de vie des équidés se disputent le monopole en Afrique de l 'Ouest dans leurs bureaux a Dakar.
Leurs programmes se réalisent en collaboration avec le gouvernement, et sont axés sur la sensibilisation et l' enseignement des populations. On a vu des bons résultats obtenus particulièrement par W.H.W. World Horse Welfare, un ONG Internationale basé dans le UK, qui dans le temps organisait des ateliers et stages pour former des acteurs dans le monde chevalin en ferrage et en donnant des cours divers sur l' adaptation des harnachements à la physionomie des chevaux.
Le projet Barakatoulahi se veut un plateforme intermédiaire entre ces deux catégories de personnes et equidees concernés, ainsi qu'entre le monde économique et spirituelle.
Sans beaucoup plus d'explication, il est temps d'entreprendre des actions adéquats, sur tous les niveaux, mais surtout au niveau de base : là où journalière des êtres nobles souffrent sans espoir d' être délivré un jour. Il est temps de passer à la pratique.
Première Solution.
Sans délai, le projet propose l'ouverture d'une espace d’accueil pour des equidees épuisés, blessés, déformés ou simplement trop vieux pour travailler.
Des chevaux qui ont fidèlement servi leurs maîtres, trop malades ou trop maigres pour .
Des êtres nobles et conscients, durement éprouvés, patients, sages, en somme des êtres d'une très grande valeur dans la dimension spirituelle.
Les cas les plus aigus, les plus tristes, continuent à circuler sans perdre un jour de travail. Personne ne les arrête ; sachant bien que le charretier ou conducteur de calèche est hors la loi . Mais pour lui il s'agit de gagner sa dépense, si on l arrête: qui va l'indemniser ? Qui prendra la responsabilité ?...
Réception et transfert de Baraka.
Le mot Baraka veut dire beaucoup : La Chance, une Suite Favorable, Bénédiction...
Le Baraka revient à la Cavalerie Spirituelle œuvrant pour des causes nobles.
Dans l'espace de Barakatoulahi, les chevaux tombés dans les circonstances plus malheureuses pourront se rétablir et reprendre espoir, avant de tomber définitivement où bien plutôt avant leur ascension envers leur Ajjana bien mérité. C'est à nous, leurs admirateurs avisés de montrer notre amour et de faciliter ce transit, devenant ainsi digne aussi de recevoir la Baraka qui revient à toute personne respectant le Grand Plan Divin comme décrit dans tous textes mystiques...Et ainsi on vient de commencer !
La Pratique
Le projet Barakatoulahi est porté par Aminta Fall, Européenne adoptée depuis 1985, passionnée de chevaux avec beaucoup d’ expérience au Pays et avec son équipe, votre guide dans la matière de la logistique d’ accueil et d’informations pratiques pour votre visite.
On compte sur la solidarité de toute homme ou femme avec un endroit spécial dans le cœur pour ces êtres nobles qui ont depuis des siècles assistée au vie quotidienne des êtres humains luttant pour le développement partout au monde- guerres, transports, agriculture,.. et accompagnée avec leur force, leur douceur, leur fidelite et last but not least leur grâce et beauté, la race humaine.
Pour assister et soutenir personnellement aux travaux pratiques de l’installation du projet en cours, postulants peuvent s’inscrire.
Une lettre avec vos coordonnes et quelque détails comme votre date de naissance une brève description de vos expériences avec chevaux, motivations spirituelle, condition physique, fera l objet d’ attention personnelle de notre équipe.
Donations de matériel de construction, pour les clôtures, de nourriture et médicaments pour chevaux, welcome. Prenez contact pour lieux de livraison..
Donations financiers via Gofundme.
Questions par mail : [email protected]
L'idée du projet prend ses racines dans des anciens projets clôturées et en cours,
le Ranch Ridyal Refuge, pratiqué au Lac Rose dans les années 2007-2014, le projet Aar Fass mo nu War ,conçu comme association pour toute personne actif dans le monde du cheval depuis 2013 - *documents sur demande.
Ces projets ont été conçus, dirigées et partiellement exécutes par Badjenn Aminta Fall.
.Document de travail pour monter le Refuge « Ranch Ridyal Revisited »
1=A notre disposition : une hectare et demi à proximité du Daara Ngathie Fall Où peuvent être accueilli et circuler en liberté les premiers équidés qui nous sont confiés .
2=À bâtir : *une case centrale, avec mbaar d’accueil : pour héberger la responsable, le harnachement requis pour la réhabilitation des jeunes chevaux de course délaissés à reformer, les denrées alimentaires genre mil et raqal, liniments, suppléments et herbes médicinales
*Un bâtiment assez large et haute fermé avec mbaar toiture pour stocker la récolte de paille d'arachide et alfalfa, et ranger charrette, calèche, seaux, râteaux, brouettes et autres outils de travail.
*Des toilettes, salle de bain, points d'eau pour abreuvage et lavage des chevaux :
*round pin
*deux ou trois boxes amples pour isoler chevaux malades ; jument accouchant, nouveaux arrivés à observer :::