Animaux : La Plate-Forme de toutes les informations

Animaux : La Plate-Forme de toutes les informations Tout ce que vous devez savoir sur les animaux : Faits divers, Maltraitances, Disparition, Conseils.. Cette page n'a aucun but commercial ni lucratif.

« Je n’arrivais plus à enlever l’odeur de p**i de mon chat » jusqu’au jour où elle a testé cette méthode redoutablement ...
11/12/2025

« Je n’arrivais plus à enlever l’odeur de p**i de mon chat » jusqu’au jour où elle a testé cette méthode redoutablement efficace.
Source Ouest France du 11/12/2025

Un accident de chat, et voilà que vos textiles se retrouvent imprégnés d’une odeur particulièrement tenace. Que ce soit sur un canapé, un tapis ou des vêtements, l’urine de chat ne pardonne pas. En plus de l’odeur persistante, elle contient des composants chimiques qui attirent à nouveau l’animal au même endroit. La solution ? Une astuce naturelle et redoutable pour éliminer ces traces indésirables et éviter qu’elles ne reviennent. Oubliez les produits coûteux et apprenez à maîtriser ce problème une bonne fois pour toutes.

Pourquoi l’odeur de p**i de chat est-elle si tenace ?
Pour comprendre pourquoi cette odeur s’accroche aussi bien aux textiles, il faut se pencher sur sa composition. L’urine de chat contient de l’acide urique, une substance qui cristallise en séchant et devient très difficile à éliminer. À cela s’ajoutent des phéromones, utilisées par les chats pour marquer leur territoire.
Ces éléments sont non seulement odorants, mais également résistants aux nettoyages classiques.
Les produits traditionnels comme les détergents ou les sprays désodorisants masquent temporairement l’odeur, mais ne s’attaquent pas à la source du problème. Pour en venir à bout, il faut une méthode qui cible directement l’acide urique et les bactéries responsables des mauvaises odeurs.

La solution miracle : le bicarbonate de soude et le vinaigre blanc
Ce duo de choc, déjà réputé pour ses multiples usages ménagers, est la clé pour éliminer efficacement l’odeur de p**i de chat sur les textiles. Voici comment procéder :
Éponger immédiatement : si l’accident est récent, absorbez le maximum de liquide avec du papier absorbant ou un chiffon propre. Ne frottez pas, pour éviter de faire pénétrer l’urine plus profondément dans le tissu.
Appliquer le bicarbonate de soude : saupoudrez généreusement du bicarbonate de soude sur la zone touchée. Ce produit absorbe les odeurs et aide à dessécher les résidus d’urine.
Ajouter du vinaigre blanc : versez doucement du vinaigre blanc sur le bicarbonate. Une réaction effervescente va se produire, permettant de désincruster l’acide urique et les bactéries.
Laisser agir : laissez le mélange reposer pendant 15 à 30 minutes pour un nettoyage en profondeur.
Nettoyer à l’eau tiède : épongez ou rincez la zone à l’eau tiède pour enlever les résidus de vinaigre et de bicarbonate.
Sécher correctement : utilisez un ventilateur ou laissez sécher à l’air libre. Assurez-vous que la zone soit parfaitement sèche pour éviter toute trace d’humidité résiduelle.
En suivant ces étapes, même les odeurs les plus persistantes disparaîtront, et vos textiles retrouveront leur fraîcheur d’origine.

Les erreurs à éviter pour ne pas aggraver la situation
Certains gestes courants peuvent, au contraire, renforcer l’odeur ou endommager vos textiles. Voici ce qu’il ne faut surtout pas faire :
Utiliser de l’eau chaude directement : la chaleur peut fixer l’acide urique dans les fibres, rendant l’odeur encore plus difficile à éliminer.
Frotter vigoureusement : cette action peut étaler l’urine et la faire pénétrer plus profondément dans le tissu.
Appliquer des produits contenant de l’ammoniaque : l’urine de chat contient naturellement de l’ammoniaque. Ces produits risquent d’attirer davantage l’animal au même endroit.
En évitant ces erreurs, vous optimisez vos chances de venir à bout du problème sans abîmer vos textiles.

Prévenir les récidives : quelques astuces pratiques
Éliminer l’odeur ne suffit pas. Pour éviter que votre chat ne recommence, il est essentiel de prendre certaines précautions :
Nettoyer la litière régulièrement : un bac à litière propre est indispensable pour encourager le chat à y faire ses besoins.
Utiliser un répulsif naturel : après avoir nettoyé la zone, appliquez quelques gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus ou de citronnelle. Ces odeurs, inoffensives pour l’animal, le dissuaderont de revenir.
Surveiller la santé du chat : un comportement inhabituel peut indiquer un problème de santé, comme une infection urinaire ou du stress. Consultez un vétérinaire si nécessaire.
Avec ces précautions, vous protégez vos textiles tout en maintenant un environnement sain et agréable pour votre compagnon à quatre pattes.

Une maison fraîche et sans odeurs
Faire face à une odeur tenace de p**i de chat sur les textiles peut sembler insurmontable, mais avec la bonne méthode, le problème est vite réglé.
Le bicarbonate de soude et le vinaigre blanc forment une solution simple, économique et respectueuse de l’environnement pour éliminer efficacement ces odeurs.
En suivant ces conseils, vous protégez vos textiles tout en évitant les récidives. Alors, dites adieu aux odeurs indésirables et retrouvez une maison fraîche et accueillante, pour vous comme pour votre chat.

Quels sont les animaux qui vivent dans le métro ? Ils sont plus nombreux qu'on ne le croit !Source Le mag des animaux du...
11/12/2025

Quels sont les animaux qui vivent dans le métro ? Ils sont plus nombreux qu'on ne le croit !
Source Le mag des animaux du 11/12/2025

Chaque jour, des millions de voyageurs traversent le métro sans imaginer un instant qu’une vie animale se déroule derrière les parois carrelées, sous les rails ou au fond de couloirs où personne ne se hasarde. Certaines espèces y vivent discrètement, d’autres ne font que passer, mais toutes témoignent d’une étonnante capacité d’adaptation. Alors, quels animaux vivent réellement dans le métro ? Plus qu’on ne l’imagine et dans une étonnante diversité.

Les rats, résidents emblématiques du métro
Le surmulot (Rattus norvegicus) aussi appelé rat brun ou rat d’égout est de loin l’espèce la plus répandue. Le métro lui fournit un écosystème presque idéal : la température y reste stable toute l’année, les déchets produits par les voyageurs constituent une ressource alimentaire permanente, et les galeries techniques, fosses, conduits et pièces de maintenance forment un labyrinthe parfait pour se cacher, nicher et circuler en catimini. Les rats profitent pleinement des réseaux souterrains, empruntent les câbles comme des passerelles, traversent les tunnels lorsque les rames sont passées et organisent leurs colonies selon une hiérarchie précise : leurs groupes sont structurés, avec des territoires définis, des zones de repos et des espaces de nourrissage.

Les souris, moins visibles mais très présentes
Les souris se faufilent dans des interstices où les surmulots ne passent pas, profitant de leur taille réduite et de leur agilité pour occuper des niches écologiques très fines. On les trouve dans les salles techniques, derrière les panneaux électriques, dans les réserves, sous les escaliers et parfois même derrière les distributeurs automatiques de nourriture ou de boissons. Ces rongeurs ont besoin de très peu pour subsister : quelques miettes, un peu d’humidité, un trou de 2 cm pour se glisser. Leur cycle de reproduction rapide leur permet de maintenir des populations stables malgré les interventions humaines. Les souris s’aventurent rarement sur les quais en pleine activité mais quand la station s’endort, elles ressortent, fouillent, grignotent et regagnent leurs abris avant l’arrivée du premier train.

Les passereaux, visiteurs opportunistes du métro
Il est toujours surprenant de voir un passereau sautiller sur un quai ou picorer autour d’un distributeur alimentaire mais ces visites ne sont pas aussi rares qu’on pourrait le croire. Les moineaux, comme certains rouges-gorges ou mésanges, peuvent s’aventurer dans le métro lorsqu’ils y trouvent de la nourriture ou une porte restée ouverte. Ils ne vivent pas en permanence dans les souterrains, mais y font des incursion, régulières, notamment dans les grandes stations à très haut passage, proches des gares ou des centres commerciaux. Les oiseaux profitent des flux d’air pour s’engouffrer, restent parfois plusieurs heures, puis ressortent dès qu’un courant les guide vers la surface.

Les chats, régulateurs discrets du métro
Dans certains réseaux de métro, notamment les plus anciens, des chats errants se sont installés dans les zones techniques. Les félins vivent à distance des voyageurs, perchés sur des passerelles, tapis dans des locaux fermés ou dans des recoins interdits au public. Ils chassent naturellement les rongeurs, constituant une régulation non officielle, bien que leur présence reste tolérée ou organisée différemment selon les villes. Certains agents les nourrissent discrètement, leur offrent des couvertures ou surveillent leur état de santé. Ces chats, souvent semi-sauvages, jouent ainsi un rôlede prédateurs naturels dans un environnement très artificiel.

Les araignées, sentinelles des recoins
Les araignées ne s’aventurent presque jamais sur les quais, mais occupent massivement les zones calmes, tels que puits de ventilation, angles de couloirs, dessous d’escaliers, plafonds techniques, bancs métalliques rarement nettoyés. Le métro leur offre un environnement stable et sombre, idéal pour tisser leurs toiles. Les araignées se nourrissent de petits insectes attirés par la lumière ou la chaleur, remplissant une mission silencieuse mais importante de régulation. Certaines espèces urbaines se sont même spécialisées dans les milieux souterrains, développant des toiles plus robustes pour résister au déplacement d’air provoqué par les trains. Leur présence contribue à limiter les populations de moucherons, moustiques et autres arthropodes qui ne manqueraient pas de proliférer sans elles.

Les chauves-souris, exploratrices nocturnes
Elles ne sont pas des habitantes permanentes mais certaines chauves-souris explorent occasionnellement les tunnels du métro. Attirées par la fraîcheur et l’obscurité des galeries, elles profitent parfois de passages ouverts ou de fissures pour s’aventurer dans ces zones souterraines avant de repartir vers des cavités naturelles.

Les renards, aventuriers du métro
Des renards ont été observés dans quelques réseaux, surtout à proximité des quartiers verts ou des parcs urbains. Opportunistes et curieux, ils explorent les zones techniques et les galeries souterraines à la recherche de nourriture ou de passages sûrs pour traverser les axes urbains. Ces incursions restent rares mais surprenantes, révélant la capacité d’adaptation de ces carnivores urbains.

Les fouines, chasseuses occasionnelles du métro
Opportunistes, les fouines peuvent chasser de petits rongeurs comme les souris ou se nourrir d’insectes qui peuplent les galeries. Les zones techniques, faux plafonds et recoins rarement fréquentés leur offrent des refuges propices, à l’abri de l’agitation humaine et de leurs prédateurs naturels. Le métro peut également servir de corridor sûr, leur permettant de circuler d’un quartier à l’autre sans se risquer aux dangers des rues.

Les insectes, habitants les plus nombreux du métro
Les insectes représentent les habitants les plus nombreux du métro, avec une diversité impressionnante. Les blattes et cafards, attirés par la chaleur, l’humidité et les recoins encombrés, envahissent les espaces techniques, les locaux de stockage et les zones peu ventilées. Les mouches et moucherons se trouvent principalement près des kiosques, des locaux de restauration ou des zones où les déchets alimentaires sont manipulés. Les coléoptères et les larves diverses se cachent dans les fissures, les joints de carrelage ou le long des rails, alléchés par les résidus organiques et minéraux. Les moustiques sont plus rares, mais apparaissent lorsque des infiltrations d’eau créent de petites zones stagnantes. Tous ces insectes jouent un rôle invisible mais essentiel parce qu’ils décomposent la matière organique et servent de nourriture à d’autres espèces.

Les grillons, anciens chanteurs du métro
Pour l’anecdote, il faut savoir qu’on pouvait jadis entendre le chant des grillons sur certaines lignes parisiennes. Attirés par la chaleur et l’humidité, ces insectes ont colonisé le réseau souterrain avant de disparaître à partir de 1992. La cause principale : l’interdiction de fumer dans le métro car les grillons se nourrissaient de déchets organiques, dont les mégots des voyageurs.

Pourquoi autant d’animaux dans le métro ?
L’existence d’une faune souterraine peut surprendre, mais elle se comprend très bien si l’on examine les caractéristiques du métro :
Un environnement stable. Température constante, absence de variations climatiques fortes, éclairage permanent constituent un lieu idéal pour des espèces en quête de sécurité ;
La présence de nourriture. Même inconsciemment, les voyageurs nourrissent cet écosystème par le biais de miettes, d’emballages, de restes de repas, auxquels s’ajoutent des zones de stockage internes;
Une multitude d’abris. Entre les rails, derrière les murs, sous les quais, dans les salles de maintenance, le métro constitue un labyrinthe parfait pour se dissimuler ;
Peu de prédateurs. Mis à part les chats errants et quelques carnivores cités plus haut, les animaux du métro évoluent dans un cadre relativement préservé de la prédation.

Thionville : Théo, un chat enfermé pendant un an dans le logement de son maître décédé, attend une famille à la SPA.Sour...
11/12/2025

Thionville : Théo, un chat enfermé pendant un an dans le logement de son maître décédé, attend une famille à la SPA.
Source Ici France bleu du 11/12/2025

C'est un membre de la famille du propriétaire décédé qui passait une fois par semaine s'occuper de ses deux chats, Milo et Théo, enfermés dans son appartement de Thionville pendant un an. Accueilli à la SPA en mars 2025, Milo a été adopté mais Théo, lui, est devenu trop craintif.

C'est un chat qui se cache toute la journée, comme par habitude. Les responsables du refuge SPA de Thionville ont raconté, ce mercredi 10 décembre 2025, sur leur page Facebook, l'histoire de Théo, un chat tigré, qui est à adopter. Âgé de cinq ans, Théo est resté enfermé pendant une année dans un appartement de cette ville de Moselle, après le décès de son propriétaire.
Le 1ᵉʳ mars 2025, le personnel du refuge SPA de Thionville a vu deux chats arriver : Milo et Théo. La responsable de cet établissement, Jennifer Mégna, a alors découvert leur histoire : celle de deux chats qui sont restés enfermés dans l'appartement de leur propriétaire décédé pendant presque une année.
"C'était une personne de la famille qui s'en occupait, raconte-t-elle, elle passait une fois par semaine leur donner à manger et changer leur litière." Jennifer Mégna se demande, agacée : "Pourquoi personne ne nous a contactés avant ?" Parce que cette année d'isolement a rendu Théo craintif, explique-t-elle : "Il passe la journée caché dans son arbre à chat."

Neuf mois après son arrivée, Théo n'est toujours pas adopté
Alors que Milo, l'autre chat du propriétaire disparu, qui a passé une année enfermé aussi, a été adopté dans les semaines qui ont suivi son arrivée au refuge SPA de Thionville, Théo, lui, ne l'est toujours pas. Trop timide, il passe ses journées enfermé dans son arbre. La responsable de ce refuge le martèle, il n'aurait pas dû être pris en charge si t**d : "Il y a des gens qui estiment que les refuges SPA sont les derniers recours mais ils se trompent [...] à vouloir absolument donner leur animal, ils peuvent le donner à de mauvaises personnes." Mais avec une centaine d'autres chats, une quarantaine de chiens, ce refuge SPA de Thionville affiche complet, encore une fois.

L’association de défense des animaux L214 vient de mettre au jour des pratiques atroces sur les animaux pris en charge d...
11/12/2025

L’association de défense des animaux L214 vient de mettre au jour des pratiques atroces sur les animaux pris en charge dans un abattoir du centre de la France.
Source 20 minutes du 11/12/2025

Un abattoir de Cosne-Cours-sur-Loire (Nièvre) a été temporairement suspendu par la préfecture mercredi, après une enquête de l’association de défense des animaux L214 évoquant des bêtes découpées, voire décapitées et même brûlées au chalumeau, encore vivantes, «sous les yeux des services vétérinaires».
Listant, images à l’appui, une série de mauvais traitements dans cet abattage conventionnel, L214 assure notamment que «la grande majorité des moutons sont découpés encore en vie (testicules pour les mâles, et pattes avant), des vaches décapitées encore en vie et des cochons brûlés vifs au chalumeau». «Des opérateurs frappent les animaux, les insultent, crient» et «s’acharnent sur les cochons avant l’étourdissement, avec de nombreux coups d’aiguillon électrique et des jets d’eau puissants dans le visage», selon l’association.
«Les règles minimales applicables lors de la mise à mort des animaux sont systématiquement violées. Pourtant, les services vétérinaires de l’État sont présents sur place, mais ils laissent faire», d'après l’association qui a déposé plainte mercredi auprès de la procureure de Nevers pour «actes de cruauté, sévices graves et mauvais traitements aux animaux». L214 exige la fermeture de l’abattoir et réclame «un plan de contrôle des abattoirs à la ministre de l’Agriculture», Annie Genevard.

Des services vétérinaires «qui n'agissent pas»
«Ce fleuve de souffrances n’est possible que parce que les services vétérinaires de l’État et la direction de l’abattoir, responsables d’agir, ne le font pas», estime le mathématicien Cédric Villani, porte-voix de cette enquête de L214 et cité dans un communiqué de l’association.
Contactée par l’AFP, la préfecture de la Nièvre a assuré que l’abattoir fait l’objet d’un «contrôle permanent» par les services chargés de l’application de la réglementation relative à la protection animale. «Néanmoins, au vu des éléments visionnés» dans une vidéo transmise par L214, la préfecture a décidé de «la suspension temporaire de l’activité de l’abattoir».
«Les constats de non-conformité qui apparaissent sur la vidéo feront l’objet d’une analyse approfondie par les services de la préfecture, en lien avec le Ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la souveraineté alimentaire», a ajouté la préfecture dans un communiqué, sans plus de commentaires étant donné «l’enquête judiciaire en cours». Sollicité, l’abattoir n’a pas réagi.

Quel est ce plus grand mammifère d'Europe qui revient en Belgique après presqu'un siècle d'absence ?Source RTBF du 11/12...
11/12/2025

Quel est ce plus grand mammifère d'Europe qui revient en Belgique après presqu'un siècle d'absence ?
Source RTBF du 11/12/2025

Le bison d’Europe fera son grand retour en Belgique en 2027, comme l’annonce Catherine Renard, productrice de contenus digitaux pour WWF-Belgique. "Le plus grand mammifère d’Europe va effectivement arriver en Belgique en 2027, dans le parc national de Bosland, dans le Limbourg", précise-t-elle. Cette réintroduction se déroulera dans une zone forestière de 500 hectares spécialement aménagée. Cette zone ne sera pas accessible au public. Cependant, des observatoires seront installés pour permettre aux visiteurs les plus chanceux d’apercevoir les bisons de loin.

Le bison, 800 kg de force de la nature
Le bison représente une véritable force de la nature capable de transformer son environnement. "C’est 800 kg de force de la nature en action", souligne Catherine Renard. En tant que grand herbivore, il broute l’herbe, consomme les petits arbustes et l’écorce des arbres, créant ainsi une diversité de paysages.
Aussi, lorsque les bisons se roulent par terre, ils créent de petits habitats spécifiques qui favorisent l’épanouissement d’une plus grande diversité d’espèces. "On ne relâche pas des animaux juste pour relâcher des animaux, c’est vraiment pour recréer le maillon manquant de la chaîne de l’écosystème", explique la représentante du WWF.

Un succès de conservation à l’échelle européenne
Il y a un siècle, aucun bison sauvage ne subsistait en Europe. Aujourd’hui, plus de 8000 individus évoluent dans une dizaine de pays européens, témoignant d’une remarquable réussite scientifique et collaborative. "Le bison en Europe, c’est vraiment la preuve que si on met les efforts nécessaires et si on collabore, on peut vraiment faire revivre une espèce qui était quasi disparue", affirme Catherine Renard. Cette renaissance s’appuie sur des projets coordonnés à travers le continent, soutenus par des organisations comme le WWF et leurs donateurs.

L’exemple roumain
Le projet de réintroduction du bison dans les Carpates roumaines, mené par le WWF, démontre le potentiel de ces initiatives. Initialement perçu comme utopique, ce programme compte désormais plus de 300 bisons et constitue une référence en matière de conservation. "Notre biologiste nous raconte qu’il y a dix ans, quand le projet a démarré, tout le monde les prenait pour des fous", rapporte Catherine Renard, sourire aux lèvres.
La réussite roumaine nourrit les espoirs pour la Belgique et prouve que les projets de conservation, même les plus ambitieux, peuvent devenir de véritables triomphes.

Mon chat met ses oreilles en arrière : que veut-il dire ?Source Le mag du chat du 11/12/2025Le langage du chat passe bea...
11/12/2025

Mon chat met ses oreilles en arrière : que veut-il dire ?
Source Le mag du chat du 11/12/2025

Le langage du chat passe beaucoup par le corps, même si les miaulements font partie de sa palette. Pour exprimer ses émotions ou vous envoyer un message, votre petit félin mobilise ses oreilles. En les déplaçant d'avant en arrière, en les aplatissant, en les tournant comme des antennes paraboliques, il s'exprime. Découvrez ce que veulent dire des oreilles en arrière et surtout, comment réagir.

Les oreilles en arrière peuvent traduire plusieurs émotions
Quand un chat replie ses oreilles vers l'arrière, il peut vouloir dire des choses très différentes selon le contexte.

1. Il a peur
Lorsqu'un chat a peur, il aplatit ses oreilles en arrière de manière instinctive pour se protéger. Ainsi, il se fait plus petit et laisse moins de place à l'attaquant. Si, en plus, il arque son dos, a le poil hérissé et les pupilles dilatées, son état d'alerte est au maximum. Cette peur peut avoir plusieurs origines : un bruit soudain, l'arrivée d'une personne ou d'un animal inconnu, parfois même un changement dans son environnement : un nouvel objet plutôt volumineux, par exemple. Il peut également adopter cette posture chez le vétérinaire. Ce sentiment de peur peut rapidement évoluer vers de l'agressivité si le chat n'a aucune échappatoire.

2. Il est en colère
Quand un chat aplatit ses oreilles de colère, il accompagne ce mouvement d'autres signaux. Généralement, son regard est menaçant, il remue la queue et il peut grogner ou feuler. On retrouve ce type de posture lors d'une confrontation entre congénères ou si vous lui faites mal, le touchez à un endroit qu'il n'aime pas. Si l'on ne perçoit pas ces signaux et persiste, le chat peut passer à l'étape suivante: griffer ou mordre.

3. Il est anxieux
Quand le chat est anxieux, il aplatit ses oreilles tout en les tournant légèrement sur le côté. On parle des "oreilles d'avion", car on a l'impression que le chat va décoller ! La nervosité et l'anxiété sont des raisons assez fréquentes de reculer les oreilles. Le chat est un animal en alerte, car il est à la fois prédateur et proie. Il peut donc rapidement ressentir un état de stress et c'est par les oreilles qu'il peut le manifester.

4. Il entre dans son quart d'heure de folie
Ce que l'on appelle "zoomies" ou quarts d'heures de folie, est un moment où les chats courent et sautent dans tous les sens. Ils simulent la chasse, s'occupent ou évacuent leur énergie, entre autres. Mais avant de bondir, ce qui est d'ailleurs assez amusant à observer, il est fréquent que le petit félin recule ses oreilles. Cela améliore sa course f***e, mais lui permet aussi de mieux percevoir les sons autour de lui.

5. Il a un problème à l'oreille
Quand un chat recule ses oreilles sans arrêt, il ne faut pas négliger les éventuels problèmes :
Infections (otites) : ce sont des inflammations douloureuses du conduit auditif, souvent accompagnées de grattages, odeurs et sécrétions ;
Acariens : ces parasites provoquent des démangeaisons, un dépôt dans l'oreille interne du pavillon et le chat secoue sa tête ;
Polypes : ce sont des excroissances bénignes, mais qui peuvent gêner l'audition ou l'équilibre du chat. Parfois une intervention vétérinaire est nécessaire.
Douleurs : que ce soit lié à un corps étranger, un choc ou une hypersensibilité quelconque, le chat peut, en raison d'une douleur, replier ses oreilles vers l'arrière et fuir le contact physique sur cette zone.
Dans toutes ces situations, seul un vétérinaire pourra diagnostiquer et traiter la cause. L'idéal est de consulter dès que vous constatez une modification permanente ou beaucoup plus fréquente du positionnement des oreilles.

6. Il cherche à localiser un son
Grâce à leur ouïe extraordinaire, les chats peuvent localiser des sons très éloignés que nous ne percevons pas. Lorsqu'un bruit attire leur attention, ils orientent leurs oreilles dans sa direction pour déterminer sa provenance. Si l'un des sons ayant attiré son attention vient de derrière, il y a fort à parier que votre matou, pour le capter, recule ses oreilles telles des antennes paraboliques. Il ne traduit alors pas d'émotion, mais agit par réflexe. En général, ce n'est accompagné d'aucun signe de tension, car ce mouvement est seulement animé par de la curiosité.

7. Il cherche à protéger ses tympans
Parfois, certains bruits tout à fait tolérables pour nous sont insupportables pour nos chats à l'ouïe plus fine. Quand les sons sont soudains ou très perçants, nos chats peuvent rabattre leurs oreilles vers l'arrière pour protéger leurs tympans. Ils ne peuvent pas, comme nous, mettre les mains (ou les pattes) pour se protéger. Seul ce mouvement réflexe les aide à supporter un peu mieux l'agression auditive. On peut les voir procéder ainsi quand on passe l'aspirateur, par exemple (s'ils ne filent pas se cacher !) ou lorsqu'il y a de l'orage, du vent ou encore quand on fait tomber un objet au sol. Il arrive aussi que le chat sursaute puis parte en courant.

8. Il est détendu
Le plus souvent, les oreilles en arrière témoignent d'un état émotionnel plutôt négatif. Cependant, il arrive que certains chats heureux les tournent légèrement vers l'arrière, en signe de détente. Si, en plus, votre chat ronronne de plaisir, pas de doute, il est bien !

Analysez le reste du corps et le contexte pour éviter tout malentendu
Si les oreilles sont d'incroyables vecteurs d'émotions, elles ne suffisent pas à comprendre ce que vit votre chat. Pour éviter toute mauvaise interprétation, il est nécessaire d'observer le langage corporel dans son ensemble, votre chat :
Remue-t-il la queue ?
Arque-t-il son dos ?
Se cache-t-il ?
A-t-il les pupilles dilatées ?
Est-il couché tranquillement sur un fauteuil ?
Les réponses à ces questions vous aideront à y voir plus clair. Le contexte est tout aussi important : bruit soudain, visite chez le vétérinaire, arrivée d'un invité… Tous ces éléments influent sur sa posture. Les oreilles ne donnent finalement qu'un indice, mais c'est l'ensemble du tableau qui révèle les émotions de votre chat. N'interprétez donc pas trop vite sans analyser les autres signaux !

Comment réagir face à votre chat quand il met ses oreilles en arrière ?
Si votre chat montre des signes de peur, de stress ou d'agacement, laissez-le tranquille. N'insistez pas. Il a alors besoin d'un endroit calme dans lequel se réfugier. Si les oreilles en arrière apparaissent en pleine partie de jeu ou avant une course f***e, ne vous inquiétez pas, il s'amuse ! En cas de doute ou si son comportement devient anormalement fréquent, si votre chat se gratte ou secoue sa tête, prenez alors rendez-vous chez le vétérinaire.

Un chat qui recule ses oreilles s'exprime à sa manière. C'est en l'écoutant et en le comprenant que vous aurez sa confiance.
Si les oreilles de votre chat parlent, mieux vaut les écouter… surtout quand elles vous demandent poliment de le laisser tranquille !

ITALIEUn automobiliste « se débarrasse » de son chien en le jetant par la fenêtre de sa voiture en marche.Source Ouest F...
11/12/2025

ITALIE
Un automobiliste « se débarrasse » de son chien en le jetant par la fenêtre de sa voiture en marche.
Source Ouest France du 11/12/2025

Énième cas de maltraitance animale. Cette fois, la scène a eu lieu dimanche en Italie, dans la région de la Romagne. Un automobiliste a été aperçu en train de jeter un chien de sa voiture en marche, rapporte le Corriere della Serra.

Le chien trouve refuge sous un camion
Selon un témoin, l’animal a été « violemment projeté hors de l’habitacle » le long d’une route très fréquentée. L’animal, vraisemblablement effrayé et sous le choc, s’est réfugié sous la remorque d’un camion stationné sur le bas-côté. « Il aurait pu avoir une fin tragique si le poids lourd avait redémarré sans que le conducteur ne se rende compte de sa présence », raconte le passant, qui a immédiatement alerté la police locale.
Par chance, le chien va bien et a été pris en charge par une association. La police a, elle, ouvert une enquête pour abandon d’animaux.
Nos confrères précisent que le chien est équipé d’une puce électronique, ce qui pourrait permettre de retrouver rapidement son propriétaire.

HAUTS DE FRANCEUne clinique vétérinaire d’urgence ouvre à Lesquin le 15 décembre.Source La voix du Nord du 11/12/2025L’a...
11/12/2025

HAUTS DE FRANCE
Une clinique vétérinaire d’urgence ouvre à Lesquin le 15 décembre.
Source La voix du Nord du 11/12/2025

L’aménagement est en cours d’achèvement, la formation du personnel aussi. Lundi, la clinique vétérinaire 2 Toute Urgence ouvrira ses portes à Lesquin. Elle prendra le relais des vétérinaires de ville le soir et le week-end.
Tél 0367340834

Avant de remplir la mangeoire : le conseil essentiel que tout le monde oublieSource Ouest France du 11/12/2025 Imaginez ...
11/12/2025

Avant de remplir la mangeoire : le conseil essentiel que tout le monde oublie
Source Ouest France du 11/12/2025

Imaginez le calme de votre jardin par une matinée de décembre. Les feuilles se sont faites rares, le givre vient orner la pelouse et, soudain, le ballet des mésanges, rouges-gorges et verdiers anime la scène. Nombreux sont ceux qui pensent rendre service en installant des mangeoires à l'automne… sans savoir qu'un détail essentiel change tout pour la survie, la vitalité et l'autonomie de ces visiteurs ailés. Voici le repère, validé dans le monde du jardin paysager, qui garantit le retour des oiseaux chaque hiver — sans les rendre dépendants, ni paresseux. Comment le repérer, éviter les erreurs courantes et faire de votre jardin un véritable refuge ? Plongez dans ces conseils pratiques et saisonniers pour protéger nos amis à plumes.

Ce signal infaillible : le repère naturel que les oiseaux ne trompent jamais
Observer la chute des températures et la raréfaction des ressources
Le retour des premiers grands froids marque un tournant décisif au jardin. C'est lorsque les températures descendent régulièrement sous 5°C et persistent plusieurs jours qu'une bascule s'opère : les insectes se raréfient, les baies sont presque épuisées, le sol gelé ferme l'accès aux graines naturelles. Ce moment précis, souvent à la mi-novembre ou au début décembre selon les régions françaises, constitue l'instant idéal pour débuter le nourrissage. Mieux que toute date fixe, observez vos massifs, la bordure de haies ou les coins ombragés : quand les merles fouillent en vain, c'est le bon repère.

Pourquoi respecter ce timing protège la santé des oiseaux
Nourrir trop tôt fragilise l'autonomie des oiseaux. Avant que le froid ne s'installe, l'abondance naturelle soutient parfaitement leurs besoins. Respecter ce timing aide à préserver les comportements d'experts du butinage, évite les carences alimentaires liées à une alimentation artificielle prématurée et protège leur métabolisme saisonnier. Pour votre jardin paysager, c'est aussi l'occasion de constater comment chaque saison façonne la vie de vos pensionnaires à plumes.

Nourrir juste, pas trop tôt : les pièges à éviter au début de l'hiver
Les risques d'une alimentation précoce pour l'autonomie des oiseaux
Poser une mangeoire dès octobre paraît bienveillant, mais ce geste peut malheureusement rendre les oiseaux dépendants d'une ressource constante. Tant que les massifs encore touffus regorgent d'insectes ou que le gazon reste souple, laissez la nature jouer pleinement son rôle. Un démarrage trop en avance ralentit l'apprentissage naturel à prospecter dans l'environnement et risque de perturber l'équilibre délicat entre assistance humaine et instincts sauvages.

Comment encourager les oiseaux à rester de véritables experts du butinage
Aménager un jardin paysager varié renforce la résilience des oiseaux : privilégiez les bordures avec des arbustes persistants (houx, cotonéasters, pyracanthas) et adoptez des alternatives au gazon (massifs de vivaces, plantes à graines comme le tournesol ou l'amaranthe). Une structure de jardin riche en cachettes et en ressources naturelles rend le nourrissage de secours tout simplement secondaire. Chaque élément de design naturel limite la dépendance et préserve l'agilité de vos visiteurs.

Jusqu'où accompagner nos visiteurs ailés ? Savoir quand arrêter sans les perturber
Fin de l'hiver : repérer la reprise des ressources naturelles
À la sortie de l'hiver, dès le retour des beaux jours (généralement entre la mi et la fin mars), la nature du jardin reprend ses droits : première floraison, retour des petits insectes attirés par le soleil, ouverture des bourgeons sur les haies. Ce réveil annonce le moment idoine pour réduire progressivement le nourrissage, afin d'inciter à la reprise du butinage naturel.

Les bons gestes pour une transition en douceur, sans stress pour la faune
Ne procédez jamais à un arrêt brutal : diminuez la quantité offerte sur une à deux semaines, laissez la nourriture à disposition le matin puis retirez les restes l'après-midi. L'objectif est de laisser le jardin retrouver sa dynamique saisonnière sans désorienter ses petits hôtes. Cette méthode progressive permet aussi d'éviter la prolifération de parasites liés à une nourriture stagnante lorsque les températures remontent.

Les erreurs qui rendent les oiseaux "accros" : démêler idées reçues et vraies précautions
Ce qu'il ne faut jamais faire si on veut préserver leur indépendance
Certains gestes bien intentionnés ruinent l'effort :
Nourrir toute l'année : limite leur apprentissage des cycles annuels.
Remplir abondamment les mangeoires d'un seul coup : développe des habitudes de regroupement et favorise la concurrence.
Laisser la nourriture souillée ou avariée : risque de maladies et de mortalité accrue.

Recommandations pratiques : quantité, variété et emplacement des mangeoires
Mieux vaut offrir de petites quantités mais régulièrement, plutôt qu'un festin rarement renouvelé. Privilégiez la diversité adaptée à la faune locale :
Graines (tournesol, millet, chènevis) pour mésanges et pinsons
Mélanges de fruits (pomme en morceaux, raisins secs) pour merles et rouges-gorges
Blocs de graisse végétale par grand froid pour apporter de l'énergie
Placez les mangeoires à bonne hauteur (hors de portée des chats), à proximité de massifs qui offrent un couvert rapide en cas de danger. Nettoyez fréquemment pour éviter maladies et contamination du reste du jardin paysager.

Bien nourrir, c'est soutenir la biodiversité locale
Les bénéfices durables pour les oiseaux… et pour vous
Un nourrissage raisonné renforce la vitalité des populations locales pendant la saison difficile, sans entraver leur indépendance. En retour, le spectacle quotidien anime le jardin, équilibre les populations d'insectes, et invite même de nouveaux visiteurs comme la sittelle torchepot ou le pic épeiche à s'inviter dans vos massifs.

Faire de son jardin un refuge sans bouleverser l'équilibre naturel
Un jardin paysager bien conçu, riche en fleurs d'hiver, en haies variées et en zones de sol laissé tranquille (même une simple bordure de lierre ou un coin de pelouse "sauvage") travaille main dans la main avec le nourrissage saisonnier. Cela fait de votre espace vert un refuge solide, où l'intervention humaine soutient sans jamais tout remplacer. C'est là l'équilibre idéal pour préserver la magie des oiseaux de nos hivers français !

En suivant ce repère, ni trop tôt ni trop t**d, offrir une pause gourmande aux oiseaux du jardin devient une fête saisonnière, et non une dépendance. La plus belle récompense d'un jardin entretenu avec cœur est peut-être le retour fidèle de ces acteurs essentiels de la biodiversité. Prêts à observer les prémices de la nature... du bon côté de la fenêtre ?

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