Animaux : La Plate-Forme de toutes les informations

Animaux : La Plate-Forme de toutes les informations Tout ce que vous devez savoir sur les animaux : Faits divers, Maltraitances, Disparition, Conseils.. Cette page n'a aucun but commercial ni lucratif.

Faune sauvage en SuisseUn loup probablement braconné retrouvé mort aux Grisons.Source TDG du 9/09/2025Un loup probableme...
09/09/2025

Faune sauvage en Suisse
Un loup probablement braconné retrouvé mort aux Grisons.
Source TDG du 9/09/2025

Un loup probablement victime de braconnage a été retrouvé lundi dans la vallée grisonne de Poschiavo. Le prédateur présentait une blessure par b***e. Une procédure pénale est ouverte.
Aucun loup ne peut actuellement être abattu dans le Val Poschiavo, écrit mardi l’Office de la chasse et de la pêche des Grisons dans un communiqué.
Les premières investigations menées par le garde-chasse montrent qu’il a été mortellement blessé par b***e. La police cantonale a immédiatement ouvert une enquête.
Le canidé mort est un mâle. Sa dépouille a été transférée à l’institut responsable des autopsies de l’Université de Berne pour une analyse médico-légale et biologique plus approfondie. Un test génétique est réalisé au laboratoire de biologie de la conservation de l’Université de Lausanne.
Ces analyses devraient fournir des indices sur le déroulement des faits, ajoutent les autorités grisonnes. Des chasseurs ont découvert le loup mort en cherchant un cerf abattu, a précisé Adrian Arquint, directeur de l’office grison de la chasse et de la pêche, contacté par Keystone-ATS. On ignore encore depuis combien de temps l’animal est mort ou s’il a été abattu pendant la chasse, a-t-il ajouté.

Autorisations nécessaires
Les loups ne peuvent être abattus que si une demande correspondante a été approuvée par l’Office fédéral de l’environnement (OFEV). Les tirs ne sont autorisés que pendant la période allant du 1er septembre au mois de janvier. Les gardes-chasse et les chasseurs formés sont autorisés à tirer.
Pour la période de tirs proactifs qui a débuté, les Grisons ont déposé des demandes pour 17 meutes, dont une en commun avec le canton de St-Gall. Les demandes pour les meutes grisonnes de Calderas, Muchetta, Jatzhorn, Älpetli, Seta et Stagias ont déjà été acceptées: les autorités veulent y tuer deux tiers des louveteaux nés durant l’année en cours.
Dans les cantons du Tessin et du Valais, les tirs prévus concernent six, respectivement cinq meutes.

Propriétaire de chien en immeuble : ce qui change pour vous en 2025 et comment éviter les mauvaises surprises.Source Oue...
09/09/2025

Propriétaire de chien en immeuble : ce qui change pour vous en 2025 et comment éviter les mauvaises surprises.
Source Ouest France du 9/09/2025

Détenir un chien en immeuble relève parfois du parcours du combattant : entre les exigences des voisins, les règlements de copropriété à rallonge et l'envie de préserver la tranquillité de son foyer, il faudrait presque un GPS juridique pour ne pas s'y perdre. Avec 2025 sur le pas de la porte, le quotidien des propriétaires de chiens en résidence collective connaît de nouvelles secousses législatives et organisationnelles. Qu'on vive au premier étage ou au fond du couloir, mieux vaut anticiper les évolutions et éviter la do**he froide au détour d'une assemblée générale ou d'une plainte impromptue. Qu'est-ce qui change réellement en 2025 ? Quels pièges éviter pour rester dans les clous et vivre en paix avec son chien ? Tour d'horizon lucide des droits, devoirs et nouvelles limites à apprivoiser.

Ce que 2025 réserve aux propriétaires de chiens en immeuble : nouvelles règles, vraies révolutions !
Les mois à venir amènent leur lot de changements dans la gestion des immeubles et la cohabitation avec nos compagnons à quatre pattes. Quelques points clés à retenir pour ne pas essuyer les plâtres.

Abolition ou durcissement : les règlements de copropriété à la loupe
Impossible de bannir purement et simplement les chiens des copropriétés : la loi reste claire sur ce point et protège le droit d'avoir un animal de compagnie. Toute interdiction générale dans le règlement est considérée nulle. Mais attention à l'ambiance, car les copropriétés, surtout depuis la digitalisation des AG, peaufinent de plus en plus les clauses visant à « préserver la tranquillité ». Mises en laisse obligatoires, muselières dans les ascenseurs, accès restreint à certaines parties communes : le quotidien s'organise de façon stricte, particulièrement dans les grandes résidences et les immeubles accueillant de jeunes enfants ou des personnes âgées.

Les droits renforcés (ou restreints) des maîtres et de leurs compagnons à quatre pattes
Le droit de détenir un chien reste fondamental, pourvu que l'animal ne perturbe ni la jouissance ni la sécurité du voisinage. Les chiens de catégorie 1 et 2 voient leurs conditions de stationnement et de déplacement drastiquement encadrées : laisse et muselière obligatoires tenues par une personne majeure, impossibilité de les laisser seuls dans les parties communes. Pour les autres races, la vigilance est de mise : tout règlement local peut imposer un encadrement spécifique d'accès ou de déplacement.

Ce qui change concrètement dans votre quotidien dès l'an prochain
La digitalisation des assemblées générales et la gestion via syndic professionnel pour les grands immeubles rendent les décisions plus rapides et souvent plus strictes. Par ailleurs, avec l'explosion des travaux de rénovation énergétique, les passages dans les communs seront surveillés de près : attention aux allers-retours répétés, aux aboiements en réaction aux ouvriers, et à la propreté lors des déplacements. Les copropriétaires sont mis au défi de conjuguer bien-être animal et respect scrupuleux des règles collectives.

Tout savoir pour cohabiter en paix : vices cachés, nuisances et pièges à éviter
Bruits, déjections, odeurs : ce que la loi et vos voisins ne tolèreront plus
Les plaintes autour des animaux concernent toujours les mêmes nuisances récurrentes : aboiements intempestifs, déjections non ramassées, traces sur les murs ou dans les ascenseurs, mauvaises odeurs. Depuis 2025, la tolérance a nettement diminué : un trouble anormal (aboiement répété, odeur persistante) est dorénavant systématiquement qualifié de « trouble de jouissance ». Il expose le propriétaire du chien à des rappels à l'ordre, voire à de véritables procédures et sanctions. Aucune indulgence n'est accordée aux multirécidivistes.

Astuces pour éviter les conflits et bénéficier d'une bonne entente en résidence
La clé pour vivre heureux avec son chien en collectif ? Prévoir et prévenir les accrochages avec le voisinage. Quelques gestes simples et pleins de bon sens :
Adapter les promenades et sorties aux horaires les moins sensibles (pas d'aller-retour à minuit au risque de réveiller l'immeuble).
Ramasser toujours les déjections et passer un coup de lingette sur les pattes boueuses avant de rentrer dans le hall.
Installer un tapis absorbant à la maison pour limiter les odeurs et l'humidité.
Travailler le « assis-couché » et le silence à la sonnette pour limiter les aboiements à chaque passage voisin.

Responsabilités, sanctions, et comment s'en prémunir
Le propriétaire du chien reste juridiquement responsable de tous les désagréments causés par son animal. Un copropriétaire excédé par le bruit ou des dégâts peut saisir le syndic, qui transmettra une mise en demeure. Dans les cas extrêmes : une action en justice est parfaitement possible. Les sanctions varient de simples rappels à l'ordre à des amendes, ou dans les situations extrêmes, à l'obligation de se séparer de l'animal. Mieux vaut éviter d'en arriver là.

Anticipez, protégez-vous, et vivez heureux : conseils pratiques pour éviter les tuiles en 2025
Adapter vos habitudes et vos documents pour rester dans les clous
Agir en avance, c'est se prémunir contre les mauvaises surprises.

Quelques précautions essentielles à ne pas négliger :
Consulter régulièrement le règlement de copropriété (pour ne pas découvrir une nouvelle clause au dernier moment).
Mettre à jour l'assurance responsabilité civile, en signalant explicitement la présence d'un chien – certains contrats excluent les dégâts en parties communes.
Conserver le carnet de vaccination et les papiers du chien à portée de main pour prouver la conformité sanitaire et administrative en cas de contrôle ou d'incident.

Les bons réflexes en cas de litige ou de changement de législation
Un voisin râleur ? Un nouveau règlement inopiné ? Dialoguer et documenter. Expliquer, montrer sa bonne volonté, et garder une trace écrite des échanges. Si un conflit persiste, solliciter une médiation avant de laisser enfler le problème. L'ère du tout-digital et de l'hyper-réglementation ne doit pas faire disparaître l'empathie ni la diplomatie de palier... ni la patience.

L'essentiel à retenir pour une vie harmonieuse avec votre chien en collectif
Pas de mystère : il s'agit d'entretenir la meilleure entente possible entre les droits du maître, le confort de l'animal, et le respect du voisinage. Anticiper, respecter les règles et éviter le bruit restent les meilleures stratégies pour profiter d'un quotidien sans accroc... et éviter les mauvaises surprises qui semblent se multiplier plus vite que les croquettes dans le bol.
Dans un immeuble, vivre heureux avec son chien n'a jamais été un long fleuve tranquille, mais 2025 s'annonce comme une année de vigilance et d'adaptation accrue. Savoir naviguer entre obligations légales, nouvelles procédures collectives et tolérance de ses voisins, c'est l'assurance de préserver la sérénité – et la gamelle pleine – pendant encore longtemps. Au fond, la plus grande révolution consiste peut-être à parvenir à vivre ensemble harmonieusement, sans y laisser trop de poils... ou de tensions.

Mon chat miaule : est-ce pour me réclamer quelque chose ?Source Le mag du chat du 9/09/2025Tous les propriétaires de cha...
09/09/2025

Mon chat miaule : est-ce pour me réclamer quelque chose ?
Source Le mag du chat du 9/09/2025

Tous les propriétaires de chats connaissent cette scène : votre compagnon félin se poste devant vous, vous fixe de ses grands yeux… et se met à miauler. Parfois doux, parfois insistants, ses miaulements semblent vouloir dire quelque chose. Mais que cherche-t-il exactement ? Est-ce uniquement pour demander à manger ? Pour réclamer des caresses ? Ou bien existe-t-il d'autres raisons derrière ces vocalisations ? Comprendre pourquoi votre chat miaule est essentiel pour mieux communiquer avec lui et répondre à ses besoins.

Le miaulement : un langage principalement réservé aux humains
Contrairement à une idée reçue, les chats ne miaulent quasiment pas entre eux. Entre congénères, ils utilisent surtout le langage corporel, les odeurs et parfois quelques vocalisations spécifiques, comme les feulements ou les grognements, pour exprimer leur humeur.
Le miaulement est donc un comportement qu’ils ont développé presque exclusivement pour interagir avec l’Homme. Il s’agit d’une forme de communication apprise au fil de la domestication : les chats ont compris que ces sons attiraient notre attention et pouvaient leur permettre d’obtenir ce qu’ils désirent.
En d’autres termes, si votre chat miaule, c’est qu’il cherche à s’adresser à vous directement. Mais il existe plusieurs types de miaulements, chacun ayant une signification particulière.

Les différents types de miaulements
Tous les miaulements ne veulent pas dire la même chose. Les chats peuvent moduler leur voix selon leur intention.

Le miaulement doux et bref
Ce type de miaulement est souvent un simple salut. Il signifie généralement que votre chat vous accueille ou veut attirer votre attention sans urgence particulière.

Le miaulement insistant et répétitif
Lorsque votre chat enchaîne plusieurs miaulements rapides et sonores, il exprime généralement un besoin urgent : faim, demande d’ouverture d’une porte, ou envie de jouer immédiatement.

Le miaulement long et plaintif
Un miaulement prolongé, parfois accompagné de regards appuyés, traduit souvent une frustration. Par exemple, un chat qui veut sortir et qui ne peut pas accéder à l’extérieur va utiliser ce type de vocalisation.

Le miaulement aigu et perçant
Plus rare, ce miaulement peut indiquer une douleur, un inconfort ou un stress important. Il ne doit pas être ignoré, surtout s’il s’accompagne d’autres signes inhabituels (apathie, boiterie, changement de comportement).

Le « roucoulement »
Certains chats émettent un son proche du roucoulement de pigeon. Il s’agit d’un miaulement amical, souvent adressé aux humains avec lesquels ils se sentent en confiance.

Les principales raisons pour lesquelles votre chat miaule
Un chat ne miaule pas sans raison. Voici les causes les plus fréquentes :
La faim
C’est l’une des causes les plus évidentes. Un chat qui miaule près de sa gamelle ou à vos heures de repas habituelles exprime simplement qu’il a faim ou qu’il anticipe son repas.

La demande d’attention
Un chat miaule aussi pour interagir avec vous. Il peut chercher des caresses, du jeu ou simplement de la compagnie. Contrairement aux idées reçues, certains chats sont très sociables et apprécient de « discuter » avec leur maître.

L’ennui
Un chat qui reste seul plusieurs heures par jour peut miauler davantage lorsqu’il vous voit rentrer. Ces vocalisations sont alors une manière de combler son besoin d’interaction sociale.

Le stress ou l’anxiété
Un déménagement, l’arrivée d’un nouvel animal ou même un simple changement dans ses habitudes peuvent perturber un chat et déclencher des miaulements inhabituels.

La douleur ou la maladie
Les chats sont passés maîtres dans l’art de dissimuler leur souffrance. Cependant, certains miaulent davantage lorsqu’ils ne vont pas bien. Si les miaulements sont nouveaux, fréquents ou accompagnés de signes inquiétants (perte d’appétit, léthargie, changement de comportement), une consultation vétérinaire est indispensable.

Les miaulements liés à la reproduction
Un chat non stérilisé peut miauler très fort lors des périodes de chaleur (chez la femelle) ou lorsqu’il détecte une femelle en chaleur (chez le mâle). Ces miaulements sont généralement très sonores et difficiles à ignorer.

Comment répondre correctement aux miaulements de son chat ?
Répondre aux miaulements de votre chat ne signifie pas céder à toutes ses demandes. Il est essentiel d’apprendre à interpréter ses vocalisations pour éviter les comportements excessifs.

Observer le contexte
Avant de réagir, analysez la situation : votre chat se trouve-t-il près de sa gamelle ? De la porte ? Cherche-t-il un contact physique ? Cette observation vous aidera à identifier rapidement le besoin réel.

Établir une routine
Les chats aiment la régularité. Les nourrir à heures fixes et instaurer des moments de jeu ou de câlins peut réduire les miaulements liés à l’anticipation ou à l’ennui.

Éviter de renforcer les miaulements excessifs
Si vous donnez systématiquement ce que votre chat demande dès qu’il miaule, il risque de multiplier ce comportement pour obtenir satisfaction. Parfois, il faut attendre qu’il se calme avant de répondre à sa demande pour éviter d’encourager une « mauvaise habitude ».

Vérifier l’état de santé
Si les miaulements sont soudains, inhabituels ou s’accompagnent de signes inquiétants, consultez un vétérinaire. Certains troubles de santé (hyperthyroïdie, troubles neurologiques, douleurs chroniques) peuvent se traduire par des vocalisations inhabituelles.

Les chats bavards : une question de personnalité… et de race !
Certains chats miaulent davantage que d’autres. Les races orientales, comme le Siamois ou le Bengal, sont connues pour leur tendance à « parler » souvent. À l’inverse, d’autres races comme le British Shorthair sont généralement plus discrètes.
De plus, chaque chat a sa propre personnalité. Certains sont naturellement bavards, tandis que d’autres ne miaulent presque jamais. Il est donc important de connaître son animal pour distinguer un miaulement normal d’un comportement inhabituel.

Quand s’inquiéter des miaulements ?
La plupart des miaulements sont normaux et relèvent de la communication. Cependant, il faut rester attentif à certains signes :
Des miaulements soudains chez un chat habituellement silencieux.
Des miaulements excessifs, surtout la nuit.
Des miaulements accompagnés de signes de douleur ou de malaise.
Une augmentation du volume ou de la fréquence des vocalisations chez un chat âgé (ce qui peut révéler des troubles cognitifs).
Dans ces cas, une visite vétérinaire s’impose.

Lorsqu’un chat miaule, il veut donc généralement vous réclamer quelque chose, mais pas seulement de la nourriture. Il peut aussi chercher votre attention, exprimer un inconfort ou signaler une affection sous-jacente. Le miaulement est un langage riche qui, bien interprété, renforce la complicité entre vous et votre animal. Plutôt que de considérer ces vocalisations comme une nuisance, il est essentiel de les voir comme ce qu’elles sont vraiment : un moyen pour votre chat de communiquer avec vous et de vous faire passer un message.

En Corse, les animaux ont leur maison de retraite.Source TF1 du 9/09/2025Ce sont des retraités pas comme les autres. Dan...
09/09/2025

En Corse, les animaux ont leur maison de retraite.
Source TF1 du 9/09/2025

Ce sont des retraités pas comme les autres. Dans la région d'Ajaccio à Bastelicaccia et à Sarrola-Carcopino, près de 700 animaux, des chats et des chiens, vivent paisiblement dans deux maisons de retraite. C'est Agathe Lennon qui est à l'origine de ces refuges pris en charge par la Fondation Assistance aux Animaux.
La jeune femme est entourée par sept salariés qui s'occupent de ces animaux, souvent abandonnés, parce qu'on ne peut plus prendre soin d'eux ou parce qu'ils coûtent cher à entretenir. Ils restent là jusqu'à leur dernier souffle et les salariés les accompagnent jusqu'au bout dans une fin de vie paisible. "Les animaux ne sont pas stressés comme dans des refuges", précise le journaliste Jean-Baptiste Boursier sur LCI, qui relate cette histoire repérée dans Corse-Matin.
Les animaux n'ont pas non plus vocation à être adoptés, "mais dans un sens, c'est peut-être mieux pour eux parce qu'ils sont tranquilles", poursuit le journaliste. Les animaux arrivent par différents biais comme des legs notariés, des saisies, ou encore des transferts, et les refuges fonctionnent financièrement grâce aux dons.

Sortie en forêt avec son chien : 10 conseils pour que ça se passe bien !Source Le mag du chien du 9/09/2025Emmener son c...
09/09/2025

Sortie en forêt avec son chien : 10 conseils pour que ça se passe bien !
Source Le mag du chien du 9/09/2025

Emmener son chien en forêt est une expérience enrichissante pour lui comme pour vous. Cet environnement naturel lui offre un terrain d'exploration idéal, de nouvelles odeurs à découvrir, des stimulations variées et un moment de détente loin du bruit de la ville. Pourtant, une sortie en forêt ne s’improvise pas. Pour que tout se déroule sans accroc, il faut connaître certaines règles de sécurité, respecter la nature et anticiper les comportements de votre compagnon. Voici 10 conseils pour réussir vos balades en forêt avec votre chien.

1. Vérifier la réglementation avant de partir
Avant même de mettre la laisse, il est indispensable de vous renseigner sur la réglementation locale. Certaines forêts sont des espaces protégés où la divagation des chiens est interdite.
En période de chasse, il peut être dangereux de laisser son chien se promener sans contrôle.
Dans les réserves naturelles, la plupart des chiens doivent obligatoirement être tenus en laisse pour protéger la faune sauvage.
Certaines municipalités imposent également des horaires ou des zones spécifiques pour les promenades canines.
Un simple coup d’œil sur les panneaux à l’entrée de la forêt ou sur le site web de l’Office national des forêts (ONF) permet d’éviter les mauvaises surprises.

2. Équiper correctement son chien
Pour une sortie réussie, votre chien doit être bien équipé.
Un harnais confortable : il répartit mieux la traction qu’un collier et limite les risques de blessures cervicales.
Une longe ou une laisse solide : en forêt, mieux vaut éviter la laisse enrouleur, souvent trop fragile et peu adaptée aux environnements accidentés.
Une médaille d’identification : en cas de fugue, elle facilite les retrouvailles.
Une lampe ou un collier lumineux si vous vous promenez tôt le matin ou en fin de journée.
N’oubliez pas également de prendre de l’eau et une gamelle pliable, surtout en été.

3. Apprendre le rappel avant la balade
La liberté en forêt n’est pas un droit, mais une récompense qui se mérite. Avant de détacher votre chien, il doit maîtriser parfaitement le rappel.
Un chien qui ne revient pas au premier appel met en danger sa propre sécurité (routes proches, rencontres avec des animaux sauvages) et peut perturber la faune locale. Entraînez-le progressivement dans des environnements de plus en plus stimulants avant de tenter la forêt.
Si le rappel n’est pas encore acquis, utilisez une longe de 10 à 15 mètres qui lui permettra d’explorer tout en restant sous contrôle.

4. Se méfier de la faune sauvage
La forêt est l’habitat naturel de nombreux animaux : chevreuils, sangliers, renards… et votre chien peut être tenté de partir à leur poursuite.
Un chien lancé derrière un animal sauvage risque de s’égarer ou de se blesser.
Les rencontres peuvent parfois être dangereuses : un sanglier surpris peut se montrer agressif.
Certaines espèces protégées doivent être laissées en paix sous peine d’amende.
Pour éviter tout problème, gardez votre chien sous contrôle et apprenez-lui à ignorer les odeurs trop excitantes grâce au renforcement positif.

5. Protéger votre chien contre les parasites
La forêt est le terrain de jeu idéal… pour les tiques également. Ces parasites peuvent transmettre de graves maladies comme la piroplasmose ou la maladie de Lyme.
Vérifiez régulièrement le pelage de votre chien après chaque promenade.
Utilisez un traitement antiparasitaire adapté (collier, pipette ou comprimé).
Retirez rapidement toute tique à l’aide d’un crochet spécifique.
Les herbes hautes peuvent aussi cacher des épillets, ces petites graines qui s’accrochent au pelage ou s’enfoncent dans la peau. Une inspection minutieuse au retour est indispensable.

6. Respecter la nature et les autres promeneurs
Une balade en forêt ne se résume pas à un simple moment de liberté pour votre chien : il s’agit aussi de respecter l’environnement.
Ramassez toujours les déjections de votre animal, même en pleine nature.
Évitez de le laisser creuser ou détruire la végétation.
Tenez-le en laisse s’il s’approche d’autres chiens ou de personnes qui pourraient ne pas être à l’aise avec lui.
Le respect de ces règles favorise une cohabitation harmonieuse entre tous les usagers de la forêt.

7. Adapter la sortie à votre chien
Chaque chien a ses besoins propres.
Les chiots ne doivent pas faire de randonnées trop longues au risque de fatiguer leurs articulations.
Les chiens âgés peuvent profiter de balades plus calmes et moins intenses.
Les chiens très sportifs (bergers, huskies…) ont besoin de véritables parcours dynamiques avec beaucoup de stimulation.
Adaptez la durée, le rythme et la difficulté de la promenade à la condition physique de votre compagnon.

8. Se préparer aux imprévus
Une sortie en forêt réserve parfois des surprises. Il est donc utile d’avoir un petit kit de premiers secours comprenant :
une pince à tiques,
une compresse stérile,
une solution désinfectante,
et éventuellement une couverture légère pour protéger votre chien s’il se blesse.
Gardez toujours votre téléphone chargé pour pouvoir appeler de l’aide si nécessaire, et notez à l’avance l’adresse du vétérinaire le plus proche.

9. Profiter de la promenade comme un moment d’éducation
La forêt n’est pas qu’un terrain de jeu, c’est aussi un excellent endroit pour renforcer la complicité avec votre chien.
Travaillez le rappel dans un environnement stimulant.
Apprenez-lui à marcher au pied sans laisse.
Récompensez-le régulièrement avec des friandises ou des félicitations lorsqu’il adopte un bon comportement.
Chaque sortie devient ainsi une opportunité d’apprentissage tout en renforçant votre relation.

10. Observer son chien pour détecter les signaux d’alerte
Même si votre chien semble heureux, soyez attentif à son comportement. Un halètement excessif, une boiterie, une fatigue inhabituelle ou une perte d’entrain peuvent indiquer qu’il faut faire une pause ou écourter la promenade.
De même, après une balade en forêt, surveillez l’apparition de symptômes tels que :
démangeaisons,
léthargie,
perte d’appétit,
qui peuvent révéler une morsure de tique ou un autre problème de santé.

Une sortie en forêt avec son chien est donc un moment unique qui renforce votre lien tout en stimulant son instinct naturel d’exploration. Mais pour que cette expérience reste positive, il faut se préparer correctement, respecter l’environnement et tenir compte des besoins de votre compagnon.

Le renard est un chasseur opportuniste : qu'est-ce que ça veut dire?Source Le mag des animaux du 9/09/2025Un pelage roux...
09/09/2025

Le renard est un chasseur opportuniste : qu'est-ce que ça veut dire?
Source Le mag des animaux du 9/09/2025

Un pelage roux, une queue en panache, un museau fin et de longues moustaches… Vous avez certainement reconnu le renard, petit mammifère assez répandu sur notre territoire. C’est un animal que nous associons à beaucoup d’idées reçues, positives comme négatives : il est futé, il est nuisible, il transmet des maladies, etc. Le renard est aussi considéré comme un chasseur opportuniste. Qu’est-ce que cela signifie concernant son régime alimentaire et son mode de vie en général ? Nous vous proposons aujourd’hui d’en apprendre plus sur ce bel animal au pelage flamboyant.

Le régime alimentaire du renard
Contrairement à ce que nous pensons parfois, le renard n’est pas un carnivore, comme le chat, mais un omnivore, comme le chien. Cela signifie que, même s’il a besoin de se nourrir de protéines animales, il peut aussi tout à fait consommer d’autres types d’aliments. Il va donc se montrer assez flexible sur son alimentation. Si le renard est considéré comme un opportuniste, c’est tout d’abord parce qu’il a la spécificité de s’adapter à différents types d’environnements et d’y trouver les ressources qui lui conviennent. Pour faire simple, on pourrait dire il se contente de ce qu’il y a, de ce qui est disponible et accessible.
Des forêts aux montagnes, en passant par les prairies ou les milieux plus urbains, le renard est un chasseur capable de trouver ses repas dans des espaces très différents.
Il se nourrit :
de petits mammifères, tels que les rongeurs (mulots, souris, campagnols, rats, écureuils, lapins, souris…) ;
d’oiseaux, surtout nichant près du sol (passereaux, faisans, perdrix, pigeons, canards…) et de leurs œufs ;
d’insectes et d’invertébrés (coléoptères, sauterelles, criquets, papillons, vers de terre…) ;
d’amphibiens (grenouilles, lézards...) ;
de poissons présents dans les cours d’eau peu profonds ;
de fruits (myrtilles, mûres, framboises, pommes, raisins…);
de champignons.
Il ne refuse pas non plus les déchets alimentaires humains. Enfin, si besoin, il peut même se contenter de cadavres d’autres animaux. Cette polyvalence alimentaire lui permet d’assurer sa survie et de mieux résister aux pressions exercées par les humains sur son environnement.
Notons que le renard peut aussi tout à fait se servir de terriers d’autres animaux, comme les blaireaux. Encore un élément qui justifie son image d’opportuniste.

Les techniques de chasse de cet animal opportuniste
Le renard est souvent considéré comme un animal futé et discret. Il est vrai que c’est un très bon chasseur, qui dispose de sens aiguisés. Il possède notamment une ouïe très fine qui lui permet de détecter des mouvements même sous la neige ou sous des feuilles. Il se sert d’ailleurs beaucoup des bruits pour localiser ses proies.
Mais sa vue perçante et nocturne est également l’un de ses outils de chasse privilégiés. Il aime particulièrement chasser au crépuscule et à l’aube, quand la lumière est faible, lui donnant un certain avantage.
Le renard pratique le mulotage. Il a la capacité de se tenir en attente parfaitement immobile, restant à l’écoute, avant de bondir sur sa proie dans un saut vif et parfaitement maîtrisé. Mais il peut aussi plus simplement poursuivre ses proies sur une courte distance, puisqu’il sait se montrer rapide et agile. Enfin, il peut même réussir à pêcher de petits poissons et des amphibiens à proximité de zones d’eau.
Ici encore, nous constatons bien que le renard est un animal très adaptable, ce qui justifie encore son image d’opportuniste débrouillard.
En France, c’est le renard roux que nous côtoyons. Mais d’autres espèces sont aussi des animaux opportunistes pour se nourrir. Le renard polaire par exemple, vivant dans les régions froides du globe, aurait le réflexe de suivre les ours polaires afin de profiter des restes de leurs proies. Pour sa part, le renard gris est le seul canidé à pouvoir grimper aux arbres pour chasser plus facilement les oiseaux et leurs œufs, mais aussi pour se nourrir de fruits.

Le renard : un animal dangereux ?
Le renard est régulièrement catalogué comme étant une espèce nuisible, notamment auprès des chasseurs, puisqu’il se révèle être un concurrent redoutable dans la chasse au petit gibier. Il est vrai que le renard préfèrera s’attaquer à des proies faciles, souvent élevées juste pour être relâchées dans la nature et chassées, donc n’ayant pas développé le même instinct de survie et de protection que des animaux sauvages.
Il est aussi le prédateur redouté de tout éleveur de poules, puisqu’il est capable de faire un véritable carnage en peu de temps au sein d’un élevage. Mais ici encore, c’est son tempérament d’opportuniste qui le guide : pourquoi s’embêter à perdre de l’énergie à chasser sa nourriture, quand des oiseaux non surveillés constituent des proies faciles, ou quand un poulailler laissé ouvert la nuit constitue un vrai garde-manger ? De plus, rappelons que les poules sont aussi victimes d’autres prédateurs : fouines, belettes, rats, chiens, etc.
Le renard est accusé d’avoir été vecteur de la rage. Toutefois, cette maladie n’existe plus en France depuis plus de 20 ans, du fait des campagnes de vaccinations qui ont été menées avec succès. Aucun cas de rage vulpine (du renard) n’a ainsi été confirmé sur notre territoire depuis 1998.
Enfin, les humains lui reprochent aussi d’être vecteur de l’échinococcose, une grave maladie du foie ou des poumons qui peut se révéler mortelle. Elle est causée par l’ingestion d’œufs de ténias, dont les renards peuvent être les hôtes. Toutefois, nos animaux de compagnie, chats comme chiens, peuvent aussiêtre des vecteurs de cette zoonose. Or, l’humain est tout de même beaucoup plus souvent au contact de chats et de chiens, qu’au contact d’un renard ou d’un aliment cueilli dans la nature, qui n’aurait pas été cuit et qui aurait été souillé par des déjections.

Le rôle important du renard au sein de nos écosystèmes
Aussi difficile puisse être parfois la cohabitation avec les humains, le renard n’en est pas moins un important maillon de la chaîne alimentaire. Il a notamment un rôle fondamental dans la régulation des populations de rongeurs (campagnols, souris, rats, lapins…), souvent considérés comme de vrais nuisibles. Au-delà des dégâts causés aux cultures par ces petits mammifères, ils sont aussi les vecteurs principaux d’une zoonose grave : la maladie de Lyme. En transportant des tiques, les rongeurs favorisent en effet la diffusion de cette maladie bactérienne aux humains. Or, selon les sources, un renard serait capable de manger de 3 000 à 6 000 petits rongeurs par an.
En se nourrissant parfois de cadavres d’animaux, le renard joue aussi un rôle d’équarisseur naturel, limitant la prolifération d’agents pathogènes.
Les renards peuvent aussi être considérés comme des acteurs de la diversité et de la propagation végétale. En se nourrissant de fruits et de baies qui se retrouvent dans leurs déjections, ils participent à la dissémination des graines et à leur transport.
Enfin, rappelons que les populations de renards sont naturellement stables dans la plupart des régions. Même sans intervention humaine pour le réguler, le renard ne pullule pas sur notre territoire.

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