Animaux : La Plate-Forme de toutes les informations

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Europa-Park retire un spectacle de chiens après des accusations de maltraitance animale : "ça nous touche profondément"....
18/12/2025

Europa-Park retire un spectacle de chiens après des accusations de maltraitance animale : "ça nous touche profondément".
Source France 3 du 18/12/2025

Des chiens frappés avec une corde, terrorisés, figés par la peur, en posture basse avec les oreilles plaquées en arrière. Certains tentent de fuir les gestes menaçants de leur “dresseur”, tandis que des cris sont audibles. Une chienne se voit notamment maintenir la gu**le fermée, puis frappée à plusieurs reprises sur les pattes pour ne pas s’être assise.
Ces images ont été tournées dans les coulisses d’un spectacle canin à Europa-Park, en Allemagne. “Nous entendons des chiens émettre des sons de douleur et voyons un homme qui exerce sans hésitation la violence la plus massive sur les chiens”, explique dans un communiqué Jana Hoger, psychologue animale et conseillère spécialisée chez PETA.
Suite à ces actes de maltraitance animale, rendus publics à la mi-décembre, l’association de protection animale Pour une Éthique dans le Traitement des Animaux (PETA), a déposé une plainte pénale et a demandé à l’office vétérinaire de retirer les chiens à Wolfgang Lauenburger.

Le spectacle retiré par Europa-Park
Contactée, la direction d’Europa-Park confirme avoir retiré le spectacle, organisé dans le cadre de la R***e de Cirque, dès la découverte des faits. Dans une déclaration transmise à France 3 Alsace, le parc affirme avoir agi sans attendre un signalement officiel.
"Le traitement réservé à ces animaux nous touche profondément et va clairement à l'encontre des valeurs d'Europa-Park. Dès que nous en avons eu connaissance, avant même le signalement d’une association de protection des animaux, nous avons décidé de retirer immédiatement de notre spectacle le numéro concerné, présenté par un artiste de cirque externe”, indique la direction.
Ce n’est pas la première fois qu’Europa-Park est confronté à des critiques concernant l’utilisation d’animaux dans ses spectacles. En 2017, un numéro avec des éléphants avait déjà été retiré après une mobilisation d’associations.

Mettre fin au dressage animal
Le parc précise également vouloir désormais faire évoluer sa programmation : “Nous prévoyons, à l’avenir, de mettre davantage l’accent sur l’acrobatie, la danse et la comédie au sein de la R***e de Cirque”, ajoute Europa-Park.
PETA dénonce plus largement un système qu’elle juge intrinsèquement violent et appelle à mettre fin à ces spectacles : “Le dressage à des fins commerciales est basé sur le pouvoir, la contrainte et le contrôle. Les animaux ne se produisent pas volontairement dans des spectacles, ils sont amenés à le faire”, rappelle l’association dans son communiqué, qui décrit des animaux “systématiquement brisés - par l'intimidation, le stress, la privation de nourriture, la violence physique ou une pression psychologique durable.”
La maltraitance animale est passible de poursuites pénales en Allemagne. La loi prévoit des amendes ou des peines pouvant aller jusqu’à trois ans de prison.

Nettoyer les oreilles de son chien : une bonne idée ou faut-il vraiment laisser faire la nature ?Source Ouest France du ...
18/12/2025

Nettoyer les oreilles de son chien : une bonne idée ou faut-il vraiment laisser faire la nature ?
Source Ouest France du 18/12/2025

En cette période hivernale, alors que nos compagnons canins partagent nos intérieurs et les promenades glacées, une question refait surface : faut-il vraiment s'inquiéter de la propreté des oreilles de son chien ou laissons-nous parfois la nature faire ce pour quoi elle est si douée ? Nettoyer, oui, mais à quel prix et surtout, à quelle fréquence ? Parce que les oreilles de nos chiens ne sont pas qu'un simple détail à brosser lors du grand ménage de Noël, découvrir leur fonctionnement, leurs besoins et les bons gestes est essentiel pour préserver leur santé, maintenant et toute l'année.

Distinguer le naturel : pourquoi les oreilles de votre chien s'autonettoient elles (ou presque) ?
Le rôle précieux du cérumen : entre protection et équilibre
Le cérumen, souvent redouté pour son aspect peu engageant, s'avère être en réalité un précieux allié. Cette substance jaune-brun, produite dans le conduit auditif, joue un rôle de barrière naturelle contre les impuretés, la poussière et les petits insectes. Elle empêche les agents extérieurs de pénétrer profondément dans l'oreille et contribue à maintenir un équilibre microbien sain. Le plus souvent, le cérumen s'élimine de lui-même via les mouvements naturels de l'oreille et les secousses de la tête de votre chien : un système quasi autonome bien rôdé par la nature.

Quand tout va bien : comment reconnaître une oreille saine
Une oreille de chien en bonne santé se reconnaît à son aspect propre, sans odeur désagréable ni excès de cire visible. La peau à l'intérieur doit être légèrement rosée, sans rougeur ni croûte. Quand vous observez votre animal, s'il ne se gratte pas particulièrement les oreilles et ne secoue pas la tête de façon excessive, rien ne sert de sortir le flacon de nettoyant ! La nature a généralement tout prévu, et intervenir sans nécessité pourrait créer plus de problèmes que de solutions.

Quand intervenir : les signaux d'alerte qui imposent un coup de patte
Les signes à ne pas négliger : odeurs, démangeaisons, sécrétions inhabituelles
Si votre chien montre des signes d'inconfort, comme des grattages répétés, un secouement de tête inhabituel, ou si vous remarquez des rougeurs, des sécrétions brunes ou une odeur forte provenant du conduit auditif, il est temps de prêter attention. Ces manifestations, surtout en hiver où l'humidité et le manque de ventilation peuvent créer un terrain favorable aux infections, nécessitent parfois une intervention de votre part ou de celle du vétérinaire.

Nettoyer oui, mais pas n'importe comment : conseils d'experts et erreurs à éviter
Nettoyer à outrance ou utiliser des instruments inadaptés (coton-tiges, objets pointus) peut entraîner des lésions et perturber la barrière protectrice naturelle de l'oreille. En cas de doute, privilégiez les produits spécifiques pour chien, en suivant les recommandations et la fréquence indiquées sur l'emballage. Une noisette de produit dans le conduit, un doux massage à la base de l'oreille, puis laissez votre chien secouer la tête : la solution est souvent aussi simple que ça. Évitez d'insister trop profondément ou trop fréquemment : c'est seulement lorsque le cérumen est vraiment en excès ou que l'oreille dégage une mauvaise odeur que le nettoyage est justifié.

Garder le cap sur le bien-être : préserver les oreilles de son chien, c'est aussi respecter leur fonctionnement
Trouver la bonne routine : ni excès de zèle, ni abandon
L'équilibre est le maître mot. Nettoyer les oreilles de son chien "par habitude", chaque semaine ou chaque bain, n'est pas recommandé pour la plupart des races. Il faut s'adapter au mode de vie de votre animal : chiens nageurs, oreilles tombantes ou poils fournis pourront parfois demander plus d'attention, mais rien ne remplace la veille attentive et le respect de leur physiologie naturelle.

Les gestes à privilégier pour concilier hygiène et santé
Inspectez régulièrement les oreilles, surtout après les promenades dans l'humidité hivernale ou s'il y a beaucoup de poils autour du pavillon.
Utilisez uniquement des produits adaptés aux chiens, sans alcool ni parfum.
Évitez les instruments intrusifs (coton-tige, pince) et privilégiez la douceur.
En cas de doute, consultez rapidement un vétérinaire pour éviter toute complication.
Parce que chaque oreille a son histoire, apprenez à écouter celles de votre chien avant de dégainer le coton-tige ! La clé ? Le cérumen protège naturellement l'oreille et son nettoyage n'est indiqué qu'en cas d'excès ou de gêne, selon les recommandations médicales actuelles. Observer, écouter et intervenir seulement si nécessaire est la meilleure façon de prendre soin de votre compagnon à quatre pattes, surtout quand l'hiver s'installe et que les petits soucis de santé peuvent rapidement survenir.

Pour résumer, l'oreille du chien n'a pas besoin d'un grand ménage à intervalles réguliers, mais d'une surveillance attentive et de gestes mesurés. Apprenez à faire confiance à la nature tout en restant vigilant aux signaux d'alerte. Et si l'envie vous prend de sortir le nettoyant, posez-vous cette question : est-ce vraiment nécessaire ou la nature ne fait-elle pas déjà le travail ?

12 précautions à prendre avec votre chien pour les fêtes de fin d'année !Source Le mag du chien du 18/12/2025Les fêtes d...
18/12/2025

12 précautions à prendre avec votre chien pour les fêtes de fin d'année !
Source Le mag du chien du 18/12/2025

Les fêtes de fin d’année sont synonymes de moments chaleureux et de repas gourmands. Mais pour votre chien, cette période festive peut aussi devenir source de stress, de confusion, voire de danger ! Entre les aliments toxiques, les objets attirants mais risqués et les allées et venues inhabituelles, il est essentiel de prendre quelques précautions pour garantir la sécurité et le bien-être de votre compagnon. Voici 12 précautions indispensables pour passer des fêtes sereines avec votre chien !

1. Surveiller les aliments toxiques : un risque majeur pendant les fêtes
La période de Noël et du Nouvel An rime avec excès culinaires… mais pas pour votre chien ! De nombreux aliments présents sur la table sont extrêmement dangereux pour lui.
Les plus toxiques :
Chocolat : contient de la théobromine, potentiellement mortelle.
Oignons, ail, échalotes : provoquent une anémie sévère.
Raisins et raisins secs : même en petite quantité, peuvent entraîner une insuffisance rénale aiguë.
Alcool : aucun seuil n’est tolérable.
Xylitol (édulcorant) : présent dans certains desserts ou chewing-gums.
Restes de volaille : os cuits qui éclatent en fragments dangereux.
Ne laissez jamais votre chien fouiller dans les poubelles ou chaparder sous la table. Éduquez également vos invités : un chien « mignon » n’a pas besoin d'un morceau de foie gras !

2. Protéger le sapin de Noël… et votre chien du sapin
Le sapin est une véritable tentation pour les chiens, surtout les plus curieux. Malheureusement, il peut être dangereux.
Risques associés :
Aiguilles : elles peuvent irriter l’estomac.
Boules en verre : coupures en cas de casse.
Guirlandes électriques : électrocution potentielle en cas de mastication.
Chute : un sapin renversé peut blesser l’animal.
Solutions :
Stabilisez solidement le sapin.
Placez les décorations fragiles en hauteur.
Surveillez les câbles électriques.

3. Se méfier des plantes décoratives toxiques
Certaines plantes traditionnelles de Noël sont toxiques pour les chiens.
Les principales à éviter :
Poinsettia (étoile de Noël) : irritant digestif.
Gui : potentiellement mortel.
Houx : baies très toxiques.
Amaryllis : troubles digestifs et neurologiques.
Privilégiez des plantes artificielles ou placez les plantes toxiques hors de portée.

4. Prévenir le stress lié à l’agitation des fêtes
Entre les invités, le bruit, les changements de routine, votre chien peut facilement se sentir dépassé.
Signes de stress :
Halètement anormal.
Aboiements excessifs.
Tremblements.
Recherche de cachettes.
Comportements destructeurs.
Comment l’aider :
Aménagez une zone calme où il peut se retirer.
Gardez sa routine (heure des promenades, repas).
Utilisez si besoin des phéromones apaisantes.
Proposez des jeux d’occupation pendant les visites.

5. Attention aux cadeaux… et à leur emballage !
Pour les chiens, les cadeaux sous le sapin sont autant d’objets excitants qu’il faut absolument aller sentir, toucher, parfois déchiqueter !
Les dangers :
Rubans et bolducs : ingestion pouvant provoquer une occlusion.
Piles : corrosives si mâchées.
Jouets en plastique : risques d'étouffement.
Au moment du déballage, surveillez votre chien de près et ne laissez pas traîner les papiers.

6. Gérer les repas de fête avec vos invités
Si votre chien est sociable, il profitera sans doute de l’attention. Mais les invités ont parfois de mauvaises habitudes, même en pensant bien faire.
Instaurer quelques règles simples :
Interdiction de donner de la nourriture de table.
Ne jamais donner d’alcool au chien.
Surveiller les enfants : ils peuvent laisser traîner des aliments dangereux.
Vous pouvez prévoir des friandises adaptées pour chien pour calmer les tentations.

7. Éviter les accidents liés aux bougies et cheminées
Les fêtes sont souvent associées à des bougies parfumées et à un bon feu de cheminée.
Risques :
Brûlures.
Renversement de bougies.
Ingestion de cire.
Gardez toujours votre chien à distance des flammes et utilisez des photophores ou des bougies LED si nécessaire.

8. Anticiper les déplacements et voyages
Beaucoup de familles bougent pendant les vacances : trajets en voiture, nouvelles maisons, nouvelles personnes… Cela peut perturber votre chien.
Conseils pour que tout se passe bien :
Utilisez une caisse de transport ou une ceinture de sécurité homologuée.
Prévoyez son couchage, ses gamelles, ses jouets favoris.
Demandez à votre vétérinaire des conseils en cas de stress important.
Évitez de donner un tranquillisant sans avis médical : certains sont dangereux ou inadaptés.

9. Attention aux restes de feu d’artifice
Certains feux d’artifice de fin d’année laissent des résidus toxiques ou coupants dans le jardin ou la rue.
Après chaque promenade :
Vérifiez les coussinets.
Lavez les pattes si nécessaire.
Évitez les zones où les feux d’artifice ont été tirés récemment.
Par ailleurs, les bruits forts peuvent provoquer panique et fugues. Pensez aux harnais sécurisés, aux médailles et à la puce électronique à jour.

10. Offrir des cadeaux adaptés à votre chien
Les jouets et friandises offerts en fin d'année doivent être adaptés à sa taille, à son âge et à ses habitudes de mastication.
Évitez :
Les jouets trop petits.
Les friandises très dures pouvant casser les dents.
Les objets bruyants si votre chien est facilement stressé.
Privilégiez :
Les jeux d’intelligence.
Les jouets robustes.
Les gourmandises naturelles.

11. Garder un œil sur la prise de poids pendant les fêtes
Entre les restes de table glissés en douce, les friandises de Noël et les repas plus riches, beaucoup de chiens prennent du poids sans que leurs propriétaires s’en rendent compte !
Pour éviter cela :
Maintenez la quantité de croquettes habituelle.
Limitez les friandises.
Surveillez sa silhouette : les côtes doivent rester palpables.

12. Faire un check-up avant les fêtes si votre chien est fragile
Pour les chiens âgés, malades, arthrosiques ou anxieux, les fêtes peuvent être particulièrement éprouvantes.
Un contrôle vétérinaire peut être utile si :
Votre chien souffre d’arthrose (les visites, le froid, le bruit aggravent).
Il est très stressé lors des changements de routine.
Vous prévoyez un long trajet.
Cela vous permettra de passer les fêtes sereinement.

En résumé, les fêtes de fin d'année sont un moment merveilleux, mais elles comportent aussi de nombreux dangers pour votre chien. En prenant quelques précautions simples, vous pouvez profiter de cette période sans risque votre compagnon.

Réintroduit dans le parc des Ballons des Vosges, le Grand Tétras à nouveau proche de l’extinction.Source Rue 89 Strasbou...
18/12/2025

Réintroduit dans le parc des Ballons des Vosges, le Grand Tétras à nouveau proche de l’extinction.
Source Rue 89 Strasbourg du 18/12/2025

La réintroduction du Grand Tétras dans le massif vosgien ressemble de plus en plus à un échec. En 2024 et en 2025, le parc des Ballons des Vosges a accueilli au total 16 coqs et poules capturés en Norvège. Mais mi-décembre, le bilan est peu flatteur pour les soutiens d’une réintroduction de l’espèce. Comme l’indique le site du parc, il ne resterait que « 1 à 2 coq(s) et 1 poule » parmi la population de Tétras transportés depuis la Norvège. Les individus sont d’autant plus difficiles à suivre que leurs balises GPS ont cessé d’émettre. Toujours selon le parc des Ballons des Vosges, il y aurait encore trois poules autochtones. Les autres Grands Tétras ont été victimes de prédateurs, « notamment la martre des pins qui représente 85% de la mortalité des oiseaux », peut-on lire sur le site du PNRBV.

Des associations opposées
Le Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel Grand-Est (CSRPN) et le Conseil National de la Protection de la Nature (CNPN) sont opposés à cette réintroduction du Grand Tétras. Ces organismes arguent tout d’abord du manque de place. Il faudrait selon eux 20 000 hectares pour une réintroduction efficace de l’espèce, soit plus du double des quelques 7 000 hectares disponibles dans le parc des Ballons des Vosges. Le CSRPN et le CNPN invoquent aussi les touristes et les véhicules à moteur comme autant d’obstacles à la survie des Grands Tétras. Enfin, ces experts dénoncent l’« absence d’évaluation rigoureuse des causes du déclin (des Grands Tétras, NDLR) et l’absence de mesures dignes de ce nom visant à éliminer celles-ci ».

Un échec couteux
Le coût de cette tentative de réintroduction s’élève à 230 000 euros par an pour une durée de cinq ans. L’État, la Région Grand Est et l’association Rewilding Europe ont participé au financement du projet. Face à ce « gâchis manifeste de l’argent public », l’association SOS massif des Vosges appelle « à la suspension immédiate du programme » et « à une réorientation massive des moyens vers la restauration réelle des habitats ».
Contacté, le Parc naturel régional des Ballons des Vosges (PNRBV) n’a pas souhaité répondre a nos questions.

"Il faut les tenir en laisse": au parc Pastré à Marseille, les propriétaires de chiens face aux sangliers tous les jours...
18/12/2025

"Il faut les tenir en laisse": au parc Pastré à Marseille, les propriétaires de chiens face aux sangliers tous les jours.
Source Ici France bleu du 18/12/2025

C'est l'une des premières choses que l'on aperçoit à la "campagne Pastré", à Marseille. Le sol est comme labouré sur des dizaines de mètres carrés. L'œuvre quasi-quotidienne des sangliers, nombreux dans ce parc situé entre le parc national des Calanques et la ville.

"Heureusement, il y a des endroit pour me placer en hauteur rapidement"
Le lieu est également prisé des propriétaires de chiens qui viennent lâcher leur compagnon à quatre pattes dans cet écrin de verdure. Mais parfois les "rencontres" entre chiens et sangliers peuvent mal tourner. "Mon chien est un staffy, c'est une race de chasseur. Il va débusquer les sangliers jusque dans les bosquets, il les chasse, leur tourne autours, aboie. Et quand le sanglier se sent en danger il se met à charger. Heureusement, mon chien court vite et il y a des endroits pour que je puisse me placer rapidement en hauteur", raconte Laura.

"Les sangliers ne font pas de mal, il faut les laisser tranquille"
Des scènes similaires sont racontées par d'autres propriétaires de chiens, sans toutefois évoquer d'accident. "C'est la faute des maîtres. Ils n'ont qu'à attacher leur chien" lance Nadine. "Les sangliers ne font pas de mal, il faut les laisser tranquille. Ils cherchent juste à manger" poursuit sa sœur, Marie, avant d'ajouter : "Ici on les nourrit, ils sont tellement maigres !"
La nourriture, c'est sans doute ce qui accentue dans ce secteur de Marseille la pénétration du sanglier en ville. "On les a vus sur le boulevard de la Grotte Rolland, au Roy d'Espagne et même dans une école de la Pointe Rouge. Ils cherchent de la nourriture. On les a chassés de leur habitat naturel " estime Muriel.

Le nourrissage puni d'une amende de 135 euros
Face à cette expansion et au risque d'accident entre ces animaux sauvages et la population, la mairie de Marseille rappelle les règles : "Nous allons recommencer les campagnes de prévention pour rappeler aux habitants que le nourrissage est interdit. C'est puni d'une amende de 135 euros. Ce n'est pas du tout une bonne chose pour les animaux sauvages que de les nourrir."
"Nous ne souhaitons pas de nouvelle battue pour réguler la population des sangliers. Il faut que chacun y mette du sien. Et nous pouvons encore améliorer le ramassage des ordures pour priver les sangliers d'un garde manger en ville" explique Christine Juste, en charge de la place de l'animal en ville.
"Nous espérons aussi une régulation naturelle et nous comptons sur la horde d'une dizaine de loups présente dans le parc des Calanques pour donner un coup de main", conclut-elle.

Un ours meurt lors d'un transfert en hélicoptère destiné à le relâcher dans la nature en Colombie.Source BFMTV du 18/12/...
18/12/2025

Un ours meurt lors d'un transfert en hélicoptère destiné à le relâcher dans la nature en Colombie.
Source BFMTV du 18/12/2025

Un ours à lunettes, célèbre en Colombie pour s'être échappé d'un zoo en 2022, est mort ce mercredi 17 décembre lors d'un transfert aérien destiné à le relâcher dans la nature, ont indiqué les autorités environnementales.
Tama, âgé de 11 ans, devait être relâché dans le parc national de Tama à la frontière avec le Venezuela, où il avait été recueilli tout bébé après avoir perdu sa mère et qui lui avait donné son nom.

"Détresse respiratoire"
Mais dans un contexte de "conditions météorologiques défavorables" lors du vol qui le transportait, il "a montré des signes de détresse respiratoire" et n'a pu être réanimé par l'équipe vétérinaire qui l'accompagnait dans l'avion, a indiqué la direction colombienne des parcs nationaux. L'ours ne présentait aucun problème de santé lors des examens médicaux effectués avant son transfert, a précisé cette source.
Tama avait connu son heure de gloire en septembre 2022 après s'être échappé de son zoo à Bogota, déclenchant une battue de deux semaines dans la périphérie de la capitale. L'ours andin, également appelé ours à lunettes en raison de son masque caractéristique, est la seule espèce d'ours vivant en Amérique du Sud.
L'Union internationale pour la conservation de la nature le considère comme une espèce vulnérable. Il est principalement menacé par la perte de son habitat naturel, victime de la déforestation. Les autorités environnementales estiment qu'il existe entre 2.000 et 5.000 spécimens dans les zones protégées du pays.

BELGIQUE« Des communes me disent qu’elles ne paieront jamais » : une clinique vétérinaire bruxelloise risque la faillite...
18/12/2025

BELGIQUE
« Des communes me disent qu’elles ne paieront jamais » : une clinique vétérinaire bruxelloise risque la faillite à force de sauver les animaux errants blessés.
Source RTL infos du 18/12/2025

Aujourd’hui, quand un animal est découvert blessé sur la voie publique en Région bruxelloise, c’est soit la police locale, soit les pompiers, via leur Animal Rescue Team, qui interviennent. Si son propriétaire n’est pas facilement et directement identifiable, il est emmené dans une des deux cliniques vétérinaires de la Région qui sont ouvertes 24h/24. « Là, ils vérifient si l’animal est pucé ou pas », explique le porte-parole des pompiers de Bruxelles, Walter Derieuw.
Alors que tous les animaux de compagnie sont censés être pucés car il s’agit d’une obligation légale en Belgique, « souvent, les animaux amenés par les pompiers ou la police n’ont pas de puce ou de puce enregistrée », déplore Patrick Vandervliet, hospital manager de la clinique vétérinaire Champ du Roi à Etterbeek, la plus centrale des deux. « Les soins, on doit les faire, mais si on veut être rémunérés, il nous faut avoir un destinataire de la facture éventuelle », explique-t-il.
Selon la loi en vigueur, ce sont les communes qui sont responsables en la matière. Les cliniques réclament donc « un réquisitoire de la police ou un fax d’intervention des pompiers », explique le responsable, car le lieu où l’animal a été trouvé, donc la commune concernée, y figure. Des procédures parfois longues qui immobilisent les services de secours un certain temps, comme cela nous a été dénoncé via notre bouton orange Alertez-nous.
"J’ai des communes qui me disent qu’elles ne paieront jamais" - Patrick Vandervliet, hospital manager de la clinique vétérinaire Champ du Roi à Etterbeek
Mais le véritable problème, selon Patrick Vandervliet, c’est que lorsque sa clinique facture les soins aux communes, toutes ne respecteraient pas leur obligation de rembourser. Seule la Ville de Bruxelles collabore parfaitement. « Nous avons trouvé avec elle un accord de tarification depuis un an. On pensait que ça allait inspirer d’autres communes mais il y en a au moins 15 qui posent problème », dénonce-t-il.
« C’est un bras de fer permanent et j’ai des communes qui me disent qu’elles ne paieront jamais sans ordonnance » qui les y oblige. « Elles se retranchent derrière le fait qu’elles ne nous ont pas choisi comme prestataire », explique le manager. « Il fut un temps où elles réglaient les factures sans se poser de question, mais le bien-être animal est devenu l’échevinat du pauvre. »

Déjà plus de 100.000€ jamais récupérés
Si la situation ne trouve pas de solution rapidement, « le risque, c’est qu’un jour on ferme les portes », prévient-il. Car sauver un animal blessé ou même l’euthanasier « représente des coûts extrêmement importants, notamment en médicaments » et en personnel. À titre d’exemple, si pour un humain, « un scanner coûte 70€ » grâce à la sécurité sociale, « il coûte entre 500 et 1.000€ pour un animal en fonction des zones scannées. »
Aujourd’hui, Patrick Vandervliet estime que la clinique vétérinaire Champ du Roi a déjà « offert plus de 100.000 € à titre gracieux. Je ne connais pas d’autres professions dans le même cas. Avant, il y avait 5 ou 6 cliniques 24/7 en Région bruxelloise mais les autres ont abandonné pour ça ».

Un projet de code de la Région bruxelloise est en cours… depuis des années
La solution est pourtant à portée de main, mais elle est politique. Un décret existe en effet déjà en Wallonie et en Flandre, qui impose aux communes la gestion des animaux blessés ou errants. Cela implique d’avoir un budget pour cela et de nouer des conventions avec des prestataires de soins. Les communes avancent l’argent nécessaire aux soins urgents et prennent ensuite à leur charge de répercuter ces factures sur leurs propriétaires. Mais à Bruxelles, « il y a un problème : on n’a pas de gouvernement » pour proposer et faire adopter une ordonnance similaire, dénonce le manager.
L’administration publique bruxelloise qui s’occupe du bien-être animal, Bruxelles Environnement, confirme qu’un projet de code animal, qui compilerait les futures ordonnances et arrêtés en la matière, a bien été entamé « il y a plusieurs années concernant la prise en charge des animaux domestiques », y compris ceux blessés. Mais il est toujours en cours.
« Des réunions de coordination sont fréquemment organisées via le programme Awibru qui vise justement à réunir autour de la table les acteurs liés au Bien-être animal au sein de la Région, en particulier les zones de police et les communes », assure Pascale Hourman, la porte-parole de Bruxelles Environnement. Une fois adopté, ce code tant attendu forcera chacune des 19 communes à « établir une procédure et la rendre publique, ce qui n’est pas le cas actuellement », détaille-t-elle.

Un accord provisoire pas encore trouvé non plus
En attendant, Bruxelles Environnement avait été interpellée par une des cliniques pour apporter une solution temporaire et a mis en place « un groupe de travail l’an passé, afin de faciliter la vie de tous les acteurs concernés par cette problématique et de clarifier le rôle de chacun » au travers d’un « accord-cadre ».
Celui-ci n’est cependant toujours pas finalisé et contient encore des zones d’ombre, comme qui sera réellement en charge du budget : « A priori, soit les zones de police, soit les communes seraient responsables du budget sur leur territoire », détaille Pascale Hourman.
Le problème, c’est qu’un accord-cadre n’a pas de valeur contraignante, comme souligne la porte-parole. « Libre à chaque commune ou zone de police d’y souscrire ou pas, à charge pour elle de mettre en place son propre système si elle le souhaite, sachant que certaines communes fonctionnent déjà de manière indépendante. »

Une tâche pour le ou la prochain(e) ministre
Voilà pourquoi « j’aimerais qu’il y ait un gouvernement et que ce code soit voté (…) pour que nous puissions, après soins, facturer le minimum vital pour la survie de la clinique », résume Patrick Vandervliet, qui estime le coût annuel d’une telle politique à « 300.000 à 400.000€ à l’échelon de toute la Région bruxelloise ».
À charge donc pour le ou la futur(e) ministre ou secrétaire d’État bruxellois(e) au Bien-être animal de régler le problème… si un gouvernement bruxellois voit finalement le jour.

UKRAINEChiens bleus aperçus à Tchernobyl : un scientifique donne une explication étonnante.Source wamiz du 17/12/2025Ave...
18/12/2025

UKRAINE
Chiens bleus aperçus à Tchernobyl : un scientifique donne une explication étonnante.
Source wamiz du 17/12/2025

Avez-vous déjà entendu parler des chiens bleus de Tchernobyl ? Comme le relate le site People, des chiens avec une fourrure bleu vif ont été aperçus, en octobre dernier, dans la zone d'exclusion de Tchernobyl, en Ukraine.
Une pelage étonnant qui a bien évidemment provoqué son lot de spéculation. Nombreux étaient ceux à penser que cette couleur pourrait être une réaction aux radiations.

Signe d’un manque d’hygiène
Le 13 novembre 2025, un professeur de sciences biologiques à l'Université de Caroline du Sud et conseiller scientifique de Dogs of Chernobyl a évoqué un autre motif très surprenant.
Selon lui, la teinture bleue provient probablement de toilettes mobiles dans lesquelles les chiens se sont roulés, un peu comme dans une litière pour chat.
Pour ce scientifique, il s’agit d’un « signe du manque d’hygiène des chiens ». En clair, « malgré le battage médiatique autour des chiens de Tchernobyl, les chiens bleus ne reflètent aucune mutation ni adaptation évolutive aux radiations, mais sont plutôt le résultat du comportement insalubre des chiens », indique son message.
Rappelons que les chiens de Tchernobyl ne peuvent pas quitter ce territoire sans autorisation. Cela rend donc le travail plus compliqué des associations pour les aider et les soigner.

"Un exemple spectaculaire du pouvoir de la préservation d'une espèce" : les flamants roses de retour en masse en Camargu...
18/12/2025

"Un exemple spectaculaire du pouvoir de la préservation d'une espèce" : les flamants roses de retour en masse en Camargue.
Source TF1 du 17/12/2025

Droits sur leurs grandes pattes, les flamants roses vivent paisiblement dans les étangs des parcs naturels de Camargue. En ce mois de décembre, ils sont en pleine parade nuptiale. À quelques mètres seulement, des scientifiques les observent et les étudient. "Là, on est en train de compter les flamants roses sur l'ensemble du parc. En ce moment, on a des effectifs qui peuvent aller jusqu'à 2.000 individus", explique Pascaline Dourthe-Sorin, guide naturaliste au parc ornithologique du Pont-de-Gau (Bouches-du-Rhône), sur LCI.
Menacée de disparition dans les années 1960 puis classée comme espèce protégée en 1981, l'espèce prospère aujourd'hui. "On n'a plus le droit de tuer les flamants roses. Donc forcément, l'espèce se porte mieux. Elles trouvent des zones où il y a moins de dérangements, où elles peuvent se reproduire, se reposer, s'alimenter. Et c'est ce qui a permis l'augmentation du flamant rose ces dernières décennies", développe-t-elle.
Au printemps, plus de 70.000 flamants roses reviennent en Camargue. Cette année, pas moins de 18.000 bébés y sont nés. "Il y a un message d'espoir. C'est que quand les projets de protection sont menés avec des moyens et sur le long terme, on peut voir les déclins s'infléchir et donc des espèces se rétablir, se réjouit F***y Rouxelin, directrice du pôle biodiversité terrestre de WWF France. Le flamant rose, c'est un exemple spectaculaire du pouvoir de la conservation et de la protection d'une espèce."

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