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6 préjugés sur l'American Staffordshire Terrier : mythes, réalités et idées reçues !Source Le mag du chien du 21/03/2025...
22/03/2025

6 préjugés sur l'American Staffordshire Terrier : mythes, réalités et idées reçues !
Source Le mag du chien du 21/03/2025

L’American Staffordshire Terrier ou Amstaff n’a pas une image très positive. Sa réputation est effectivement peu flatteuse et il sera donc victime de nombreux préjugés. Pourtant, c’est une race qui a aussi beaucoup qualités et qui demande seulement à être mieux comprise. Faisons le point sur les principales idées reçues liées à cette race de chien et tentons de démêler le vrai du faux.

1 - C’est un chien méchant, dangereux
C’est certainement l’idée reçue n°1 lorsque l’on parle de l’American Staffordshire Terrier. Il renvoie l’image d’un chien violent, agressif, dangereux. Si vous vous promenez avec cette race de chien dans la rue, il est d’ailleurs très probable que certains passants changent rapidement de trottoir.
Il est vrai que son physique est assez impressionnant, avec sa mâchoire carrée, sa musculature puissante et son corps compact. De plus, il a un tempérament énergique. Sa taille peut aller de 43 à 48 cm au garrot pour un poids oscillant entre 20 et 35 kilos, en fonction du sexe du chien. A l’origine, ce chien a été sélectionné pour les combats, ce qui n’aide effectivement pas à lui donner une image flatteuse et qui explique la réputation dont il pâtit encore aujourd’hui.
Ensuite, c’est un chien catégorisé, ce qui n’arrange rien. Puisqu’il doit porter une muselière dans les lieux publics, il est immédiatement catalogué comme « chien dangereux ».
Pourtant, les problèmes de dangerosité et d’agressivité ne sont pas le fait de la race uniquement, mais bien de l’éducation. Le tempérament du chien se construit selon plusieurs facteurs. La génétique entre évidemment en compte : le chien va hériter de certaines caractéristiques de ses parents. Mais le sevrage, la sociabilisation, l’éducation, ainsi que l’environnement dans lequel l’animal évolue vont avoir un impact primordial sur son comportement. Aucune race de chien n’est méchante par nature. Un chien dangereux, c’est un chien qui n’aura pas été éduqué de la bonne manière et dont les besoins ne seront pas comblés.

2 - L'American Staffordshire Terrier ne peut pas être éduqué sans violence
Puisqu’il a cette image de chien agressif et méchant, l’idée reçue qui en découle est que son éducation sera forcément un calvaire. Pire, si l’on reprend d’anciennes préconisations que l’on sait de nos jours complètement dépassées, on pourrait croire qu’il faut se montrer dominant face à ce type de chien, lui montrer qui est le chef, quitte à user de violence.
Pourtant, comme tous les chiens, l’American Staffordshire Terrier sera bien mieux éduqué et équilibré s’il apprend selon des méthodes d’éducation positive. Oubliez les colliers étrangleurs, les punitions, les grondements, la contrainte. Ce type de « dressage » rompt la confiance avec l’humain, provoque du stress et du mal-être, engendrant des problèmes de comportement… tels que l’agressivité.
De plus, il est indispensable de respecter ses besoins, notamment en termes de dépenses physiques et mentales. L’ennui et la frustration peuvent en effet aussi être à l’origine de comportements gênants.
Toutefois, il est vrai que l’American Staffordshire Terrier est plutôt recommandé pour des personnes dont ce n’est pas le premier chien, qui sont déjà expérimentées.

3 - Ce n’est pas un chien de famille
Saviez-vous qu’en réalité, l’Amstaff est plutôt considéré comme affectueux, proche des membres de son foyer et bienveillant ? C’est un chien intelligent, qui aime faire plaisir et qui apprécie le contact humain.
Ici encore, ce n’est pas la race qui va déterminer si ce chien peut s’entendre ou non avec des enfants. C’est la sociabilisation dont il aura bénéficié dès le plus jeune âge et son éducation qui en feront ou non un bon compagnon. S’il a été très jeune mis au contact de différents enfants et qu’il a appris les bonnes limites, il sera un excellent chien de famille. Par contre, s’il a été mis au contact d’enfants brutalement ou qu’il a eu de mauvaises expériences, il ne sera effectivement pas un compagnon idéal. Mais ce constat peut aussi très bien concerner un Labrador ou un Golden Retriever.
Dans tous les cas, peu importe la race et le tempérament du chien, il est préférable de ne jamais le laisser sans surveillance avec un bébé ou un jeune enfant, pour limiter les risques d’accident.

4 - C’est un chien asocial, qui attaque systématiquement ses congénères
L’American Staffordshire terrier n’a pas la réputation d’être le plus social des chiens avec ses congénères. La cohabitation entre deux animaux du même sexe peut effectivement être conflictuelle. Mais à nouveau, cela va aussi dépendre pour beaucoup de la sociabilisation dont a bénéficié l’animal : s’il a tout jeune été mis au contact d’autres congénères et qu’il a eu des expériences positives, il sera davantage à même de tolérer leur présence.

5 - Son adoption nécessite de nombreuses démarches
Ici, il ne s’agit pas d’une idée reçue, mais de la réalité. La race American Staffordshire terrier fait en effet partie de celles qui sont catégorisées. Il appartient à la catégorie 2, qui regroupe d’autres chiens dits « de garde et de défense », à l’instar du Rottweiler et du Tosa.
Notons que les chiens issus de croisements, qui les rendent assimilables à un American Staffordshire terrier (que l’on appelle « Pitbull ») sont inclus dans la catégorie 1 des chiens d’attaque. La réglementation est encore plus stricte les concernant. Depuis janvier 1999, il n'est plus possible en France d’acheter, de vendre ou de donner un chien issu de cette catégorie.
Pour adopter un chien catégorisé comme l’Amstaff, il est nécessaire d’appliquer la réglementation, qui inclut plusieurs points.
L’obtention d’une attestation d’aptitude à détenir un chien catégorisé, qui fait suite à une journée de formation obligatoire.
La possession d’un permis de détention, délivré par le maire de la commune de résidence.
L’évaluation comportementale du chien entre l’âge de 8 mois et de 1 an, à l’issue de laquelle il sera classé selon son niveau de risque (allant de « pas de risque particulier » à « dangerosité élevée »). Elle peut nécessiter un renouvellement, en fonction du classement décidé par le vétérinaire.
La souscription à une assurance responsabilité civile, qui sera sollicitée en cas de dommages causés à des tiers par le chien.
La vaccination du chien contre la rage tout au long de sa vie.
Ensuite, quelques éléments de la vie quotidienne devront aussi être adaptés. Les chiens de 2ème catégorie comme l’Amstaff doivent être tenus en laisse et porter une muselière dans tous les lieux publics. Cela inclut les transports en commun, les locaux ouverts au public, la voie publique et les parties communes d’un immeuble collectif.
Enfin, les personnes mineures, les majeurs sous tutelle, les personnes condamnées pour certains crimes ou délits, ou celles qui se sont vues retirer la garde d’un chien ne peuvent pas détenir d’animaux catégorisés.

6 - Le Staffie et l’American Staffordshire Terrier sont la même race de chiens
En réalité, ce sont bien deux races de chiens distinctes, mais souvent confondues. D’un côté, nous avons donc notre American Staffordshire Terrier, aussi appelé Amstaff ; de l’autre, le Staffordshire Bull Terrier, connu sous le surnom de Staffie.
Si leur nom et leur physique présentent des similitudes et qu’ils ont des origines communes, ils ne sont que cousins. Le Staffie est bien plus petit, avec un poids allant de 11 à 17 kilos en moyenne pour une taille de 33 à 40 cm au garrot. Surtout, le Staffie n’est pas un chien catégorisé. Toutefois, il est important de pouvoir justifier de l’origine de ce chien (inscription au LOF par exemple), puisqu’il aurait tendance à ressembler au Pitbull en grandissant.

Ne pas tenir en laisse votre chien dans ce lieu pourra bientôt vous coûter cher.Source TF1 du 21/03/2025Rien de tel qu'u...
22/03/2025

Ne pas tenir en laisse votre chien dans ce lieu pourra bientôt vous coûter cher.
Source TF1 du 21/03/2025

Rien de tel qu'une balade en forêt avec son chien pour se ressourcer et profiter de l'air printanier ! Mais saviez-vous que sur cette période, vous n'avez plus le droit de laisser Médor batifoler à sa guise dans les bois ? Du 15 avril au 30 juin, votre chien devra être tenu en laisse dans toutes les zones forestières. On vous explique pourquoi.

Pourquoi les chiens sans laisse sont-ils interdits en forêt du 15 avril au 30 juin ?
Au printemps, la nature se réveille et commence un nouveau cycle. Les oiseaux nidifient et les mammifères sauvages mettent bas. Alors que les petits sans défense se développent doucement dans le nid ou le terrier, les parents passent leurs journées à chercher de la nourriture pour reprendre des forces et nourrir les jeunes affamés. Un chien qui se promène en liberté représente pour eux un immense danger. Grâce à son flair très développé, il peut aisément débusquer une nichée et, au mieux, effrayer toute la famille, au pire, transformer les nouveaux-nés en casse-croûte.

Par ailleurs, la simple présence du chien considéré comme un prédateur peut modifier le comportement de la femelle, rappelle l'Office National des Forêts (ONF). Sous l'effet du stress, elle peut abandonner son bébé ou sa portée et s'enfuir. Dans le but de préserver les chances de survie de la nouvelle génération de biodiversité et de favoriser le repeuplement saisonnier, le gouvernement impose donc aux propriétaires de chiens de les tenir en laisse dans les zones boisées publiques du 15 avril au 30 juin. La loi n'est pas récente puisqu'elle est présentée dans l'Article 1 de l'Arrêté ministériel du 16 mars 1955. La restriction exclut néanmoins les allées forestières, c'est-à-dire les routes, les chemins et les sentiers forestiers, incluant ceux de grande randonnée (GR), précise le Service Public. Vous avez donc le droit de vous promener avec votre chien sans laisse tant que vous restez sur ces zones de circulation et devez l'attacher lorsque vous les quittez.

Qu'est-ce que je risque si je ne respecte pas la loi ?
Si vous êtes surpris par un agent assermenté en dehors d'une allée forestière avec un chien non tenu en laisse entre le 15 avril et le 30 juin, vous écoperez d'une amende de quatrième classe dont le montant maximal s'élève à 750 €. L'animal est alors considéré en divagation, conformément à l'Article R428-6 du Code de l'environnement. Rappelons que le reste de l'année, vous pouvez laisser votre chien de compagnie en liberté dans un rayon maximal de 100 mètres autour de vous. Au-delà, il est considéré comme hors de votre autorité, donc en divagation, et la loi s'applique également.

Que faire si des bandes de chats errants vivent autour de chez vous ?Source TF1 du 21/03/2025La France en compterait env...
22/03/2025

Que faire si des bandes de chats errants vivent autour de chez vous ?
Source TF1 du 21/03/2025

La France en compterait environ onze millions. Les chats errants peuvent proliférer très vite. Un couple de chats non stérilisés peut engendrer jusqu'à douze chatons la première année. Quatre ans plus t**d, il pourrait enregistrer 20.000 descendants. Problème : ces chats mènent souvent une vie de misère, en proie à la faim, la soif, aux maladies, aux infections ou aux actes malveillants. Résultat, ils trouvent refuge dans des habitations ou des bâtiments protégés.
Le Code rural considère les chats "en état de divagation" lorsque vous les trouvez à "plus de 200 mètres des habitations ou à plus d’un kilomètre du domicile de son maître". La loi tient pour errant les chats qui sont saisis sur la voie publique ou sur la propriété d'autrui dont le propriétaire n'est pas connu.
Si vous en trouvez autour de chez vous et que vous ne savez pas quoi faire, ne les nourrissez pas. Donner à manger aux chats errants participe à leur prolifération et favorise leur implantation à long terme. Généralement, des arrêtés municipaux vous l’interdisent. Laissez-leur une gamelle d’eau en cas de forte chaleur. Prenez contact avec une association de protection animale locale. Les bénévoles vous conseilleront et vous aideront à trouver une solution : une de leurs missions consiste à protéger les chats errants. Beaucoup mènent des politiques de stérilisation.

Interpelez votre municipalité
Sachez que les maires doivent s’occuper des animaux errants sur le territoire de leur commune. Si vous remarquez une colonie de chats errants, contactez votre mairie : elle dispose de partenaires pour les stériliser et en prendre soin. Le Code rural et de la pêche maritime et le Code général des collectivités territoriales l’enjoignent de faire ce travail : "Le maire peut, par arrêté, à son initiative ou à la demande d’une association de protection des animaux, faire procéder à la capture de chats non identifiés, sans propriétaire ou sans détenteur, vivant en groupe dans des lieux publics de la commune, afin de faire procéder à leur stérilisation et à leur identification."
Une fois capturés et stérilisés, les mairies placent les chats errants en fourrière pendant huit jours ouvrés. Durant ce délai, les associations recherchent un propriétaire si l’animal détient un numéro d’identification. Si les chats se retrouvent sans solution, les mairies les cèdent à des associations pour les faire adopter ou les relâchent à l’endroit où elles les ont trouvés. Là seulement, vous pouvez nourrir les chats errants, devenus chats libres, désormais identifiés au nom de la commune ou d’une association de protection animale.
Attention, si vous réussissez à attraper un chat errant, ne le conduisez pas vous-même dans un refuge. La loi interdit aux associations de protection animale de prendre en charge des animaux inconnus.

Mon chat n'a strictement aucun instinct de chasse, est-ce grave ?Source Le mag du chat du 22/03/2025Alors que certains c...
22/03/2025

Mon chat n'a strictement aucun instinct de chasse, est-ce grave ?
Source Le mag du chat du 22/03/2025

Alors que certains chats sont fiers de rapporter des souris à leurs humains, le vôtre semble ignorer les proies ou pire… se fait courser par un mulot ? Impossible de nier l’évidence, votre félin ne possède pas l’une des caractéristiques les plus emblématiques de son espèce : l’instinct de chasse ! Tandis que certains propriétaires cherchent des astuces pour canaliser la prédation de leur chat, d’autres s’interrogent sur l’indifférence de leur matou face aux oiseaux et rongeurs. Est-ce grave ? Voici nos explications sur ce comportement étonnant.

Le chat, un chasseur né ? Peut-être pas !
Certes, le chat est un prédateur, dont l’instinct de chasse se développe rapidement dès les premiers mois de vie. Cependant, ce dernier est influencé par divers facteurs.
L’environnement : un chat domestique nourri chaque jour dans un appartement sans proies peut perdre l’intérêt de la prédation. Non seulement il n’a pas besoin de chasser pour vivre, mais en plus, il ne reçoit pas de stimulation en ce sens, puisqu’aucun oiseau ou rongeur ne vient titiller son exceptionnel odorat et son ouïe.
L’éducation maternelle : les chatons apprennent beaucoup en observant leur mère. Si votre animal a été séparé tôt de sa maman ou ne l’a jamais vue chasser, cela peut freiner le développement de son instinct.
Le caractère : certains chats sont très actifs et joueurs, tandis que d’autres sont plus casaniers et calmes. Ces derniers préfèrent se détendre sur le canapé ou dans un rayon de soleil plutôt que de courir après un jouet.
L’âge et l’état de santé : un chat qui prend de l’âge ou souffre de problèmes de santé est moins enclin à courir, sauter et chercher à attraper des proies, qu’elles soient réelles ou factices. En outre, les chats souffrant d’embonpoint ont souvent tendance à s’économiser, car leurs kilos en trop les handicapent dans la chasse.

Est-ce inquiétant que votre chat ne chasse pas ?
L’absence du comportement de prédation n’est pas inquiétante si elle n’est pas accompagnée d’autres problèmes de type douleurs articulaires, dépression, etc. Aujourd’hui, il est plus souvent nécessaire de canaliser son petit félin pour limiter ses atteintes à la biodiversité que de le stimuler pour l’aider à tuer des proies.
Cependant, si votre chat ne chasse jamais, pas même le plumeau, il peut développer certaines complications en raison du manque d’exercice physique et de stimulation mentale. En effet, la chasse n’est pas seulement à but alimentaire, elle est aussi un jeu, une « nourriture spirituelle ». Ainsi, un chat qui ne chasse pas peut s’ennuyer et devenir léthargique. Il risque alors de prendre du poids et d’entrer dans le cercle vicieux : grossir, réduire encore son activité et grossir encore en raison du manque d’exercice. C’est d’autant plus fréquent chez les chats nourris en self-service : ils n’ont pas besoin de courir pour accéder à leurs croquettes et mangent sans efforts, aussi souvent qu’ils le souhaitent.
En outre, en courant peu, le chat vieillit prématurément au niveau articulaire. Comme il ne sollicite pas assez son corps, ses réflexes et son agilité diminuent. La chasse permet d’entretenir la forme et la souplesse.
Enfin, il est intéressant de se demander si le chat n’a jamais eu l’instinct de chasse ou s’il l’a perdu. En effet, s’il l’a perdu, il convient de chercher pourquoi. S’il ne l’a jamais eu, on peut en déduire plus facilement que cela provient à la fois de son éducation, de son contexte et de sa personnalité.

Comment stimuler l’instinct de prédation de votre chat ?
Il existe des solutions pour stimuler physiquement et mentalement votre chat. Vous pouvez, par exemple, lui offrir un jouet dans lequel vous cachez des friandises ou des croquettes. En roulant, l’objet libère les récompenses. Votre animal doit donc faire la démarche d’activer le jouet pour manger. Il est ainsi obligé de « chasser » pour se nourrir.
Si votre chat est de nature peureuse, il peut refuser de chasser les insectes du jardin en raison du manque de sécurité ressenti. Il est alors possible de lui aménager un coin tranquille, soit sous forme de catio, soit en installant un filet qui bloque les entrées et sorties dans son espace. Ainsi, votre animal pourra en prendre possession et gagner en confiance. Il devrait ensuite être plus motivé pour attraper ce qui vole et siffle près de ses oreilles !
Pensez aussi à le stimuler. Un chat, même peu chasseur, apprécie les interactions avec son humain. Prenez le temps de jouer avec lui avec un plumeau, une cane à pêche ou des petites b***es. Faites attention de ne pas remuer le plumeau de manière régulière, mais de simuler ce que ferait une proie : arrêts, reprises, déplacements aléatoires, changements de rythme, éloignez le jouet chat puis rapprochez-le, cachez-le puis faites-le ressortir de sa cachette… comme se comporterait un oiseau ou une souris.

Chaque chat est unique !
Chaque chat est unique et tous ne sont pas de grands chasseurs ou des joueurs invétérés ! On ne peut donc pas forcer une nature peu joueuse, on peut juste l’inciter, essayer de stimuler en douceur son goût pour la chasse et la poursuite qu’il ne connaît peut-être pas encore. Les chats ont besoin d’être acceptés tels qu’ils sont, sans être comparés à d’autres ni être stressés par des attentes auxquelles ils ne peuvent pas répondre.
Cependant, si votre matou aimait autrefois poursuivre des proies (réelles ou factices) et cesse brutalement, cela peut être le signe d’un problème de santé. La dépression existe chez les petits félins. De même, l’arthrose peut rendre les déplacements difficiles. Si votre chat cache une infection ou une maladie, cela peut aussi le rendre léthargique. Les changements de comportement sont souvent liés à une souffrance physique ou mentale. Il convient alors de prendre l’avis d’un vétérinaire.
En outre, les propriétaires ne s’alarment pas quand le chat prend de l’âge. Ils considèrent normal que leur compagnon s’assagisse avec le temps. Ils ont en partie raison, mais il ne faut pas ignorer que le vieillissement s’accompagne parfois de douleurs. Or celles-ci peuvent aujourd’hui être soulagées grâce à des traitements. Un chat inactif risque de développer des complications, comme une prise de poids ou une fonte musculaire, plutôt néfastes pour sa qualité de vie. Si vous constatez une diminution notable de son activité, signalez-le à votre vétérinaire. Il serait dommage que votre chat se prive de bouger alors qu’il est possible d’améliorer son bien-être.
Ne pas chasser n’empêche pas un chat d’être heureux et l’absence d’instinct de prédation n’est pas grave en soi, tant que l’animal est en bonne santé et épanoui. Cependant, il doit pouvoir dépenser son énergie et recevoir une certaine stimulation mentale pour rester en bonne condition physique et ne pas s’ennuyer. Votre participation est alors nécessaire. Si son comportement change subitement, en revanche, qu’il a aimé la chasse puis s’en détourne, il convient alors de prendre rendez-vous chez le vétérinaire pour vérifier qu’aucune maladie ou souffrance ne cause ce changement de comportement.

Vol d’animaux de compagnie : état des lieux !Source Le mag des animaux du 22/03/2025Les vols d’animaux de compagnie sont...
22/03/2025

Vol d’animaux de compagnie : état des lieux !
Source Le mag des animaux du 22/03/2025

Les vols d’animaux de compagnie sont une réalité préoccupante en France. Chaque année, des milliers de chiens et de chats disparaissent, laissant leurs propriétaires dans un profond désarroi. Cette situation s’est aggravée ces dernières années, notamment depuis la pandémie de la Covid-19. Combien d’animaux de compagnie sont volés chaque année ? Pourquoi les chiffres officiels sont si loin de la vérité ? Pourquoi si peu de propriétaires portent plainte ? Que deviennent les animaux volés ? Quelles sont races les plus touchées ? État des lieux d’un phénomène qui est loin d’être anecdotique.

Combien de chiens et chats sont-ils volés chaque année ?
Selon les données les plus récentes fournies par l’I-Cad (Identification des carnivores domestiques), 459 chiens et 157 chats ont été déclarés volés en 2022. Des chiffres en hausse de 14% par rapport à 2021 pour les chats et de 21% pour les chiens. Au cours de l'été 2024, 135 canidés et félidés ont été déclarés volés. En représentant 60 à 70 % des déclarations de vol, le chien reste l'animal le plus vulnérable. Cependant, l’Association nationale contre le trafic des animaux de compagnie (Antac), établit à environ 75000 le nombre de chiens et chats volés chaque année en France, une donnée qui pourrait prendre en compte tous les animaux disparus (volés ou perdus). Selon l’I-Cad, 82864 animaux (chiens et chats) ont été déclarés perdus en France en 2023, soit 1 chat déclaré perdu toutes les 8 minutes et 1 chien toutes les 26 minutes. La même source avance qu’entre juin et août 2024, plus de 27000 animaux ont été déclarés perdus, dont 21718 félins et 5357 canidés. La période estivale est particulièrement propice aux pertes d'animaux, souvent en raison des déplacements liés aux vacances.

Pourquoi les propriétaires ne portent pas plainte ?
Il convient de noter la difficulté d’obtenir des statistiques précises car la plupart des cas de vols ne sont pas signalés aux autorités. Plusieurs raisons expliquent ce silence. En France, les animaux de compagnie étaient considérés comme des meubles jusqu’en 2015, ce qui peut aujourd’hui encore, dissuader les victimes de porter plainte par méconnaissance de la loi. De surcroît, de nombreuses personnes pensent que la police ou la gendarmerie ne prendra pas leur signalement au sérieux, surtout si elles n’ont pas de preuves concrètes. Il faut reconnaître que certaines autorités minimisent encore ces vols, ne les considérant pas comme une priorité. D’autres propriétaires hésitent à signaler un vol, pensant d’abord que leur animal s’est simplement enfui. Ce n’est que plus t**d qu’ils réalisent qu’il a peut-être été volé. Enfin, le manque d’informations et de sensibilisation contribue au problème. Toutes les victimes ne connaissent pas les démarches à entreprendre en cas de vol. Or, plus les cas seront signalés, plus la prise de conscience grandira.

Pourquoi y a-t-il plus de chiens volés que de chats ?
Les chiens sont plus fréquemment volés car leur valeur marchande est supérieure, en particulier pour certaines races prisées (voir ci-dessous). De plus, les canidés se révèlent généralement plus sociables et faciles à attirer avec des friandises ou des appels amicaux, contrairement aux félins, plus méfiants et difficiles à capturer. Par ailleurs, les chiens sont souvent promenés en laisse dans des lieux publics, ce qui les rend plus accessibles aux voleurs, alors que les chats laissés en liberté sont moins localisables. Enfin, les chiens sont parfois volés pour alimenter des combats illégaux, la mendicité ou la chasse, des usages qui ne concernent pas les chats.

Quelles sont les races les plus convoitées ?
Certaines races de chiens (et de chats) sont particulièrement prisées par les voleurs en raison de leur popularité et de leur prix élevé. Parmi les plus convoitées, on peut citer :
Le bouledogue français, très en vogue, peut se vendre plusieurs milliers d’euros ;
Le chihuahua, de petite taille, est facile à dérober et très recherché ;
Le Staffordshire Bull Terrier et l’American Staffordshire Terrier sont parfois utilisés dans des combats illégaux de chiens ;
Le berger allemand et le malinois sont très appréciés pour leur intelligence et leur capacité de garde ;
Le cavalier King Charles et le spitz nain constituent des races de luxe très demandées ;
Les chiens de chasse, comme les braques, les setters ou les épagneuls, font également l’objet de vols. Leur formation (à la chasse) et leur pedigree augmentent leur valeur marchande ;
Les chats de race, peuvent également être ciblés, notamment le Maine C**n, le persan et le bengal.

Comment les animaux de compagnie sont-ils volés ?
Les voleurs utilisent plusieurs techniques pour s’emparer des animaux de compagnie. Certains n’hésitent pas à arracher les petits chiens directement des bras de leurs propriétaires lorsqu’ils sont promenés dans la rue. D’autres s’introduisent dans les jardins non sécurisés pour capturer les animaux laissés sans surveillance. On recense également des cas où les voleurs appâtent les chiens avec de la nourriture pour les attirer hors de leur domicile. Les chiens de chasse, par exemple, vivent souvent dans des chenils en extérieur ou dans des dépendances, parfois isolées, ce qui facilite leur vol sans être remarqué. Une autre méthode consiste à dérober des animaux dans des voitures ou devant les magasins, lorsque les propriétaires les laissent seuls, même pour une courte durée. Les malfrats peuvent aussi utiliser des cages et des pièges pour attraper des chats errants ou domestiques dans les quartiers résidentiels. Comme nous le détaillerons plus bas dans ce dossier, des individus n’hésitent pas à faire croire qu’ils ont trouvé un animal et à demander une somme pour la restitution.

Pour quelles raisons chiens et chats sont-ils volés ?
Les motivations des voleurs d’animaux de compagnie sont toujours liées à des intérêts financiers. Explications :
Les chiens ou chats sont souvent revendus sur des plateformes en ligne sans vérification de l’identité de l’acheteur, permettant ainsi aux malfaiteurs de réaliser des profits rapides ;
Les animaux de compagnie sont également susceptibles d’alimenter des élevages clandestins où ils sont contraints de se reproduire à un rythme effréné ;
Certaines races de type molosse sont ciblées pour participer à des combats illégaux ;
Des chiens sont exploités dans le cadre de la mendicité forcée car en suscitant la compassion des passants, ils incitent aux dons. Cette pratique est particulièrement répandue dans les grandes villes ;
Les chiens de chasse sont généralement revendus à des chasseurs qui cherchent à acquérir rapidement un animal déjà dressé ou à des réseaux criminels qui les exportent illégalement vers des pays européens où on les utilise pour la chasse ou la reproduction ;
Des races de luxe sont dérobées dans le but d’exiger une rançon à leurs propriétaires ;
Enfin, signalons une forme d’escroquerie de plus en plus courante. Des individus repèrent des avis de recherche et proposent de restituer l’animal (qu’ils n’ont pas en leur possession) contre une somme d’argent. Les malfrats insistent sur un paiement rapide par virement (PayPal, Western Union) et une fois l'argent encaissé, disparaissent de la circulation.
En France, le vol d'un animal de compagnie est considéré comme un délit pénal passible de 3 ans d'emprisonnement et de 45000€ d'amende.

5 parcs où promener son chien sans laisse à Bruxelles (on liste aussi les plages de la côte belge si vous partez en week...
22/03/2025

5 parcs où promener son chien sans laisse à Bruxelles (on liste aussi les plages de la côte belge si vous partez en week-end).
Source Moustique du 21/03/2025

A Bruxelles, ce n'est pas toujours évident de trouver un espace où promener son chien sans laisse. Certains parcs annoncent des horaires restrictifs ou encore des périodes de l'année limitée pour lâcher son chien. Ces mesures sont pensées pour préserver le patrimoine ou les paysages, ou assurer une bonne répartition de l'espace public.
Pourtant, promener son chien sans laisse permet de favoriser la socialisation. C'est l'occasion aussi pour nos animaux de se défouler. Voici donc quelques parcs dans la capitale qui permettent de lancer la b***e très loin.

Parc Seny
Ce parc à Auderghem dispose d'une zone « chiens en liberté » entre le boulevard du Souverain et la Woluwe, dans la zone ouest du parc. L'espace n'est pas clôturé mais est indiqué grâce à des panneaux.

Parc du Cinquantenaire
Entre Schuman et Montgomery, ce magnifique parc urbain propose quatre zones pour laisser votre chien courir en liberté.

Parc de Woluwe
C'est Avenue de Tervuren, à Woluwe-Saint-Pierre, que vous pourrez retrouver deux grandes zones « chiens en liberté », dans le grand et le petit vallon.

Réserve naturelle du Moeraske
Si vous avez déjà fait un tour au Moeraske, vous avez pu constater que les promeneurs et leur compagnon à 4 pattes apprécient s'y balader librement.

Forêt de Soignes
A la frontière de Bruxelles, la Forêt de Soignes accueille de nombreux promeneurs chaque jour. Plusieurs espaces permettent à vos chiens de se balader en liberté, d'autres encore sont des zones "chiens maitrisés" où il est requis de les maintenir à proximité. Enfin, certaines zones sont strictement interdites aux chiens : c’est le cas notamment des zones de pâturage. Des pictogrammes vous indiqueront la zone que vous traversez.

Et les plages à la côte belge ?
Un petit rayon et vous êtes tenté de monter dans le premier train pour la côte ? Sachez que les règles varient en fonction des communes. Vous pouvez consulter les informations par municipalité sur le site lelittoral.be.

De manière générale, les règlements évoluent rapidement donc n'hésitez pas à vous renseigner auprès de votre commune !

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