Animaux : La Plate-Forme de toutes les informations

Animaux : La Plate-Forme de toutes les informations Tout ce que vous devez savoir sur les animaux : Faits divers, Maltraitances, Disparition, Conseils.. Cette page n'a aucun but commercial ni lucratif.

“Ils martyrisent les cadavres d'animaux, ça n'est pas anodin” : la tradition du cou de l’oie reprend dans un climat tend...
19/09/2025

“Ils martyrisent les cadavres d'animaux, ça n'est pas anodin” : la tradition du cou de l’oie reprend dans un climat tendu dans le Puy-de-Dôme.
Source France 3 du 19/09/2025

Interdite l’an dernier à la suite d’un arrêté municipal, la pratique controversée du "cou de l’oie" fait son retour en 2025 à Saint-Bonnet-près-Riom, dans le Puy-de-Dôme. À l’origine de cette décision : la volonté du maire de répondre à un "attachement profond" de la population à cette tradition locale. Il s'agit d'une coutume lors de laquelle les conscrits de la commune, montés sur des chevaux, doivent arracher la tête de la dépouille d'une oie ou d'un lapin, pendue par les pattes.

Une tradition qui divise
Muriel Arnal, fondatrice de l’association One Voice, ne décolère pas : « Nous continuons à dénoncer cela. Nous pensions avoir été entendus, mais ce n’est pas le cas. Malgré tout, nous continuons, parce que ça n'est pas anodin. Il faut absolument faire changer cela. » Selon elle, cette tradition va bien au-delà d’un simple folklore : « On peut faire évoluer la tradition avec les connaissances qu'on a aujourd'hui sur l'éducation à la violence, à la compassion et à l'empathie. Faire participer des jeunes à un spectacle pareil, à les applaudir quand ils arrachent la tête d'animaux, quand ils martyrisent les cadavres d'animaux, ça n'est pas une fête anodine. C'est encourager les jeunes à la violence. La société n'est-elle pas assez violente comme ça ? »
L’association déplore également l’impact sanitaire et éthique de cette pratique : « On tue des animaux spécialement pour cela et ensuite on martyrise leurs dépouilles, leurs cadavres. Cela peut s’accompagner d’éventuels problèmes d'hygiène. On lutte contre cette idée que pour célébrer le passage à l'âge adulte, il faut violenter des animaux morts. »

Une décision municipale controversée
Le maire de la commune, Denis Rougeyron, justifie son choix de ne pas reconduire l’arrêté d’interdiction : « On a écrit au préfet parce qu'on a mené une grande concertation avec toutes les parties prenantes de la commune, et il y a un attachement très profond à cette tradition. » Il souligne que sa décision découle d’une volonté d’écoute locale : « J’ai bien vu l'attachement très important des jeunes, du comité des fêtes et de toutes les parties prenantes à cette organisation. C'est pour respecter leur position et leur avis que j'ai décidé de ne pas prendre d'arrêté. »
Mais pour Muriel Arnal, ce choix est une source d’inquiétude : « C'est une déception. Nous ne sommes pas là pour faire de l'ingérence dans les communes. Nous sommes là pour donner un signal, sonner l'alarme. Ne pas être entendus est inquiétant parce que ça n'est pas anodin. On ne demande pas aux gens de dire que ce qui s'est fait par le passé était mal. Le passé, c'est le passé. Mais là, aujourd'hui, on sait que ça n'est pas anodin, et pourtant on persiste. »

Un cadre légal strict
Interpellée, la préfecture du Puy-de-Dôme a rappelé les limites légales de ce type de manifestation. Dans un courrier adressé au maire, elle précise que : « Il n'est pas possible d'euthanasier des animaux pour procéder à une animation telle que le cou de l'oie. L'abattage d'animaux est exclusivement destiné à l'alimentation, soit dans un abattoir, soit dans un cadre familial sous conditions. »

Plusieurs articles de loi sont invoqués :
La mise à mort d’animaux sans nécessité est un délit prévu par l'art 522-1 du code pénal : « Le fait, sans nécessité, publiquement ou non, de donner volontairement la mort à un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité, hors du cadre d'activités légales, est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende ».
En application de l’article L. 654-3 du Code rural et de la pêche maritime (CRPM), l’abattage d’un animal hors d’un abattoir est interdit : il constitue un délit passible de six mois d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende (article L.237-2 du CRPM).
L'article R. 231-6 du code rural et de la pêche maritime permet la mise à mort d'un animal en dehors d'un abattoir pour les espèces ovines, caprines, porcine, volailles et lagomorphes (lapins) d’élevage dès lors que cet abattage est réalisé par la personne qui les a élevés et que la totalité des animaux abattus est réservée à la consommation de la famille. Le non-respect de ces obligations constitue également un délit passible de six mois d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende (article L.237-2 du CRPM).
Les animaux abattus dans un abattoir ne peuvent en sortir que sous forme de carcasses après déshabillage/plumaison et éviscération. Le non-respect de ces dispositions constitue un délit passible d’une peine d’amende de 3750 euros (article L. 228-5 du CRPM).
« Une manifestation publique ou sur invitation au cours de laquelle des cadavres seraient exposés pour "jouer" ne fait pas partie des débouchés permettant l'abattage licite des animaux », martèle la préfecture.

Le choc des convictions
Pour One Voice, il ne s’agit pas d’abolir les fêtes populaires, mais de les faire évoluer. « Il peut y avoir des épreuves, des concours, des festivités sans martyriser les cadavres d'animaux. Il est possible d'avoir la fête, d'avoir la tradition, sans rester sur ces vieilles pratiques qui sont extrêmement nocives. » Le maire précise que pour éviter tout dérapage ou manifestation durant les festivités, qui auront lieu du 19 au 22 septembre, un service de sécurité a été mis en place par les organisateurs. Sollicités, ces derniers n'ont pas souhaité s'exprimer.

Voyager en avion avec son chien : règles, compagnies dog-friendly et alternatives pour les expatriés.Source Les français...
19/09/2025

Voyager en avion avec son chien : règles, compagnies dog-friendly et alternatives pour les expatriés.
Source Les français presse du 19/09/2025

En 2025, la France compte plus de 79 millions d’animaux de compagnie, et 68 % des Français considèrent leur chien ou leur chat comme un membre à part entière de la famille. Pourtant, voyager avec son chien, surtout en avion, reste un parcours semé d’embûches : réglementations strictes, restrictions selon les races, et risques sanitaires pour les animaux brachycéphales comme les bouledogues français. Entre les formalités administratives, les limites de poids en cabine, et les craintes pour le bien-être de l’animal, l’expatriation ou le voyage avec un compagnon à quatre pattes peut vite devenir un casse-tête. Comment s’y retrouver ? Quelles compagnies autorisent les chiens en cabine, quel que soit leur poids ? Quelles sont les alternatives pour un transport intercontinental sécurisé ? Voici un guide complet pour préparer sereinement votre voyage avec votre chien.

Voyager en avion avec son chien
Pour voyager avec un chien en avion, plusieurs conditions s’imposent, surtout si vous quittez ou rejoignez la France :
Identification : Puce électronique obligatoire et passeport européen pour les chiens, chats et furets.
Vaccination : Vaccin antirabique à jour (valide 21 jours après l’injection) et rappel annuel.
Règles selon la destination : Certains pays, comme les États-Unis, imposent des réglementations sanitaires supplémentaires.
En France, le transport en avion des chiens est encadré :
En cabine : Seuls les chiens de moins de 8 kg (sac de transport inclus) sont généralement acceptés, sauf exceptions.
En soute : Les chiens entre 8 et 75 kg doivent voyager avec les bagages, dans une caisse homologuée IATA.
Le non-respect des règles peut entraîner des refus d’embarquement, des amendes, ou des poursuites en cas de fraude sur les documents sanitaires. Par ailleurs, les compagnies aériennes peuvent être tenues responsables en cas de problème de santé ou de décès de l’animal, ce qui a poussé certaines à durcir leurs conditions.

Des risques pour les races brachycéphales
Comme pour les chiens à museau court (dont notre bouledogue français, mais aussi les carlins, boxers, etc.) qui sont particulièrement vulnérables en avion. Leur anatomie les expose à des problèmes respiratoires, surtout en soute, où la température et la pression peuvent varier brutalement. Depuis 2019, plusieurs compagnies, dont Air France, interdisent le transport en soute de ces races, après des incidents tragiques. Les propriétaires de bouledogues français doivent donc privilégier la cabine ou des solutions alternatives, sous peine de voir leur animal refusé à l’embarquement.

Les chiens en cabine : l’exemple italien
Depuis mai 2025, l’Italie a révolutionné le transport aérien en autorisant tous les chiens et chats en cabine, sans limite de poids, à condition qu’ils voyagent dans une cage adaptée et fixée au siège. Cette mesure, saluée par les associations de défense animale, répond à une demande croissante des voyageurs et pourrait inspirer d’autres pays européens. Les compagnies italiennes sont désormais libres de fixer leurs tarifs pour ce service, ouvrant la voie à une segmentation du marché (transport premium vs. standard).
Cette évolution reflète une tendance vers plus de flexibilité, mais chaque pays et chaque compagnie conserve ses propres règles. Il est donc essentiel de vérifier les conditions avant de réserver.

Alternatives au transport aérien classique pour les expatriés avec chien
Il existe aussi des solutions dédiées, comme Woof Airlines, Bagages du Monde ou Air Transport Animal. Ces sociétés proposent des services sur mesure pour le transport intercontinental des animaux, avec un accompagnement personnalisé et un suivi vétérinaire. Ces solutions, bien que plus coûteuses, garantissent un voyage sécurisé et moins stressant pour l’animal.

Sur le même continent
Pour les trajets au sein d’une région du globe, le train (SNCF) ou le ferry peuvent être des alternatives, sous réserve des règles spécifiques à chaque opérateur. Pour les expatriations lointaines, des agences spécialisées organisent le transport par avion-cargo, avec des escales adaptées et un encadrement vétérinaire.
Voyager avec son chien en avion exige une préparation minutieuse, surtout pour les races à risque ou les grands gabarits. Si l’Italie montre la voie en autorisant tous les chiens en cabine, la plupart des pays maintiennent des restrictions. Pour les expatriés, les solutions spécialisées (cargo accompagné, agences de transport) offrent une alternative rassurante. En attendant une harmonisation européenne, renseignez-vous auprès des compagnies et des autorités sanitaires, et privilégiez toujours le bien-être de votre compagnon.

Préparation et conseils pratiques
Habituer son chien à sa cage plusieurs semaines avant le voyage.
Choisir un vol direct pour limiter le stress.
Vérifier les formalités douanières du pays de destination, notamment pour les chiens de catégorie 1 ou 2.

Quelle race de chien correspond le mieux à votre personnalité ? 9 conseils pour le savoir !Source Le mag du chien du 19/...
19/09/2025

Quelle race de chien correspond le mieux à votre personnalité ? 9 conseils pour le savoir !
Source Le mag du chien du 19/09/2025

Adopter un chien est une décision qui engage pour de nombreuses années. Pour que cette relation soit harmonieuse, il ne suffit pas de choisir « le plus mignon » : il est essentiel de trouver un compagnon dont le tempérament s’accorde avec votre mode de vie et votre personnalité. Un chien mal adapté à son maître risque de développer des troubles du comportement ou de créer des frustrations des deux côtés. Alors, comment savoir quelle race de chien vous correspond vraiment ? Voici 9 conseils pour vous guider dans ce choix !

1. Évaluez votre niveau d’activité
L’un des premiers critères à prendre en compte est votre rythme de vie. Certaines races de chiens ont besoin d’un maître sportif et disponible, tandis que d’autres se contentent de promenades calmes.
Vous êtes actif et dynamique ? Un Border Collie, un Berger Australien ou un Husky pourrait vous convenir. Ces chiens ont besoin de se dépenser quotidiennement, aussi bien physiquement que mentalement.
Vous préférez la tranquillité ? Si vous aimez les promenades paisibles et le confort du canapé, un Bouledogue Français, un Shih Tzu ou un Cavalier King Charles sera plus en accord avec votre mode de vie.
Vous êtes entre les deux ? Un Labrador Retriever ou un Golden Retriever, joueurs mais capables de se poser, s’adaptent bien à différents rythmes.
Conseil : soyez honnête avec vous-même. Un chien débordant d’énergie ne sera pas heureux avec un maître sédentaire, et inversement.

2. Analysez votre personnalité
Les chiens ne se ressemblent pas tous, et chaque race possède un tempérament marqué. Il est donc utile de faire correspondre votre caractère avec celui de votre futur compagnon.
Vous êtes calme et patient ? Certaines races comme le Basset Hound ou le Saint-Bernard apprécieront une vie tranquille et de la douceur.
Vous êtes extraverti et sociable ? Optez pour des chiens qui aiment les interactions, tels que le Labrador Retriever ou le Boxer.
Vous êtes indépendant ? Des races plus autonomes, comme le Shiba Inu ou le Basenji, sauront respecter votre espace.
Vous aimez relever des défis ? Des chiens intelligents et exigeants, comme le Malinois, peuvent convenir, à condition de leur offrir une éducation rigoureuse et beaucoup de stimulations.
Astuce : si vous hésitez, dressez un tableau de vos traits de caractère principaux et comparez-les aux descriptions comportementales des races.

3. Prenez en compte votre expérience avec les chiens
Un premier chien ne se choisit pas de la même manière qu’un chien pour une personne déjà expérimentée. Certaines races demandent plus de compétences en matière d’éducation.
Pour les débutants : le Golden Retriever, le Cavalier King Charles ou le Carlin sont connus pour leur tempérament docile.
Pour les maîtres expérimentés : le Malinois, le Berger Allemand ou l’Akita Inu nécessitent une main ferme et des connaissances en comportement canin.
Se surestimer peut rapidement mener à des difficultés. Un chien mal éduqué peut développer des comportements problématiques, non pas par méchanceté, mais par manque de cadre.

4. Évaluez votre disponibilité
La compatibilité entre un chien et son maître dépend aussi du temps que vous pouvez lui consacrer.
Si vous êtes souvent absent, un chien très dépendant ou très énergique risque de souffrir d’anxiété ou d’ennui.
Les races plus autonomes, comme le Shar Pei ou le Chow-Chow, tolèrent mieux les absences courtes (mais aucun chien ne doit rester seul toute la journée sans occupation).
Si vous êtes souvent chez vous, vous pouvez envisager des chiens plus demandeurs en attention, comme le Cocker Spaniel ou le Berger Australien.
Important : l’éducation et la socialisation nécessitent du temps, surtout les premiers mois.

5. Considérez votre environnement
Votre lieu de vie joue un rôle crucial dans le choix de la race de votre futur compagnon.
En appartement : privilégiez des chiens de petite taille ou de tempérament calme, comme le Bouledogue Français, le Chihuahua ou le Bichon.
En maison avec jardin : vous pourrez accueillir des races plus grandes ou plus actives, comme le Labrador Retriever, le Berger Allemand ou même le Husky (à condition de leur offrir de vraies activités).
En ville : un chien tolérant le bruit et la foule sera préférable, comme le Cavalier King Charles.
À la campagne : vous aurez plus de liberté pour les chiens de travail ou de garde qui aiment l’espace, comme le Border Collie.
Le but n’est pas seulement de loger votre chien, mais de lui offrir un cadre de vie adapté.

6. Ne négligez pas les besoins spécifiques de chaque race
Chaque race a ses besoins propres en matière de toilettage, d’exercice, de stimulation mentale et même de santé.
Chiens à poils longs (comme le Terre-Neuve ou le Berger des Shetland) nécessitent un brossage régulier.
Chiens brachycéphales (Bouledogue Français, Carlin) peuvent souffrir de problèmes respiratoires, limitant leurs capacités physiques.
Chiens de travail (Border Collie, Malinois) ont besoin d’exercices intellectuels pour éviter les comportements destructeurs.
Avant de craquer pour une race, assurez-vous que vous pouvez assumer ces contraintes sur le long terme.

7. Testez votre compatibilité avant l’adoption
Une erreur fréquente est d’adopter un chien sur un coup de cœur sans jamais avoir passé du temps avec la race choisie.
Visitez des élevages ou des refuges.
Discutez avec des propriétaires de la race qui vous intéresse.
Promenez ou gardez temporairement un chien de cette race si possible.
Ces expériences concrètes vous permettront de vérifier si la réalité correspond bien à votre idée de départ.

8. Les races croisées et les chiens de refuge : une alternative idéale
Si aucune race ne semble parfaitement correspondre à votre personnalité, n’oubliez pas qu’un grand nombre de chiens issus de refuges n’attendent qu’une seconde chance.
Les chiens croisés présentent souvent des tempéraments équilibrés et s’adaptent facilement à leur maître. De plus, les bénévoles des refuges connaissent bien leurs pensionnaires et pourront vous guider vers l’animal le plus compatible avec votre mode de vie.

9. L’importance de l’éducation dans la relation maître-chien
Même si vous choisissez une race parfaitement adaptée à votre personnalité, l’éducation reste essentielle. Un chien bien éduqué est un chien qui comprend ce que l’on attend de lui, ce qui renforce la relation de confiance avec son maître.
Un tempérament compatible facilite les choses, mais la patience, la cohérence et la bienveillance font toute la différence.

Le choix d’un chien ne doit donc pas se faire uniquement sur des critères esthétiques ou de tendance. Trouver la race (ou le type de chien) qui correspond le mieux à votre personnalité, c’est s’assurer d’une relation harmonieuse, durable et épanouissante. En analysant votre mode de vie, votre caractère, votre expérience et votre environnement, puis en vous renseignant sur les besoins des différentes races, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour accueillir le compagnon idéal. Un chien bien choisi n’est pas seulement un animal de compagnie : c’est un véritable partenaire de vie, qui vous correspondra autant que vous lui correspondrez.

Chien qui tire en laisse : comprendre et corriger ce comportement durablement.Source Ici France bleu du 19/09/2025Un chi...
19/09/2025

Chien qui tire en laisse : comprendre et corriger ce comportement durablement.
Source Ici France bleu du 19/09/2025

Un chien qui tire en laisse peut transformer la promenade en épreuve. Pourquoi adopte-t-il ce comportement, comment l’éviter et quelles solutions mettre en place pour réapprendre une marche sereine ? Voici les conseils du Dr Pierre Fabing, vétérinaire.
La marche en laisse n’est pas innée pour un chien. Un chiot curieux tire naturellement pour explorer une odeur, rejoindre un congénère ou suivre un mouvement. Si, dans ces moments-là, vous le laissez avancer, il apprend que tirer est efficace.
À l’âge adulte, ce comportement peut persister car votre chien associe la laisse à la traction et non à la marche partagée. Plus il grandit, plus ce réflexe devient contraignant rendant les balades difficiles, voire pénibles. Alors, que faire ?

Reprendre l’apprentissage de son chien avec la méthode de la laisse détendue
La solution consiste à rééduquer progressivement votre chien. Le principe est simple : lorsque la laisse se tend, arrêtez-vous immédiatement et restez immobile. Quand vous relâchez la tension, la marche reprend. Ainsi, votre chien comprend que tirer bloque la progression, tandis que la détente permet d’avancer. La constance est essentielle pour avoir des résultats.
En parallèle, les moments de bonne conduite doivent être renforcés par des récompenses discrètes, friandises ou paroles positives.

La race du chien joue-t-elle un rôle dans sa tendance à tirer sur la laisse ?
Certaines races, comme les huskies ou les bergers, ont naturellement plus tendance à tracter en raison de leurs instincts. À l’inverse, des chiens de petite taille, comme le cavalier King Charles, tireront moins, mais la gêne peut être tout aussi réelle pour le propriétaire.
Quel que soit le chien, patience et régularité restent la clé. Les incohérences, autoriser parfois la traction et l’interdire à d’autres moments, brouillent l’apprentissage. Corriger tôt ce comportement facilite le processus et évite que les promenades deviennent épuisantes.

Traction sur la laisse : quand faire appel à un éducateur canin ?
Si vos efforts personnels ne suffisent pas, l’intervention d’un éducateur professionnel peut accélérer les progrès et permettre des balades plus agréables. Cet accompagnement évite les frustrations et les tensions, tout en renforçant la complicité maître-chien.
Corriger la traction en laisse de votre chien n’est donc pas qu’une question de confort. Il s'agit également d'un enjeu de sécurité et de bien-être, pour lui comme pour son vous.

9 astuces pour inciter son chat à rester à la maison !Source Le mag du chien du 19/09/2025Curiosité, chasse, amourettes ...
19/09/2025

9 astuces pour inciter son chat à rester à la maison !
Source Le mag du chien du 19/09/2025

Curiosité, chasse, amourettes de printemps, voici les nombreuses raisons qui poussent votre beau félin à s’aventurer bien plus loin que le jardin ou la cour. Avec les nombreux périls qui guettent votre “ pattes de velours ”, pas étonnant que vous cherchiez des solutions pour qu’il préfère le confort de la maison : voici 9 astuces pour un félin heureux et épanoui sans mettre ses moustaches dehors !

1 - Stimulez les instincts de votre grand prédateur
Le chat, bien qu’il dorme de longues heures n’est pas pour autant une larve amorphe dénuée d’esprit. L’extérieur regorge de stimulations attrayantes pour nos petits félins et un foyer sans vie et sans stimulation n’incitera guère votre chat à s’y prélasser. Comment concurrencer les bruits, les odeurs, les insectes, les autres animaux, en bref, tout un univers pour garder ses sens en éveil à la maison ?
Commencez tout simplement par penser comme un chat et offrez-lui un ou plusieurs arbres à chat, étagères et ponts suspendus ! Grimper, se percher, observer, votre foyer deviendra telle une jungle suspendue pour parfaire son équilibre, travailler sa curiosité et sa souplesse. Rendez votre foyer aussi intéressant que le jardin des voisins par des cachettes improvisées, carton perdu dans le salon ou la chambre, tunnel de jeu, nouveautés et rotation.
Offrir un environnement stimulant est le meilleur moyen de garder un chat heureux à la maison, sans frustration ni envie de fugue.

2 - Offrez à votre chat des séances ludiques quotidiennes
Moteur essentiel du comportement de votre félin, même bien nourri, l’animal domestique ressent chaque jour l’irrépressible envie de traquer, bondir et saisir la proie. Lorsqu’à la maison, le chat ne peut combler ce besoin instinctif, il s’empressera de l’assouvir ailleurs, par-delà le jardin et les routes.
Inutiles de pratiquer de longues séances. Dix à quinze minutes, parfois moins selon l’âge de l’animal, suffisent pour satisfaire son besoin de chasser plumeaux ou balles rebondissantes. Et pour conserver intact son plaisir de jouer et sa curiosité, variez les jeux !
Proposez des jouets interactifs avec lesquels il pourra tester son adresse et sa rapidité lorsque vous serez absent ou pendant que vous dormirez.
Plus votre chat s’amusera et se dépensera à vos côtés, plus cela l’incitera à préférer la douceur du foyer.

3 - Laissez-le jouer à chat perché !
Les murs n’arrêtent pas ce passe-muraille qui aime surveiller jusqu’à la valse des piétons et des voitures sur le macadam, bien à l’abri sur son perchoir.
Une chaise rehaussée d’un confortable coussin près de la fenêtre, un arbre à chat, une étagère ou plusieurs étagères vidées de leurs bibelots offrent des postes d’observation incomparables pour votre félin.
Si vous possédez un balcon, sécurisez l’espace avec filets, grillages ou catio. Vous pouvez aussi installer un espace entièrement protégé dans le jardin. Agrémenté d’un arbre à chat, de jouets et d’odeurs attirantes, votre petit compagnon s’y sentira comme un coq en pâte. Ces aménagements sécurisent votre chat, le protègent des dangers tout en lui donnant le sentiment d’une vie au grand air.

4 - Aménagez les repos de votre félin
Après avoir joué à cache-cache dans un carton, couru après la canne à pêche, saisi de ses griffes la souris, votre chat aura besoin de recharger ses batteries ! Dehors, il trouve bien mille abris confortables : garage, cabane, branche d’un arbre ou pelouse ensoleillée. Avec pas moins de 12 à 16 heures de sommeil par jour, pour concurrencer tous les lieux de repos qu’il trouve à l’extérieur, déployez votre imagination.
Plutôt qu’un unique lieu de couchage, proposez plusieurs espaces de sieste. Couverture sur le canapé pour vous rejoindre le temps de votre émission préférée, boîte en carton dissimulée dans un placard, panier moelleux près d’un radiateur, plaid ou coussin moelleux sur une étagère, votre chat pourra s’endormir en toute quiétude.
Plus vous lui offrez de choix rassurant et confortable pour se reposer, plus vous transformez la maison en cocon sécurisé : un vrai territoire d’intérieur qu’il préférera aux dangers de la rue !

5 - Faites de l’alimentation un moment ludique
L’alimentation est essentielle au bien-être du chat. Afin que votre chat ne se rue pas dehors pour tester les menus du chat voisin ou partir à la chasse, proposez-lui une alimentation de qualité. Variez portions et arômes pour réveiller ses vibrisses : même l’adepte du bœuf ou du poulet mérite mieux qu’une répétitive gamelle. Donnez du relief à ses repas et adoptez des distributeurs ludiques tels les “ puzzles feeders ” pour l’obliger à réfléchir. Les balles distributrices représentent un bon compromis pour l’obliger à bondir et se dépenser pour obtenir sa ration.
La maison lui paraîtra sans doute bien plus attractive que la chasse si, d’une pierre deux coups, vous répondez à son besoin de stimulation mentale et à son appétit.

6 - Soyez attentif à votre chat
Contrairement aux idées reçues, le chat n’est pas indépendant au point de n’avoir que la reconnaissance du ventre. Nombre de matous aiment caresses et échanges, et construisent avec nous des liens affectifs forts. Plus exigeant que le chien, le chat aime qu’on le caresse lorsqu’il vient déposer ses phéromones contre nos jambes. Petits mots doux et câlins lui apportent réconfort et sécurité et peuvent représenter un puissant levier pour l’inciter à rester à la maison. Un chat qui se sent seul ou mal aimé aura davantage tendance à sortir pour trouver ailleurs ce qui lui manque chez vous.

7 - Apaisez votre “ pattes de velours ” et éveillez ses sens
Bruits, aménagement, changements d’odeur, nouvel animal stressent notre félin routinier qui peut alors chercher refuge dehors.
Si des changements petits ou grands sont prévus à la maison et que votre chat est d’un naturel anxieux, utilisez des phéromones synthétiques pour l’apaiser et le rassurer.
Enfin, n’oubliez pas que votre chat explore son environnement par l’odorat et le toucher. Dehors, le monde est plein d’odeurs à décrypter. Pour l’inciter à rester à la maison, saupoudrez d’herbe à chat ou de cataire sur un tapis ou l’un de ses jouets. Il se roulera, se frottera ou jouera avec plaisir sur le tapis parsemé de ces odeurs qu’il adore. Jouez aussi sur les textures en proposant des tapis moelleux, des griffoirs en carton ou en corde.

8 - Pensez comme un chat, soyez routinier !
N’oubliez jamais que votre petit félin, aussi curieux et aventurier soit-il a besoin de rituels et de prévisibilités pour se sentir en sécurité et apaisé. Le chat aime la répétition : repas, jeux et moments calmes à heures fixes renforcent son attachement au foyer. Routine et environnement stable sont de parfaits ingrédients pour garder votre chat au chaud et à la maison.

9 - Stérilisez votre chat
Non stérilisés, mâles comme femelles peuvent fuguer, parfois sur plusieurs kilomètres, pour trouver un partenaire.
La stérilisation réduit le risque de fugue et d’autres comportements du rut : marquage urinaire, miaulements intempestifs, agressivité. Choix responsable, la stérilisation protège votre petit compagnon des bagarres, des infections et des grossesses non désirées.
Inciter votre chat à rester à la maison repose sur un équilibre entre stimulation, confort, affection et sécurité. Vous le protégez des dangers extérieurs – accidents, bagarres entre congénères, infections – tout en lui offrant un environnement tout aussi stimulant et sûr.

« Une source de détresse » : 38.000 prises en charge d’animaux refusées en 2024 faute de place.Source Charente libre du ...
19/09/2025

« Une source de détresse » : 38.000 prises en charge d’animaux refusées en 2024 faute de place.
Source Charente libre du 19/09/2025

Plus de 38.000 prises en charge de chiens et chats abandonnés ont dû être refusées par des associations en France en 2024 faute de place, selon un calcul jeudi de la SPA et de la fondation du fabricant de croquettes Affinity (Ultima).
« Le manque de places est une épée de Damoclès qui pèse sur les associations, et beaucoup d’entre elles sont confrontées quotidiennement à la nécessité de refuser ou de différer des prises en charge », avance le rapport.

« Les capacités des structures pour accueillir les chiens sont moindres »
« Outre l’incertitude qui entoure le sort de ces animaux refusés, ces situations sont une source de détresse pour les responsables ou personnels qui doivent dire non ».

30 % des chiens et 50 % des chats pris en charge sont des animaux errants
Proportionnellement au nombre d’abandons, les chiens sont plus à risque « d’être sans solution » que les chats, « car les capacités des structures pour accueillir les chiens sont moindres, » indique le rapport.
Sur l’échantillon des associations sondées, plus de 108.000 animaux ont pu être pris en charge, à 77 % des chats. Autour de 30 % des chiens et 50 % des chats pris en charge étaient des animaux errants.
Le rapport note également le profil-type des animaux recueillis : pour les chiens, majoritairement des croisés, de taille moyenne ou grande, adulte, quand les chats pris en charge sont plus jeunes en moyenne.

Que sont devenus les Corgis de la reine Elizabeth II ?Source Le mag du chien du 18/09/2025Certaines races de chiens sont...
18/09/2025

Que sont devenus les Corgis de la reine Elizabeth II ?
Source Le mag du chien du 18/09/2025

Certaines races de chiens sont tout de suite associées à des personnalités publiques. C’est le cas des Corgis et de la reine d’Angleterre Elisabeth II. Ces chiens qui l’ont accompagné tout au long de sa vie sont devenus de vraies mascottes. Mais savons-nous ce qu’il est advenu des chiens lors du décès de la reine ? C’est ce que nous vous proposons de voir.

Les Corgis, des petits chiens vifs et attachants
Le Welsh Corgi Pembroke, souvent simplement appelé « Corgi », est un chien de famille très apprécié. Avec son physique de petit renard court sur pattes, il fait craquer bon nombre de personnes.
C’est un animal qui pèse une dizaine de kilos pour environ 25 à 30 cm. Il a une silhouette longiligne et compacte, très basse. Il porte des poils mi-longs qui peuvent arborer plusieurs coloris (rouge, fauve, noir ou feu). Il porte souvent des zones blanches au niveau du poitrail, du cou et des membres. Ses oreilles dressées et arrondies, ainsi que ses yeux particulièrement expressifs, font partie des caractéristiques qui plaisent beaucoup.
La race est originaire du Pays de Galles et a été officiellement reconnue dans les années 60 au niveau international. Son nom est d’ailleurs emprunté au gallois et signifie « chien de travail ». L’animal était en effet utilisé pour la conduite et la garde des troupeaux, mais aussi pour la chasse.
Le Corgi est connu pour son tempérament amical et sociable, ce qui en fait un parfait chien de famille. Joyeux et affectueux, il aime en effet vivre entouré et devient facilement le petit clown de la tribu. C’est aussi un animal intelligent. De ses origines de chien de berger, il a gardé une certaine méfiance face aux étrangers, mais n’est pas agressif. Joueur et actif, il a besoin de se dépenser quotidiennement pour être bien dans ses pattes.
Notons qu’il existe aussi une autre sorte de Corgi moins connue : le Welsh Corgi Cardigan.

La passion d’Elisabeth II pour les Corgis
C’est certainement la reine Elisabeth II qui a contribué à la grande popularité des Corgis. Sa passion pour la race lui a été transmise par son père George VI, qui lui a offert son premier chien, Dookie, quand elle n’avait que 7 ans. Puis, à ses 18 ans, elle reçut un Corgi nommé Susan. Cette chienne aurait même accompagné la reine lors de sa lune de miel avec le Prince Philip en 1947. L’histoire raconte que quatorze générations de Corgis et près de 30 individus se seraient ensuite succédés tout au long du règne d'Élisabeth II, ayant tous Susan comme ascendante. Ces chiens ont ainsi accompagné la reine pendant toutes les périodes de sa vie.
En moyenne, la souveraine vivait toujours avec au moins 5 de ces petits chiens : Carol, Crackers, Ranger, Sugar, Smoky, Monty ou encore Holly… autant de noms qui leur ont été donnés.
Ces chiens ont en effet toujours accompagné la reine et sont même devenus un vrai symbole de la monarchie anglaise, voire des mascottes. On les retrouve notamment dans un sketch pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Londres en 2012, parodiant James Bond aux côtés de Daniel Craig. En couverture de magazines, comme Vanity Fair, les Corgis apparaissent également auprès de la reine, quand de nombreuses photos des chiens profitant des jardins du palais ont fait le tour du monde. Lors du jubilé de platine de la reine, une course de Corgis avait aussi été organisée.
Bien sûr, les chiens de la reine ont bénéficié d’une vie de luxe. Ils auraient eu leur propre chambre au château, des paniers luxueux, des repas préparés par un vrai chef cuisinier et des soins préventifs réguliers.
Cette passion de la reine a ensuite été transmise à ses enfants, qui vivront également auprès de Corgis.
Notons qu’Elisabeth II vivait aussi entourée de Dorgis, une race proche des Corgis issue d’un croisement entre un Corgi et un Teckel.

Où sont les chiens de la reine Elisabeth II ?
La reine Elisabeth II est décédée en septembre 2022, à l’âge honorable de 96 ans. En 2015, les tabloïds britanniques affirmaient que la reine avait renoncé à élever de nouveaux chiens, ayant peur que certains d’entre eux lui survivent. Le dernier Corgi de la reine, nommé Willow et descendant de Susan, est ainsi décédé en 2018.
Mais la reine reçut en fait d’autres chiens en cadeau quelques années plus t**d, de la part de ses enfants et petits-enfants. Parmi les Corgis, Muick et Sandy étaient encore vivants au moment de la mort de la reine. Son mari Philip, le duc d’Edimbourt, était décédé l’année précédente. C’est donc leur 3ème enfant et 2ème fils, le Prince Andrew, ainsi que son ex-épouse Sarah Ferguson, qui ont pris en charge les petits animaux. En 2023, cette dernière a d’ailleurs posté sur les réseaux sociaux, à la date d’anniversaire du décès de la reine, un hommage avec une photo des Corgis en pleine santé. Pas de doute que les chiens ont donc continué à être chouchoutés et à bénéficier d’une vie royale.

Les Corgis de la reine font partie de la pop culture
Cette race de chien reste aujourd’hui encore indissociable de la monarchie et a intégré la culture populaire. On retrouve par exemple des Corgis dans la série « The Crown », qui retrace justement l’histoire de la reine Elisabeth II, mais aussi dans le film d’animation Royal Corgi.
Il existe également de nombreux produits dérivés à l’effigie de ces chiens, toujours très populaires en Angleterre.

Adres

Brussels

Website

Meldingen

Wees de eerste die het weet en laat ons u een e-mail sturen wanneer Animaux : La Plate-Forme de toutes les informations nieuws en promoties plaatst. Uw e-mailadres wordt niet voor andere doeleinden gebruikt en u kunt zich op elk gewenst moment afmelden.

Contact

Stuur een bericht naar Animaux : La Plate-Forme de toutes les informations:

Delen