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*UN CHIEN NE SE COMMANDE PAS AVEC DES ORDRES *👩🏻 Ici,  je vous explique pourquoi j’ai décidé ,depuis plusieurs mois main...
24/10/2024

*UN CHIEN NE SE COMMANDE PAS AVEC DES ORDRES *

👩🏻 Ici, je vous explique pourquoi j’ai décidé ,depuis plusieurs mois maintenant , de ne plus enseigner les ordres tels que le assis, le coucher ou la marche au pied lors des séances .

Beaucoup de personnes me demandent comment j’ai réussi à apprendre à mon chien de se coucher quand un autre chien arrive en face de lui et d’aller le voir si et seulement si les deux sont OK pour une interaction ? Et bien je leur réponds que justement je ne lui ai jamais rien appris de tel 🤷🏻‍♀️.
Elle le fait naturellement sans que je lui ordonne quoi que ce soit .

✅En effet , en ayant pris le temps d’observer les chiens ( nos chiens domestiques ainsi que les chiens sauvages que nous pouvons trouver à la Réunion ou dans les pays comme la Turquie par exemple ), je me suis très vite rendue compte qu’ils n’avaient pas besoin de l’humain pour prendre les bonnes décisions .Malheureusement, l’intervention de l’humain dans la vie des chiens a eu quelques effets néfastes sur cet instinct d’analyse et de réflexion . L’utilisation à outrance des ordres tels que le assis , coucher , pas bouger dès leur plus jeune âge , l’utilisation de la laisse courte en sont les principales causes .

⚠️Ordonner un ordre à tout va à son chien revient à le commander , à le considérer comme un robot , une marionnette dépourvu de réflexion et d’émotions . Par exemple , un chien timide que l’on oblige à mettre assis ou à passer à côté d’un autre chien dans une petite ruelle pour la simple et bonne raison que l’on vous a dit que c’est quelque chose que tous les chiens doivent pouvoir faire . ⛔️C’est FAUX et en faisant ceci vous risquez d’avoir une relation malsaine avec votre chien et, pire , de rendre votre chien « réactif ».

🙋🏻‍♀️ A l’inverse, apprendre à comprendre son chien , à connaitre son caractère et sa personnalité permet de le guider dans ses choix, qui sont , je vous le confirme , généralement justes.

✅C’est ainsi que votre relation deviendra saine et harmonieuse .

10/08/2024

📸: GAIA Education

05/08/2024
02/08/2024

Je suis un chien du 21ème siècle.

Je suis un Malinois.
Surdoué parmi les chiens, je brille dans toutes les disciplines et je suis toujours prêt à travailler. Aujourd’hui, on me demande de me prélasser sur le canapé toute la journée.

Je suis un Akita Inu.
Chien de chasse hors pair, mes ancêtres ont aussi été employés pour les combats de chiens. Aujourd’hui, on me demande d’être tolérant avec mes congénères, et on me reproche ma réactivité quand l’un d’eux s’approche de moi.

Je suis un Beagle.
Quand je poursuivais ma proie, je donnais de la voix pour que les chasseurs puissent me suivre. Je menais la danse. Aujourd’hui, on me met un collier électrique pour que je me taise, et on voudrait que je revienne au rappel en un claquement de doigts.

Je suis un Yorkshire Terrier.
J’étais un redoutable chasseur de rats dans les mines anglaises. Aujourd’hui, on pense que je ne suis pas capable de me servir de mes pattes et on me garde toujours dans les bras.

Je suis un Labrador Retriever.
Ma vision du bonheur, c’est un plongeon dans un étang pour ramener à mon maître le canard qu’il vient de tirer. Aujourd’hui, on a oublié que j’étais un chien de sport, je suis obèse et je dois jouer la nounou des enfants.

Je suis un Jack Russel.
Je suis capable de tenir tête à un renard plus gros que moi dans son propre terrier. Aujourd’hui, on me reproche mon fichu caractère et on voudrait faire de moi un chien de manchon.

Je suis un Husky Sibérien.
J’ai connu les grands espaces du Nord de la Russie, où je pouvais tracter des traîneaux à une vitesse impressionnante. Aujourd’hui, je n’ai pour seul horizon que les murs du jardin, et pour seule occupation les trous que je creuse dans le sol.

Je suis un Border Collie.
Je suis fait pour travailler huit heures par jour, et je suis un artiste incomparable du travail au troupeau. Aujourd’hui, on m’en veut parce que, faute de brebis, j’essaie de contrôler les vélos, les voitures, les enfants de la maison, et tout ce qui est en mouvement.

Je suis...
Je suis un chien du 21ème siècle.

Je suis beau, je suis alerte, je suis obéissant, je tiens dans un sac... mais je suis aussi un individu qui a besoin d’exprimer ses instincts, et je ne suis pas adapté à la vie sédentaire que tu souhaites me faire mener. Passer huit heures par jour seul dans le jardin, te voir un peu le soir quand tu rentres et n’avoir le droit pour toute activité qu’à une petite promenade hygiénique me rendra profondément malheureux. Je l’exprimerai en aboyant tout au long de la journée, en transformant ton jardin en champ de mines, en faisant mes besoins à l’intérieur, en étant ingérable les rares fois où je me retrouverai à l’extérieur, et, parfois, en passant mes journées affalé sur mon coussin. Tu penseras alors que je suis heureux de pouvoir profiter de tout ce confort pendant que tu pars travailler : en réalité, je serai en pleine dépression, car ce mal n’est pas l’apanage de l’humain mais aussi celui du chien du 21ème siècle.

Si je te plais, si tu rêves de moi depuis toujours, si mes beaux yeux azur ou mon look d’athlète te font envie, mais que tu ne peux pas m’offrir une vraie vie de chien, une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, et si tu ne peux pas me proposer le travail que réclament mes gènes... alors renonce à moi. Si mon allure te plaît mais tu n’es pas prêt à accepter mes traits de caractère issus d’une sélection génétique rigoureuse, et que tu penses pouvoir les changer avec ta seule bonne volonté... alors renonce à moi. Je suis un chien du 21ème siècle, oui. Mais, tapi au fond de moi, sommeille encore celui qui combattait, celui qui chassait, celui qui tirait des traîneaux, celui qui guidait un troupeau. Et, tôt ou t**d, il s’éveillera. Pour le meilleur ou pour le pire.

Elsa Weiss / Cynopolis
© Tous droits réservés - 2020

Crédit photo : Julien Ferradou / www.julienferradou.fr

Tellement vrai 🙏👍
22/07/2024

Tellement vrai 🙏👍

Article très intéressant du centrale canine magazine 230
Je traduis : encouragez, félicitez votre chien plutôt que de lui dire « non » toutes les 5 minutes 😉

16/07/2024

⚠️⚠️⚠️Afin de toucher le plus possible d'associations qui suivent nos publications, je souhaite vous alerter sur la dangerosité d'une femme du 54 (Nancy)!⚠️⚠️⚠️

Elle est en recherche perpétuelle de chats adultes le plus souvent malades, handicapés ou maltraités et se propose d'aider en devenant leur adoptante ou FA. Elle a le bon discours, elle baratine beaucoup et sa douceur est un leurre.
Elle "aime" les animaux à sa façon dira t- on mais a de gros problèmes psychologiques surtout!😢 Il ne faut pas tomber dans le piège.

En général, ça finit mal. Le chat meurt ou elle le rend soudainement car elle passe de foyers en appartements puis retour en foyers avec changement de villes mais l'issue reste la même. Elle est instable et sous tutelle. Sa vie personnelle est un chaos sans nom.

Aucun nom ne sera donné sur la page publique.

Présidents et Présidentes d'associations, n'hésitez pas à me contacter.
Des preuves de votre identité vous seront bien sûr demandées si vous souhaitez obtenir des informations sur son identité.
Certaines associations ont déjà été mises au courant mais il reste toutes les autres!!! 😱😱😱😱😱😱😱😱😱

Elle recherche actuellement activement sur le 54, 57 et le 88.
Soyez vigilants! Les animaux n'ont pas à payer le prix fort!😡

12/07/2024

🐾 FAUT-IL SÉPARER DEUX CHIENS QUI SE BATTENT ? 🐾

Je préfère vous l’annoncer tout de suite, c’est une réponse de Normand que j’apporterai à cette question. Comme souvent quand on a affaire à du vivant, il est délicat de répondre par un « oui » ou un « non » franc à une interrogation. Non, il n’est pas nécessaire d’interrompre TOUS les conflits. Mais OUI, il est indispensable d’intervenir quand cela risque d’aller trop loin. Malheureusement, il peut être difficile pour beaucoup de propriétaires de chiens de différencier une querelle bruyante mais sans conséquence entre deux toutous, d’une bagarre qui risque de dégénérer. L’expérience de terrain nous permet d’avoir l’œil pour ce genre de chose, et d’être capable d’évaluer le degré de dangerosité d’une situation conflictuelle entre deux chiens, mais si l’on n’a jamais eu l’occasion d’assister à des bagarres de chiens, il n’est pas évident de faire la part des choses.

Pour commencer, je rappelle que les chiens sont des animaux sociaux, qui par définition, sont capables, pour la plupart, de vivre ensemble. Je ne dis pas là qu’ils devraient tolérer tous leurs congénères, aimer tout le monde, et avoir envie de jouer avec des copains toute la journée. Beaucoup de chiens n’ont pas spécialement envie d’interagir avec des individus extérieurs à leur groupe social. En revanche, quand je parle de « vivre ensemble », j’entends par là que les chiens communiquent beaucoup entre eux, contrairement à d’autres espèces plus solitaires, et cette communication leur permet d’éviter les conflits et de protéger leur intégrité physique et celle de leurs congénères. Et, même quand un conflit éclate, dans la majorité des cas, il fait beaucoup de bruit mais ne blesse personne (à part un petit poinçon à l’oreille ou une égratignure sans conséquence sur le museau). Généralement, l’un des deux protagonistes finit par adopter une posture destinée à interrompre le conflit : il se met souvent sur le dos, mais pas toujours, cependant il adopte toujours une posture basse. Cela ne signifie pas qu’il est « soumis », mais juste qu’il communique comme un chien normal, et qu’il souhaite mettre un terme à l’escalade agressive.

Quand j’assiste à une querelle entre chiens, si les deux protagonistes sont stables et que l’environnement n’est pas propice à ce que la situation dégénère (présence d’autres chiens, présence des propriétaires qui crient ou interfèrent dans la bagarre, grosse différence de gabarit, etc), je les laisse s’expliquer. Une bagarre « saine » (car oui, un conflit peut être sain ! Se disputer permet de mettre certaines choses au clair, chez l’humain comme chez le chien) ne dure pas plus de quelques secondes, et même rarement plus de dix. Même si cela peut sembler une éternité ! Se battre est un comportement naturel, et nos chiens n’ont pas la possibilité de s’exprimer leurs désaccords en s’installant autour d’une table.

Attention cependant : quand c’est possible, il est toujours préférable d’essayer d’éviter les situations conflictuelles. Certains chiens peuvent se renforcer dans le fait de se battre (vive l’adrénaline !), ou apprendre aux dépends des autres que se battre peut être une stratégie payante, surtout quand on est physiquement plus fort. Un conflit occasionnel peut être sain ; en revanche, si l’animal se bat pour un oui ou pour un non, même s’il n’inflige pas de blessures, c’est un problème.

Si j’assiste à une bagarre qui me semble durer un peu trop longtemps, s’il y a plusieurs chiens autour des protagonistes, si l’un des deux ne semble pas adopter de signal d’arrêt ou ne respecte pas celui du chien avec lequel il se querelle, j’interviens sans t**der. Comment ? Tout dépend de ce que j’ai à ma disposition pour arrêter le conflit. Un objet jeté à côté ou au milieu des deux chiens peut suffire (rarement). Un cri, fort, peut aider (rarement). Sinon, attraper les pattes arrière du chien qui ne veut pas s’arrêter, et le soulever du sol de manière à ce qu’il perde légèrement l’équilibre, fonctionne généralement bien, sauf si l’individu d’en face ne se rend pas compte qu’il est libre et revient à la charge. Dans l’idéal, il faudrait être deux… Et surtout, attention à vos mains, mais le vieil adage qui dit qu’il ne faut jamais mettre les mains dans une bagarre de chiens n’est pas toujours très réaliste. Bien sûr, quand il s’agit de séparer une bagarre de chiens déjà bien entamée, impossible d’employer le renforcement positif. Vous me connaissez, je défends ardemment l’éducation positive, cependant 1) Éducation positive ne signifie pas que l’on n’emploie QUE le renforcement positif au quotidien ; 2) Quand la sécurité d’un chien est en jeu, on agit, et avec les grands moyens s’il le faut. Parce qu’un chien troué de partout, ça n’a rien de positif pour le coup, dans tous les sens du terme.

Un simple post Facebook est un format bien trop court pour évoquer le vaste sujet des bagarres entre chiens. Le sujet est complexe, et il est difficile de faire des généralités à son propos. Dans tous les cas, si vous avez peur des conflits canins, dites-vous qu’il est relativement rare que des bagarres de chiens explosent lors de la promenade quotidienne de Toutou : quand ils n’ont pas grand-chose à se revendiquer, et d’autant plus s’ils sont en mouvement, les chiens préfèrent amplement renifler leurs congénères et passer leur chemin que déclencher un conflit qui les mettrait eux-mêmes en danger. Bien souvent, c’est nous, humains, qui mettons nos chiens en difficulté lors d’une rencontre. Et nous mettre un peu de côté pour les laisser s’exprimer, tout en gardant un œil sur la rencontre sans sur-interpréter ce qui s’y passe, est souvent bénéfique… pour les deux parties.

(Sur la photo d’illustration, il s’agit de jeu… Je dégaine rarement mon appareil photo en cas de bagarre de chiens 😉 !)

Elsa Weiss / Cynopolis
© Tous droits réservés - 2024

👉 Pour découvrir notre formation vidéo « GÉRER LES CHIENS EN GROUPE », c’est par ici : https://www.cynopolis.fr/formations

🐶 Le thème de la gestion des chiens en groupe sera abordé le LUNDI 14 OCTOBRE 2024 à l'occasion d'une formation où je vous retrouverai en présentiel chez CaniFed, en Belgique. Contactez directement l'organisme si vous souhaitez vous inscrire ou obtenir plus d'informations.

🐕 Pour découvrir le livre DANS LA TÊTE DU BORDER COLLIE, c’est par là : https://www.amazon.fr/Dans-Tête-Border-Collie-extraordinaire/dp/B09YQQJXCD/ref=asc_df_B09YQQJXCD/?tag=googshopfr-21&linkCode=df0&hvadid=553636938424&hvpos=&hvnetw=g&hvrand=17785773735439755255&hvpone=&hvptwo=&hvqmt=&hvdev=m&hvdvcmdl=&hvlocint=&hvlocphy=1006410&hvtargid=pla-1655834057975&psc=1

10/07/2024

J’AI PLUSIEURS CHIENS…

Si vous avez fait le choix de vivre avec plusieurs chiens, et « plusieurs » c’est à partir de un ;-), il vous faut accepter que « plus de chiens » signifie aussi « plus de difficultés potentielles ».

Nous allons éviter tout de suite de tomber dans l’émotionnel béat, dans le sempiternel « l’amour du chien est étirable à l'infini », « avoir un chien ou six chiens, c’est pareil à partir du moment où on les aime"… Et autres lieux communs destructeurs et immatures.

Vivre avec plusieurs chiens à des conséquences et de mon expérience, rares sont les humains qui ne se retrouvent pas rapidement dépassés, comme si ce qui suffisait à deux chiens, aurait dû suffire à trois ou quatre, ou cinq… pour un animal dont les besoins de sécurisation affective, d’espace et de tranquillité sont immenses.

Plusieurs chiens, plusieurs personnalités, plusieurs compétences, plusieurs besoins, plusieurs motivations personnelles, plusieurs vision de la paix, de la vie, etc.
Plusieurs chiens et souvent (il faut bien le dire), un seul gardien, ou une seule gardienne.

Alors je peux juste vous dire que dans pas mal d’études, le conseil qui aide beaucoup, celui qui a le pouvoir de rendre de l’oxygène à tout le monde, de détendre, d’apaiser les tensions, avant (évidemment) que les chiens ne puissent plus du tout se supporter, c’est tout simplement que l’humain qui vit avec eux se débrouille pour se promener seul avec chacun d’entre eux, et ceci régulièrement.

Il est essentiel que chaque chien puisse bénéficier d'un véritable moment de qualité avec son gardien, sans que les autres chiens soient présents. Il est même vital que ce temps suspendu, cette aération soit fréquente dans la vie de chaque chien.

Évidemment, en fonction des analyses du groupe social (dont l'humain fait partie), beaucoup d’autres recommandations importantes seront données. Elles diffèrent selon les systèmes, les problèmes, les chiens, les lieux... Mais, de manière générale, et de mon expérience, pas une seule fois je n’ai manqué de faire comprendre au gardien qu’il se doit de passer du temps en duo avec chacun de ses chiens, et à l’extérieur du foyer.

Imaginons que nous soyons contraints de vivre 24 heures sur 24 avec des personnes, sans que nous l'ayons choisi.
Imaginons que lorsqu’arrive le moment tant attendu de la sortie, nous soyons obligés de la partager avec ces mêmes personnes.
Le souvenir du confinement reste marquant pour certains d’entre nous. Rappelons-nous que les chiens qui vivent à plusieurs dans un même foyer ne sont pas dans une situation très différente.

Donnons-leur du temps de qualité.
Donnons-leur de l'espace personnel.
Donnons-leur de l'oxygène et de la paix.
Et seulement là, nous pourrons commencer à parler d'amour ;-)

Ce texte est dédicacé aux innombrables chiens roumains adoptés par amour et en lots, trop souvent contraints de vivre dans la plus grande promiscuité, quand toute leur vie ils ont été libres de s'éloigner, et surtout de choisir leur compagnie.

Audrey Ventura / Cynoconsult

Les livres :
- Mon chien, mon coach et moi : https://shorturl.at/cFIV1 = Des humains dans l’aventure courageuse de la rééducation de leur chien.
- Le chien, cet animal qui nous échappe : https://shorturl.at/eLNT2 = Pour mieux connaître le chien, son éthologie, sa psychologie, ses besoins, ses envies, ses lubies, sa génétique, et réussir à construire une relation stable et épanouie, avec tout ce joyeux désordre.

06/07/2024

🎆🧨 Bientôt la fête nationale, on ne cesse de le dire et de le répéter. 🧨🎆
👀 On n'amène pas un chien pour regarder un feux d'artifices, le chien s'en moque complètement, que se soit jolie ou non.
➖️ La seule chose que vous allez créer c'est de la peur, des troubles du comportement. ➖️
1. On laisse son chien à la maison 🏠
2. On ferme les volets et fenêtres afin d'atténuer le bruit.
3. On met de la musique 🎶
4. On ne le laisse pas dans le jardin. 🌳

🐕 La sécurité et le bien-être de votre chien avant tout. 🐕

23/05/2024
Un bon rappel afin d’éviter les accidents par morsure 👌🏼
18/04/2024

Un bon rappel afin d’éviter les accidents par morsure 👌🏼

*** LA PRÉVENTION DES ACCIDENTS DE MORSURE ***

Chaque année en France, plus de 8000 enfants sont mordus par des chiens. Le chiffre est en constante augmentation. Dans 70% des cas, l’enfant est mordu par un chien de son entourage proche. Ce sont principalement les très jeunes enfants qui sont mordus, entre 1 et 4 ans, et majoritairement des petits-garçons. Évidemment, considérant leur taille, les enfants sont mordus au visage ou à la tête. Et vu la fragilité de la peau, certaines morsures laisseront des cicatrices à vie, sans parler des séquelles psychologiques.

Pour éviter le drame d’un accident domestique entre un enfant et un chien, voici quelques informations simples à retenir :

- Le chien n'a pas à être touché par une personne inconnue ou qui ne serait pas directement attachée à son groupe social, même un enfant.

- L'enfant ne peut adopter un comportement adapté avec le chien que si ses parents ont passé du temps à le lui apprendre.

- L’enfant ne doit pas aller déranger un chien qui mange, ronge un os, dort, ou est tranquillement couché.

- L’enfant ne doit jamais mettre son visage près de celui du chien pour lui parler « en face » ou « lui faire un bisou ».

- Le chien se sent menacé quand il est soulevé du sol.

- Le chien se sent menacé quand il est embrassé, ou serré.

- Le chien déteste qu'on lui monte sur le dos, même si c'est votre bébé de 18 mois.

- Pour le chien, l'enfant est un humain ou un congénère comme les autres. Il ne fera pas preuve de patience avec lui s'il n'est pas respecté par lui.

- Le chien explore par l'olfaction. Si un chien vous renifle ou renifle un enfant, cela ne signifie pas qu'il accepte que vous le touchiez.

- Chien et enfant ne doivent jamais être laissés seuls, même quelques minutes.

- Chaque été, les pistolets et jet d'eau sont des causes très fréquentes d'accident de morsure sur l'enfant par le chien arrosé.

- La morsure fait partie de l'éthogramme du chien, le répertoire comportemental avec lequel il est né. Pour lui, elle est un comportement comme les autres, auquel il recourt si on dépasse ses limites.

- La morsure est une réponse par l'agression. Mais dans la grande majorité des cas étudiés, elle est causée par un comportement humain totalement inadapté.

- Le chien répond à des besoins qui lui sont propres et exprime ses émotions de manière spécifique. Face à une menace, une grande majorité de chiens choisira de fuir si c’est possible. Leur tragédie est que bien souvent, l’homme ne respecte pas ce besoin de distance et d’évitement.

- Le grognement est la meilleure protection contre la morsure. Un chien qui grogne doit être écouté. Reculez. Arrêtez toute interaction avec le chien.

POUR LEUR SÉCURITÉ, APPRENEZ TOUT ÇA À VOS ENFANTS.

La prévention des accidents de morsure sur enfants et adultes est traitée dans les livres :

- Mon chien, mon coach et moi : https://shorturl.at/cFIV1
- Le chien, cet animal qui nous échappe : https://shorturl.at/eLNT2

Audrey Ventura
Cynoconsult

29/02/2024

🐾 PEUT-ON DIRE « NON » À SON CHIEN ? 🐾

Ceux qui dénigrent l’éducation dite « positive », ou ceux qui l’interprètent mal et n’en connaissent pas les fondements, pensent qu’elle consiste à n’enseigner aucune limite au chien et à le laisser faire tout ce qu’il veut sans jamais le contrarier. Le terme d’éducation « positive » peut en effet s’avérer trompeur, car il donne l’impression qu’on n’utilise que le renforcement positif pour éduquer l’animal, ce qui est strictement impossible. Bien sûr, si l’on peut employer au maximum le renforcement positif, c’est tant mieux ! Mais parfois, on emploiera le renforcement négatif, la punition négative et même la punition positive (je ne prône évidemment pas cette dernière comme méthode d’éducation, mais que celui qui n’a jamais haussé le ton une seule fois au cours de sa cohabitation avec son chien me jette la première pierre). Instaurer un cadre peut cependant se faire sans avoir besoin de crier, car ne l’oublions pas, s’il est humain de perdre parfois pied et de s’énerver, il est rare que la punition positive soit bénéfique dans le processus éducatif de l’animal. Ne pensez donc pas que je la prône. Je cherche surtout à la comprendre et à la justifier, car parfois, nos propres émotions sont annihilées par notre volonté de bien faire, d’être pour nos chiens la parfaite « Maman calme » de Florence Foresti, jusqu’au jour où nous « pétons un plomb » pour avoir trop longtemps refoulé nos émotions négatives.

Mais je m’égare. Je le répète, instaurer un cadre pour l’animal se fait sans avoir aucunement besoin de crier, en lui faisant tout simplement comprendre ce qui est autorisé et ce qui est interdit, et en s’y tenant au quotidien. Mes chiens, par exemple, n’ont pas le droit de monter sur le canapé, sauf si je les y invite. C’est une règle chez nous, mais elle peut être différente chez vous : vous avez tout à fait le droit de laisser votre canapé en libre accès à vos chiens, comme vous avez le droit de le leur interdire complètement. Chacun instaure les règles qui lui conviennent. Mes chiens, donc, n’ont pas le droit de monter sur le canapé, en revanche, quand j’y suis assise, ils ont le droit de poser leurs pattes avant sur mes genoux pour un câlin. De temps en temps, je constate une petite tentative d’escalade, et je sens une patte arrière qui se pose sur ma cuisse. Je dois interrompre ce comportement, puisqu’il n’est pas accepté. Cela va peut-être vous surprendre, mais dans ce genre de cas, j’utilise le mot « Non » pour arrêter le chien alpiniste. En revanche, je fais toujours suivre le « Non » par une consigne, par exemple « Non, descends ». Le « Non » n’est qu’un signal permettant d’interrompre un comportement : utilisé seul, il n’indique pas à l’animal ce qu’il doit faire à la place du comportement interdit.

C’est là que l’emploi du « Non » pose problème. Combien de fois ai-je pu entendre ce mot au cours de certaines séances, surtout avec des chiots nouvellement arrivés à la maison ! Ces pauvres chiots devaient probablement penser qu’ils s’appelaient « Non ». « Non, pas le pied de la table ! », « Non, laisse le chat tranquille ! », « Non, pas le vase du salon », voilà à quoi ressemblait leur quotidien. Non seulement, quand on accueille un chiot à la maison, on a la possibilité d’éviter de se mettre en conflit avec lui en aménageant son environnement (cachez vos bibelots, ne laissez pas traîner d’objets qui pourraient être mâchouillés, planquez vos vases, vous ressortirez tout cela quand votre chiot aura un peu grandi. Et au lieu de sanctionner son besoin naturel d’explorer par la gu**le tout ce qui est à sa portée -qui aurait l’idée de sanctionner ce même besoin chez un bébé humain ?- fournissez-lui de quoi mâcher, en quantité et en variété), mais en plus, on sera un référent beaucoup plus crédible si l’on montre au chiot ce qu’il a le droit de faire à la place d’un comportement non souhaité. Et, en disant simplement « Non », on n’apprend rien au chien.

L’emploi du « Non », je n’y suis donc personnellement pas opposée, à condition qu’il se fasse sans crier (votre chien n’est ni sourd, ni débile), qu’il soit suivi d’une consigne permettant au chien de savoir quoi faire au lieu d’adopter le comportement indésirable, et qu’il ne soit pas employé à outrance. Mais ne tombons pas dans les extrêmes, mettre des limites à son chien et instaurer un cadre de vie cohérent à la maison est non seulement bénéfique pour vous, mais aussi pour lui (des règles claires rassurent). Cela peut passer par l’emploi occasionnel du « Non », et ne fera pas pour autant de vous une personne maltraitante. Le « Non », pourquoi pas, mais avec parcimonie !

Elsa Weiss / Cynopolis
© Tous droits réservés - 2024

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05/02/2024

*** ET SI ON COMPRENAIT LE PRINCIPE D’UNE BALADE À L’ATTACHE ? ***
(Pour arrêter de se fâcher contre son chien, pour reprendre du plaisir à se promener avec lui, et surtout pour comprendre à quel point ça nous fera du bien à nous, en premier).

Pour commencer, je n’entre pas dans le débat « attache ou liberté ». Alors s’il vous plaît, évitons de tomber dans le sempiternel « un chien c’est fait pour être en liberté » parce que, même si c’est vrai, il peut-être sympathique de sortir de son cas personnel pour comprendre que certaines personnes n’ont pas le choix de la laisse avec leur chien.

Cela étant dit, il va tout de même s’avérer essentiel de vous mettre à la place du chien qui est attaché, sinon il sera impossible d’aborder cet article correctement, alors qu’il est fait pour vous aider. À quoi ? À comprendre que lorsque vous sortez avec votre chien, vous avez pu avant, et pourrez après, ressortir à votre guise, pour aller où vous voudrez, et au rythme qui vous conviendra. Pas lui. Pour lui, cette sortie (si elle est de qualité) revêt une importance primordiale, tout simplement parce qu’il ne la décide pas.

C’est donc maintenant ou jamais.

Voici quelques leitmotiv simples, basés, non pas sur l’obéissance canine (qui ne m’intéresse pas), mais sur le bien-être, celui de votre chien, et par ricochet, le vôtre, et sur le bon sens éthologique.

1 - JE ME MOQUE DE CE QUE PENSENT LES AUTRES DE MON CHIEN
Mon chien ne marche pas au pied (sinon il va à l’amble et c’est très mauvais pour son corps). Il ne me regarde pas comme un obsédé du travail quand il avance, et c’est tant mieux. J’ai enfin compris que :
- si mon chien trottine devant moi en regardant devant lui, c’est parce qu’il appartient à une espèce qui se déplace plus vite que l’homme.
- il est complètement normal, même pour un chien, de regarder où l’on va.

2 - JE RESPECTE LE RYTHME NATUREL DE MON CHIEN
Je vais dans la suite de mon chien car c’est avant-tout sa promenade, à laquelle je participe activement. Chaque chien a son propre rythme de croisière, selon sa personnalité, sa race, son état de santé, son âge, etc. Je vais donc avoir le privilège de découvrir l’allure personnelle de mon chien, et de le laisser en profiter. Pour que tout se déroule au mieux, je vais utiliser un harnais anti-traction de qualité adapté à mon chien (ergonomique, qui n’entrave pas les mouvements de l’avant du corps) et une longe de 5 mètres qui me permettra de faire le compromis entre l’allure de mon chien et la mienne.
- Une longe est active : je l’enroule autour de mon bras et la déroule. Elle m’aide à sentir mon chien.
- Elle ne traîne jamais par terre parce que c’est dangereux.
- Elle peut par contre être relâchée momentanément au sol.
- Elle n’est jamais tendue.

3 - JE RESPECTE LES PAUSES DE MON CHIEN
Si j’utilise une longe de 5 mètres (ou davantage, car qui peut le plus peut le moins), je pourrai observer qu’en réalité, mon chien s’arrête beaucoup, et que finalement, il est beaucoup plus souvent près de moi que je ne l’aurais cru. Il renifle des odeurs, marque l’environnement des siennes, se stoppe pour regarder autour de lui, prend le temps de la réflexion pour choisir ses directions, rectifie ses trajectoires quand quelque chose le gêne… Tous ces comportements me sont étrangers. Peut-être irais-je jusqu’à affirmer que mon chien ne fait jamais ça. Mais est-ce parce qu’il est toujours en laisse trop courte, contraint de tirer, pendant que s’exerce un réflexe d’opposition entre vous ?

4 - JE METS DE LA DIVERSITÉ DANS LES TRAJETS
Je me dis que si je trouve la balade à l’attache ennuyeuse, c’est peut-être parce qu’elle l’est vraiment. Le côté répétitif de beaucoup de promenades peut avoir un effet délétère sur mon chien, et sur mon humeur. Je change donc régulièrement les lieux de balade, et les itinéraires. Je peux aussi décider que c’est mon chien qui décide où l’on va sur la première moitié de la sortie, et moi sur la seconde moitié. Je fais l’expérience du langage non verbal dans les changements de trajets, celui qui est logé dans le corps, le visage, le regard. Car si je suis capable, rien qu’en observant mon chien, d’anticiper les directions qu’il s’apprête à prendre, il en est capable également.

5 - JE FAIS L’EXPÉRIENCE D’UNE BALADE CONSCIENTE
Je ne pense pas à mon patron qui me pourrit la vie, aux courses à faire, ou à la réunion parents-professeurs de demain. Pour une fois dans la journée, je vais prendre du temps pour moi, avec mon chien, et décider que personne ne nous ruinera ce moment. Je vais observer ce que fait mon chien, m’y intéresser, lui parler, jouer avec lui, être en présence. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il est sans doute l’être vivant qui me ressent le mieux, et que si je ne suis pas réellement avec lui, il le saura. Alors, je ne m’étonne plus quand j’ai l’impression qu’il ne m’écoute pas du tout, si j’ai passé toute la balade sur mon iPhone.

6 - JE PRIVILÉGIE LA QUALITÉ, PAS LA QUANTITÉ
Je me lâche un peu les baskets et j’arrête de m’infliger trop de balades inintéressantes par obligation, parce que j’ai peur d’être une mauvaise personne pour mon chien, et je décide de privilégier la qualité des sorties, et ma disponibilité. Ça aussi mon chien le ressent. S’il m’arrive de temps à autre de ne pas être motivé, fatigué, malade, ou d’être trop contrarié, je prends la décision de remettre la balade au lendemain, où mon envie sera réellement là. Mon chien ne m’en voudra pas, surtout si je lui donne de quoi mastiquer, lécher, s’occuper seul. Et ce que pensent les autres, surtout sur les réseaux sociaux, n’a aucune importance.

7 - JE FAIS VRAIMENT LE DEUIL DE L’OBÉISSANCE
Je fais preuve de cohérence et je comprends que cette histoire de suite en laisse courte au pied n’est pas naturelle du tout pour les chiens, sinon ils y parviendraient tous facilement, et leurs humains ne se ruineraient pas dans des protocoles d’éducation plus complexes les uns que les autres. Cette décision de me libérer de la pression sociale autour de l’obéissance canine et de la marche au pied m’appartient, et une fois que je l’aurai prise, je sais que je ne reviendrai pas en arrière. Le soulagement sera avant-tout pour moi. Mon chien lui, sera surtout heureux de me sentir plus souple, et de m’avoir retrouvé.

Cynoconsult / Audrey Ventura

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