Lolo en Vadrouille.

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Lolo en Vadrouille. bonjour,
sur cette page vous trouverez mes parcours vélo d'un jour a plusieurs semaines, mes sorties
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17/05/2024
Bioparc - Zoo de Doué la Fontaine.Photos du 05/06/2023.  L'Ara rouge (Ara macao) ou Ara Macao, est un grand perroquet co...
13/01/2024

Bioparc - Zoo de Doué la Fontaine.
Photos du 05/06/2023.


L'Ara rouge (Ara macao) ou Ara Macao, est un grand perroquet coloré vivant dans les forêts tropicales américaines. Il s'agit de l'oiseau national du Honduras. À ne pas confondre avec l’Ara à ailes vertes qui est en tout point ressemblant, hormis les ailes qui, comme l'indique le nom, possèdent du vert à la place du jaune.
L'ara rouge mesure 84 à 86 centimètres de longueur, dont plus de la moitié correspond aux longues rectrices pointues typiques de tous les aras. Il pèse un kilogramme en moyenne. Si certains individus peuvent vivre plus de 100 ans, sa durée de vie moyenne est de 80 ans.
Le plumage est essentiellement écarlate, mais les plumes de la croupe et du dessus de la queue sont bleu clair, le dessus des ailes est de couleur jaune, les extrémités des plumes de la queue et la partie supérieure de part et d'autre des pennes des ailes sont bleu foncé et le dessous des ailes et les pennes de la queue sont rouge foncé avec des reflets métalliques dorés. Certains individus peuvent avoir du vert sur les ailes près de la bande jaune. Trois sous-espèces présentent des différences de largeur de la bande jaune sur les ailes. La peau nue autour des yeux est blanche jusqu'au bec. De petites taches plus blanches se trouvent également sur le visage. Le dimorphisme sexuel est faible. La seule différence extérieure identifiable entre les oiseaux se fait avec l'âge : les jeunes ont des yeux sombres tandis que les adultes ont des yeux jaune clair.
Il ressemble beaucoup à l'Ara chloroptère, leur principale différence de plumage est le jaune sur ses ailes du premier en lieu et place du vert.
L'ara rouge habite dans les forêts humides tropicales américaines, de l'est du Mexique à l'Amazonie péruvienne et brésilienne, dans les terres basses jusqu'à 500 m d'altitude. Alors qu'elles sont peu fréquentes sur le continent, de grandes colonies d'aras rouges peuvent être observées sur l'Île Coiba sur la côte pacifique du Panama.
Ara rouge (Puerto Jiménez).
Les populations d'aras rouges ont fortement diminué en raison de la destruction de leur habitat, des captures pour le commerce et de l'épandage de pesticides pour les cultures. Au Costa Rica par exemple, l'ara rouge n'occupe plus que 9 100 km2 contre 42 500 km2 auparavant.
L'aire de distribution des aras rouges reste toutefois la plus grande de tous les oiseaux du genre Ara avec une superficie estimée à 6 700 000 km2, même si leur habitat est fragmenté et qu'ils ne forment souvent que de petites colonies locales.
L'Ara rouge mange principalement des fruits et des graines. Il aime notamment les pommes, les noix, les bananes et d'autres fruits, ainsi que le nectar et les bourgeons. Son bec lui permet de casser très facilement les coquilles des noix et autres fruits de ce genre.
Le couple n'effectue qu'un cycle de reproduction par an. La femelle pond deux ou trois œufs dans une cavité d'arbre. Elle les couve pendant 27 jours. Les jeunes s'envolent à l'âge de trois mois mais ne deviennent indépendants qu'entre quatre et cinq mois.
Les aras rouges sont des oiseaux extrêmement sociaux qu'on ne trouve presque qu'en groupe, souvent d'une vingtaine d'individus. Les aras ne s'éloignent de leur groupe, en couple, que pendant la période de reproduction. Ils recherchent ensemble leur nourriture, puis retournent le soir dans un endroit commun pour dormir. À des moments précis en effet, les aras s'envolent ensemble pour chercher un endroit où dormir, ce deux fois par jour (à midi et la nuit). Les membres d'une même famille volent très près les uns des autres et recherchent un contact corporel lorsqu'ils dorment.
Les chercheurs n'ont pas pu distinguer de hiérarchie chez les aras jusqu'à maintenant, car leurs groupes ne semblent pas être menés par un chef. Toutefois, les aras les plus jeunes laissent toujours la priorité aux plus âgés lorsqu'il s'agit de se nourrir : ce n'est que quand les plus vieux ont terminé de manger que les plus jeunes commencent. La raison de cette pratique est toutefois plus pragmatique que due à la politesse. Les oiseaux plus âgés sont en effet plus expérimentés et savent mieux que les autres où l'on trouve de la nourriture. Les oiseaux les plus jeunes apprennent en observant et en imitant les plus âgés afin de devenir plus t**d eux aussi des modèles.
Les aras ne possèdent pas de territoires propres, mais parcourent régulièrement une zone étendue dont ils n'essayent pas d'interdire l'accès aux autres aras. Il arrive ainsi que plusieurs groupes d'aras se rassemblent sur un même arbre. L'abondance de nourriture rend une défense du territoire complètement inutile. Toutefois, lorsque plusieurs groupes se retrouvent sur un même arbre, ils font très attention à ne pas se mélanger. Il n'y a pas non plus de lutte pour trouver un partenaire chez les aras : comme pour la plupart des autres espèces de perroquets, lorsqu'un couple s'est formé, il demeure ensemble jusqu'à la mort de l'un des deux.
Les cris ont une fonction importante pour la cohésion des couples et des groupes dans ces forêts tropicales très denses. Les aras rouges étant des animaux sociaux, ils font plus que de simples cris : ils émettent des sons différenciés qui ont des significations spécifiques pour leurs congénères.

ZooParc de Beauval : Photos du 10.05.2018. Girafes réticulées. Nom scientifique : Giraffa camelopardalis reticulataClass...
07/01/2024

ZooParc de Beauval :
Photos du 10.05.2018.


Girafes réticulées.
Nom scientifique : Giraffa camelopardalis reticulata
Classe : Mammifères
Ordre : Artiodactyles
Famille : Giraffidés
Description : aspect typique, impossible à confondre avec un autre animal (sinon les autres sous-espèces de Girafes). Pelage à dominante beige, tacheté de roux ; ventre blanc ; queue mince et longue, terminée par un pinceau de poils noirs. La tête porte deux ossicônes (appendices osseux couverts de peau), chez les mâles, des dépôts de calcium peuvent se former sur le crâne et donner l'impression d'un troisième ossicône.
Les taches de la Girafe réticulées sont caractéristiques, étant très larges, polygonales et séparées par un réseau de fines lignes blanches. Les taches peuvent parfois apparaître rouge brique, et couvrir même les jambes.
Les taches sont plus sombres chez le mâle que chez la femelle.
La robe de chaque Girafe est unique, on peut s'en servir pour identifier les animaux individuellement.
Longueur (queue) : 0,7 à 1 m.
Hauteur : 4 à 5,8 m.
Poids : 750 à 1.100 kg (femelle), 1.500 kg (mâle).
Durée de vie : 10 à 26 ans (dans la nature) ; 27 à 36 ans (en captivité).
Aire de répartition : Les Girafes vivent en Afrique tropicale, surtout à l'Est et au Sud du continent. Elles ont disparu de l'essentiel de l'Afrique de l'Ouest (excepté au Niger, où la sous-espèce locale G. camelopardalis peralta est en augmentation grâce aux efforts de conservation) et ont été réintroduites dans certaines réserves sud-africaines.
La Girafe réticulée vit spécifiquement dans le Nord-Est du continent : Sud de la Somalie et de l'Ethiopie, Nord du Kenya.
Habitat : savanes, forêts claires, plaines inondables.
Comportement : le long cou de la Girafe l'aide à brouter la cime des arbres, ce que ne peuvent pas faire la plupart des autres animaux de la savane. Elle marche et court à l'amble ; sa vitesse de course est habituellement de 15 km/h mais elle peut atteindre des pointes à 56 km/h. Quand elle court, ses pattes sont très écartées, ce qui évite que les sabots s'entrechoquent.
Sa vue est excellente : elle peut apercevoir un humain à une distance d'un kilomètre et demi. Son ouïe est également très bonne, parfaite pour détecter ses prédateurs comme les Lions.
En période de rut, les mâles se donnent des coups de cou, parfois même ils se mordent ou se donnent des coups de patte. Cependant ces combats sont peu violents et les blessures sont rares.
Les femelles et leurs jeunes vivent en groupes familiaux, les mâles vivent souvent en groupes de célibataires dominés par un animal âgé. L'appartenance à un groupe n'est pas définitive, de nombreuses Girafes changent de groupe durant leur vie.

Alimentation : se nourrit de feuilles (surtout des légumineuses riches en sels minéraux comme l'acacia), parfois de fleurs, fruits, graines et cosses. Elle consomme de 7 à 70 kg de nourriture par jour, en fonction des ressources disponibles et boit peu souvent (1 fois tous les 1 ou 2 jours, et souvent moins).
Reproduction : la saison des amours a lieu toute l'année, avec un pic de naissances entre décembre et mai. Les Girafes femelles ne se reproduisent qu'une fois tous les 2 ans. La gestation dure 15 mois. Il y a un seul jeune par portée, très rarement deux.
Les mères sont très affectueuses envers leurs petits, elles les caressent et les lèchent souvent.
A l'âge d'un mois, les mères et leurs girafons rejoignent des sortes de "nurseries" avec d'autres femelles et jeunes. Ces groupes sont tour à tour gardés par une femelle adulte. Les jeunes fréquentent ces groupes jusqu'à l'âge d'un an.
Statut IUCN : en danger
Menaces et protection : si la Girafe demeure une espèce assez commune sur son aire de répartition, l'évolution de ses effectifs est très variable selon les sous-espèces et les populations, certaines d'entre elles sont devenues très rares avec quelques centaines de têtes dans la nature.
La Girafe réticulée est au nombre des sous-espèces les plus menacées, avec un statut "en danger" qui lui est attribué depuis 2018. En milieu naturel ses effectifs suivent une tendance prononcée au déclin (-56% entre les années 1980 et 2018). Au Kenya, pays qui en héberge à l'heure actuelle la grande majorité des populations, celles-ci sont passées de 36.000 animaux au milieu des années 1980 à 15.784 (soit un peu plus de 11.000 animaux matures, en âge de se reproduire) au milieu des années 2010. Les populations éthiopiennes et somaliennes sont probablement encore plus faibles.
Elle souffre de la réduction de son habitat et aussi de la chasse : pour les poils et la peau (avec lesquels des bracelets et objets rituels sont fabriqués) et même les tendons (utilisés comme instruments de musique !).
Etant une des formes les plus belles et spectaculaires de Girafe, elle n'est cependant pas très rare dans les zoos et c'est même une des sous-espèces que l'on y admire le plus souvent, avec la Girafe de Rothschild originaire d'Ouganda et de quelques pays proches. 53 parcs européens et proche-orientaux présentent des Girafes réticulées (source : Zootierliste, données d'avr. 2022), et les reproduisent de manière régulière. Parmi eux, 6 parcs français en ont.
Les zoos contribuent aussi à protéger les Girafes réticulées en finançant des actions de conservation sur le terrain (in situ) : parmi elles, l'organisation "Twiga Walinzi" (littéralement "les gardiens des girafes" et financée par le zoo de San Diego aux Etats-Unis) contribue à recruter des brigades de gardes, à surveiller la faune sauvage au moyen de patrouilles et de caméras, de suivre individuellement chaque Girafe avec sa robe, à combattre le braconnage, à s'occuper des jeunes Girafes orphelines dans des refuges et à éduquer les populations locales à la protection de ces animaux emblématiques.
Par ailleurs, le Zooparc de Beauval participe à un programme de protection d'une autre sous-espèce de Girafe en Namibie (Afrique australe).
Au Zooparc de Beauval : l'espèce est présentée depuis 1999 à Beauval, un groupe vit dans la plaine africaine, en cohabitation avec plusieurs espèces de grands mammifères et d'oiseaux ; en hiver ou lors d'intempéries, elles sont maintenues dans les pré-enclos ou bien le bâtiment de nuit. Actuellement, le groupe comprend 1 mâle adulte (MISTRAL, dit aussi "MOMO"), 4 femelles adultes (BINTI, NZURI, CHLOË et BAYA arrivées en 2014) et 3 jeunes (KIMIA, MELMAN et MAÏWENN).
Reproduction : pendant très longtemps (1999-2014), le groupe présenté ne comprenait que des mâles, aussi n'y a-t-il eu aucune reproduction pendant cette période. Des femelles ne sont arrivées qu'en 2014. La première naissance a eu lieu le 22/07/2019, avec la venue au monde de la femelle KIMIA ("Paix", en lingala), fille de MISTRAL et de BAYA.
D'autres naissances ont suivi plus récemment :
• MELMAN (M), fils de MISTRAL et BINTI, né le 11/07/2021 ;
• MAÏWENN (M), fils de MISTRAL et BAYA, né le 28/02/2022.

• Le 22 septembre dernier (2023), nous avions la joie de vous annoncer la naissance d’une girafe survenue le 20 septembre dans la soirée. Une femelle qui a été depuis prénommée Sofy et qui se porte comme un charme, sa maman Baya également. Moins de 15 jours plus t**d, nous avons le plaisir de vous faire part de la naissance d’un nouveau girafon trop mignon ! Cette fois, c’est Binti qui a mis bas après 15 mois de gestation, dimanche 1er octobre à 18h10.
• Perte des eaux et apparition des pattes avant dans la grande plaine
• Tout a débuté aux alentours de 15h30 par la perte des eaux et l’apparition des pattes avant alors que Binti se trouvait dans la grande plaine. Très rapidement, les soigneurs ont préparé le box afin de faire rentrer le groupe de girafes. Toutes les girafes ont regagné les espaces intérieurs sans problème. Un peu moins de trois heures plus t**d, à 18h10, Binti mettait bas.
• Le girafon s’est mis debout la première fois à 18h57 très précisément. Il a effectué quelques pas hésitants puis et a inévitablement chuté mais sans gravité.
• Les soigneurs ont pu observer de nombreuses interactions avec le groupe presque « habitué » à accueillir un nouveau membre puisque c’est la 2e naissance en moins de 15 jours !
• Cependant, Binti et le bébé vont être séparés du reste du groupe car il a été constaté par les soigneurs que Binti avait besoin d’un peu plus de calme pour allaiter correctement son bébé. Les soigneurs et vétérinaires ont donc décidé, pour le bien-être des animaux du groupe, de les séparer. Binti et son petit seront visibles en intérieur avec Baya et Sofy qui, elles, alternent entre le préparc et le grand box des girafes.
• « Tout va bien » selon les vétérinaires et les soigneurs
• Mardi 3 octobre, un check-up complet a été réalisé par les vétérinaires en collaboration avec les soigneurs. C’est à cette occasion que le sexage a été déterminé, que des prises de sang ont été effectuées ainsi que la pesée du girafon.
• Conclusion des vétérinaires et des soigneurs : « Tout va bien ». C’est une femelle qui pèse 57 kilos. Venez voir Binti et son bébé, Baya et Sofy ainsi que les autres individus du groupe de girafes ! Ce groupe, désormais composé de 10 girafes réticulées (7 femelles et 3 mâles), est parrainable, tout comme Melman.

Le savez-vous ?
• Son nom vient de l'arabe زرافة, zarāfah. Autrefois, les Européens l'appelaient "caméléopard" car son aspect évoque à la fois celui du chameau (par son long cou) et celui du léopard (par ses taches) ; cette dénomination a été abandonnée dans les langues modernes mais on la retrouve dans le nom scientifique de l'espèce "camelopardalis".
• Plusieurs sous-espèces vivent à travers le continent africain. Depuis peu, certains scientifiques les classent en 4 espèces différentes, la Girafe du Nord (Giraffa camelopardalis, du Niger à l'Ouganda), la Girafe du Sud (G. giraffa, en Afrique australe), la Girafe masaï (G. tippelskirchi) et la Girafe réticulée (G. reticulata), les deux dernières vivant en Afrique de l'Est.
• C’est l'animal le plus haut du monde, sa hauteur l'aide à atteindre sa nourriture, à surveiller l'horizon et à détecter les éventuels prédateurs.
• Pour s'abreuver ou se nourrir au sol, elle doit se pencher en écartant les pattes, ce qui est une position inconfortable et périlleuse car elle est à la merci des prédateurs.
• Bien que le cou de la Girafe soit très long, cet animal n'a que 7 vertèbres cervicales comme la plupart des mammifères (l'Homme inclus). Ces vertèbres sont toutefois très allongées (40 cm chacune).
• Les Girafes dorment très peu, seulement 2 heures par jour ! Il leur arrive toutefois de somnoler debout et les yeux ouverts, pendant des séquences de plusieurs minutes.
• De par son anatomie hors du commun, la Girafe est devenue le modèle idéal pour étudier la gravité sur la circulation sanguine. La NASA s'y est particulièrement intéressée : son réseau sanguin a été imité pour concevoir les combinaisons antigravité des pilotes de chasse et des astronautes.
• Son cœur pèse 11 kg (moins de 300 grammes chez l'Homme), il pompe 60 litres de sang et bat au rythme de 170 pulsations par minute. Quand la Girafe baisse la tête, ses valvules ramènent le sang vers le cœur et l'empêchent de descendre jusqu'à la tête. Le système sanguin de ses jambes comporte aussi des adaptations pour permettre la circulation du sang et éviter l'œdème (comme chez l'être humain, autre espèce "verticale").
• Contrairement à une idée reçue, la Girafe n'est pas muette et possède des cordes vocales. Toutefois elle émet peu de cris (préférant utiliser sa vision pour communiquer), sinon une sorte de bourdonnement sourd (à peine audible par l'oreille humaine) et des beuglements quand elle est stressée.
• La Girafe est le seul mammifère terrestre qui ne bâille pas.
• Sa langue, longue de 55 cm et de couleur bleue, est la plus puissante, la plus coriace et la plus longue que l'on puisse trouver chez des mammifères terrestres. Elle peut l'allonger pour atteindre les pousses tendres cachées derrière les rangées d'épines des acacias.
• Sa hauteur lui permet d'atteindre les pousses d'acacia situées entre 2 et 6 mètres de haut, inaccessibles à la plupart des autres ongulés de savane (Gnous, Zèbres, Antilopes, etc.…).
• La Girafe n'a pas d'incisives à la mâchoire supérieure : elle saisit les pousses d'acacias avec sa langue, puis les guide entre ses lèvres, referme sa bouche et tire la tête en arrière pour racler les feuilles avec les dents du bas.
• Les acacias disposent d'un mécanisme d'autodéfense contre les déprédations des Girafes : en produisant des tanins (qui rendent les feuilles moins appétissantes) et en attirant des fourmis (en produisant du nectar). Exposés aux Girafes, les acacias émettent une hormone de stress qui "prévient" les arbres voisins ! Ceci explique que les acacias n'ont jamais été surexploités par les Girafes (ni par les Eléphants, seuls autres grands mammifères à avoir accès à cette ressource) ;
• Parfois tenue pour une espèce à part, la Girafe réticulée peut s'hybrider avec les autres sous-espèces de Girafes, que ce soit en captivité (Beauval avait même eu un groupe de girafes hybrides dans le passé) ou dans le milieu naturel.

Espace Zoologique de Saint Martin la Plaine :Photos du 28.05.2021.  Gincko.Date de naissance : 17  septembre  2001.Lieu ...
06/01/2024

Espace Zoologique de Saint Martin la Plaine :
Photos du 28.05.2021.


Gincko.
Date de naissance : 17 septembre 2001.
Lieu de naissance : Espace Zoologique St. Martin La Plaine.
Mère / Père : Pamela / Tam-Tam.

Transferts :
17.septembre.2001 / 27.septembre.2001: Espace Zoologique St. Martin La Plaine.
27 septembre 2001 / 12 mai 2005 : Zoologisch-botanischer Garten Wilhelma.
12.mai.2005 / 07.juillet.2005 : Zoo de la Boissière du Doré.
07.juillet.2005 / maintenant : Espace Zoologique St. Martin La Plaine.

6e gorille né à l'espace zoologique, Gincko et le fils de tam-tam et Pamela, cette dernière ne s'en n'étant pas occupé après sa naissance, il a était transférer à la nurserie pour grand singe au zoo de Stuttgart (Allemagne) où il a grandi entouré d'autres gorillons.
Il est revenu à Saint-Martin le 7 juillet 2005, il a vécu avec sa sœur, Digit, jusqu'en octobre 2010.
Depuis, il a était transféré ici où il partage l'enclos et son demi-frère Euro.
Pour ces deux mâles célibataires il n'y a pas de femelle de disponible pour le moment.

https://www.espace-zoologique.com/
https://www.wilhelma.de/
https://www.zoo-boissiere.com/
Quelques photos de gorilles.
https://www.flickr.com/photos/ajhaverkamp/

ZooParc de Beauval :tigres de Sumatra Asu et Jambi.Asu né le 27 Juillet 2008.Jambi née le 4 Aout 2008.Photos du 13.05.20...
05/01/2024

ZooParc de Beauval :
tigres de Sumatra Asu et Jambi.
Asu né le 27 Juillet 2008.
Jambi née le 4 Aout 2008.
Photos du 13.05.2018.


Un animal unique, aux multiples aptitudes
Le plus grand des félins possède des caractéristiques qui font de lui un animal redoutable. Il excelle dans de nombreux domaines.

L’endurance
Le tigre parcourt des dizaines de kilomètres par jour, notamment la nuit où il peut faire jusqu’à 32 kilomètres en une seule nuit, dans le but de trouver des proies pour se nourrir. Son domaine vital varie en fonction de la densité de ses proies.

La chasse
Grâce à sa discrétion et à son pelage qui lui sert de camouflage, le tigre est un bon chasseur même si seulement 1 attaque sur 15, en moyenne, se solde par un succès. Le félin chasse principalement des ongulés, c’est-à-dire des animaux à sabots ou onglons (comme les sangliers ou les chevreuils) mais il peut également s’attaquer à de plus grosses proies comme les cerfs, les buffles, les crocodiles ou les orangs-outans. C’est aussi un prédateur opportuniste qui peut se rabattre sur de plus petites proies, en cas de besoin, comme les petits singes, les reptiles, les rongeurs, les oiseaux, les amphibiens…

La nage
Le tigre est un excellent nageur. Contrairement à ses autres cousins félins, il est extrêmement à l’aise dans l’eau et peut parcourir jusqu’à une trentaine de kilomètres à la nage, par jour !

L’escalade
Autre domaine dans lequel le tigre excelle, l’escalade dans les arbres. Grâce à ses griffes rétractiles et ses pattes puissantes, le tigre n’hésite pas à grimper aux arbres pour se reposer ou pour aller chercher une proie.

Le plus menacé des félins
Le plus grand des félins possède des caractéristiques qui font de lui un animal redoutable. Il excelle dans de nombreux domaines.
« Au cours du siècle dernier, le nombre de tigres a diminué de 95%. Les populations de tigres de Java, de Bali et de la Caspienne ont disparu dans les années 1950. La population mondiale a atteint un niveau historiquement bas de 3 200 individus alors qu’elle était estimée à 6 000 individus dans les années 2000. »*
*Source WWF

Les principales menaces sont la perte de son habitat au profit des activités humaines et le braconnage pour la revente sur le marché noir des parties anatomiques du tigre. Ce marché est malheureusement toujours très actif à cause d’une demande constante en produits divers issus de l’animal (os, peau, griffes, organes…) dans les pays asiatiques, principalement, et alimenté également par des fermes d’élevage.
« Les os des tigres vivant en captivité servent souvent à la fabrication de vin de tigre et d’onguents médicaux ; la peau, transformée en tapis ou en décoration murale, sert de décoration et de tissu d’ameublement tandis que les dents peuvent être serties en or et transformées en bijoux. En Chine et au Vietnam, porter ou posséder des objets issus de tigre ou consommer des produits à base du félin est un indicateur convoité du statut social de l’acquéreur. »*
*Source National Geographic.fr

Sur la base de croyances ancestrales, les tigres et de nombreuses autres espèces sont décimées. Ils ne seraient plus présents, à l’état sauvage, que dans 13 pays : Bangladesh, Bhoutan, Chine, Cambodge, Inde, Indonésie, Laos, Malaisie, Myanmar, Népal, Russie, Thaïlande et Viet Nam. Le tigre est classé « En danger » d’extinction sur la liste rouge de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature.

Le recensement précis de la population sauvage globale est très difficile à réaliser car tous les gouvernements ne recensent pas les tigres sur leur territoire. Ce dénombrement est pourtant un point de départ essentiel permettant de mettre en place des mesures efficaces, en fonction du nombre d’individus à protéger, mais aussi de déterminer les endroits qu’ils fréquentent pour mieux les préserver. Seulement, les recensements prennent du temps et demandent du personnel pour rejoindre des endroits parfois très difficiles d’accès.

Touche d’espoir
Pour tenter de pallier les difficultés de recensement et augmenter la population de tigres à l’état sauvage dans le monde, les 13 pays de l’aire de répartition du tigre ont créé la Journée mondiale du Tigre lors du Sommet du tigre, tenu en novembre 2010 à Saint-Pétersbourg, en Russie. Célébrée chaque année le 29 juillet, cette journée a pour but de sensibiliser et de soutenir la conservation des tigres sauvages. Ces dernières années, plusieurs pays ont avancé dans le bon sens pour la protection des tigres sauvages (Inde, Népal, Russie, Chine).

L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) vient de publier de nouveaux chiffres : la population de tigres sauvages aurait augmenté de 40 % depuis le dernier recensement, en 2015. Des chiffres qui illustrent une amélioration des techniques de suivi et une stabilité voire une augmentation du nombre de tigres dans la nature. Une belle nouvelle qui montre qu’un rétablissement est possible et que les efforts menés en conservation ne sont pas vains.

Un sommet du tigre devrait avoir lieu en septembre 2022 à Vladivostok, en Russie, pour lancer la seconde phase du plan de rétablissement de la population globale de tigres.

Côté Beauval Nature
Beauval Nature soutient un programme de conservation du cochon pygmée, en Inde, là où vit également le tigre du Bengale. Les missions de protection et de sensibilisation menées permettent de protéger à la fois le cochon pygmée et l’ensemble des animaux qui vivent dans le même habitat que lui. Ainsi, le tigre du Bengale, le rhinocéros indien, le cerf des marais, le buffle d’eau, le lapin de l’Assam ou encore l’out**de du Bengale profitent des mesures mises en place pour la protection de leur milieu. Il en est de même au Népal où Beauval Nature soutient un programme de conservation du panda roux qui bénéficie, par la même occasion à toutes les espèces qui partagent son lieu de vie, dont le tigre du Bengale.
Si vous souhaitez vous aussi soutenir la conservation des tigres et des animaux de manière générale, vous pouvez faire un don à l’association Beauval Nature ou parrainer l’un des animaux du ZooParc de Beauval, notamment les tigres de Sumatra Asu et Jambi.

ZooParc de Zoo de Beauval : Photos du 16.05.2023. Le guépard (acinonyx jubatus).Au ZooParc de Beauval, vous pouvez admir...
03/01/2024

ZooParc de Zoo de Beauval :
Photos du 16.05.2023.


Le guépard (acinonyx jubatus).

Au ZooParc de Beauval, vous pouvez admirer le groupe de 5 frères dans le Territoire des Guépards. Nés en juin 2016, Azam, Amiri, Mooï, Snor et Tswalu évoluent paisiblement dans leur bel espace entre courses, siestes et chahut.

Avec des pointes estimées à 112 km/h, le guépard (acinonyx jubatus) est l’animal terrestre le plus rapide du monde ! Idéal pour se lancer à la poursuite de ses proies à qui il ne laisse aucune chance. C’est en effet un excellent chasseur doté d’aptitudes physiques exceptionnelles tels qu’un corps aérodynamique avec une colonne vertébrale longue et souple, une cage thoracique large, une longue queue servant de balancier et de gouvernail pour changer de direction soudainement et des griffes semi-rétractiles facilitant une bonne adhérence au sol. Autre atout spécifique : les bandes lacrymales noires situées dans le coin antérieur de l’œil descendant le long du museau. Appelées « larmes du guépard », celles-ci limitent le reflet du soleil dans leurs yeux. C’est donc parfait pour chasser en pleine journée et ainsi éviter les rencontres avec d’autres grands prédateurs comme les lions et les hyènes.

Chaque année, ce fauve est mis en lumière le 4 décembre afin de souligner la situation de l’espèce en déclin selon l’UICN. Les guépards sont qualifiés de « vulnérables ». Leur population a beaucoup diminué. On estime à environ 7 500 le nombre de guépards en milieu naturel.

Historiquement, la répartition des guépards était très large, elle s’étendait de la Palestine et de la péninsule arabique au Tadjikistan et au centre de l’Inde. Aujourd’hui, on en recense en Angola, au Bénin, au Botswana, en Ethiopie, en Zambie, au Zimbabwe ainsi qu’en Iran. Deux principales menaces pèsent sur cette espèce : le braconnage et le trafic de guépards vivants encore malheureusement trop pratiqués et le développement des activités humaines. Les conflits Homme/animal sont courants dès lors que les fauves s’approchent des troupeaux de bétail.

ZooParc de Beauval : Photos du 26.09.2023. Le plus gros de tous les rhinosUn paisible géantOn sait que les rhinocéros so...
03/01/2024

ZooParc de Beauval :
Photos du 26.09.2023.


Le plus gros de tous les rhinos
Un paisible géant

On sait que les rhinocéros sont imposants. Mais le rhinocéros blanc est sans aucun doute le plus impressionnant des 7 sous-espèces de rhinocéros qui peuplent les savanes d’Afrique et d’Asie. Pouvant peser jusqu’à près de 3 tonnes ce géant intimide. Avec ses 4 mètres de long et ses incroyables cornes, dont la principale mesure entre 70 centimètres et 1,5 mètre, difficile de s’imaginer que cette montagne de muscles en armure soit en réalité un animal extrêmement calme et craintif ! Braconnage et capture pour la médecine traditionnelle sont les principales menaces qui pèsent sur ce mammifère. La population des rhinocéros est estimée à 20 000 individus environ.

Zoo Parc de Beauval.Asato dos argenté gorille des Plaines de L'Ouest né le 20 octobre 1991 au Zoo de Jersey.Photos du 26...
03/01/2024

Zoo Parc de Beauval.
Asato dos argenté gorille des Plaines de L'Ouest né le 20 octobre 1991 au Zoo de Jersey.
Photos du 26.09.2023.

Zoo Parc de Beauval : Photos du 26.09.2023. .Akili en Swahili, Esprit en Français.Est né en captivité le 18/01/2002 au z...
14/11/2023

Zoo Parc de Beauval :
Photos du 26.09.2023.
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Akili en Swahili, Esprit en Français.
Est né en captivité le 18/01/2002 au zoo de Ramat Gan (Tel Aviv, Israël).
Akili est arrivé le 03/11/2020 au Zoo de Beauval, délocalisé du Safaripark de Peaugres , en France .
Akili pèse 6 tonnes et ronronne comme un petit chat.
Les parents d'Akili sont :
Père : Yossi
Mère : Norris (Mazal
Fratrie par le père Yossi :
1. 19/02/1987 -- † 01/05/2000 (M) Junior
2. 04-04-1987(F) Tammi (Tami)
3. 1987-04-04 -- † 1987-08-05 (F) Helinka
4. 1987-10-11 -- † 2013-04-10 (F) Stuvite (Stavit)
5. 1987-12-01 -- † 1987-12-07 (M) Isaac
6. 1989-04-30(F) Josépha
7. 1990-01-21 -- † 1999-08-29 (M) Mamelon
8. 1990-02-25 -- † 2009-08-20 (F) Ou
9. 13/01/1991 -- † 08/04/2017 (M) Limbes
10. 1994-05-24(M) Och
11. 27/07/1994 -- † 10/04/2013 ? (F) Issa
12. 1994-12-01 -- † 2014-06-19 (H) Nissim
13. 1996-10-21 -- † 2004-02-04 (F) Beauté
14. 1997-06-03(M) Niko
15. 1998-01-06 -- † 1998-01-06 (F) sans nom
16. 1999-09-30(M) Niño
17. 2001-02-04(M) Léon (Yoni)
18. 2001-05-03(M) Pembé (Babar)
19. 2004-05-06(M) Izik Jonathan
20. 2005-05-25(M) Noé

21. 2006-01-31(M) Rien
22. 2007-09-04(M) Jumané

Frères et sœurs par la mère Norris (Mazal) :
1. 1990-01-21 - † 1999-08-29 (M) Mamelon
2. 1994-12-01 - † 2014-06-19 (H) Nissim
3. 1997-06-03(M) Niko
4. 1999-09-30(M) Niño
5. 2005-05-25(M) Noé
Akili est le frère de Limbo de par le père. Limbo décédé le 08/04/2017 au zoo de Beauval.

https://www.elephant.se/?

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