Les conseils d'Oscar et Polly

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Les conseils d'Oscar et Polly Coaching en éducation canine et résolution des troubles du comportement chez le chien ou comment d

17/09/2024

Temporairement, je ne pourrai plus prendre en charge des problématiques demandant un suivi régulier… je reste toutefois disponible pour vos autres demandes…
Merci de votre compréhension 🤗

20/08/2024
05/07/2024

🐾 DE L’IMPORTANCE DE NE PAS ACHETER SON CHIOT N’IMPORTE OÙ 🐾

Un chien qui présente des comportements de peur l’est rarement parce qu’il a subi de la maltraitance physique, ce qui est pourtant ce que soupçonnent les propriétaires de chiens en premier lieu lors de comportements d’évitement ou d’inhibition de la part de leur compagnon. Dans beaucoup de cas, la peur est liée à une socialisation primaire (période qui s’étend des trois semaines du chiot à ses trois/quatre mois) de piètre qualité. Un chiot avec une génétique de qualité pourra rattraper en partie ces manquements, mais beaucoup d’individus n’y parviennent pas, même quand leurs propriétaires y mettent la meilleure volonté du monde.

La socialisation primaire est une période pendant laquelle le cerveau effectue son grand ménage de printemps, et les connexions synaptiques inutilisées pendant ces quelques semaines sont jetées à la poubelle, puisque jugées optionnelles par l’organisme. Si l’exemple peut vous paraître plus parlant, imaginez-vous qu’un chiot non exposé à la lumière pendant cette période, ne développera pas le sens de la vue par la suite. Il n’est pas difficile d’imaginer, du coup, qu’un chiot qui n’aura jamais rencontré d’autres chiens / d’humains d’aspects divers / d’environnement urbain / ou n’importe quel stimulus auquel il n’aura pas été confronté avant ses trois/quatre mois, aura du mal à s’y adapter par la suite, voire même ne s’y adaptera pas du tout.

N’achetez pas un chiot de quatre mois en pleine campagne si vous habitez Bordeaux centre : son seuil de tolérance aux stimuli auditifs, visuels et olfactifs de la ville sera largement saturé au quotidien et il aura toutes les difficultés du monde à s’adapter à cet environnement.

Je vous livre un petit extrait de mon livre DANS LA TÊTE DU BORDER COLLIE, qui traite de deux chiots que j’ai rencontrés lorsque j’étais éducatrice canin, et qui souffraient d’un grave syndrome de privation sensorielle (qui permet de désigner ces « manquements » pendant la période de socialisation primaire) :

« Je me souviens d’une petite chienne de race Berger Australien qui avait passé ses premiers mois en animalerie, et avait été achetée à l’âge de quatre mois : n’ayant connu que la vitrine derrière laquelle elle était exposée, elle avait développé une phobie des pieds. Pour elle, un être humain n’était constitué que d’un buste et d’une tête, puisque ce sont les seuls éléments du corps qu’il lui était donné de voir.

Dans le même genre, je me souviens du petit Pancho, un tout jeune Border Collie acheté une bouchée de pain dans une ferme. Pancho était venu participer à une session chiots que j’organisais dans le cadre de mon activité d’éducatrice canin. Cette petite boule de poils noire et blanche était totalement inhibée, comme si elle venait de débarquer dans un monde auquel elle ne comprenait rien. Un cours collectif peut être intimidant pour certains chiots, mais là n’était pas le problème, puisque apparemment, même à la maison, Pancho passait son temps caché sous un meuble. Aucun membre de la famille ne pouvait le toucher, sauf en le forçant. Et même dans ce dernier cas, Pancho ne réagissait pas, il subissait. C’était triste à voir, autant pour le petit animal que pour ses humains. Ces derniers espéraient que la situation s’améliorerait au fil des jours, mais cela n’a pas été le cas. J’ai appris, peu de temps après, qu’ils avaient ramené Pancho à la ferme où il était né. Ils avaient compris qu’il ne pourrait jamais s’adapter à la vie de chien de compagnie, sa socialisation primaire ayant été complètement négligée. »

Extrait de DANS LA TÊTE DU BORDER COLLIE, COMPORTEMENT ET ÉDUCATION D’UNE RACE EXTRAORDINAIRE, disponible en ligne via le lien suivant, ou par envoi direct (me contacter en MP) : https://www.amazon.fr/Dans-Tête-Border-Collie-extraordinaire/dp/B09YQQJXCD/ref=mp_s_a_1_1?crid=2TRY43CQ6B8U7&keywords=dans+la+tete+du+border+collie+cynopolis&qid=1688487571&sprefix=%2Caps%2C151&sr=8-1

👉 Pour découvrir notre formation vidéo COMPRENDRE ET ÉDUQUER SON BORDER COLLIE, c’est par ici : https://www.cynopolis.fr/formations

Elsa Weiss / Cynopolis
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Le rappel… ou comment nous arrivons à le saboter …
02/04/2024

Le rappel… ou comment nous arrivons à le saboter …

🐾 SIX ERREURS COURANTES À ÉVITER LORS DE L’APPRENTISSAGE DU RAPPEL 🐾

Le rappel n’est pas toujours un enseignement facile. Apprendre à son chien à revenir sur demande, ce n’est pas simplement l’appeler, et crier plus fort s’il ne revient pas. C’est un apprentissage qui demande beaucoup de logique, et qui implique de savoir mettre son ego de côté -si un chien revient à son humain, c’est parce qu’il y trouve quelque chose de positif, ou malheureusement, pour éviter une sanction, et pas seulement « parce qu’il aime son maître ». Je vous propose un petit point sur les erreurs les plus courantes qui sont commises lorsqu’on enseigne le rappel à son chien. Bien entendu, la liste n’est pas exhaustive.

👉 La récompense utilisée n’est pas un renforçateur :

Il y a une différence entre récompense et renforçateur. Une récompense est ce que l’on propose à un individu en réponse à un « bon » comportement. Un renforçateur est, selon les lois scientifiques de l’apprentissage, ce qui augmente la probabilité d’apparition d’un comportement. Or, ce que l’on considère, de notre point de vue humain, comme une récompense, n’est pas toujours un renforçateur : bon nombre de propriétaires aimeraient par exemple récompenser le rappel de leur chien uniquement à la caresse. Sauf que la caresse, beaucoup de chiens n’aiment pas cela, et encore davantage en promenade. Même les chiens qui apprécient le contact n’y sont pas toujours sensibles quand ils se trouvent en extérieur : il y a bien plus intéressant à faire. La récompense, ici, n’est donc pas un renforçateur, puisqu’elle n’augmentera pas la probabilité d’apparition du comportement « retour à l’humain ». Il y a même de fortes chances qu’elle la diminue, le chien cherchant à éviter un contact non souhaité à ce moment-là.

👉Le chien est en train de saluer un congénère :

Si vous ne souhaitez pas que votre chien aille voir un congénère, anticipez et rappelez-le AVANT qu’il ne commence à le saluer. La plupart du temps, deux chiens qui se reniflent préféreront privilégier la bienséance à l’obéissance. Les chiens sont très à cheval sur la politesse. De plus, tourner le dos à un congénère qu’on n’a pas encore fini d’identifier est potentiellement dangereux, d’un point de vue canin : on ne tourne pas le dos à un congénère dont on ne connaît pas les intentions, d’autant qu’une fuite peut déclencher une agression.

👉 Le chien est en train d’analyser une odeur :

Un chien peut avoir du mal à se concentrer sur deux sens en même temps, surtout quand il est plongé dans une activité de flair. S’il est en train de renifler une odeur passionnante, ne choisissez pas ce moment pour le rappeler, à moins d’une extrême urgence. Laissez-le finir de lire ses commentaires Facebook et déposer le sien, et rappelez-le ensuite. Êtes-vous réellement à vingt secondes près ?

👉 Le chien ne comprend pas le message qui lui est adressé :

Quand un humain rappelle son chien, il est rare que sa gestuelle soit cohérente avec la consigne donnée. S’il appelle son chien en se tenant raide comme un piquet, l’animal va souvent se retourner, observer et… retourner vaquer à ses occupations. Pourquoi ? Parce que le chien privilégie naturellement le message visuel au message vocal. Il est un fin observateur : n’oubliez pas qu’entre chiens, beaucoup de messages passent par les postures du corps, la rigidité musculaire, le frémissement d’une oreille, le côté vers lequel l’animal bat de la queue, etc. Notre chien fera donc tout naturellement passer le message exprimé par notre attitude corporelle, avant celui qui parviendra à ses oreilles. Quand vous rappelez votre compagnon, veillez donc à la congruence des messages que vous lui adressez, et quand vous le rappelez, tapez sur vos cuisses, reculez ou partez carrément dans l’autre sens, mais ne restez pas droit comme un « i ».

👉 Le rappel est associé à une contrainte :

Quand vous rappelez votre chien, renforcez aussitôt son comportement avec quelque chose qu’il aime (de SON point de vue, pas du vôtre !), et, à moins que vous n’ayez besoin de le rattacher parce que vous croisez quelqu’un, par exemple, laissez-le repartir ! Le rappel ne doit pas être systématiquement associé à une capture. Exit aussi le « assis » inutile et contraignant que l’on impose au chien quand il revient à nos pieds. Bien souvent, il diminuera la probabilité d’apparition du comportement, car il sera considéré comme une contrainte pour l’animal. Qui aurait l’idée d’appeler un enfant en train de jouer au parc pour lui demander de réciter sa table des sept ?

👉 Le chien est rappelé beaucoup trop souvent :

On connaît tous quelqu’un qui, à peine son chien lâché, ne cesse de le rappeler, bien souvent sans succès. Non seulement le chien est difficilement capable de revenir au rappel s’il vient juste d’être détaché, puisqu’il est plein d’énergie et souvent excité d’arriver sur son lieu de promenade, mais en plus, si son nom et la consigne de rappel sont répétés à outrance, il produiront un effet de saturation et le rappel sera assimilé à un bruit de fond par l’animal.

Enseigner à son chien à revenir au rappel demande de l’empathie, de la technique, un bon timing, mais aussi un certain lâcher-prise ! Soyez détendu, n’abusez pas du nom de votre chien et de la consigne de rappel, rappelez-le de temps en temps juste pour le récompenser, et pour le rattacher uniquement quand c’est nécessaire (lors d’un croisement, si vous arrivez à une route passante, si c’est la fin de la promenade, etc). Pensez RENFORÇATEUR et non RÉCOMPENSE, et ne pensez pas que votre chien obéira pour vos beaux yeux (ça ne marche pas comme ça, scientifiquement 🙃). Enfin, n’oubliez pas qu’il existe un outil merveilleux qui permet d’enseigner le rappel à son chien en toute sécurité : la longe… À vous de jouer !

Elsa Weiss / Cynopolis Formations
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🐕 Pour découvrir nos formations, c’est par ici : https://www.cynopolis.fr/formations

🐶 Pour découvrir le livre DANS LA TÊTE DU BORDER COLLIE, c’est par là : https://www.amazon.fr/Dans-Tête-Border-Collie-extraordinaire/dp/B09YQQJXCD/ref=asc_df_B09YQQJXCD/?tag=googshopfr-21&linkCode=df0&hvadid=553636938424&hvpos=&hvnetw=g&hvrand=17785773735439755255&hvpone=&hvptwo=&hvqmt=&hvdev=m&hvdvcmdl=&hvlocint=&hvlocphy=1006410&hvtargid=pla-1655834057975&psc=1

Encore un article très intéressant et complet sur un comportement qui nous gêne souvent nous les humains…
20/02/2024

Encore un article très intéressant et complet sur un comportement qui nous gêne souvent nous les humains…

Le chevauchement reste l’un des comportements canins qui questionne le plus les humains, et provoque régulièrement des malentendus. Le chevauchement est un comportement volontaire qui fait partie de l’éthogramme du chien, qu’il soit mâle ou femelle,…

Petite piqûre de rappel pour le bien vivre ensemble 🙂
06/02/2024

Petite piqûre de rappel pour le bien vivre ensemble 🙂

Les signaux d'apaisement, ou signaux de communication des chiens sont important à connaître et à savoir déceler, afin de pouvoir ajuster nos propres comportements. Les chiens utilisent constamment ces petits signes parfois de manière imperceptibles, que ce soit entre eux, avec nous, l'environnement ou bien encore pour eux mêmes.
Ces signaux envoient des messages de paix, de calme, de bonne entente ou bien encore montrent que le chien est inoffensif.
S'entrainer à les reconnaître et comprendre ce qu'ils signifient au moment ou ils sont envoyés est important pour bien lire les chiens.

Pour en savoir plus à ce sujet, vous pouvez vous procurer le petit livre de Turid Rugaas https://www.babelio.com/livres/Rugaas-Les-signaux-dapaisement--Les-bases-de-la-communi/686918

Source : Cynonix - Éducation canine

Nos chiens ont besoin de guides en qui ils peuvent avoir confiance…
30/01/2024

Nos chiens ont besoin de guides en qui ils peuvent avoir confiance…

*** LE CONTRÔLE ET LA VEILLE ***

LE CONTRÔLE, c'est lorsque nous avons peur d'être incompétent, quand notre anxiété dirige le chien, et nous conduit à exiger de lui l'obéissance aux ordres, et des comportements "sous contrôle". C’est l’exemple que je donne dans le post précédent, celui de Madara, cette pauvre chienne sans problème, démolie par des gens qui croient bien faire, et n’écoutent rien.

LA VEILLE, c'est lorsqu’en pleine confiance, nous nous inscrivons dans la vie de notre chien comme un accompagnant, un guide qui sera présent avant-tout pour le sécuriser, le rassurer, lui donner des repères fiables et justes, mais aussi lui indiquer des limites, les mêmes d’ailleurs que lui opposeront ses congénères.

Soyons clairs, la présence du contrôle et l'absence de veille font autant de ravages. Ce ne sont pas les mêmes dommages, mais leur gravité est égale sur la psychologie du chien. Ainsi, lorsqu’on adopte un chien, les repères de la sécurisation ne sont pas une option. Malheureusement aujourd’hui, je vois autant de chiens affaiblis par la présence de l’un (le contrôle) et l’absence de l’autre (la veille).

Si vous avez peur d'être jugé maltraitant, et que cette angoisse de la tyrannie de la majorité qui confond et amalgame les termes, les ré-invente, les utilise à mauvais escient, vous amène à ne plus oser demander quoi que ce soit à votre chien, à ne plus vous opposer (et non pas vous imposer) par peur de commettre le sacrilège de la maltraitance employée à toutes les sauces (et qui minimise la maltraitance réelle par la même occasion), pensez à vos enfants, à la manière dont vous les avez accompagnés, éduqués, guidés, en leur permettant de s'adapter doucement, de prendre des décisions à leur rythme, et d’être prêt à cette vie en société qui n'est pas une option. Ils ont eu besoin de vous, de votre posture parentale, de l’exemple à suivre, et surtout de la sécurité que vous leur inspirez.

C’est exactement la même chose pour nos chiens.

- Confondre l’obsession du contrôle et la nécessité de la veille n’est plus possible.
- Amalgamer le besoin éthologique de sécurisation et la fantaisie de la hiérarchisation est une erreur grossière.

La dominance homme-chien est l'invention de ceux qui ne trouvent jamais la posture adaptée avec cet animal. Elle n’existe pas. Le savoir, en être convaincu en son for intérieur, devrait être suffisant pour ne pas éprouver le besoin d’en faire la preuve sociale, en remettant en question les fondements de la psychologie, de l'éthologie, et en tombant dans l’extrême inverse : le laisser tout faire.

Pour que le chien et l’enfant puissent s’épanouir et accéder à l’âge adulte au libre-arbitre, il ont besoin d’une figure d’exemple qui leur indique humblement le chemin, sans autoritarisme, ni laxisme. C’est aussi difficile avec le chien que ça l’est avec l’enfant. C’est ce juste milieu qui nous pousse toujours à nous demander si nous faisons les bon choix, si notre accompagnement est juste. Le simple fait de nous interroger régulièrement sur nos propres conduites et nos décisions, devraient suffire à nous rassurer sur notre humilité et notre volonté de bien faire. La réflexion sur soi est la plus belle chose au monde. En général, elle nous protège des extrêmes.

Lorsqu’il y a 30 ans, je niais déjà la posture hiérarchisante et dominatrice adoptée par la majorité du monde canin en France, j’étais décrite comme une fille rêveuse, naïve et surtout incompétente par mes pairs (que j’évitais). J’étais une petite jeune qui apprendra le métier quand elle aura à faire à des chiens difficiles. De toute ma carrière, je n’ai jamais usé d’un collier "sanitaire" (lol) sur un chien hyper-réactif, ou d’une remise en place hiérarchique chez un chien récalcitrant. Je n’ai jamais travaillé en méthode traditionnelle. J’ai pourtant 46 ans, et il fut un temps où c’était la norme imposée par les "Tontons éducateurs" qui ont formé des légions de tortionnaires.

Et aujourd’hui - c’est à mourir de rire - ce sont ceux qui ont découvert il y a cinq ans que le chien avait des émotions, qui viennent nous raconter maintenant qu’il faut le laisser en totale roue-libre, sans limite ni repères, sinon nous commettons un acte de maltraitance.

D’un extrême à un autre, c’est toujours la même histoire. Un jour, le juste milieu sera trouvé. Et là, nous pourrons discuter.

En attendant, je le répète, coercition et laxisme provoquent des dommages importants sur la psychologie du chien adulte, tout simplement parce que dans ces deux travers paroxystiques, le gardien ne prend ni conscience du manque de maîtrise qui le pousse à contrôler, ni la mesure du rôle de protection qui lui incombe, et dont il démissionne. Dans les deux cas, le chien est perdu, abîmé. Mais il trouvera l’énergie de s’en sortir avec les moyens que son gardien lui a laissés, ou infligés. C’est en général à ce moment précis que l’on nous appelle.

Cynoconsult / Audrey Ventura

*** ACTUALITÉ ***
- Mon chien, mon coach et moi : https://shorturl.at/cFIV1 = Des humains dans l’aventure de la rééducation via la gestion environnementale.
- Le chien, cet animal qui nous échappe : https://shorturl.at/eLNT2 = Pour mieux connaître le chien, son éthologie, sa psychologie, ses besoins, ses envies, ses lubies, sa génétique, et réussir à construire une relation stable et épanouie, avec tout ce joyeux désordre. C'est aussi le sujet !
- Atelier de formation à destination du coach individuel en comportement canin ici : https://shorturl.at/cisH2 (15 mars).
- Les autocontrôles émotionnels MODULE 1 - CaniFed formation (17 mai).
- Les autocontrôles émotionnels MODULE 2 - CaniFed formation (14 juin).

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Notre histoire...

« Fais de ta vie un rêve et d’un rêve, une réalité » Antoine de Saint-Exupéry.

Oscar est entré dans ma vie, il y a 5 ans. Très vite, une relation très forte s’est installée entre nous. Mon premier border collie… J’ai beau, depuis ma plus tendre enfance, toujours avoir vécu avec des chiens, c’est avec lui que je suis tombée dans le monde passionnant du chien. Il faut dire qu’il m’en a fait voir le beau et avec du recul, je réalise que par ma méconnaissance, je lui en ai aussi fait voir…

Ainsi, dans un premier temps, j’ai obtenu mon brevet de moniteur en obéissance 4b de la Saint-Hubert. Seulement avec cette formation, je n’étais pas en mesure d’aider les personnes rencontrant des soucis avec leurs chiens…

Et malheureusement, dans notre société, il y a de plus en plus de chiens qui développent des troubles du comportement et cela mène à un nombre croissant d’abandons dans les refuges… Cette frustration, je l’ai rencontré moi-même lorsque mon Oscar a aussi développés des troubles du comportement… Difficile de bien se faire conseiller, de pouvoir aider réellement le chien à aller mieux…