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"la sensibilisation dans les écoles"
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La vraie bonté de l'homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu'à l'égard de ceux qui ne représen...
31/10/2024

La vraie bonté de l'homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu'à l'égard de ceux qui ne représentent aucune force. Le véritable test moral de l'humanité (le plus radical, qui se situe à un niveau si profond qu'il échappe à notre regard), ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. Et c'est ici que s'est produite la plus grande faillite de l'homme, débâcle fondamentale dont toutes les autres découlent.

Milan kundera, l'Insoutenable Légèrté de l'être, 1982

23/10/2024

Texte copié

Aujourd’hui, un sujet beaucoup plus léger mais peut-être agréable pour moins de monde ! J’aimerais faire un petit peu de prévention. Nous avons vu qu’un chien peut avoir peur de pleins de choses, parfois suite à des traumatismes et parfois suite à un simple manque de contact. Ils ont peur de l’inconnu.

Avec ces simples informations, on peut en arriver à un certain nombre de conclusions. Ce ne sont pas des règles absolues, mais des choses avec lesquelles il va falloir être particulièrement prudent notamment dans le cadre d’une adoption. Plus que prudent, il va falloir renoncer au projet d’adoption ou s’assurer que l’on pourra modifier notre environnement pour que ça reste gérable pour tout le monde si jamais ça venait à coincer.

Commençons par la peur de l’inconnu. Quand on adopte un chien venant d’un milieu particulièrement différent du nôtre, il faut prendre en compte cette peur ! Il n’est pas surprenant de la voir apparaître lorsqu’on adopte un chien qui :

- Est un chiot invendu d’élevage, c’est-à-dire, un chiot qui n’a pas trouvé sa famille avant ses trois mois
- Est un chien retraité d’élevage, c’est-à-dire, un chien qui a fait plus ou moins de portées au sein d’un élevage avant d’être écarté de la reproduction à cause de son âge ou pour d’autres raisons
- Est un chiot issu d’un élevage « usine », c’est-à-dire d’un élevage qui fait beaucoup, beaucoup de portées
- Est un chiot particulièrement délaissé
- Est un chien issu d’un sauvetage venant d’un autre pays
- …

Alors, soyons d’accord, les élevages peuvent s’occuper très correctement de leurs adultes et de leurs chiots même s’ils restent plus longtemps que prévus ! Dans certains cas, ils font même un travail génial ! Cependant… ce n’est pas toujours le cas et il faut se montrer très prudent parce qu’on a passé des périodes sensibles.
De la même manière, un chiot issu d’un sauvetage venant d’un autre pays peut avoir connu des conditions de vies similaires aux nôtres, mais ce n’est pas toujours le cas !

Dans la totalité de ces situations, il faut donc penser à cette peur de l’inconnue pour « enquêter » sur notre futur chien. Il s’agit simplement d’essayer de poser les bonnes questions pour comprendre quel est son quotidien et comment il y réagit.

Ensuite nous avons les traumatismes. Quand on pense aux traumatismes, on pense souvent à des choses horribles, mais ce n’est pas forcément le cas. Une simple mauvaise expérience peut prendre des proportions importantes. Imaginons qu’un chiot rencontre un canard, le canard lui court dessus, bouh ça faisait peur et c’est fait ! On a un traumatisme. Alors là on peut comprendre que tous les chiens que l’on adopte peuvent être concernés. Mais il faut faire particulièrement attention dans certaines situations et surtout lorsqu’on adopte un chien qui :

- A été capturé alors qu’il errait
- Est un chien issu d’un sauvetage
- A vécu des violences connues
- …

Quand on soupçonne un traumatisme précis, à nouveau, il est intéressant de poser des questions pour vérifier s’il va falloir y faire face ou pas. Un certain nombre de chiens qui sont capturés ont du mal à porter des colliers ensuite par exemple. Les chiens qui ont vécu dans des familles violentes peuvent mal réagir à des gestes qui peuvent nous sembler anecdotique comme lever le bras pour attraper quelque chose.

Adopter un chien qui a des peurs, c’est adopter un chien normal. Tout le monde a des peurs ! Mais parfois, les peurs prennent des proportions plus importantes et plus problématiques. Il ne faut vraiment pas les minimiser et il faut les débusquer avant l’adoption ! Plus compliqué il va falloir comprendre l’intensité de cette peur… La peur des canards, ça peut être anecdotique mais ça peut aussi prendre d’autres genres de proportions jusqu’à devenir vraiment très compliqué à vivre. Ne partez jamais du principe que vous « connaissez » une peur et donc que vous serez la gérer. L’intensité de la peur, comment elle se manifeste, … voilà qui peut tout changer ! Soyez prudent ;)

Et si vous n’êtes pas du côté des adoptants, mais du côté des associations : il est intéressant de faire doucement avec les chiens pour éviter les traumatismes (je ne doute pas que vous fassiez de votre mieux, mais parfois on a la tête dans le guidon et on ne réfléchit pas aux points améliorables !), il est intéressant de prévoir des environnements sécurisants auquel les chiens vont pouvoir accéder le plus vite possible (ce qui n’est pas toujours évident) et surtout, il est important d’être très clair sur la situation quand on communique avec les adoptants.

J’ai peur de ne pas être claire, alors prenons des exemples.

Faire doucement : si possible, on fait un test de consentement avant d’attraper le chien, on lui met un collier plat plutôt qu’une laisse-lasso, si c’est trop dangereux, on met une laisse-lasso plate avec arrêtoir plutôt qu’une laisse-lasse ronde sans arrêtoir, … Si possible, on se déplace lentement, si le chien montre de la peur et qu’il faut le déplacer, on peut peut-être couvrir la caisse… Etc.

Prévoir des environnements sécurisants : des caisses ouvertes, des murets, des recoins où se cacher, … mais aussi, si possible, des endroits où l’ambiance sonore n’est pas agressive !

Être clair avec les adoptants : signaler les problèmes, l’intensité des problèmes, ce qui est mis en place, comment le chien progresse, etc.

Vous ne serez peut-être pas d’accord, mais je pense qu’il vaut mieux faire échouer prématurément une adoption plutôt qu’amener des adoptants à devoir rendre le chien… ce qui est horrible pour tout le monde !

Et si vous n’êtes pas du côté des associations, mais que vous êtes plutôt du côté des éleveurs qui peuvent parfois avoir des chiots qui restent un peu plus longtemps, voir peut-être des retraités d’élevage, pensez à la socia jusqu’au bout et essayez de faire en sorte que ces chiens aient une vie de chiens de familles :) Vous pouvez faire des choses géniales ! Vraiment ! Alors… merci pour votre bon travail

Très intéressant 😏
17/10/2024

Très intéressant 😏

OUI, l’American Staff est un excellent chien de famille, je n’ai de cesse de le répéter. Il aime à la fois accompagner ses humains pour une grande balade en forêt, et lézarder toute la journée au soleil. Il est sensible mais pas trop, il aime s’amuser avec sa famille sans devenir toqué, il a besoin de stimulation mentale et physique sans être aussi demandeur d’activité que les bergers.

Mais…

Il y a vraiment quelque chose qu’on ignore encore trop, ou qu’on ne VEUT PAS voir, chez le Staff.

L’American Staff actuel descend des lignées de chiens de combat britanniques puis américains qui ont combattu des taureaux et d’autres chiens à l’époque où ces jeux d’argent cruels étaient encore autorisés. Les chiens étaient sélectionnés sur leur agilité et leur force, mais aussi et surtout sur leur pugnacité et leur volonté de combattre jusqu’à la mort de leur adversaire, obtenue par une capacité à verrouiller leur mâchoire extrêmement puissante.

Aujourd’hui, beaucoup de Staffs ne tolèrent pas leurs congénères. Une socialisation de qualité peut aider à améliorer leurs capacités à communiquer avec les autres chiens, mais dans un conflit, ils sont parfois incapables de prendre en compte les postures d’immobilité de leurs congénères destinées à interrompre le combat. L’issue peut aller jusqu’à la mort des chiens mordus.

J’ai assisté à plusieurs agressions de ce type lorsque je travaillais en refuge, car nous y récupérions de nombreux American Staffs. Il n’est pas facile de faire disparaître cette caractéristique par la sélection artificielle, car, pour faire simple, les gènes fonctionnent « par groupes », et sélectionner sur le physique entraîne forcément des traits comportementaux, et vice versa.

Je pense qu’il faut surtout prendre conscience de cette caractéristique commune à une certaine proportion de la population de Staffs, et acheter ou adopter cette race en sachant que potentiellement, on vivra pendant quinze ans avec un chien qui ne tolérera pas ses congénères, tout comme, lorsqu’on accueille un Border Collie, on sait que potentiellement, on vivra avec un chien qui coursera les vélos. Ce n’est pas être « raciste » que de reconnaître les qualités ET les défauts de la race qui va partager notre vie : c’est être responsable.

Ce n’est pas « la faute de l’éleveur » ou « la faute de l’acheteur » si certains Staffs sont intolérants envers les autres chiens. Le problème réel réside dans le manque de prise en compte des conséquences d’une sélection drastique effectuée sur certaines races de chiens, entraînant inévitablement des tendances comportementales que l’on apprécie, et d’autres que l’on ne veut pas voir. L’animalité du chien est loin d’être acceptée par tout le monde aujourd’hui. On veut un chien sympa, qui aime tout le monde, qui joue avec les enfants, qui ne grogne jamais, qui salue gentiment ses congénères. Mais la réalité est tout autre.

Si votre chien ne supporte pas ses congénères, il existe des solutions. Dans le cas évoqué ci-dessus, n’espérez pas une resocialisation de votre compagnon. Il pourra apprendre à éviter les autres chiens plutôt que les agresser, en travaillant longuement et avec des méthodes douces. Mais il y a très peu de chances pour qu’il soit capable de réapprendre à communiquer correctement avec ses congénères, et il faudra toujours être vigilant avec un chien qui présente ce niveau de risque pour les autres chiens, en l’équipant d’une longe en promenade et d’une muselière aérée et confortable.

Pourquoi j’ai choisi d’être transparente sur ce sujet sensible ? Parce que je viens de recevoir un SOS d’une personne qui a adopté un American Staff en refuge et dont l’autre chien est actuellement entre la vie et la mort à cause d’une situation qui a mal tourné. Et parce que c’est loin, bien loin d’être le premier appel à l’aide que je reçois pour ce genre de situation. Il faut cesser de se voiler la face, la sélection opérée sur les races canines est loin d’être un détail lorsqu’on aborde les qualités et les défauts d’un chien. Cette transparence est indispensable pour pouvoir adopter un comportement responsable avec une race que l’on aime et que l’on veut protéger (et c’est mon cas !).

Et puis, vous voulez connaître l’immense qualité de l’American Staff ? Certes sélectionné pour son côté belliqueux avec ses congénères, il l’a aussi été pour sa docilité envers l’humain. Un chien aussi puissant qui aurait été agressif envers les humains, cela aurait été beaucoup trop dangereux. L’Amstaff est souvent un amoureux des humains et il ne manifeste que rarement des comportements agressifs avec eux. Alors, avec un peu de recul, est-ce si grave s’il n’aime pas ses congénères, lui qui est si doux et si affectueux à la maison ?

(Sur la photo, Farouk, mon American Staff, très doué pour la communication intraspécifique. Comme quoi, il existe des exceptions, et j’ai conscience d’avoir beaucoup de chance !)

Elsa Weiss / Cynopolis
© Tous droits réservés - 2024

👉 Pour découvrir notre formation vidéo sur l’éducation et le comportement de l’American Staff, c’est par ici : https://www.cynopolis.fr/formations

16/10/2024

Animaux - Signez la pétition : Pétition contre l'impôt pour les animaux

Vous l'aimez, protégez le !
15/10/2024

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🚨 qui connait ce loulou ?🤔
12/10/2024

🚨 qui connait ce loulou ?🤔

Le propriétaire ne pouvait pas assurer le nécessaire pour son chien, il a été transféré à Doggy Oasis International Guyane
Propriétaire retrouvé
RECHERCHE de PROPRIÉTAIRE
Nous recherchons le propriétaire de ce chiot, moins de 4 mois, trouvé par un particulier.
Tel 0694 406087

Coup de pouce pour Rémy ❤️
10/10/2024

Coup de pouce pour Rémy ❤️

Jolis chiots "croisé portes et fenêtres" au Chenil foret emeraude ❤️
09/10/2024

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07/10/2024

L'abandon, un acte lâche et cruel...

Une famille pour ce joli rouquin ❤️👌
07/10/2024

Une famille pour ce joli rouquin ❤️👌

06/10/2024

Comment détecter un mauvais éducateur canin ? 6 signes qui ne trompent pas !
Source Le mag du chien du 3/10/2024

C’est la première fois que vous adoptez un chien et vous aimeriez partir sur de bonnes bases ? Votre chien ne vous écoute pas et vous souhaiteriez pouvoir lui inculquer certains apprentissages ? Dans ces situations, il est possible de solliciter un éducateur canin. Mais pour que l’expérience soit positive autant pour vous que pour l’animal, il est important de bien le choisir. Parlons aujourd’hui des signes qui doivent vous alerter lorsque vous êtes face à un éducateur pour chiens. Nous évoquerons également ceux qui peuvent, au contraire, vous inspirer davantage confiance.

1 - Il n’a pas de certification officielle
C’est le premier élément à vérifier auprès de l’éducateur canin. Assurez-vous qu’il a bien suivi une formation et qu’il a obtenu la certification obligatoire pour travailler avec des animaux domestiques. Il s’agit de l’ACACED, Attestation de Connaissances pour les Animaux de Compagnie d'Espèces Domestiques, qui est réglementée par l’Etat. Elle est valable pendant 10 ans. Elle n’est toutefois pas exigée si la personne a déjà un diplôme de vétérinaire, d’auxiliaire vétérinaire ou de maître-chien, entre autres.
Certes, la formation est très courte et un éducateur ne peut s’en contenter s’il souhaite apprendre le métier. Mais cette attestation est un premier voyant rassurant, qui vous garantit que la personne ne s’est pas improvisée spécialiste des chiens du jour au lendemain et qu’elle dispose bien de connaissances de base concernant l’animal.
Ensuite, l’éducateur doit être déclaré. Il doit avoir une entreprise (même en statut individuel) et avoir un numéro de SIRET qui confirme qu’elle est bien officialisée. Ce numéro doit se retrouver sur les documents qu’il vous transmet : devis, facture, contrat, etc. Cela vous garantit que la personne est également couvert par une assurance professionnelle obligatoire, qui interviendra en cas de problème ou d’accident avec votre animal pendant toute prestation d’éducation (même si c’est, évidemment, une situation que nous ne vous souhaitons pas). A l’inverse, s’il n’est pas déclaré, les recours risquent d’être plus laborieux en cas de problèmes.
Méfiez-vous également des personnes qui se disent éducateurs sur les réseaux sociaux : publier des vidéos pour expliquer comment gérer un chien ne suffit pas à en faire des professionnels.

2 - Il utilise des méthodes dépassées
Pendant des années, on ne parlait pas d’éduquer un chien, mais de le dresser. Les méthodes utilisées étaient coercitives, c’est-à-dire que le principe était d’exercer une contrainte et d’asservir l’animal. Or, il est désormais prouvé que ces méthodes ne sont pas les plus efficaces et ne permettent pas de créer la meilleure des relations avec l’animal. Pire, cela peut provoquer du stress, un mal-être et un manque de confiance chez le chien, qui peut même en venir à développer des problèmes comportementaux. Utiliser la violence, qu’elle soit verbale ou physique, ne devrait plus être une option pour l’éducation d’un chien.
Si l’éducateur utilise un vocabulaire daté, en se disant « dresseur », en vous expliquant qu’il faut être dominant, qu’il faut montrer au chien qui est le plus fort, qu’il faut que vous vous imposiez comme mâle alpha, que votre animal doit être soumis à l’humain, quitte à le corriger lorsque cela est nécessaire… Nous vous conseillons de passer votre chemin. Il s’agit de méthodes reconnues contraires au bien-être animal et il existe, évidemment, des alternatives. Même conseil si la personne vous indique avoir recours à des colliers à étranglement ou à des colliers électriques pour obtenir ce qu’elle veut d’un animal.
A l’inverse, si l’éducateur canin vous parle de renforcement positif (l’animal est récompensé lorsqu’il a le comportement attendu, ce qui l’encourage à recommencer), d’éducation bienveillante et basée sur la coopération, cela signifie qu’il utilise des méthodes plus modernes. Elles ont prouvé leur efficacité sur la plupart des chiens, tout en prenant soin de respecter l’animal.

3 - Il se vante de son expérience
Si l’éducateur vous garantit que ses méthodes sont efficaces juste parce qu’il a des dizaines d’années d’expérience au compteur, ce n’est pas forcément rassurant. S’il s’agit de son seul argument, mais qu’il n’a jamais pris la peine de se former depuis ses débuts ou de se renseigner sur les nouvelles méthodes qui se développent régulièrement, il ne sera pas forcément le mieux placé pour s’occuper de votre chien.
De même, s’il a besoin de critiquer systématiquement les autres éducateurs et leurs méthodes pour se mettre en valeur, il ne sera pas forcément le professionnel bienveillant dont vous avez besoin.

4 - Il garantit des résultats avant même d’avoir vu le chien
Si, avant même de s’être renseigné sur votre chien et ses spécificités, l’éducateur vous promet qu’il va réussir à régler vos problèmes, cela peut vous mettre la puce à l’oreille.
Lors du premier contact ou rendez-vous, l’éducateur doit en effet prendre le temps de vous questionner longuement sur l’animal, ainsi que sur votre propre expérience et relation avec les chiens. Il va d’abord vous demander sur quelle problématique vous souhaitez travailler (si le chien a un comportement inadapté) ou s’il s’agit d’acquérir des bases pour l’éducation d’un chiot. Ensuite, il va se renseigner sur tout ce qui fait les spécificités de votre compagnon : son histoire, ses traumatismes passés éventuels, son environnement, etc. Mais il va aussi vous demander, sans jugement, comment vous vous comportez avec le chien : éducation éventuellement déjà appliquée, activités pratiquées ensemble, réactions face aux agissements de l’animal, etc.
Pour savoir quels gestes seront adaptés, l’éducateur doit en effet avoir une vision globale du contexte dans lequel évolue l’animal. Même si les chiens vont tous avoir en commun certains traits de caractère inhérents à l’espèce canine, ils vont aussi avoir chacun leur tempérament. Cela dépend de leur race, mais aussi de leur sevrage, de l’environnement dans lequel ils grandissent, de leur sociabilisation, etc.
Même conseil si l’éducateur applique une méthode similaire pour des problèmes différents, sans même prendre le temps d’analyser les contextes. Un chien qui mange tout ce qu’il trouve, un chien qui a peur des orages, un chien qui tire en laisse ou un chien réactif face à ses congénères ne seront pas gérés de la même façon, grâce à une seule et même méthode miracle universelle.
En résumé : les solutions proposées doivent donc être personnalisées et l’éducateur doit être à votre écoute.

5 - Il n’a aucune référence
Sauf si l’éducateur vient de lancer son activité tout récemment, il devrait pouvoir justifier de témoignages clients positifs. Si ces derniers ne doivent pas être les seuls éléments à prendre en compte, soyez tout de même vigilants si vous ne parvenez à trouver aucun avis suite à des expériences d’éducation avec le professionnel concerné. N’hésitez pas à consulter son site internet et ses réseaux sociaux en amont.
De même, n’hésitez pas non plus à exploiter le bouche-à-oreille et à demander à d’autres professionnels du milieu leur avis ou des références concernant l’éducateur : toiletteurs, pet-sitters, vétérinaires, éleveurs… Autant de personnes qui peuvent vous recommander (ou non) les services de tel ou tel éducateur.

6 - Vous n’avez pas un bon feeling avec cet éducateur
Certaines choses sont difficiles à expliquer concrètement, et c’est parfois le cas de ce que l’on ressent lorsque l’on rencontre une personne.
Faites confiance à votre instinct : si l’éducateur ne vous inspire pas confiance et que vous n’êtes pas à l’aise en sa présence ou avec ses méthodes, les séances seront forcément contre-productives. Vous serez stressé, votre chien va percevoir que quelque chose ne va pas et risque lui-même d’avoir un comportement différent.
Même constat si l’éducateur ne fait pas preuve d’empathie ou de diplomatie : s’il vous rabaisse et vous critique sans ménagement, il manque certainement de psychologie, ce qui est peu recommandé lorsque l’on pratique un métier au contact des humains et des animaux…

05/10/2024
Pourquoi les chiens se reniflent-ils toujours le derrière ?Source Le monde du 1/10/2024Lorsqu’on se promène avec son chi...
05/10/2024

Pourquoi les chiens se reniflent-ils toujours le derrière ?
Source Le monde du 1/10/2024

Lorsqu’on se promène avec son chien, il est fréquent que le fait de croiser d’autres toutous les amène à se renifler le derrière. En effet, nos amis à quatre pattes semblent avoir le besoin de mettre le nez dans le derrière des autres. Bien que cela puisse sembler embarrassant pour nous, humains, n’y voyez pourtant pas un comportement déplacé, bien au contraire !
En reniflant le derrière d’un congénère, ou plus précisément ses glandes a***es, le chien apprend à l’identifier. Ces petits sacs anaux contiennent en effet tout un ensemble de substances et de phéromones qui renferment une multitude d’informations sur le canidé, notamment sur son identité, son état de santé et son état émotionnel. Y mettre la truffe ne fait pas de votre chien un malpoli, il cherche tout simplement à communiquer et à connaitre ce nouveau congénère tout juste rencontré. Il s’agit donc bien d’un geste d’interaction positif, naturel et tout à fait normal.

Quelles sont les capacités fascinantes de l’odorat de nos amis les chiens ? Quelle utilité trouvent-ils au fait de renifler le derrière de leurs congénères ? Quelles données sont ainsi contenues dans ces petites glandes a***es ? Que faire lorsque son toutou adopte ce comportement qui peut s’avérer gênant ? On vous dit tout dans ce dossier !

L’odorat du chien, un sens puissant
La truffe du chien est un organe puissant qui permet à l’animal de percevoir 1 000 à 100 000 fois mieux les odeurs que l’homme. Dotée d’environ 150 à 220 millions de récepteurs olfactifs – contre 5 millions pour les humains – la truffe du chien abrite un ensemble d’organes qui constitue son système olfactif. En effet, les deux narines qu’elle comporte permettent de faire entrer l’air que le toutou respire.
Au sein des cavités nasales et dans l’ensemble du système, la muqueuse se compose de cellules qui captent les odeurs et d’un système nerveux extrêmement dense qui permet de transmettre l’information au cerveau afin qu’il les reconnaisse et les interprète. Derrière les incisives, le chien est également doté de l’organe de Jacobson – ou organe voméronasal – qui lui permet quant à lui d’identifier les phéromones, une capacité dont l’homme n’est pas doté.
L’odorat est l’un des sens les plus développés chez le chien et il lui permet de reconnaitre son maitre, ses congénères, mais également tout ce qui constitue son environnement et il est notamment utile pour identifier les dangers potentiels. La truffe est donc bien utile au toutou pour répondre à ses besoins quotidiens.
Ainsi, lorsqu’il souhaite identifier une odeur, il lui suffit de la renifler en effectuant plusieurs inspirations et plusieurs expirations. Son cerveau capte les informations et il les transforme en données concrètes que le chien peut ainsi comprendre pour identifier l’origine de l’odeur.
L’organe de Jacobson a pour particularité de permettre au chien de différencier les odeurs qui l’entourent, notamment celles contenues dans l’urine et produites par la zone a***e. Plus qu’une simple odeur, l’animal perçoit ainsi un message bien plus précis, notamment sur l’état de santé et l’état émotionnel de son émetteur.

Pourquoi les chiens se reniflent-ils le derrière ?
Les chiens ne sont pas les seuls à renifler le derrière de leurs congénères. Les chats et les rats en font de même. Ces animaux sont en effet tous capables de comprendre tout un panel d’informations du simple fait de renifler le derrière de l’un de leurs semblables.

Renifler le derrière d’un autre chien : un bon moyen de faire connaissance
Eh oui, aussi curieux que cela puisse paraitre, les chiens communiquent ainsi. Lorsque nous rencontrons une nouvelle personne, nous nous présentons bien souvent par la parole et les plus fins observateurs d’entre nous seront capables d’extraire certaines informations de notre manière de nous exprimer, de notre posture ou encore de nos mimiques faciales. Les chiens, quant à eux, se présentent et font connaissance en se reniflant le derrière.
Ce geste, qui nous semble bien embarrassant, est ainsi tout naturel pour nos amis à quatre pattes. Nos canidés ne se gênent pas, en effet, pour aller renifler les glandes a***es situées de chaque côté de l’anus d’un congénère qu’ils croisent.
Il faut dire que renifler les fesses d’un autre toutou leur en apprend beaucoup sur lui, notamment sur son âge, son sexe, son régime alimentaire, son état de santé, son état émotionnel ou encore sa disponibilité sexuelle éventuelle. Toutes ces données lui sont accessibles grâce aux capacités de son organe de Jacobson, comme nous l’avons indiqué.
Attention de ne pas vous méprendre ! Renifler le derrière d’un congénère est un acte normal et positif pour le chien lorsqu’il souhaite faire connaissance. En revanche, se renifler le museau n’a pas la même signification. En effet, dans ce cas, le toutou ne perçoit pas d’information quant à celui qui lui fait face, si ce n’est son niveau hiérarchique. Oui, car le chien du duo qui respire le plus fort est considéré comme le dominant. On veille donc à ne pas encourager ce type de comportement et on reste bien vigilant s’il se produit, car le rapport de force peut dégénérer en pugilat.

Les données transmises par les glandes a***es
Si le chien perçoit autant de données en reniflant le derrière d’un congénère, c’est en raison de la substance produite par les glandes a***es. Ce sont elles que l’animal renifle et non l’anus du toutou qu’il rencontre à proprement parler. Or, il faut savoir que ces glandes a***es – ou sacs anaux – produisent une substance chimique unique. Chaque animal peut ainsi être reconnu et identifié grâce à elle.
Parmi les composants de cette substance chimique se trouvent des phéromones. Elles sont une sorte de carte d’identité du chien et elles contiennent tout un tas de données concernant le sexe du canidé, son état de santé, son régime alimentaire, son état émotionnel, son âge, sa fertilité, etc.
Ainsi, le fait de renifler le derrière d’un autre chien est une interaction naturelle et positive entre deux individus, mais également le seul moyen de connaitre l’autre. Celui qui est reniflé se présente ainsi et celui qui renifle capte les informations et apprend à comprendre qui est cet autre canidé. C’est un peu comme s’il lisait sa carte d’identité, mais également comme s’il pouvait connaitre ses derniers menus, consulter les résultats de son tensiomètre et des derniers examens de santé qu’il a effectués.
L’animal qui renifle peut également savoir si son congénère est un dominant ou un dominé dans la hiérarchie canine, s’il est fertile et prêt ou non à se reproduire, s’il fait partie de sa famille et s’il l’a déjà croisé avant, etc. Notez en effet que la mémoire olfactive des chiens est très puissante. Votre petit compagnon est capable, par ce biais, de reconnaitre un animal qu’il a déjà croisé au cours de vie, même plusieurs années après !
Vous l’aurez donc bien compris, il est inutile de vous sentir embarrassé lorsque votre chien renifle le derrière de l’un de ses congénères ou lorsqu’il est lui-même reniflé. Il ne fait que communiquer et interagir positivement avec un autre toutou. Si cela vous gêne, détournez son attention, mais ne le sanctionnez pas pour cet acte tout à fait naturel et positif. Il ne comprendrait pas votre réaction et la percevrait comme une injustice.

Qui connait ce loulou ? A Kourou
03/10/2024

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Le bichon, comme les autres chiens a besoin d'entretien. Ne le laissez pas dépérir dans un coin...
02/10/2024

Le bichon, comme les autres chiens a besoin d'entretien. Ne le laissez pas dépérir dans un coin...

📣 Un rappel nécessaire
Vous l'avez sûrement vu sur nos réseaux, nous avons actuellement de nombreux bichons au refuge. Il est important de rappeler que, bien qu'ils ressemblent à des peluches, ce sont avant tout des chiens avec des besoins bien réels.

Ces adorables boules de poils, si mignonnes lorsqu'elles sont petites, demandent comme tous les chiens de l'attention, des balades régulières et une éducation bienveillante. Les bichons sont des chiens vifs, pleins d'énergie, et sensibles.

Au vu du nombre de bichons sauvés ou abandonnés récemment, ce rappel semble indispensable ! Si vous envisagez d'adopter un bichon, n'oubliez pas que derrière ce look de peluche se cache un être vivant avec des attentes et des besoins. 🐾

🚨 Chien recupéré par le Chenil forêt d'Emeraude, sera transféré chez Doggy Oasis
30/09/2024

🚨 Chien recupéré par le Chenil forêt d'Emeraude, sera transféré chez Doggy Oasis

TROUVÉ chien blanc type SHIN TZU à REMIRE MONTJOLY
27/09/2024.

Secteur : route des fleurs coco.
Il n’est pas pucé etne porte pas de collier. Petit gabarit.

Contact : 0594.31.83.14 (clinique vétérinaire de Montjoly)

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