Montagnes des Pyrénées à Madagascar

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Montagnes des Pyrénées à Madagascar Les Montagnes des Pyrénées sont de beaux chiens de montagne, gardiens de troupeaux contre les loup Pourquoi pas aux Patous.

Madagascar, une île montagneuse, ne possède pas de chien de montagne. Il faut dire qu'il n'y a pas de prédateurs pour les troupeaux. Cela n'empêche qu'un chien de montagne pourrait y trouver sa place, les hauts plateaux s'étendant sur des milliers de km conviendraient bien à des gros chiens. Notre couple après des années ici est en bonne santé, leur descendance (6 à ce jour) ont l'air aussi en for

me.Ils pourront aussi régénérer les chiens locaux en leur donnant des gênes de gros chiens. Donc nous vous invitons à participer à leur développement.

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Ballade des Patous en campagne à Ambogamarina

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Bienvenue au pays Zafimaniry à Madagascar.
Voici donc des maisons traditionnelles malagasy.

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07/04/2022

Une bulle de liberté, entre reportages, programmes psycho et cours pour les collégiennes et lycéennes, d'autant plus indispensables aujourd'hui que les talibans ont fermé la porte des établissements scolaires aux adolescentes.

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20/10/2021

Le groupe pétrolier français était au courant depuis 1971 du danger de l’utilisation des énergies fossiles mais n’a pas agi, essayant au contraire de le minimiser auprès des décideurs et de l’opinion publique.

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Les femmes amérindiennes ont activement contribué aux grands mouvements sociaux de leur temps.

20/09/2021
17/09/2021

A Kaboul, des musiciens inconsolables d'avoir abandonné leurs instruments.

Quand les talibans sont entrés mi-août dans Kaboul, Bahar et les autres musiciens de l'Institut national de musique d'Afghanistan (Anim) se sont retrouvés face à un dilemme cornélien : rester et risquer des représailles, ou fuir en abandonnant leurs instruments.
"Nous nous sommes tous enfuis. Nous nous sommes sauvés, en laissant les instruments à l'institut", se souvient la joueuse d'alto, interrogée par l'AFP.
La crainte était énorme pour Bahar, 18 ans, qui se sentait doublement ciblée. Durant leur premier règne, entre 1996 et 2001, les fondamentalistes avaient interdit la musique, et les femmes n'avaient pas accès à l'éducation.
"J'avais l'impression d'avoir perdu un membre de ma famille", se souvient Bahar, évoquant son alto. D'autant que la jeune femme est arrivée à l'Anim directement depuis l'orphelinat où elle avait grandi. Son instrument à cordes était son "meilleur ami", avoue-t-elle.
"Quand je suis entrée (dans l'institut, NDLR), mon stress a diminué, car la musique est une nourriture pour l'âme et j'ai vu cela se réaliser", souffle-t-elle, demandant à ne pas utiliser son vrai nom pour se protéger. "Je me sens extrêmement paisible lorsque je joue de l'alto, surtout dans l'orchestre des filles."
Son talent lui a aussi servi de passeport : Bahar s'est produite en Inde, en Suède, au Royaume-Uni et en Azerbaïdjan.
Depuis qu'elle sait que les talibans occupent l'institut, et utilisent ses salles comme dortoirs, Bahar dit avoir "l'impression de ne plus vivre". "Physiquement, je suis en vie, mais les talibans m'ont enlevé mon âme", sanglote-t-elle.

- Instruments intacts -
Les talibans n'ont pas encore annoncé de politique officielle en matière de musique depuis qu'ils ont établi leur gouvernement, mais ils ont juré de diriger le pays selon leur interprétation stricte de la charia.
"La musique est interdite par l'Islam", a déclaré fin août leur porte-parole Zabihullah Mudjahid au quotidien américain New York Times. "Nous espérons que nous pouvons persuader les gens de ne pas faire ce genre de choses, plutôt que de les pressuriser."
Lors d'une visite de l'Anim par l'AFP, un établissement mixte - ce qu'interdisent également les islamistes -, les bavardages et chamailleries de jeunes soldats talibans ont remplacé les mélodies. Des gardes armés bercent leur Kalachnikov dans la cour tranquille, ombragée par des arbres dont les troncs sont peints de clés de sol.
Un taliban montre à l'AFP une réserve d'instruments intacts laissés sur place, quand la rumeur affirmait qu'ils avaient été détruits. Les dirigeants du mouvement lui ont ordonné de les protéger, affirme-t-il.
Sur des étagères, trompettes, saxophones et flûtes sont empilés face à des violons et autres altos dans leurs étuis. Des dizaines de tambours sont également stockés, ainsi qu'une douzaine d'instruments traditionnels afghans. Les salles de répétition sont toutes équipées d'un clavier ou d'un piano.
Awa, un guitariste de 28 ans, n'est pourtant pas rassuré. Lui qui avait des instruments partout dans sa chambre à Kaboul a maintenant détruit presque toutes les traces de sa carrière musicale, à l'exception de sa guitare préférée, raconte-t-il à l'AFP.

- Patrimoine afghan -
Ce diplômé de l'université de Kaboul, qui donne des cours à l'Anim, a cessé de mettre ses leçons en ligne sur sa chaîne YouTube. Il ne répond plus non plus aux requêtes sur les réseaux sociaux.
Lui qui s'est produit avec certaines des plus grandes stars afghanes s'inquiète désormais pour la sécurité de sa famille si les talibans le reconnaissent.
"Il est naturel que vous ayez peur si vous êtes impliqué dans la musique en Afghanistan. Tôt ou t**d, les talibans s'en prendront aux musiciens", affirme Awa, qui témoigne également sous pseudonyme.
Fin août, un chanteur folklorique a été abattu dans le Sud d'une b***e dans la tête. Les rumeurs les plus sombres sapent chaque jour le moral des artistes afghans.
"Depuis leur arrivée, la vie est un enfer. Nous avions de grands rêves, mais maintenant nos ambitions n'existent plus", se lamente Awa.
En réduisant au silence les musiciens et en privant les enfants de la possibilité de jouer d'un instrument, les talibans "ouvrent la voie à la disparition du riche patrimoine musical de l'Afghanistan", estime Ahmad Sarmast, le fondateur de l'Anim, réfugié en Australie.
Mais lui veut garder l'espoir que les talibans ont changé. Il a écrit aux dirigeants du mouvement pour plaider en faveur de l'accès à la musique, notamment pour les enfants. "J'espère qu'ils nous permettront de continuer à faire notre travail, dans l'intérêt du peuple afghan."

KABOUL (AFP) 16.09.2021 - 08:16

13/09/2021

Afghanistan - Droits des femmes : les inquiétantes premières mesures du gouvernement taliban.

On ne peut pas dire qu’il s’agisse d’une surprise, mais le message envoyé a été on ne peut plus clair. Mardi 7 septembre, les talibans ont dévoilé la composition de leur gouvernement intérimaire et, malgré leur promesse d’un exécutif “inclusif”, aucune femme ne figure dans la liste.
C’est donc tout naturellement que la presse internationale s’est mise à scruter les premières mesures (ou annonces de mesures) des représentants du mouvement islamiste concernant les droits des femmes. Et les nouvelles ne sont pas bonnes, notamment dans le domaine du sport.
En effet, interviewé par le média australien SBS, le directeur adjoint de la commission culturelle des talibans, Ahmadullah Wasiq, a livré cette analyse concernant la possibilité que les femmes puissent pratiquer le cricket :
"Je ne pense pas que l’on permettra aux femmes d’y jouer, car ce n’est pas nécessaire. En pratiquant ce sport, elles pourraient être confrontées à une situation où leurs visages ou leurs corps sont exposés, et l’islam n’autorise pas qu’une femme soit vue de cette manière. Dans l’émirat islamique, les femmes ne peuvent pas joueur au cricket ni aux autres types de sport où elles sont exposées.”

“Des sportives qui se cachent”.
Suffisant pour le média pour annoncer que “les talibans ne permettront pas aux femmes de faire du sport”.
Voilà qui n’est guère surprenant pour The Guardian, qui rappelle que “depuis que les talibans ont pris le pouvoir, des sportives, y compris des joueuses de cricket, se cachent en Afghanistan”. Pire, certaines femmes signalent même “des menaces de violence de la part des combattants talibans si elles sont surprises en train de jouer”, note le média britannique.

“La classe devra être séparée par un rideau”.
De l’autre côté de l’Atlantique, le site d’information de la chaîne de télévision CNN met l’accent sur un autre changement en cours qui concernera certaines femmes afghanes :
Le ministère de l’Éducation taliban a accepté une proposition, soumise par le syndicat des universités afghanes, de séparer les étudiants hommes des étudiantes femmes. Les classes mixtes seront autorisées que lorsque le nombre de personnes de sexe féminin sera inférieur à 15, mais la classe devra être alors séparée par un rideau.”
Par ailleurs, poursuit CNN, toutes les étudiantes ainsi que les professeures devront porter le hijab (voile qui couvre les cheveux mais pas le visage) et, dans un avenir proche, “les universités devront essayer d’employer des professeurs femmes pour les étudiantes”, peut-on également lire dans la proposition relayée par le média américain.
Interrogées sur ces changements à venir par CNN, les femmes présentes à l’université expriment plutôt du soulagement, du fait qu’elles devraient pouvoir continuer à étudier, ce qui n’était pas possible lors du précédent “règne” des talibans.
Par ailleurs, mieux vaut s’accommoder des nouvelles règles, puisque protester peut être dangereux. En témoigne l’agression subie par des femmes qui manifestaient contre la formation du nouveau gouvernement, par des talibans qui, selon un autre article du média américain, “ont utilisé des fouets et des bâtons contre elles”.
La situation est donc extrêmement tendue, ce qui fait dire à The Guardian que “malgré les déclarations rassurantes, de plus en plus de preuves montrent que l’attitude des talibans envers les femmes s’est à peine modérée depuis qu’ils sont revenus au pouvoir”.
Le mouvement islamiste devra néanmoins être particulièrement attentif à cette question, conclut le média progressiste, car celle-ci est particulièrement importante aux yeux de l’opinion publique occidentale. “La question des droits des femmes sera probablement prépondérante dans la façon dont le régime sera jugé par la communauté internationale”, estime même le média.

Beniamino Morante
Courrier international
Publié le 08/09/202

< https://www.courrierinternational.com/

04/09/2021

Fawad Andarabi était un chanteur folklorique afghan réputé dans la province de Baghlan où il résidait. Selon plusieurs sources, il a été interpellé la

31/08/2021

Quelles perspectives pour les femmes afghanes sous le nouveau gouvernement des talibans ? Voici le témoignage d'une jeune magistrate qui a souhaité rester anonyme. Elle est juge depuis 10 ans, a exer…

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La folie des religieux ultra et de leurs idéologie moyen-ageism

22/08/2021

Pensons à toutes les Afghanes qui ne pourront fuir.

Quelques semaines avant que le président américain Joe Biden ne confirme officiellement la décision de son prédécesseur [Donald Trump] de retirer les troupes américaines d’Afghanistan, quelques mois avant que celles-ci n’évacuent du jour au lendemain la gigantesque base militaire de Bagram, je suis tombé sur la vidéo d’un blogueur spécialisé : < https://www.youtube.com/watch?v=3iaqwmhRClE&t=9s ... Comme d’autres, ce vlogueur sillonne le monde sur différentes compagnies aériennes, puis rédige des critiques et attribue des notes aux entreprises et à leurs services, de la qualité de la procédure d’embarquement à celle des repas servis à bord. Notre vlogueur se trouvait en l’occurrence à Kaboul.
Il avait été invité dans la capitale afghane pour embarquer à bord d’un vol à l’“équipage 100 % féminin” pour Hérat, dans l’ouest du pays. Et effectivement, à son arrivée à bord du Boeing 737, le personnel navigant était exclusivement composé de femmes.

Une copilote afghane aux commandes.
Notre vlogueur échange avec l’équipage, venu des quatre coins de l’Afghanistan. Toutes ont entamé leur carrière au cours des dix dernières années. Elles disent adorer leur travail, notamment pour les voyages bien sûr, mais aussi pour l’indépendance qu’il leur offre.
Dans le cockpit, ce témoin privilégié fait ensuite la connaissance de la pilote, une Ukrainienne, et de sa copilote, une jeune Afghane. Toutes deux aussi disent leur passion du vol, et lors des moments plus tranquilles du voyage, elles prennent le temps de se confier un peu sur leur métier et ses particularités.
Moi qui suis le père de deux merveilleuses filles, mes yeux se sont embués quand la copilote a dit au vlogueur qu’elle avait la chance immense d’avoir réalisé son rêve, mais que le meilleur était ailleurs :
Surtout, les jeunes Afghanes voient que c’est possible pour moi, et donc que ça l’est aussi pour elles.”
Puis elle a effectué un atterrissage parfait sur la piste de l’aéroport de Kaboul.

Le peuple afghan vendu par les élites.
Cette semaine, sur la chaîne info britannique Channel 4, un journaliste interviewait la directrice afghane d’une ONG qui se consacre à l’éducation des jeunes filles à Kandahar. L’accord de Doha [signé le 29 février 2020 entre les États-Unis et les talibans] “nous a vendus", estimait-elle. Le marché, c’était ‘laissez-nous partir, nous les riches, nous l’élite, en échange on vous vend le peuple afghan, les civils d’Afghanistan.’ Pour nous, il n’y aura pas d’issue.”
"Je vais perdre… je vais perdre tout ce que ce que mon père a bâti, tout ce que ma famille et moi avons bâti, tout ce pour quoi toutes les filles, tous les Afghans se sont battus ces vingt dernières années. Nos maisons, nos rêves, nos objectifs, nos ambitions, notre identité d’Afghans. Nous allons tout perdre.”
Sachant bien que les talibans étaient aux portes de Kandahar, où se trouvait la jeune femme brillante et bouleversante qui répondait à ses questions, le présentateur de Channel 4 a poursuivi, sans le moindre tact :
"Qu’allez-vous faire s’ils viennent frapper à votre porte ?”
Elle s’est tue quelques instants, mais le désespoir qu’on pouvait lire sur son visage offrait la meilleure des réponses. Puis elle a soupiré :
"Prier. Prier, sans doute. Ce sera la dernière chose que je ferai, mais c’est la seule chose à faire. Je ne peux rien faire d’autre.”
Mal à l’aise, le présentateur s’est trémoussé sur sa chaise, tout en la remerciant. Le visage de cette jeune femme m’a brisé le cœur.

Objectif des États-Unis : Al-Qaida.
Alors, à la lecture des “analyses” cherchant à identifier les responsables de la situation en Afghanistan, ayez une pensée pour cette jeune pilote d’avion, pour cette jeune directrice d’ONG tout aussi brillante, dont le désespoir va continuer à me hanter pendant des semaines, et pour toutes les autres jeunes femmes.
Le Pakistan s’inquiète de devenir le bouc émissaire et de devoir endosser l’entière responsabilité de la situation, voire d’être ostracisé, car il a accueilli notamment les talibans traqués par la coalition internationale menée par les États-Unis. Islamabad n’échappera pas à ses responsabilités.
Regardons la vérité en face. Les troupes américaines sont venues en Afghanistan pour détruire Al-Qaida, qui venait d’organiser une série d’attentats “spectaculaires” aux États-Unis, prenant pour cible le cœur économique du pays, mais aussi le centre névralgique de la puissance militaire américaine, quasi légendaire et incontestée.
En vingt ans de présence en Afghanistan, les États-Unis affirment avoir dépensé 1 500 milliards de dollars [plus de 1 200 milliards d’euros] — je ne sais pas vous, mais personnellement, je ne sais même pas combien de zéros cela représente. Aujourd’hui, la plupart des responsables américains estiment qu’Al-Qaida ne représente plus la même menace qu’autrefois.

Des intérêts de sécurité.
L’intervention américaine était guidée par des intérêts égoïstes de sécurité, pas par une quelconque préoccupation pour la nation afghane. C’est aussi simple que cela. Il n’y avait pas d’autre objectif. Les Afghans ont avant tout été abandonnés par leur élite nationale.
Certes, le Pakistan, porté par ses propres enjeux sécuritaires, a joué double jeu en ce qui concerne les talibans. Les Occidentaux ont eux aussi servi leurs intérêts, en s’attaquant à Al-Qaida pour protéger leurs pays — l’organisation terroriste est pourtant l’héritière du “djihad” antisoviétique [que Washington a autrefois contribué à financer].
Mais que sont devenus les milliards dont l’Occident a arrosé l’armée afghane ? Quelques semaines à peine avant que ne débute la progression des talibans, le nombre de soldats afghans était estimé à 300 000. Or, au vu de la situation sur le terrain, ils n’étaient en réalité qu’un dixième du chiffre annoncé, grand maximum. Cette armée ressemble à s’y méprendre à une armée fantôme.

Coincés à la merci d’extrémistes.
Les Occidentaux ont plus ou moins quitté le pays, et les membres de l’élite afghane, qui ont siphonné les ressources destinées à soutenir l’armée et plusieurs grandes réformes structurelles, seront dans l’avion pour quitter le pays avant l’assaut final des talibans [le texte a été publié au matin de la prise de Kaboul par les talibans]. Les autres Afghans, eux, n’ont nulle part où aller.
Aujourd’hui, mes pensées accompagnent ces Afghans. En particulier les femmes, qui, pour beaucoup, sont indiscutablement plus dignes que leurs homologues masculins, dont la cupidité et la soif de pouvoir ont placé le pays à la merci d’un groupe armé d’extrémistes intolérants et obscurantistes.

Abbas Nasir
DAWN (Karachi, Lahore, Islamabad)
Publié le 15/08/2021

Lire l’article original:
< https://www.dawn.com/news/1640774/to-afghans-with-nowhere-to-go

20/08/2021

Le jeudi 19 août, pour la deuxième journée de suite, des centaines d’Afghans, dont de nombreuses femmes, sont descendus dans les rues du pays pour protester contre le pouvoir taliban. La répression ne s’est pas fait attendre.

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