03/11/2024
Nous remercions la fondation Semper Animalis (Danièle De Ghynst) d'avoir aidé notre asbl Les Poules Heureuses par don pour nos animaux ❤️
100% LOGIQUE: L'EVIDENCE EST SOUS VOS YEUX,
Ou, quand se souvenir de son avenir devient un atout formidable..
J'ai toujours su que je m'étais incarnée pour m'occuper d'animaux. Et c'est ce que j'ai toujours fait, depuis ma plus tendre enfance.
Comme j'aime le résumer, quand j'avais 2 ans, je me penchais par-dessus ma poussette pour caresser les chiens qui passaient à portée de mes petites mains. Vers l'âge de 6-7 ans, quand je jouais dehors, dès que je voyais quelqu'un qui arrivait avec un chien, je courais vers cette personne pour lui demander si je pouvais tenir son chien en laisse jusqu'à tel arbre (pouvais pas aller plus loin de mes parents). Vers 8-9 ans, quand j'ai eu l'autorisation de traverser la rue, j'allais sonner à une maison en face et demandais pour aller promener le chien Bobby.
A partir de 10 ans, et jusque 14 ans, j'allais nettoyer, le samedi matin, les cages des chats à Veeweyde, SPA qui se trouvait alors en face de mon école. Puis, on a déménagé et la SPA aussi. Pour y aller, il fallait alors que mon père m'y conduise en voiture. Cela dit, j'ai vite arrêté car l'esprit avait changé: c'était beaucoup plus "administratif" et je ne pouvais même plus m'occuper des chats. Tout ce qu'on me laissait encore faire, c'était tamponner des carnets de reçus. Pas très intéressant...
A l'été de mes 17 ans, juste avant de rentrer à l'université, j'ai passé mes vacances à sillonner Bruxelles à vélo pour aller m'occuper des animaux des gens qui partaient en vacances.
J'ai donc toujours fait au mieux de mes possibilités PHYSIQUES, ne pouvant faire à 2 ans ce que j'ai pu faire à 17 ans.
Puis vint le temps des études...et la fin du premier volet de ma vie....
A l'âge de 25 ans, je suis partie de chez mes parents et j'ai commencé à adopter les chiens qui n'avaient aucune chance dans les refuges. J'ai fait cela jusqu'au moment où j'ai eu 19 chiens. Financièrement, avec mon compagnon de l'époque, je ne pouvais pas faire plus.
C'est alors qu'à la veille de mes 30 ans, j'ai créé le Home de la Dernière Chance (qui deviendrait plus t**d le Paradis sur Terre). Dans le cadre de cette asbl, j'allais pouvoir récolter des fonds pour poursuivre ma mission de vie.
Vous connaissez la suite: ma commune d'alors a vu cela d'un mauvais oeil et il a fallu que je parte. C'est alors que j'ai eu l'immense chance de rencontrer une dame incarnant la générosité, qui m'a donné les moyens de partir et c'est ainsi que je suis arrivée au Chemin du Paradis où depuis le 24 juin de cette année, cela fait pile 24 ans que j'honore au mieux la confiance que m'a fait cette dame. Plus loin, vous le verrez, cette dame a été un modèle pour moi...
Donc, depuis l'âge de 25 ans (soit le début du deuxième volet de ma vie) jusqu'à aujourd'hui, 56 ans, j'ai toujours fait au mieux de mes possibilités PHYSIQUES, MENTALES ET FINANCIERES, grâce toujours à mon association, ayant eu jusqu'à 173 chats, 34 chiens et 7 chevaux EN MEME TEMPS et tout en m'en occupant SEULE!
Au cours de toutes ces 55 années, j'ai toujours écouté ma petite voix intérieure, celle qui me rappelle le pourquoi de mon incarnation. C'est ainsi que peu à peu, évolution oblige, alors que j'étais "chiens", j'ai petit à petit tourné "chats". Certes, j'aimais toujours follement les chiens, mais, passé 30 ans, le caractère des chats me correspondait mieux, en plus du fait que la vie m'invitait à constater que la misère des chats, quelque part, était pire que la misère des chiens, au sens où j'avais vingt appels pour des chats contre un appel pour un chien.
Et là, à un moment donné, j'ai merdé. Plutôt que d'écouter ma petite voix intérieure, je l'ai muselée et j'ai continué de prendre des chiens pour de mauvaises raisons (dans un refuge, ce sont les chiens qui paient pour les chats). Mais on n'échappe pas à son destin et ce dernier sait se montrer persuasif: alors que je disais oui avec ma tête pour accueillir un chien, je disais non avec mon coeur, et cette incohérence intérieure n'a pas manqué de se refléter à l'extérieur au sens où, alors que je n'avais jamais eu de souci de cohabitation chiens chats, il est arrivé qu'en onze mois, deux chiens ont chacun croqué un chat! Le choc!!!!! Mon destin se rappelait à moi! Fallait que je prenne le taureau par les cornes. J'ai donc "assumé" et annoncé dans ma r***e que je cessais de prendre des chiens pour ne plus accueillir que des chats (je précise que j'ai gardé tous mes chiens jusqu'à la fin!). La réaction ne s'est pas fait attendre: en six mois, le Home de la Dernière Chance avait perdu la moitié de ses membres!
Soit! Valait mieux perdre des membres plutôt que des chats et j'ai donc poursuivi ma route comme j'ai pu, écoutant la voix de mon coeur et les messages subliminaux de mes chats.
Et les années ont alors passé, années ayant aussi bien forgé mon caractère qu'apporté leur lot de joies et de tristesses, années au cours desquelles aussi je suis devenue végane, zéro déchet, minimaliste, années où peu à peu mon horizon a commencé à s'élargir à l'ensemble du monde vivant...
On n'échappe pas à son destin et nous sommes là pour évoluer et ainsi honorer le contrat que nous avons signé avec ce destin avant de nous incarner. Pour ce faire, il y a deux ans, et sans le moindre signe avant-coureur, je me suis levée un matin avec une épouvantable douleur à un talon, douleur s'apparentant à celle d'une fracture! Progressivement, cette douleur s'est installée à l'autre talon également. Tant que je ne réagirais pas.... Et ces douleurs ont fini par me conduire chez un ostéopathe qui, lors de la première séance de manipulations, a fait des merveilles, me faisant retrouver pour trois heures ou trois jours, les joies d'une démarche normale. Mais un certain message de mon être intérieur était resté sans écho et mes douleurs revinrent très rapidement. Lors d'une seconde séance, l'ostéopathe m'a dit texto: si vous ne changez pas de vie, moi, je peux plus rien faire pour vous. Vos chats vous vissent chez vous et vous empêchent d'avancer!
Ok, merci! Au revoir! Non mais! Qui était-il pour me dicter ma conduite, voire ma vie????
Quelque temps plus t**d, particulièrement fatiguée, je prenais conscience d'être engluée dans une implacable routine. J'étais si lasse! Je n'en pouvais plus, je me laissais déborder. Dès que je voyais un chat décliner ou présenter les premiers signes d'une maladie contre laquelle je ne pourrais rien, je descendais à une vitesse vertigineuse au plus profond des enfers de l'impuissance.
Et les mots de l'ostéopathe, tel un serpent qui avance inexorablement, se sont réinvités au coeur de ma conscience. Et s'il avait raison...?
Petit à petit, j'ai pris la mesure de certaines choses qui ne me convenaient plus, qu'il y avait une fêlure, voire une fracture (d'ailleurs, pour mes talons, on parlait d'une fracture de fatigue) entre ce que voulait ma tête et ce que ressentait mon coeur.
Les semaines se sont égrenées au fil des saisons et les paroles de l'ostéopathe s'imposaient à moi avec toujours plus d'insistance...jusqu'au jour où j'ai capitulé. Non! Je n'ai pas capitulé, j'ai compris! Mon destin se rappelait à mon bon souvenir via des douleurs qui ne s'en iraient pas tant que je ne ramènerais pas l'harmonie au coeur de moi-même.
Et j'ai pris la décision d'arrêter d'accueillir des chats. Je me consacrerais dorénavant corps et âme à tous les chats présents. Moins de chats, c'était tout bénèf pour eux! Cette décision, je l'ai prise au printemps de l'année dernière, ce qui a eu pour conséquence de faire disparaitre instantanément ces douleurs aux talons que je traînais vaillamment depuis toute une année. Que c'était bon de remarcher normalement!
Clairement, les pieds, ça symbolise notre façon d'avancer dans la vie. Notre corps nous parle sans cesse.
Les semaines et les mois passèrent. Je campais fermement (à défaut de fièrement) sur ma position, m'éloignant de plus en plus des réseaux sociaux et de toutes "tentations de sauvetage", me débrouillant comme je pouvais (assez mal en vérité) avec les demandes qui me parvenaient par mail ou par téléphone.
Couarde! J'étais couarde en fait! J'avais pris une décision, certes, mais je ne l'assumais pas! Je n'osais pas le dire! Le PST qui ne prenait plus de chats?? Mais ça revenait, à mes yeux, à condamner tous ceux qui s'y trouvaient! Et j'ai continué à en accueillir... cumulant du même coup toutes sortes de maux tels que tendinite, épicondylite, bursite et même capsulite!
C'est un jour de douleurs particulièrement fortes et presqu'incapable de me servir d'un de mes bras que j'ai compris que j'étais en train de faire la même erreur qu'il y a vingt ans, quand j'ai continué à accueillir des chiens avec la tête tout en les refusant avec le coeur sous prétexte que les chiens payaient pour les chats. Pour les mauvaises raisons quoi!
Et là, je continuais d'accueillir des chats...pour assurer l'avenir des chats déjà présents!!!! Des raisons financières, ça s'accorde assez mal avec un contrat d'incarnation. En tout cas le mien! Je ne pouvais plus repousser l'échéance! Si je n'assumais pas, je le paierais très cher, soit moi au travers de ma santé, soit mes chats, je ne sais comment!
C'est avec la ch**te Margaux, arrivée le 23 octobre de l'année dernière, que j'ai été obligée d'assumer mon choix. Mon destin plutôt. En effet, la personne qui me demandait d'accueillir la petite ch**te a fait preuve d'une telle insistance que je me suis retrouvée dans l'impossibilité de refuser (je la "rembarrais" au téléphone, elle revenait par mail ou via Messenger). Si je ne réagissais pas sur-le-champ, j'allais encore me faire avoir! Et donc, le plus honnêtement du monde, j'ai expliqué à la personne qui me l'amenait que c'était la dernière ch**te à entrer au PST, lui en servant toutes les raisons qui m'amenaient à cette décision. (Cela dit, je remercie infiniment Katia d'avoir si fort insisté car, comme je l'ai découvert ensuite, Margaux est la réincarnation de ma petite Florette adorée!)
Mais le dire à UNE personne, qui, de surcroît, était tellement soulagée que j'accueille la ch**te, c'était m'acheter une compréhension bon marché. Peux mieux faire! DOIS mieux faire! Mais comment? Je reportais sans cesse, tenaillée par la crainte de perdre les membres qui soutenaient le Paradis sur Terre et ses chats depuis tant d'années. Le Paradis sur Terre, ce n'est pas seulement ce que je fais, c'est aussi et surtout ce que JE SUIS!
Et alors que le monde plus "sauvage" et la planète s'imposaient de plus en plus à moi comme des "entités" nécessitant d'urgents remaniements, allant de la protection de ce qui peut encore l'être à la réparation de ce qui doit l'être, au début de cette année et à la faveur de certains signes qui ont su se montrer convaincants, j'ai clairement senti que le deuxième volet de ma vie était en train de se clôturer en même temps que les prémisses du troisième volet s'insinuaient peu à peu dans les méandres de mon cerveau.
Ainsi, s'il était clair qu'avec Margaux, j'arrivais à un tournant de ma vie, j'avançais à tâtons, à travers un épais brouillard. Je me doutais bien qu'après le tournant, il devait y avoir autre chose et si je pouvais légitimement me demander ce que j'allais bien pouvoir faire du reste de ma vie, à part m'occuper des chats présents, je faisais preuve d'un semblant d'insouciance légère en me disant que la nature ayant horreur du vide, quelque chose me correspondant parfaitement, finirait bien par se présenter...
Mais la sinistrose s'installait...ainsi qu'un sentiment d'inutilité croissant. Le monde vivant avait tant besoin d'aide et rien ne se présentait à moi....Or, je considérais qu'il était juste impossible qu'avec une telle empathie pour les animaux, la planète, l'ensemble du monde vivant, tout s'arrête parce que j'étais dans une impasse avec les chats!
Et donc, comme dit, c'est au tout début de cette année, à la suite de quelques singulières synchronicités que, catapultée à quelque hauteur, j'ai pu voir depuis la perspective de mon âme, le reste de mon chemin, ce que j'appelle le troisième volet de ma vie. Ce dernier s'inscrit de façon implacablement logique dans la droite ligne des deux autres et vient faire de mon chemin de vie...celui que j'avais choisi avant de m'incarner: me consacrer aux animaux, toujours du mieux que je peux en fonction de mes capacités, que ces dernières soient physiques, mentales et/ou financières.
Et si j'ai consacré les 25 premières années de ma vie à m'occuper PHYSIQUEMENT des animaux, les trente années suivantes, à m'y consacrer PHYSIQUEMENT et FINANCIEREMENT, les termes de mon contrat avec mon destin me mènent à m'occuper presqu'exclusivement FINANCIEREMENT des animaux (et du monde vivant) pour les cinquante années à venir, étant entendu que de cette manière, j'en ferai encore bien plus pour eux que si je m'obstinais, bien maladroitement, à me fossiliser dans le deuxième volet de ma vie....
Toutefois, afin d'entrer de plein pied dans ce troisième volet qui me tend les bras, il me faut sortir dignement du second au cours duquel je n'ai hélas jamais su gérer mes émotions et qui fait qu'aujourd'hui, je suis à bout, n'en pouvant plus de zapper les décès. Au fil des ans, les larmes contenues ont patiemment bâti une muraille de tristesse qui engorge ma nuque et provoque des douleurs musculaires qui me montent à la tête et vont crescendo...Je dois trouver le moyen de dynamiter cette muraille, ce véritable barrage, pour que jaillissent les larmes retenues pendant trente ans. Cela devrait provoquer une sorte de tsunami, mais c'est le prix à payer pour entamer dans la joie pure ce troisième volet de ma vie et ainsi me permettre de continuer à accueillir quelques chats, une vie sans eux étant carrément inenvisageable (même si avec ceux qui me restent, j'en ai encore pour quelques années). Et, mon impatience à entrer dans ce troisième volet de ma vie, le coeur vierge de toute tristesse mais rempli de la joie du don, trouve son exutoire dans le bonheur que j'éprouve à sillonner à vélo les chemins de campagne pour les débarrasser des détritus laissés par les humains....
Le souvenir de mon avenir m'étant ainsi remonté du fin fond de moi-même, il ne me reste plus qu'à le faire savoir car cet avenir, il ne s'envisage qu'en collaboration avec celles et ceux qui partagent un semblable degré d'empathie envers nos frères les animaux et notre mère la Terre.
Le but une fois établi, les moyens de l'atteindre se présentent spontanément. C'est donc via la création d'une Fondation que je compte poursuivre mon chemin de vie. Cette fondation aurait pour but de financer des projets servant la cause animale et la cause de la terre, que cela soit par la création de refuges pour des chats, des chiens, des chevaux, le rachat de fermes et leur réhabilitation en sanctuaires pour animaux de ferme sauvés d'abattoirs (un plus que juste retour des choses!), la plantation de forêts, le rachat de forêts afin d'assurer leur préservation, le nettoyage des espaces naturels, sur terre ou en mer...
La dame qui m'a donné les moyens d'honorer mon destin avait 76 ans à l'époque et, ce faisant, elle a permis de sauver infiniment plus d'animaux qu'elle n'aurait pu le faire à cet âge et dans son appartement. A l'époque de son incroyable geste à l'égard de mon association, je lui avais promis que si un jour j'en avais les moyens, mon tour viendrait de faire semblable geste. Peu avant sa mort, elle a créé une fondation qui soutient depuis quelques années d'innombrables projets en faveur des animaux et des enfants handicapés.
Aujourd'hui, mon tour est venu et, tout comme l'univers est en expansion, nos capacités le sont aussi et je veux maintenant honorer la promesse que j'ai faite à cette grande dame il y a 25 ans. Toutefois, n'ayant aujourd'hui à peu près que les moyens du Paradis sur Terre, je voudrais rallier à mon projet toutes celles et ceux qui veulent apporter leur contribution à l'amélioration du bien-être des animaux quels qu'ils soient, domestiques ou non, au travers d'associations ou non, ainsi qu'aux soins que nécessite notre Terre blessée.....
Parce que, qui dit fondation, dit en général que là derrière, il y a quelqu'un qui distribue des largesses. Or, personnellement, si je fais mon maximum pour aider là où je peux, ça se résume en fait à pas grand chose. C'est pourquoi, pour faire fonctionner cette fondation, je compte sur des dons, bien entendu, mais surtout des sponsors ou des legs. Au sujet des ces derniers, (c'est là qu'intervient ma contribution) je m'engage à ouvrir les portes du Paradis sur Terre au(x) chat (s) des personnes qui n'ont plus d'autre famille qu'eux en échange d'un testament fait en faveur de la fondation. Après avoir aimé son petit animal toute sa vie durant, la personne qui décède est ainsi assurée de perpétuer son amour des animaux au-delà de la mort....
Voilà voilà, j'ai bien conscience d'avoir été un peu longue (bien que ce soit court pour résumer 55 années de vie) mais il me semble que c'était nécessaire afin de comprendre tout le cheminement qui m'a menée à ces derniers mots. J'ai fait preuve d'une totale transparence, d'une totale honnêteté, vous ayant souvent sentis en symbiose avec mes ressentis...N'hésitez pas à me poser toutes vos questions. Je suis entièrement disponible, toute prête à me lancer corps et âme et avec toutes celles, tous ceux qui le souhaitent dans cette magnifique aventure en faveur de nos frères les animaux et de notre mère la Terre.
PS: Depuis le moment où j'ai écrit ce texte, mon compagnon est décédé et la fondation est devenue réalité. Semper Animalis est depuis le 12 août dernier une fondation reconnue d'utilité publique.
Si ce fut plus qu'un parcours du combattant mais carrément un véritable chemin de croix pour venir à bout de toutes les formalités administratives, je croyais très sincèrement en avoir terminé avec elles après avoir arraché à la banque un numéro de compte. Mais non! Il s'est avéré en fait que j'avais encore à entamer toute une procédure afin de pouvoir bénéficier de l'exonération fiscale, exonération que je pensais acquise de plein droit du simple fait que la fondation était reconnue d'utilité publique. Ces démarches là sont donc en cours et je vous tiens bien entendu au courant dès le Saint Graal acquis.
Je vous souhaite un excellent weekend.
Danièle