Coach animalier chien.chat.nacs - Les Amis d'Hestia

Coach animalier chien.chat.nacs - Les Amis d'Hestia Coach animalier ; visite domiciliaire pendant vos vacances ; transport et taxi animalier .

19/06/2023
19/06/2023

J'ADOOOOOOORE LES CHIENS !!!!

Que nous arrive-t-il pour que nous éprouvions à ce point le besoin d’affirmer sans cesse que nous aimons les chiens, absolument tous les chiens, de toutes les races, sans distinction aucune ? Pourquoi nous comportons-nous parfois de manière si excessive, débordante, voire dérangeante avec cet animal ?

Tantôt au mépris de sa réserve.
Tantôt au mépris de sa pudeur.
Et souvent, au mépris de sa dignité.

Qu'avons-nous à prouver ?
Est-ce possible d’adorer tous les chiens ?
Est-ce souhaitable ?
Et surtout, est-ce sain ?

Aimer profondément son propre chien, pour ce qu’il est vraiment, avec son lot de failles et toutes ses extrémités, serait déjà une excellente chose. Car accepter son chien dans sa globalité, le respecter, prendre soin de lui, ne vouloir pour rien au monde l’échanger contre un autre chien « plus facile » ou « plus beau » ou « moins ceci ou cela », c’est la définition même de l’amour incontestable.

Or, on ne peut réellement aimer que ce que l’on connaît bien. Sinon qui aime-ton finalement ?

Une projection ?
Une idée ?
Un idéal ?

Et c’est la porte ouverte aux déceptions, aux abandons, mais aussi aux adoptions hâtives et inconsidérées, syndrome du sauveur et autres confusions malheureuses, entre ce que l’on attend du chien pour nous-même, et ce qu’il est réellement en capacité de nous offrir.

Dans le monde hypocrite des réseaux sociaux où règne la pseudo-acceptation de tout, il semblerait bien qu’il faille aimer tout le monde, tous les chiens, tous les humains, tous les enfants, et surtout le crier haut et fort.
« Regardez-moi, je suis amour et bienveillance ».
C’est le mode d’emploi pour ne plus parvenir à supporter personne, à cause de cette pression idiote que l’on s’est mise, qui consiste à vouloir tout accueillir (et n’importe quoi) avec une fleur à la bouche.

Aimer tout le monde, c’est souvent n’aimer personne…
Et à l’inverse, affirmer que l’on n’aime personne, c’est un peu avouer que l’on ne s’aime pas soi-même.
Les deux sont extrêmes.
De là à reproduire ces systèmes de pensées sur les chiens, il n’y a qu’un tout-petit pas.
Et nous le franchissons allègrement.

Il est possible d’aimer un ou plusieurs chiens.
Et il est normal de ne pas en apprécier certains.
Il est également possible de ne pas les aimer, et de les respecter profondément pourtant.
Le chien des autres ne vous en voudra pas (et même il s’en moque).
Et vous, ne serez pas un monstre pour autant.

Alors, que chacun aime et s’occupe de son propre chien, et les moutons seront bien gardés.

J’en viens (mais vous m’avez sans doute vue venir) aux professionnels du chien dont on attend qu’ils aiment tous les chiens, et surtout qu’ils le montrent.

Le professionnel quel qu’il soit, n’est pas là pour aimer les chiens. Il n’est pas là non plus pour ne pas les aimer, ou leur faire du mal. Il est là pour vous aider tous les deux, en mettant des moyens en oeuvre, avec la même énergie que pour un autre binôme, quelles que soient les difficultés de votre chien, et même s’il n’a pas d’affinité avec vous.

Est-ce qu’il aime votre chien ? Non, sans doute que non. Il aime le sien, ça c’est sûr.
Est-ce qu’il vous aime? Non plus.
Il n’a pas besoin d’aimer pour apporter son expertise, ses conseils, son soutien, son accompagnement.

Mais vous finalement, pourquoi avez-vous à ce point besoin que les autres aiment votre chien ?

Parce qu’il est professionnel, l’objectivité et la distance qu’un coach personnel place entre vous et lui, sont en réalité des témoins de son respect et de sa compétence. Attendre de lui qu’il régresse ou s’émeut parce que vous lui apportez un chiot de trois mois, ou un chien maltraité sorti d’un refuge, c’est ne pas comprendre de quoi le chien est fait, et ce dont il a besoin pour entrer en résilience.

Alors peut-être qu’il s’agirait de se détendre. On n’est pas obligé d’adorer tous les chiens, ni dans la vie, ni dans le travail. Si nous cessons de déclarer cela à tout bout de champ, nous commencerons à observer (et à accepter) les particularités du nôtre, ses besoins, et par extension, ceux qui existent chez les autres, et pas chez le nôtre. Leurs différences, celles qui nous touchent, celles qui nous laissent sur la réserve… Et nous saisirons alors à quel point il n’est pas souhaitable d’affirmer que l’on aime tous les chiens. Cela revient à ne pas savoir (pour ne l’avoir jamais ressenti peut-être ?) que de grandes affinités peuvent exister entre certains d’entre eux et nous. Pour le vivre, il faut commencer par accepter qu’il peut y avoir des antipathies parfois. Ce n’est pas grave. C’est la vie quand on est un animal social.

Le livre « Le chien, cet animal qui nous échappe », d’Audrey Ventura est disponible ici : https://bit.ly/3t0W9ED
Cynoconsult

Crédit photo : F***y avec Kodak

Les Amis d'Hestia c'est : - Garde à domicile de votre chien (à la journée) , chat et nacs (visites domiciliaire).- Balad...
19/06/2023

Les Amis d'Hestia c'est :

- Garde à domicile de votre chien (à la journée) , chat et nacs (visites domiciliaire).
- Balades individuelles ou collectives
- transport de votre animal pour visites vétérinaires ou d'un point A à B selon les besoins.
- courses et livraisons du nécessaire de votre compagnon
- coach animalier
- Conseils et accompagnement individuel
- Coaching en sélection et génétique animale pour les éleveurs amateurs et professionnels..

N'hésitez pas a me contacter pour connaître les tarifs de mes prestations 🙂.

A bientôt !

Je suis dans le département du 47. Lot et Garonne .

26/01/2023

J'ai toujours été pour le fait de permettre à un chien d'avoir davantage d'autonomie, de prendre ses propres décisions dans la mesure du possible. Cette autonomisation va de pair avec une plus grande liberté, avec la possibilité de faire ses propres choix. Pour autant, une plus grande autonomie ne signifie pas pour autant une insécurité grandissante.

Valoriser les choix que notre chien peut faire, lui permettre de renforcer ces derniers lorsqu'ils vont dans le sens d'une vie en société sans comportement pouvant porter atteindre à autrui, sont des choses qui, quotidiennement, vont venir bâtir sa confiance en lui. Votre chien a besoin de se sentir capable de prendre des décisions sans pour autant à avoir à chaque fois à demander la permission à l'humain, sans être contraint de choisir la même voie que ce dernier. Toutefois, faire en sorte de créer une bulle protectrice autour de ses choix fait partie de notre rôle d'humain bienveillant.

Cela signifie non seulement tenir compte de ses apprentissages actuels mais aussi de sa personnalité. C'est ainsi qu'entre Osa et Shani, la liberté de choix sera plus ou moins restreinte car l'âge n'est pas le même, les apprentissages n'en sont pas au même point, mais aussi parce que leur caractère entre en ligne de compte. Un exemple serait qu'avec Osa, je rappelle très rarement lorsque des humains passent à proximité, pour la simple et bonne raison qu'elle ne va pas les voir. Ça ne l'intéresse finalement que très moyennement et je connais suffisamment son comportement pour savoir si c'est un moment où elle peut faire un choix raisonnable ou non. Avec Shani en revanche, je rappelle systématiquement en présence d'humains, parce que ces derniers ont une très forte valeur à ses yeux. Est-ce que cela signifie que Shani a moins d'autonomie qu'Osa quotidiennement ? Absolument pas. Ça veut seulement dire que je sécurise davantage certaines prises de décision de la part de l'une comme de l'autre en fonction du contexte.

Cette autonomisation vient également rencontrer des facteurs extérieurs qui vont ou non venir la freiner. Pour reprendre l'exemple d'un croisement entre Osa et un humain, si l'humain en question se montre tendu et inquiet de par sa présence loin de moi, je n'hésite pas à la rappeler pour montrer qu'elle ne viendra pas au contact. Elle a appris à revenir avec plaisir, ses apprentissages ont toujours été faits de façon à ne pas être vus comme étant négatifs. Je considère ces derniers comme étant nécessaires à une vie respectueuse de chaque être vivant qu'on croisera sur notre chemin. Elle a donc appris que ce genre de demande ne suppose pas une tension, que ça ne signifie pas une menace potentielle, mais bien toujours un moment de connexion positive à mes côtés.

On se plaindra alors peut-être du fait que « c'est à chaque fois au chien de s'adapter ». Eh bien... Oui et non. L'adaptation se fait des deux côtés : à la fois du côté de certains humains qui vont parfois quitter un espace pour le laisser au plaisir d'un binôme humain canin et du côté de certains chiens à qui on demandera de ne pas se trouver trop proche de personnes inconfortables en leur présence. L'autonomie et la liberté de choix ne doivent pas se faire au détriment des autres, mais bien dans la perspective d'une meilleure compréhension de chacun.

Je ne me verrais pas ne pas apprendre certaines demandes à mes chiennes qui pourraient restreindre leur liberté à des moments spécifiques, pour la simple et bonne raison que je ne souhaite pas avoir à les contraindre pour obtenir leur sécurisation. Je tiens à ce qu'elles puissent se sécuriser d'elles-mêmes, en comprenant ce qu'une demande signifie à un moment précis.

L'exemple de l'enfant qu'on laisse marcher pour découvrir son environnement me semble tout indiqué pour mieux appréhender ce point de vue. On peut tout à fait l'observer vaquer à ses occupations et lui prendre la main dès qu'une menace potentielle est présente, c'est ainsi que ce geste va notamment avoir lieu à proximité d'une route, d'un passage de chevaux et ainsi de suite. C'est la même chose pour notre chien : les laisser entrer pleinement en contact avec leur environnement, expérimenter leurs propres choix, en renforcer certains pour avoir davantage d'autonomie par la suite, je le recommande vivement. Pour autant, à certains moments, à certains endroits, il faudra leur « tenir la main ». C'est dans ces situations qu'il est particulièrement utile d'avoir procédé à certains apprentissages renforcés positivement, de sorte à ce que cette sécurisation temporaire ne soit pas vue comme une contrainte mais bien comme un moment agréable.

Vivre en bonne intelligence, c'est ne pas croire que les besoins de nos chiens sont plus importants que ceux des individus qui nous entourent, ne pas nier les émotions de ceux qui nous font face, et c'est donc faire des compromis en fonction de chaque situation. Chacun a des besoins qu'il cherche à combler et ainsi, si nos chiens ne font pas exception à cette règle, il n'y a pour autant aucune raison de les laisser combler les leurs au détriment de ceux d'autres êtres vivants. C'est ainsi que guider nos chiens vers davantage d'autonomie peut se faire dans le respect de la sécurité physique et émotionnelle de chacun, en valorisant leurs choix dès qu'il nous est possible de le faire ou en leur proposant une agréable connexion à nous lorsque la situation le demande.

© Toutougether - Nicoline Droogmans
www.toutougether.fr
06 36 10 04 84
[email protected]

20/01/2023

Et si nous commencions par accepter nos chiens tels qu'ils sont au lieu de vouloir sans cesse les changer. La personnalité d'un chien est le fruit de choses qu'il n'a fondamentalement pas chosies, comme la sélection génétique, ses expériences de vie, ses antécédents relationnels ou autres, les maladies, le choix des partenaires humains/chiens de son groupe social, la nourriture, les médicaments, l'élevage, la philosophie adoptée pour l'éduquer, jusqu'à l'endroit où il vit. La personnalité d'un chien n'est pas le fruit de son choix.Certains facteurs la façonnent.

La première étape d'une relation de confiance est d'accepter toute Créature telle qu'elle est, ensuite, nous pouvons voir comment la soutenir et l'aider sur le chemin de son évolution personnelle en collaboration avec elle. Tout en tirant le meilleur parti de la situation au bénéfice de chacun des besoins des partenaires.

20/01/2023

allelomimetisme, qui signe une complicité relationnelle

20/01/2023

Solutions rapides dans le monde du chien. Mythe ou réalité?

Changer un comportement/une habitude.

Faites l'expérience. Si depuis l'enfance, vous avez l'habitude d'enfiler votre veste en y mettant d'abord le bras gauche pour vous vêtir, vous aurez difficile de changer de bras.

A moins que vous vous concentriez beaucoup à chaque fois que vous enfilez votre veste ou qu'on vous punisse ou vous mette du courant électrique à chaque fois que vous vous trompez (lol).

C'est clair, il vous faudra un certain nombre de répétitions pour prendre une nouvelle habitude.

Dans le monde humain, nous savons tous que changer une habitude/un comportement peut-être difficile, et même long.

Il en va de même pour les chiens, surtout si cette habitude est ancrée. De plus, le cerveau est impliqué dans ce processus, changer d'habitude ne dépend pas uniquement de la volonté consciente.

Par conséquent, méfions-nous des personnes qui disent résoudre les comportements de notre chien rapidement. Le "Quick fix" comme disent les anglophones.

Prendre de bonnes habitudes demande du temps, de la répétition, de la compréhension, et un accompagnement bienveillant. Méfions-nous donc d'emblée des solutions prêtes à l'emploi!

Tout comportement est fonctionnel et sous-entend une émotion, le chien prend cette habitude pour faire face à une situation, et cela a du sens pour lui d'agir, de se comporter ou de réagir comme il le fait.

Toutefois, nous pouvons aider le chien à changer une habitude de façon éthique en lui proposant une saine alternative, et davantage de choix, afin qu'il apprenne par lui-même une nouvelle stratégie sociale et puisse ensuite prendre les bonnes décisions.

Découvrir (sans interpréter, analyser ou projeter), quelle émotion se cache derrière le comportement est aussi d'une grande aide, car lorsque nous soutenons le chien au niveau émotionnel, le comportement se métamorphose à son meilleur avantage.

Simplement, le comportement est la partie émergée de l'iceberg, et la plupart des méthodes canines travaillent uniquement à vouloir changer un comportement, c'est une méprise dont le chien fait souvent les frais.

Dans ce cadre, le chien a besoin de tout notre soutien et de notre compréhension de comment "fonctionne" un chien. Ils sont si simples, et nous les abordons avec des méthodes si complexes, pourtant la simplicité dans toute relation est la clé.

L'apprentissage est un processus, et non une boîte magique d'où sort une solution universelle pour chaque chien.

Bien sûr le niveau et la vitesse d'apprentissage sont aussi individuels.

Chaque chien demande un accompagnement personnalisé basé sur la bienveillance, la patience, et sur une excellente compréhension de la façon dont un chien apprend.

Bien outillés d'une bonne compréhension du processus d'apprentissage, des mécanismes spécifiques du cerveau, du système nerveux, du métabolisme en général, et d'une relation basée sur la confiance, le partenariat, la collaboration et la sécurité, nous sommes à même d'aider et de guider notre chien.

Nos chiens ne sont pas nés pour performer, mais ils sont capables pour la plupart de s'intégrer dans le monde moderne où nous les plongeons. Selon leur sensibilité, certains auront besoin de notre aide pour y arriver.

Laissons le "Quick fix" et les miracles dans la boîte utopique, et ouvrons avec ravissement, celle qui nous conduira avec éthique sur le chemin d'une relation harmonieuse avec notre chien.

Je vous le souhaite sincèrement.

Sylvia Kramer
Comportementaliste certifiée spécialisée TR-IDTE

20/01/2023

La peur a une mémoire. Le saviez vous?

Les souvenirs de peur chez les chiens peuvent durer longtemps

Comment les chiens développent des souvenirs de peur

Les chiens développent des souvenirs de peur de la même manière que chez les humains.

Une seule expérience négative peut laisser un impact assez durable grâce à un phénomène connu sous le nom d’apprentissage d’un événement.

Découvrez comment les chiens développent des souvenirs de peur et certains facteurs contributifs.

ADRIENNE FARRICELLI CPDT-KA - OCTOBRE 24, 2021

Oui, les chiens développent des souvenirs de peur et leurs effets peuvent être durables.

Votre chien ne se souvient peut-être pas exactement du type de friandise que vous lui avez donné hier ou de la couleur de la chemise que vous portiez, mais si vous lui demandiez précisément où il se trouvait lorsqu’il a entendu un bruit fort et qu'il en a été surpris, il serait probablement en mesure d’identifier l’emplacement exact.

Quand il s’agit de se souvenir d’événements stressants et effrayants, les chiens semblent être bénis avec une capacité étrange à se souvenir assez bien.

Pensez aux soins vétérinaires qui ne se passent pas bien pour l'animal et à l'impact qu'ils peuvent avoir sur les consultations futures, la peur peut surgir avant même que l'animal ait passé le seuil de la clinique.

Les parents de chien souffrant de phobies du bruit le savent trop bien. Tout ce qu’il faut, c’est un bruit fort pour que leur chien active toutes sortes de comportements d’évitement lorsqu’ils rencontrent à nouveau la même zone.

Même si cela semble être une mauvaise chose, le fait que la peur s’enfonce profondément est un instinct de survie qui fonctionne au mieux.

Le pouvoir du stress

Pendant les périodes de stress, le corps du chien est bombardé par la libération d’hormones de stress dans la circulation sanguine. Ces hormones et tous les changements physiologiques qui y sont associés sont là pour une bonne raison: augmenter les chances de survie du chien.

Le rythme cardiaque et la respiration du chien augmentent, ses sens sont amplifiés, les oreilles sont prêtes à capter les moindres sons et les pupilles se dilatent pour que Rover puisse voir avec plus de clarté.

Dans le même temps, les muscles reçoivent un flux sanguin accru afin que le chien puisse passer à l’action, la pression artérielle augmente, une augmentation de la glycémie libérée par les reins fournit un regain d’énergie et l’appétit d’un chien est supprimé lorsque le sang s’écoule du tube digestif vers les muscles pour l’action.

Plusieurs changements ont également lieu au niveau mental. Les chiens stressés et effrayés ont souvent du mal à se concentrer, leur contrôle des impulsions et leur seuil de morsure peuvent s’abaisser.

En ce qui concerne la mémoire, cependant, la capacité de se souvenir de l’événement semble s’aiguiser.

Mauvais souvenirs durables

Demandez à n’importe qui ce qu’il faisait le 11 septembre 2001, et la plupart des gens s’en souviendront clairement. «J’empilais des fournitures au magasin» ou «Je déjeunais avec un ami» ou «Je jouais au soccer quand ma sœur m’a appelé et m’a annoncé la nouvelle».

Ensuite, demandez à n’importe qui ce qu’ils faisaient il y a une semaine à la même heure, et ils vous regarderont probablement d’un air vide.

Il est naturel pour les gens et les animaux de se souvenir de mauvais épisodes, surtout lorsqu’il s’agit de situations qui ont eu un fort impact émotionnel ou qui auraient pu blesser quelqu’un de manière significative.

Il est logique que les hormones du stress aident à se souvenir des événements qui se produisent lorsque nous subissons un stress, explique Roger Abrantes, docteur en biologie évolutive et éthologie et directeur de l’Institut d’éthologie de Cambridge, où il donne régulièrement des conférences.

Le saviez-vous?

Lorsqu’un événement intensément désagréable ou aversif conduit un chien à développer un souvenir durable effrayant, on parle d'«apprentissage à un événement », expliquent Gary M. Landsberg, Wayne L. Hunthausen et Lowell J. Ackerman dans le livre «Problèmes de comportement du chien et du chat »."

« Nous ne pouvons pas savoir ce que les chiens «perçoivent», mais nous savons que les chiens ont une excellente mémoire et la même architecture cérébrale et les mêmes fonctions que les humains, donc quand nous voyons des comportements compatibles avec une véritable panique, même si les stimuli ne sont pas présents, nous devons considérer que la mémoire de ces stimuli pourrait être ce qui afflige le chien.» ~ Karen Global, Manuel de médecine comportementale clinique pour chiens et chats

La peur à travers les générations

Fait intéressant, les réponses effrayantes à certains stimuli peuvent même être transmises d’une génération à l’autre.

Dans une étude publiée dans le Journal of Nature Neuroscience, des rats ont reçu un choc électrique chaque fois qu’on leur a présenté de l’acétophénone, un composé qui dégage un parfum ressemblant à des fleurs de cerisier.

Choc après choc, les rats deviennent rapidement sensibilisés à l’odeur ressemblant à des fleurs de cerisier et ils montreraient une réponse craintive.

Après avoir été élevés, ces rats ont donné naissance à une progéniture qui, sans aucun conditionnement préalable (apprentissage), a montré des réactions craintives à l’odeur bien qu’elle ne l’ait jamais vue auparavant.

Cela démontre qu’il est possible de transmettre la peur d’une odeur même dans plusieurs générations, ce qui est logique sur le plan évolutif si vous y réfléchissez, car enseigner aux générations futures à reconnaître l’odeur des dangers peut augmenter les chances de survie.

C’est assez fascinant, et sûrement plus d’études sont nécessaires à ce sujet pour comprendre la dynamique exacte.

Une tendance à être nerveux peut être transmise d’une génération à l’autre. D’où l’importance de bons éleveurs de reproduction sélective pour un bon tempérament.

L’importance des bons éleveurs

Avec le fait qu’une prédisposition pour un chien à craindre les choses peut être transmise génétiquement, on ne saurait trop insister sur le rôle des bons éleveurs.

Les chiens qui sont magnifiques mais qui ont un mauvais tempérament ne doivent pas être élevés. Il y a trop d’éleveurs qui mettent l’accent sur des apparences telles que les couleurs et la taille du pelage plutôt que sur le tempérament. Cela conduit à des générations de chiens craintifs affichant de nombreux comportements problématiques.

Avec tous les progrès réalisés dans la compréhension du comportement et de la génétique des chiens, cette question ne devrait pas apparaître autant qu’elle l’a été.

Malheureusement, de nombreux éleveurs se reproduisent plus pour de l’argent rapide que pour améliorer une race.

Lorsqu’il s’agit de produire des chiens au tempérament solide, les éleveurs sont à l’avant-garde et leur objectif principal devrait être de développer des chiens qui ont les meilleures chances de devenir de bons membres de la société d’aujourd’hui.

À un autre avant-plan, il y a aussi les personnes qui permettent aux éleveurs pauvres de continuer à gagner leur vie.

En payant pour des chiens de race pure bon marché trouvés dans les annonces dans les journaux ou dans les animaleries, ces personnes encouragent des pratiques contraires à l’éthique qui conduisent à abandonner de nombreux chiens à des refuges ou des chiens qui sont isolés dans une cour en raison d’une prédisposition à la peur ou à l’agression.

Le saviez-vous?

Selon une étude de Murphree et al. 1974, il a suffi de 5 générations pour obtenir des lignées de chiens plus nerveux que typiques.
Voir cette étude

Limites du changement thérapeutique : spécificité de la modification du comportement chez les chiens génétiquement nerveux
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/4477023/

Références:

• Parental olfactory experience influences behavior and neural structure in subsequent generations, by Brian G Dias & Kerry J Ressler, Nature Neuroscience17,89–96(2014)
• "How epigenetic memory is passed through generations: S***m and eggs transmit memory of gene repression to embryos."University of California - Santa Cruz. ScienceDaily. ScienceDaily, 18 September 2014.
• Ethology Institute of Cambridge, Bonding and Stress, by Roger Abrantes, retrieved from the web on July 29th, 2016
• Manual of Clinical Behavioral Medicine for Dogs and Cats, By Karen Overall, Mosby; 1 Pap/DVD edition (July 9, 2013)
• Behavior Problems of the Dog and Cat3: Behavior Problems of the Dog and Cat, By Gary M. Landsberg, Wayne L. Hunthausen, Lowell J. Ackerman, Saunders Ltd.; 3 edition (December 28, 2012)
• Murphree OD, Angel C, DeLuca DC. Limits of therapeutic change: specificity of behavior modification in genetically nervous dogs. Biol Psychiatry. 1974 Aug;9(1):99-101. PMID: 4477023.

PAR
ADRIENNE FARRICELLI CPDT-KA
Adrienne Farricelli est éducatrice canine certifiée et consultante en comportement, ancienne assistante vétérinaire et auteure de «Brain Training for Dogs ».

Source
https://dogdiscoveries.com/curiosity/how-dogs-develop-fear-memories?fbclid=IwAR00zOwhFN2g7zGK2JQJ4GTFnMmjZ7LeBz6XYTa0r2r3XOSDHEnCxGqmi8w

Un chien n'est pas un robot 🤖, il a des sentiments, ses préférences et sa propre personnalité 😁. Avec bienveillance lais...
20/01/2023

Un chien n'est pas un robot 🤖, il a des sentiments, ses préférences et sa propre personnalité 😁.

Avec bienveillance laissez votre chien développer sa propre personnalité avec des règles de vie . Plutôt qu'un chien très lisse et très obéissant mais pas forcément bien dans ses pattes 😔. Ces chiens très "contrôlé" développeront bien souvent des problèmes de destruction durant les absences par exemple .

Personne n'est parfait 😁 apprenons a composer avec respect avec tous les membres de la famille dont votre chien fait partie 🥰🍀💚

Comportement, motivation et émotion

Beaucoup d'entre nous connaissent, le fait qu'un chien:

• Accoste d’autres chiens de façon non amicale
• Défend son os
• Détruit Tire en laisse
• Grogne
• Refuse d'être touché
• Saute sur les gens
Etc.

De nombreux comportements de nos chiens nous stressent ou le comportement de nos chiens est tout simplement embarrassant pour nous.

C'est pourquoi, nous voulons simplement que le chien arrête ce comportement dès que possible.

En travaillant uniquement sur le comportement, vous n’arriverez pas à votre objectif.

Dans certaines circonstances, tous les moyens nous conviennent. Mais les moyens employés ne garantissent pas que le chien apprenne à se sentir plus à l’aise dans la situation.

Ainsi, chaque comportement survient d'abord dans le cerveau. Chaque comportement est basé sur certaines émotions et motivations, et ces dernières donnent lieu au comportement.

Donc, si vous interdisez, contrôlez ou punissez un comportement indésirable pour que votre chien ne le montre plus, vous ne changez rien aux émotions internes et aux causes sous jacentes qui déclenchent ce comportement chez votre chien.

Si vous commencez par interdire, punir, contrôler leurrer/distraire en donnant des bonbons lors de réactions extérieures, vous n'améliorerez jamais les facteurs, émotions ou motivations responsables du comportement.

Cette stratégie poussera simplement le stress encore un peu plus haut, et c'est justement ce que nous ne désirons pas.

En travaillant uniquement sur le comportement, le problème de votre chien existe toujours, il sera sous contrôle/distrait ou étouffé.

Un chien super obéissant, bien lisse, sous contrôle, auquel on laisse peu ou pas de choix ou de contrôle de sa propre vie n'est pas forcément celui qui est le mieux dans ses pattes!

Voici une belle citation de notre professeur de formation canine et mentor:

"Les commandes données à un chien en disent plus à propos de vous-même que du chien." Turid Rugaas

Trouver la cause est si important.

Comment se construit un comportement?

Facteur
Emotion
Motivation
Réaction interne (ce que vous ne voyez pas)
Réaction externe (ce que vous voyez)

Quand le chien explose beaucoup de choses se sont déjà passées.

Avant que vous puissiez percevoir les signaux corporels ou le comportement à l’extérieur, beaucoup de choses se sont déjà passées à l’intérieur de votre chien.

Il y a des hormones et des neurotransmetteurs en oeuvre, le cerveau interagit avec le métabolisme et l'environnement, de plus, les émotions, la personnalité, la mémoire, les expériences, les antécédents entrent en jeu aussi.

Ce phénomène complexe garantit que votre chien montre ensuite un comportement que vous pouvez percevoir de l'extérieur.

Et plus il l'aura au l'occasion de pratiquer ce comportement indésirable ou cette stratégie, plus ils se renforceront.

Par contre, si vous connaissez les causes, l'émotion et la motivation du comportement, et que vous y répondez de façon bienveillante, humaine et compréhensive, le comportement disparaît de lui-même dès que les causes sont éliminées.

Si vous voulez faire évoluer efficacement le comportement de votre chien, le soutenir et l'accompagner, idéalement, vous devriez partir en quête pour trouver les causes du comportement, la motivation, les besoins, les conflits intérieurs et les émotions sous jacentes, tenter de diminuer le niveau de stress dans sa vie quotidienne, et aussi permettre au chien d'opérer davantage de choix.

Dans ce cadre, une visite vétérinaire est parfois aussi à envisager, pour vérifier l'état de santé du chien qui pourrait motiver un changement de comportement ou davantage de réactivité.

Conjointement, permettons aussi à nos chiens de passer du "cerveau réactif" au "cerveau pensant" capable de prendre les meilleures décisions et d'opérer les meilleurs choix en fonction de la situation, en adoptant nous-mêmes de meilleures habitudes.

Offrons aussi aux chiens davantage de possibilités et surtout de temps pour réfléchir par eux-mêmes, au lieu de leur imposer notre point de vue d'une façon ou d'une autre ou notre rythme.

Avec de la bienveillance et de la compréhension, le chemin de la confiance commence là.

11/01/2023
10/01/2023

+++ L’APPRENTISSAGE DE LA PROPRETÉ +++

Avant de commencer, il me semble important de rappeler qu’il est assez paradoxal de punir un chiot malpropre, pour ensuite mettre un point d’honneur à lui offrir une éducation basée sur le respect et la compréhension mutuels. Espérer d’un chiot qu’il soit propre (pour battre un record de propreté ou pour être tranquille avec cette étape normale de la vie), revient à punir un tout-petit enfant qui ne demanderait pas spontanément à aller sur le pot. Les deux sont en cours d'apprentissage. Travaillons sur notre patience.

Il existe des lois physiologiques qui s’imposent à nous et au bébé chien. En moyenne, mémorisons qu’un chiot est capable de se retenir une demi-heure par mois d’âge le jour, et deux heures environ par mois d’âge la nuit. Un chiot fait souvent ses besoins après avoir mangé, dormi, joué.

Il existe aussi une incompréhension qui, lorsqu’elle disparaît, permet d'y voir plus clair. Sachez que pour un chiot, être propre c’est : « Je ne fais pas mes besoins là où je dors et mange ». C’est un peu la vision canine de la propreté. Notre vision humaine, le chiot ne peut pas la connaître. Il faut la lui apprendre. Cela nous revient en tant que famille d'adoption... Et pour lui, ce n’est pas évident parce que cette vision humaine, n’est pas éthologique. Forcément.

Je vous propose ici la méthode que je conseille à mes clients. Il en existe sûrement d’autres. Mais de manière générale, tout ce qui consiste à accélérer le mouvement, à stresser le chiot ou à le punir d’avoir fait p**i ou c**a dans la maison, est interdit. Privilégiez la vie de plein air (quand c'est possible) car elle favorisera la propreté. Un chiot qui passe du temps sur de l’herbe, de la terre, à jouer dehors, fait naturellement ses besoins en dehors du foyer. Il apprend donc naturellement à ne pas faire ses besoins dans la maison. En fait, c’est très simple.

À l’exception de cela, voici quelques conseils :

- Sortez votre chiot dès le lever, en laisse et sans le distraire (pour éviter qu’il ne se détourne de ses besoins naturels). Si vous le déconcentrez ou si l’environnement le stimule trop, il ne se rendra pas compte qu’il a envie de faire p**i. Il fera au retour dans la maison, en milieu hypo-stimulant. Rendez-vous toujours au même endroit afin de lui apprendre où sont ses « toilettes » (loin de votre potager par exemple). Attendez qu’il urine. Quand il a uriné, donnez-lui une friandise et félicitez-le. Rentrez avec lui calmement. Plus t**d, ressortez avec lui pour jouer. Le but de cette séparation est de l'aider à distinguer les deux types de sorties : une sortie p**i (en laisse, sans distraction) et une sortie jeu (sans laisse, avec jeu, olfaction, distractions, liberté totale d'agir, interagir, etc.).

- Après chacun de ses repas, sortez votre chiot dans les mêmes conditions que précédemment expliqué. Évidemment, en dehors de ces temps-là, le chiot est libre de jouer, sortir, etc...

- Levez-vous au moins une fois la nuit (en fonction de la loi de rétention chez le chiot) pour le faire sortir dans les mêmes conditions. Et c’est là qu’en général les gens me disent : « On ne va quand même pas se lever la nuit pour faire uriner notre chien?! ». Alors, je réponds qu’ils font comme ils veulent, mais qu’ils devront accepter, tolérer, comprendre, qu’un chiot ne peut pas se retenir toute une nuit sans faire p**i ou c**a. C’est physiologique. Ils devront donc nettoyer au petit matin, sans le disputer ni lui en vouloir, et cela me semble logique. On ne peut pas vouloir le beurre et l’argent du beurre 😉

- Dans la journée, sortez votre chiot régulièrement dans les mêmes conditions. N’attendez pas qu’il réclame car sa capacité de rétention étant basse, il risque de faire sur place avant que vous ayez eu le temps d’ouvrir la porte. Anticipez comme vous le faisiez avec votre petit d’homme. Quand il jouait, vous lui proposiez régulièrement d’aller aux toilettes. Car quand il criait « Papa, Maman, p**i! », souvent, il était déjà trop t**d ».

- Le soir, avant d’aller vous coucher, sortez avec votre chiot à nouveau, et toujours dans les mêmes conditions. Le matin, sortez-le tôt, vers 5h ou 6h.

En fonction de l'âge du chiot et de la méthode de nourrissage choisie, des précisions pourraient être apportées. Or, il n'est pas possible de le faire sans lancer un débat sur les croquettes (déshydratées) et le régime cru (naturellement hydraté). C'est une discussion hors-sujet ici. Votre coach en éducation vous répondra au cas par cas.

Si le chiot se soulage dans le foyer et est pris sur le fait, ne criez pas… Vous puniriez le lieu précis et peut-être le moment, mais en aucun cas le soulagement. Le chien ne peut absolument pas saisir que vous punissez l’acte naturel de faire ses besoins. Voilà pourquoi certains chiens se soulagent dans des endroits cachés, mais toujours dans la maison... Si vous voyez votre chiot commencez à faire p**i chez vous, soulevez-le doucement de terre (en général, ça coupe l’action de faire p**i), et conduisez-le gentiment à l’endroit du jardin où vous le conduisez d’habitude. Restez avec lui, laissez-le finir et récompensez-le.

Si votre chiot s’est soulagé chez vous en votre absence (par exemple parce que vous partez travailler sans possibilité de revenir régulièrement), nettoyez hors de sa vue et passez à autre chose. C’est encore un bébé, sa malpropreté est normale, tout comme votre obligation de vous absenter. Cette situation peu idéale rendra l'apprentissage plus long. Il vous faut juste le savoir et l'accepter. Pourquoi "hors de sa vue" ? Parce que la position accroupie pourrait être mal comprise par lui. Il pourrait penser que vous voulez jouer avec lui par exemple...

Quelques conseils plus pratique… car beaucoup de familles font les mêmes erreurs :
> Retirez momentanément vos tapis, surtout le tapis d’Orient coûteux, souvenir de votre voyage de noces 😉 Vous les remettrez tous en place quand votre chien sera devenu propre. C’est en priorité sur les tapis que votre chiot se soulagera. C’est normal, le chiot aime faire ses besoins sur un lieu sec, propre, doux… Une fois l’odeur de son urine imprégnée dans les fibres, sa mémoire olfactive le poussera à y retourner. Cet endroit pourrait bien devenir ses toilettes. Anticipez.

> N’écoutez aucun conseil consistant à user de journaux, serpillères ou tout autre substrat fort agréable pour le chiot à l’intérieur de la maison. Vous lui apprendrez inexorablement que c’est là qu’il a le droit de se soulager. C’est un jeu sans fin et vous vous en mordrez les doigts. Je me rappelle ici de cette cliente qui ne pouvait plus rien étaler par terre. Son tapis de yoga en a fait les frais.

> Ne tombez jamais dans l’extrémité de la cage fermée la nuit et encore moins le jour… Le chiot sait qu’il n’a pas le droit de faire p**i là où il dort. Si vous l’enfermez dans une cage (et donc, là où il dort), il ne peut donc pas se soulager. Or, faire p**i la nuit quand on est un bébé est un besoin essentiel. Vous l’empêchez donc d’une manière très discutable d’accéder au bien-être en mettant en contradiction sa propre éthologie et ses besoins personnels… Ne faites pas ça... ;-)

> Enfin, si le temps le permet, développez le plus possible la vie en extérieur. Pour un chien, faire ses besoins dehors est tout ce qu’il y a de plus naturel. Maintenant, si le chiot passe le plus clair de son temps enfermé dans la maison, il est évident que ses conduites naturelles sont empêchées par des conditions de vie humaines contradictoires. Il est bon d’en avoir conscience et de se montrer indulgent. De mon expérience, chacun de mes bergers allemands était quasiment propre en arrivant chez moi. Pourquoi ? Vie en extérieur chez l’éleveur, vie de plein air favorisée chez moi, et aussi, adoption vers 11 semaines… Résultat : un chiot qui fait naturellement ses besoins dehors et qui demande très souvent à sortir. Mais aujourd’hui, on veut le chiot à 8 semaines pour qu’il soit tout-petit plus longtemps, on veut le garder dans la maison tout le temps et on veut qu’il soit propre rapidement. On veut. On veut. On veut. Mais lui, le peut-il ? 😉

Audrey Ventura
Cynoconsult
Le livre « Le chien, cet animal qui nous échappe », d’Audrey Ventura est disponible ici : https://bit.ly/3t0W9ED

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