19/11/2023
Sur les 30 dernières années, les connaissances scientifiques et techniques ont considérablement progressées. 👨⚕️ Nous connaissons exactement les apports journaliers dont le cheval a besoin, ainsi que les minéraux et oligo-éléments indispensables. Nous avons également appris à sélectionner certains fourrages et à limiter les céréales et nous sommes de plus en plus attentifs à son environnement de vie et d'entretien. 🐴
Malgré tout, nous restons face à des animaux fragiles souvent sujets à des pathologies chroniques. Ces pathologies sont accentuées par la domestication et par la pauvreté des pâturages dégradée par l'agriculture intensive.
A l'état naturel, le cheval est un animal végétarien nomade non ruminant, il mange entre 15 et 18 heures par jour et se déplace entre 10 et 20 kms par jour. 🐎 Le cheval a recours instinctivement à la phytothérapie puisqu'il sait choisir quelles plantes comblerons ses besoins actuels et sur le long terme. 🌿
Le mode de vie sédentaire que nous leur imposons, entraine des troubles du comportement tels que les TICS et les ulcères gastriques. La médecine vétérinaire va traiter alors ces troubles de manière ciblée. 💊 Or, la santé est un état d’équilibre entre des agressions extérieurs (froid, mauvaise alimentation, traitement chimique…) et sa capacité à se défendre. De plus, un organisme doit toujours être considéré comme un tout et non comme une addition d’organe ou de fonctions. C'est pour cela que prise dans sa globalité, les plantes s'adaptent en quelques sortes au fonctionnement interne du cheval. La phytothérapie est donc une très bonne médecine naturelle à utiliser en prévention afin de participer au bien-être du cheval et d'en limiter l'apparition de carences et de pathologies. 🌱