Parler wouf

Parler wouf Educateur comportementaliste canin spécialiste Berger Allemand, Malinois. Obé rythmée tte race.
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Avis à la population : par décret il sera interdit de chanter sous la do**he du 17 mai au 15 juillet 2024. Il a bien ass...
16/05/2024

Avis à la population : par décret il sera interdit de chanter sous la do**he du 17 mai au 15 juillet 2024. Il a bien assez plu et vous épargnerez du temps que vous pourrez utiliser pour lire "La Comète". Ce merveilleux conte philosophique embellira tout aussi efficacement votre humeur et vous pouvez commander un exemplaire avec dédicace personnalisée directement sur le site de l'auteur.
Le comité des décrets de Valentine Gray - écrivain :-)

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire des triplés ! Ils ont 8 ans. En photos :-petite maman et ses triplés- petit papa joue ...
09/05/2024

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire des triplés ! Ils ont 8 ans.
En photos :
-petite maman et ses triplés
- petit papa joue avec l'un des petits, sous l'oeil attendri de petite maman
-biberonnage avec ma fille, pour soulager un peu petite maman, fatiguée par sa césarienne
Et la famille aujourd'hui.

Joyeux premier mai à tous !
01/05/2024

Joyeux premier mai à tous !

L'actualité évoque ces temps-ci la fin de vie et l'aide à mourir. Il y a ceux qui sont pour, ou contre, et des postures ...
30/04/2024

L'actualité évoque ces temps-ci la fin de vie et l'aide à mourir. Il y a ceux qui sont pour, ou contre, et des postures idéologiques. J'ai connu cette situation en 2016. Je vais tenter d'en évoquer simplement la complexité. Mais pour cela, il faut partir de l'historique, car une fin de vie sur maladie se comprend sur les vécus du malade et de ses proches, et dans un contexte.

Mon frère, né en 1968, est décédé en mai 2016 à 47 ans d'un glioblastome, cancer agressif et incurable, secondaire à un gliome qui se développait depuis l'enfance, non diagnostiqué car masqué par une autre maladie grave dès le tout jeune âge. C'était mal connu à l'époque.
J'avais 2ans 1/2 à sa naissance, j'étais émerveillée par cet adorable poupon, lui donnais le biberon. J'ai compris très vite qu'il y avait un problème, que le danger rôdait. Puis en grandissant, je l'ai vu souvent faible, supporter des piqûres, devoir manquer l'école longtemps. Il fallait parfois nous absenter plusieurs semaines en bord de mer pour qu'il bénéficie du climat océanique, alors je supportais de changer d'école en pleine année scolaire. A l'école, je le protégeais et veillais sur lui comme un Berger Allemand veille sur son humain. A la maison, il fallait partager ses jeux de ballon car il ne pouvait pas jouer avec des copains. Depuis qu'il était petit, nous avions ainsi une relation quasi gémellaire et maternelle, mais j'étais aussi un souffre douleur, situation qu'on me demandait de supporter car il était malade. La crise passée, l'amour reprenait le dessus.

Adulte, la maladie n'était pas visible, mon frère semblait aller mieux sur le plan de la maladie diagnostiquée, mais le gliome continuait à progresser, sans diagnostic. Il ne pouvait pas vivre en autonomie. Mon père subvenait à ses besoins et je veillais sur lui comme je pouvais. Mais je me suis mariée, comme il se doit. J'ai eu un travail rangé, comme il se doit. J'ai subi les chocs et traumas de la vie, comme la plupart de chacun de vous, ceux réservés aux femmes, comme beaucoup de femmes, à ceci près que je n'en parlais pas. Lorsque j'ai été dégagée de mes obligations familiales et professionnelles, j'ai pu m'occuper davantage de mon frère. Nous avons été parmi les premiers à utiliser internet et les messageries pour rester en communication quotidienne.

Je suis devenue secouriste, sauveteur en mer en équipage embarqué, sapeur-pompier, et j'ai obtenu deux monitorats.
Mes sens étaient aiguisés par toutes ces années auprès de mon frère, je m'étais documentée, et j'avais suivi des formations.

Fin 2011, j'ai remarqué une anomalie de perception visuelle chez mon frère. Je lui en ai fait part, comme à mon père. Déjà lorsque j'étais enfant, j'avais remarqué des troubles neuro qui ne pouvaient logiquement pas avoir de lien avec l'autre maladie diagnostiquée, mais je m'étais fait "jeter". Jeune adulte, j'en ai parlé à un jeune médecin qui a m'a comprise et a été voir mon frère, mais mon père ne l'a pas accepté.

En 2012, mon frère a commencé à ressentir d'autres troubles neurologiques. Il a été voir son médecin de famille à trois reprises avec des symptômes en aggravation rapide : vision, équilibre, langage, mémoire, qu'il n'a pas été capable de diagnostiquer. Puis mon frère a été ramassé comme un chien dans la rue, inconscient sur le trottoir. Le diagnostic tombe : tumeur au cerveau, puis l'arrêt de mort : glioblastome. Pendant plusieurs jours, je n'ai rien su. Je n'avais plus aucun contact avec mon frère hospitalisé et mon père ne répondait pas aux appels. Black out sans préavis. J'étais malade d'inquiétude. Mon père encaissait, et il n'arrivait pas à faire face à l'erreur de ne pas m'avoir écoutée. J'ai fini par le faire décrocher, et j'ai appris la nouvelle. Mon frère avait été opéré, mais il ne parlait plus, juste des ho ho, et les médecins disaient qu'il ne reparlerait pas. Mon père ne voulait pas que je vienne, il ne pouvait pas me faire face, trop bouleversé et culpabilisé. D'autre part, il ne voulait pas m'imposer un long voyage alors que je sortais à peine moi-même de fauteuil roulant avec une colonne vertébrale bousillée. Mais je savais que mon frère avait besoin de moi. J'ai réussi à savoir dans quel centre de suite il était envoyé, et les médecins, dans l'intérêt du patient, m'ont autorisée à venir le voir. Ils m'ont dit que mon frère ne parlerais plus, la zone du langage étant quasiment détruite par la tumeur. Ils m'ont dit que le pronostic vital était engagé à moyen terme. Je leur indiqué le jour de ma venue, quelques jours plus t**d. Ils ont prévenu mon frère. Quand je suis arrivée, mon frère s'était fait tout beau, habillé de ville, allongé sur le couvre-lit, une BD ou un magazine à la main, je ne sais plus. Je lui offre mon plus beau sourire, heureuse de le revoir. Et là, il parle !!! Il parle ! Il parle ! Des phrases compréhensibles, même si les mots sont mélangés ou faux. Il est surpris et arrive à me dire : "hier encore je ne pouvais pas parler, que des ho. Le soir, quelques mots sont arrivés. Et maintenant, je parle !!!" Les médecins étaient sidérés, stupéfaits. L'amour avait poussé le cerveau de mon frère à se remodeler, à bricoler des connexions de secours, pour pouvoir parler à sa soeur tant aimée, qui l'avait compris. Et nous ne nous sommes plus arrêtés de nous parler. Nous ne sous sommes plus arrêtés. C'était une épiphanie.
Puis les rayons, la chimio. La survie médiane d'un glioblastome est de 12 à 18 mois. J'ai été auprès de lui tout le temps, via messagerie. Mon père a été emporté par un cancer foudroyant en 2014. Mon frère a survécu 4 ans !!! C'est la force de l'amour, une nouvelle fois.

Fin 2015 cependant, l'organisme de mon frère ne supporte plus la chimio, son système immunitaire s'effondre, il faut arrêter. Hospi. Alors que j'avais espéré secrètement que ce temps suspendu durerait encore, longtemps !
En octobre 2015, le glioblastome redémarre donc. Puis il flambe. Le médecin me demande comment j'imagine la taille de la tumeur. J'hésite à répondre, je connais la réponse mais ne peux pas le dire. Je sors timidement la version supportable : "une noisette", en sachant bien que ce n'est pas le cas. Le médecin sait qu'elle parle à un pompier : elle m'explique que la tumeur a dépassé la taille d'une orange, qu'elle progresse vite, et... ajoute-t-elle avec précautions... qu'il y a un début d'engagement cérébral. Mes yeux s'agrandissent, j'ai pris un coup de poing dans l'estomac : "mais... c'est la mort !" La médecin acquiesce d'un signe de tête. Je respire mal. Je sens la médecin en souffrance, je me reprends. Nous décidons ensemble que c'est elle qui annoncera à mon frère qu'il va mourir. Je ne m'en sens pas la force, J'ai peur de mal m'y prendre, de faire du mal.
Lorsque je reviens le lendemain matin, mon frère accuse le coup, mais trouve du réconfort auprès de moi, je l'apaise.

Mon frère passe en soins palliatifs, d'abord à domicile, chez moi en Bretagne (je n'habitais pas très loin d'un hôpital avec urgences) avec l'unité mobile de soins palliatifs et une liaison samu car je redoutais une détresse respiratoire de survenue brutale, et ça, c'est terrible pour le patient.
Puis, l'état a nécessité de se résoudre à l'hospitalisation dans en centre de soins palliatifs ouvert récemment dans une charmante commune près d'un petit lac aimé de Chateaubriant, à 30 minutes de mon domicile.
Le médecin chef de service a été remarquable, car cette hospi était la chose la plus terrible qui soit pour mon frère, et m'avait plongée dans un état de détresse, que je ne montrais pas, mais que le médecin, en vieux renard, avait détectée. Il a su me guider dans les étapes, avec humanité, mais lucidité. Je ne pouvais pas échapper à la mort de mon frère.

J'étais tous les jours près de mon frère. Au début, je pouvais l'emmener prendre l'air, faire quelques pas au bord du lac, nous assoir sur un banc, près des arbres. Mais son état se dégradait rapidement.

Est arrivé le moment de la mise au lit. C'est presque une mise au tombeau. On a fait cela le plus naturellement du monde. L'infirmier a posé la perfusion de morphine car rester au lit longtemps provoque des douleurs intenses, précise-t-il, suggérant qu'il ne sortirait plus de ce lit. Il me dit, en me regardant droit dans les yeux : "on ne l'enlèvera plus". Le soir, je suis repartie fracassée.

Au tout début, mon frère avait des plateaux repas, puis ils ont été retirés. Mon frère les réclamait, il ne comprenait pas. C'était dur à supporter, et comment le lui dire ? Je voyais ses cheveux collés j'ai demandé un capilluve, pour sa dignité. Le lendemain matin, il l'avait reçu, j'ai été soulagée.

J'ai été obligée de m'absenter 1 ou 2 jours pour répondre à une autre urgence liée au décès de mon père et aux entreprises qu'il avait laissées en perdition, et mon frère a perdu conscience. Coma.
Les apports hydriques ont été supprimés. Pour aider le patient à partir, toute nourriture ou eau sont supprimés.

Lorsque je suis revenue, à peine entrée dans la chambre, mon frère a réagi (mon parfum ?), s'est réveillé et il est resté éveillé les jours suivants jusqu'à la fin. Il souffrait de la soif, sa bouche était desséchée. Il n'avait pas droit à autre chose qu'un batônnet humidifié pour sa bouche desséchée. C'était atroce. Cela me revient souvent en mémoire. Au bout de quelques jours, je ne pouvais plus supporter de la voir souffrir autant. Les médecins ne voulaient pas le réhydrater en raison d'un risque pulmonaire, car l'organisme d'une être humain mourant fonctionne mal. J'ai tenté de négocier, invoquant que, si cela se produit, on peut toujours mettre en oeuvre une sédation profonde ! Rien à faire.
Alors j'ai appelé mon cousin, professeur de médecine à Paris, je l'ai supplié d'intervenir. Mon frère a pu recevoir un peu d'hydratation pour le soulager. Ca allait mieux.
On a tenu encore un peu, ensemble.

Le médecin et le psychologue m'ont avertie plusieurs fois d'un phénomène qu'ils avaient déjà rencontrés : quand deux personnes sont si proches, quand l'un part, l'autre risque de ne pas survivre, son organisme risque de lâcher, ils m'ont demandé de consulter régulièrement un médecin.

Un matin à sept heures, le téléphone sonne. J'ai compris instantanément. J'ai laissé le répondeur prendre le message. J'ai attendu quelques minutes puis je l'ai écouté. Le ton de la voix, dès le préambule, me fait comprendre ce que les mots annonceront : mon frère est mort.
Je suis allée au centre, comme d'habitude. Il y avait un petit mot sur la porte : ne pas entrer, contacter une infirmière. L'infirmière m'a accompagnée dans la chambre où reposait mon frère. Je suis restée près de lui. Nous étions encore ensemble. Puis j'ai dû repartir et l'équipe à descendu le corps avant qu'il ne s'abîme.

A l'arrivée du fourgon mortuaire qui allait le rapatrier à Gray en Haute-Saône pour l'inhumer auprès des siens, j'ai accompagné le croque-mort à la chambre froide, malgré son opposition. Je savais combien cela serait dangereux pour moi, mais je tenais à accompagner mon frère jusqu'au bout. J'ai sorti son corps moi-même de la chambre froide et l'ai déposé sur la civière. J'ai ouvert la housse, et j'ai déposé quelques fleurs du jardin qu'il avait aimées. J'ai regardé le fourgon partir. Lorsqu'il a tourné pour quitter le parking et disparaître de ma vue, je me suis effondrée au sol et je ne me souviens de rien.
Le lendemain, j'ai dû retourner dans le service récupérer le certificat de décès. Je n'avais pas versé une larme, ce qui avait choqué du monde. Mais lorsque j'ai eu le papier en main, dans ce service où, au bout du couloir, la chambre de mon frère était désormais vide, je me suis totalement effondrée, liquéfiée, en sanglots, vide. Heureusement, le personnel était conscient et a pu m'aider.
Je suis rentrée chez moi.

J'ai vu mon frère partir en morceaux : perdre sa personnalité, son identité. Il ne pouvait plus parler, je lui faisais la conversation quand même. Je massais délicatement sa peau au niveau de son coeur, tendrement, du bout de mes doigts.
Puis il a perdu la vue ou bien il était absent, nous ne savons pas. M'entendait-il ?
Il avait tellement fondu qu'il n'avait plus que la peau sur les os.
Jamais je n'oublierai.

Alors fallait-il abréger la vie de mon frère ? Si nous en avions eu la possibilité, l'aurions-nous fait ?
Jusqu'où aurions-nous supporté la souffrance ?
La douleur physique était soulagée par la morphine, mais la souffrance émotionnelle, affective et psychologique étaient insoutenables et rien ne pouvait les soulager, ni pour mon frère, ni pour moi.
Comment aurions-nous pu de nous-mêmes provoquer ce déchirement de la séparation ? Pourtant, deux jours avant sa mort, dans le couloir, à bout de forces, épuisée et désespérée, j'avais appelé la mort...
Pourtant, nous ne pouvions pas nous séparer.
Aujourd'hui encore, je n'ai pas la réponse. Le médecin par contre, je crois que si cela n'avait tenu qu'à lui... il a murmuré, que connaissant les dégâts sur les proches de ses agonies interminables, la mise en danger de leur propre vie... J'ai senti ce médecin quinquagénaire, aux cheveux gris, atteint par tout ce qu'il voit au quotidien, un questionnement qui m'a rappelé celui que nous avions eu un jour, avec mes équipiers et le médecin du samu, au cours d'une terrible intervention de nuit sur un adolescent : s'il lâche, faut-il réanimer ?

Ensuite, en effet, je suis tombée gravement malade et j'ai bien failli y rester, surtout en 2017 et 2018 et 2021. Et pourtant, je n'étais pas encore au bout des épreuves auxquelles tout un chacun doit faire face.

Hier, je rencontre un couple qui avait reçu un exemplaire dédicacé de mon conte philosophique La Comète il y a quelques ...
27/04/2024

Hier, je rencontre un couple qui avait reçu un exemplaire dédicacé de mon conte philosophique La Comète il y a quelques semaines. Ils ont tous les deux beaucoup aimé, apprécié la dimension poétique concernant des sujets abordés avec cependant beaucoup de lucidité. Ils disent avoir "voyagé avec moi", avoir été pris dans le livre et ne pouvoir s'arrêter avant d'être arrivé à la dernière page, avoir été absorbés par le livre : "Quand on le commence, on ne s'arrête plus". Bien que lecteurs occasionnels, ils ont trouvé le livre facile à lire et à comprendre, l'ont adoré.
Ces moments de partages entre un écrivain et ses lecteurs sont toujours emprunts d'émotion, enrichissants, formidables. Je suis très émue, vraiment très touchée.

L'intensité du travail de préparation (véritable brainstorming) et de recherche (de haut niveau) était véritablement épu...
26/04/2024

L'intensité du travail de préparation (véritable brainstorming) et de recherche (de haut niveau) était véritablement épuisant, comme à chacun de mes livres, mais il a porté ses fruits.
Tout est en place dans la tête et j'écris beaucoup.
Chapitre 15 en cours et le roman devrait être terminé en juin !
Ce sera mon huitième ouvrage.

01/04/2024

Je suis vraiment heureuse d'avoir réussi à égayer un peu les coeurs ce matin avec mon faux-article poisson d'avril, posté sur mon compte, ma page et les réseaux sociaux de la région d'Annecy. Les internautes sont tous morts de rire ! Je reçois des dizaines et des dizaines de notifications, smileys et commentaires. Certains ont plongé :-)) et d'autres internautes sont venus à leur rescousse !
Cela fait bien longtemps que je n'ai pas autant ri.
Particulièrement touchée et émue par les messages de remerciements pour ce petit poisson, qui était juste une impro venue en sortant mon chien sous la pluie ce matin...

Tous les pêcheurs du département de la de Haute-Savoie vont être réquisitionnés du 08 au 14 avril 2024. En effet, des pl...
01/04/2024

Tous les pêcheurs du département de la de Haute-Savoie vont être réquisitionnés du 08 au 14 avril 2024. En effet, des pluies torrentielles et prolongées sont attendues dans les prochaines semaines. Pour éviter un débordement désastreux du lac d'Annecy et près de 3 mètres d'eau dans les rues d'Annecy, d'après les calculs, le lac va être vidangé préventivement. Une pêche de sauvegarde est donc organisée en urgence. Merci de vous inscrire le plus rapidement possible, pour faciliter le travail des organisateurs. Les poissons du lac, brochets, féra, ombles, truites et autres piranhas vous remercient !

OFFRE !!! Je recherche un(e) virtuose des réseaux sociaux !Mon public était surtout anglo-saxo et australien, il faut dé...
29/03/2024

OFFRE !!! Je recherche un(e) virtuose des réseaux sociaux !
Mon public était surtout anglo-saxo et australien, il faut développer maintenant en France.
Etudiant(e) ou jeune diplômé(e) accepté(e) si compétences.
Contactez-moi en mp ou via email.
Un grand merci !
Valentine Gray écrivain.

22/03/2024

Un SMS prétendument envoyé par votre enfant, qui indique qu’il a cassé ou perdu son portable, et vous demande d’interagir par WhatsApp ? C’est une arnaque, de plus en plus fréquente…

Je parle souvent de mon Berger Allemand, mais j'ai aussi une super famille chats ! les parents de 8 ans et leurs triplés...
28/02/2024

Je parle souvent de mon Berger Allemand, mais j'ai aussi une super famille chats ! les parents de 8 ans et leurs triplés de 7 ans. Sur la photo, ils dégustent leur gourmandise, des snacks crémeux : rituel du matin qu'ils réclament très fort !
On voit parfois des images humoristiques concernant le chat endormi sur le lit, et l'humain qui dort sur un fauteuil. Cela m'est arrivé ! Un soir, je les ai trouvés tous les 5 endormis sur le lit. Plus aucune place. Il fallait pourtant bien que je dorme ! J'ai hésité... longtemps... pour finir par me pelotonner au bout du lit dans un petit espace minuscule, avec un oreiller improvisé sous la tête, couverte d'une robe de chambre en laine...

Mon BA va bien mieux ce matin !!!Un immense merci à la clinique vétérinaire du bout du lac (Drs Charron et leur équipe) ...
19/02/2024

Mon BA va bien mieux ce matin !!!
Un immense merci à la clinique vétérinaire du bout du lac (Drs Charron et leur équipe) qui l'a sauvé !!!

17/02/2024

L'infection résiste au ttt de cheval que mon BA reçoit. Il était mieux au réveil ce matin mais la fièvre remonte fortement et il ne va pas bien.
Mon super vétérinaire, qui m'a demandé de donner des nouvelles, se tient prêt à le recevoir même ce week-end si son état se dégrade à nouveau.
En attendant, repos au chaud et au calme.
Très inquiète...

Heureusement, je suis vigilante et "perspicace" a dit le vétérinaire qui vient de sauver la vie de mon BA. Le comporteme...
16/02/2024

Heureusement, je suis vigilante et "perspicace" a dit le vétérinaire qui vient de sauver la vie de mon BA.

Le comportement de mon BA avait changé depuis qu'il avait été attaqué et mordu sévèrement aux cuisses, mais aussi parce qu'il était très malade.

Mon instinct d'ancien secouriste chef de poste, ancien sauveteur en mer en équipage embarqué, ancien sapeur-pompier volontaire titulaire de deux monitorats et ancienne secouriste animalier avec monitorat, me disait que quelque chose d'autre n'allait pas. Et je connais bien mon BA.
J'avais consulté un premier vétérinaire le 24 01, qui n'a rien vu, et pour cause, il n'a pas ausculté un BA dont je disais pourtant qu'il n'allait pas bien, car il n'avait pas de muselière.

Hier pm, cette nuit et ce matin, l'état de mon BA s'est dégradé, mais aurait pu passer pour un syndrome banal encore quelques heures, qui auraient pu être fatales, si je n'avais pas été "perspicace", "attentive" comme a dit un autre vétérinaire cet été, et réactive.

J'ai appelé du secours. Un autre vétérinaire que je connaissais bien, d'une autre clinique, l'a reçu en urgence. Examen complet et analyses. Mon BA était sur le point de faire une septicémie et était déjà déshydraté : il avait une très forte infection. Il a été perfusé + piqures d'antibiotiques, d'anti convulsant +ttt.

Ce vétérinaire lui a sauvé la vie aujourd'hui, enfin nous espérons qu'il soit bientôt tiré d'affaire. Il n'aurait pas survécu beaucoup plus longtemps sans soins.

Cette forte infection explique aussi sa nervosité ses derniers temps, c'était un symptôme.

10/02/2024

Je suspends temporairement mes participations aux salons du livre, jusqu'à cet été au moins.

Mon BA a été mordu sévèrement aux cuisses, à plusieurs reprises, par un de ces chiens qui sont en liberté malgré les interdictions et qui l'a attaqué directement sans avertissement, avec une violence inouïe. Mon BA portait laisse et licol, il n'a pas pu se défendre. Il est toujours tenu en laisse, ou longe si grand espace, avec muselière-licol légère de guidage en zone peuplée. Je respecte les règles. Les arrêtés municipaux demandent de tenir son chien en laisse, je respecte l'autorité. Mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Et mon merveilleux BA a été sévèrement et profondément mordu et il ne va pas bien.

Je vais donc me consacrer exclusivement à sa guérison physique et mentale, avec un professionnel digne de ce nom, que je connaissais déjà, qui a une réputation de très haut niveau, qui connait parfaitement les BA, leur intelligence, leur sensibilité, leur caractère et cette problématique de chiens victimes d'agressions par des chiens en liberté, qu'il voit de plus en plus depuis les confinements où les gens prenaient des chiens pour avoir le droit de sortir et font n'importe quoi avec ensuite, et qui le met en colère, tout comme moi. Mon BA a été testé : il est parfaitement sous contrôle, très bien éduqué, sociable, mais il a besoin de reprendre confiance en les autres chiens, humains et en lui et relâcher sa tension nerveuse. Nous allons donc travailler intensivement avec ce spécialiste et d'autres chiens choisis, en terrain fermé, avec des méthodes éprouvées. J'ai déjà fait un gros travail d'urgence, étant formée sérieusement et pas en 3 jours sur le web, heureusement. J'ai limité les dégâts. Mais je ne peux pas inventer les chiens ni me dupliquer, car il faut être deux pour ce type de soins.

Mon BA est la plus belle chose qui me soit arrivée dans la vie et il est formidable : il est ma priorité absolue sur tout le reste.

De toutes façons, mon dernier livre, La Comète, a été très bien reçu en librairie, au point que mon éditeur et moi-même avons discuté d'une réédition. Je viens de lui rendre deux nouveaux chapitres qui viendront enrichir le livre et lui donner une portée encore plus forte et actuelle. La Comète en réédition augmentée devrait sortir à la rentrée 2024, et je reprendrai le chemin des salons du livre.

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