21/09/2024
Joyeux 1er anniversaire à mon grand garçon ainsi qu’à tous ses frères et sœur 💙
LEGENDARIVS CANIS UFC “Harlem” 👊🏾
Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de Legendarivs Canis - Dogue de Bordeaux depuis 2007, Éleveur de chiens, Nancy.
Nancy
54000
Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Legendarivs Canis - Dogue de Bordeaux depuis 2007 publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.
Envoyer un message à Legendarivs Canis - Dogue de Bordeaux depuis 2007:
ORIGINE : France. DATE DE PUBLICATION DU STANDARD OFFICIEL EN VIGUEUR : 04.11.2008. UTILISATION : Garde, défense et dissuasion. CLASSIFICATION FCI : Groupe 2 Chiens de type Pinscher et Schnauzer, molossoïdes et chiens de montagne et de bouvier suisses. Section 2.1 Molossoïdes de type dogue. Sans épreuve de travail. BREF APERÇU HISTORIQUE : Le Dogue de Bordeaux est l’un des chiens français les plus anciens, descendant probable des Alans et, en particulier de l’Alan Vautre dont Gaston Phébus (ou Fébus) Comte de Foix dit, au XIVè siècle, dans son Livre de Chasse, qu’il « tient plus fort sa morsure que ne ferait trois lévriers ». Le mot dogue apparaît à la fin du XIVè siècle. Au milieu du XIXè siècle, ces anciens dogues n’étaient guère renommés qu’en Aquitaine. On les utilisait à la chasse au gros gibier (sanglier), aux combats (souvent codifiés), à la garde des maisons et du bétail, au service des bouchers. En 1863 eut lieu à Paris, au Jardin d’Acclimatation, la 1ère exposition canine française. Les Dogues de Bordeaux figuraient sous leur nom actuel. Il a existé différents types : type toulousain, type parisien, type bordelais, à l’origine du dogue actuel. La race qui avait beaucoup souffert pendant les deux guerres mondiales, au point d’être menacée d’extinction après la guerre de 1939-1945, reprit son essor dans les années 1960.
1er standard («Caractère des vrais dogues ») in Pierre Mégnin, Le Dogue de Bordeaux, 1896. 2ème standard in J. Kunstler, Etude critique du Dogue de Bordeaux,1910 3ème standard par Raymond Triquet, avec la collaboration du Docteur Vétérinaire Maurice Luquet, 1971, 4ème standard reformulé selon le modèle de Jérusalem (F.C.I.) par Raymond Triquet avec la collaboration de Philippe Sérouil, Président, et du Comité de la Société des Amateurs de Dogues de Bordeaux, 1993. Standard précisé en 2007 par Raymond Triquet (Président d’honneur de la SADB), Sylviane Tompousky (Présidente de la SADB) et Philippe Sérouil (membre du Comité de la SADB) ASPECT GENERAL : Typiquement un molossoïde brachycéphale concaviligne. Le Dogue de Bordeaux est un chien très puissant, dont le corps très musclé conserve un ensemble harmonieux. Il est construit plutôt près de terre, c’est à dire que la distance sternum-sol est légèrement inférieure à la hauteur de la poitrine. Trapu, athlétique, imposant, il a un aspect dissuasif. PROPORTIONS IMPORTANTES : La longueur du corps, de la pointe de l’épaule à la pointe de la fesse, est supérieure à la hauteur au garrot dans la proportion de : 11/10. La hauteur de la poitrine est supérieure à la moitié de la hauteur au garrot. La longueur maximale du museau est égale au tiers de la longueur de la tête. La longueur minimale du museauest égale au quart de la longueur de la tête. Chez le mâle, le périmètre céphalique correspond à peu près à la hauteur au garrot. COMPORTEMENT / CARACTERE : Ancien chien de combat, le Dogue de Bordeaux est doué pour la garde qu’il assume avec vigilance et un grand courage mais sans agressivité.
Bon compagnon, il est très attaché à son maître et très affectueux. Calme, équilibré avec un seuil de réponse (réaction) élevé. Le mâle a un caractère généralement dominant. TETE : Volumineuse, anguleuse, large, assez courte, trapézoïdale quand elle est vue de face et de dessus. Les axes longitudinaux du crâne et du chanfrein sont convergents (vers l’avant). La tête est sillonnée de rides symétriques de chaque côté du sillon médian. Ces rides profondes et tourmentées sont mobiles selon que le chien est attentif ou non. La ride qui va de la commissure interne de l’œil à la commissure des lèvres est typique. La ride allant de la commissure externe de l’œil à la commissure des lèvres ou vers le fanon, si elle est présente, doit rester discrète. REGION CRANIENNE : Crâne : Chez le mâle : le périmètre du crâne, pris au niveau de la plus grande largeur, correspond à peu près à la hauteur au garrot. Chez la femelle : il peut être légèrement inférieur. Son volume et sa forme sont les conséquences du développement très important des temporaux, des arcades sus-orbitaires, des arcades zygomatiques et de l’écartement des branches du maxillaire inférieur. La région supérieure du crâne est légèrement convexe d’un côté à l’autre. Dépression frontale profonde s’atténuant vers l’extrémité postérieure de la tête. Le front domine la face mais ne la surplombe pas. Il est pourtant encore plus large que haut. Stop : Très accusé formant avec le chanfrein un angle presque droit (95 à 100°). REGION FACIALE : Truffe : Large, aux narines bien ouvertes, bien pigmentée selon la couleur du masque ; truffe remouchée (retroussée) admise mais pas renfoncée vers les yeux. Museau : Puissant, large, épais, mais non empâté sous les yeux, assez court, profil supérieur très légèrement concave, aux plis sobrement indiqués.
Sa largeur diminuant à peine jusqu’au bout du museau, il a, vu de dessus, la forme générale d’un carré. Par rapport à la région supérieure du crâne, la ligne du chanfrein forme un angle très obtus ouvert vers le haut. Lorsque la tête est horizontale, le bout du museau tronqué, épais et large à la base se trouve en avant d’une verticale tangente à la face antérieure de la truffe. Son périmètre approche les deux tiers de celui de la tête. Sa longueur se situe entre le quart et le tiers de la longueur totale de la tête, de la truffe à l’occiput. Les limites supérieure (du tiers) et inférieure (du quart de la longueur de la tête) sont admises mais non recherchées, la longueur idéale du museau se situant entre ces extrêmes. Mâchoires / dents : Très puissantes, larges. Le chien est prognathe inférieur (le prognathisme est un caractère racial). La face postérieure des incisives inférieures est en avant et non au contact de la face antérieure des incisives supérieures. La mâchoire inférieure s’incurve vers le haut. Le menton est bien marqué et ne doit ni dépasser exagérément la lèvre supérieure ni être recouvert par elle. Dents fortes, en particulier les canines. Canines inférieures écartées et légèrement recourbées. Incisives bien alignées surtout à la mâchoire inférieure où elles forment une ligne apparemment droite. Lèvres : Lèvre supérieure épaisse, modérément pendante, rétractile. Vue de profil elle présente une ligne inférieure arrondie. Elle recouvre la mâchoire inférieure sur les côtés. A l’avant le bord de la lèvre supérieure est en contact avec la lèvre inférieure, puis descend de chaque côté en formant en V renversé évasé. Joues : Saillantes par suite d’un très fort développement musculaire. Yeux : Ovales, largement espacés. L’espace entre les angles internes des paupières équivaut à environ deux fois la longueur de l’œil (ouverture palpébrale). Regard franc. La conjonctive ne doit pas être apparente. Couleur noisette à brun foncé pour les dogues à masque noir, couleur moins foncée tolérée mais non recherchée chez les sujets à masque marron ou sans masque. Oreilles : relativement petites, de couleur un peu plus foncée que la robe. A leur attache, la base antérieure est légèrement relevée.