26/05/2025
Texte et traduction de Equimetric :
"Je rajouterai a ce texte que ca ne date pas du XVI siecle, mais deja Xenophon en parlait deja ainsi
Dans son traité L’art équestre (Peri Hippikès), il insiste sur :
- La légèreté et la souplesse du cheval,
- L’importance de ne pas contraindre le cheval,
- Le fait de travailler avec la nature du cheval, et non contre elle,
Il évoque un cheval qui se porte de lui-même, avec noblesse, aisance et grâce — ce qui correspond pleinement à notre conception moderne de l’équilibre.
Il ne parle pas du mot "équilibre" au sens biomécanique d’aujourd’hui, mais ses descriptions visent clairement une harmonie du mouvement et une légèreté obtenue sans force, autrement dit : un cheval équilibré, mentalement et physiquement.
TRADUCTION:
On ne saurait trop insister sur l’importance de développer la mise en main autonome du cheval (équilibre). Telle qu’elle a toujours été décrite dans les traités d’équitation classique à partir du milieu du XVIe siècle, l'équilibre correspond à un état de « pilotage automatique ».
En réalité, cela va au-delà. Il s’agit de l’essence même du dressage, car c’est précisément ce qui le définit : apprendre au cheval à faire quelque chose et à le maintenir jusqu’à ce qu’un autre signal lui soit donné.
Si ce principe était correctement respecté et appliqué, les sports équestres ne se trouveraient peut-être pas dans la situation actuelle, où ils peinent à obtenir l’acceptation du public (ce qu’on appelle la « licence sociale d’exploitation »).
Je me risquerais à dire que, si les sports équestres n’adoptent pas rapidement l'équilibre comme référence, et si les systèmes actuels de jugement ne l’intègrent pas, ces disciplines deviendront de plus en plus intenables.
La mise en main autonome est la clef de la durabilité des sports équestres.
— Extrait de Modern Horse Training: Equitation Science Principles & Practice, Volume 2, par Andrew McLean
Post originial https://www.facebook.com/share/p/1AN2rJEfpX/ "
Je rajouterai a ce texte que ca ne date pas du XVI siecle, mais deja Xenophon en parlait deja ainsi
Dans son traité L’art équestre (Peri Hippikès), il insiste sur :
- La légèreté et la souplesse du cheval,
- L’importance de ne pas contraindre le cheval,
- Le fait de travailler avec la nature du cheval, et non contre elle,
Il évoque un cheval qui se porte de lui-même, avec noblesse, aisance et grâce — ce qui correspond pleinement à notre conception moderne de l’équilibre.
Il ne parle pas du mot "équilibre" au sens biomécanique d’aujourd’hui, mais ses descriptions visent clairement une harmonie du mouvement et une légèreté obtenue sans force, autrement dit : un cheval équilibré, mentalement et physiquement.
TRADUCTION:
On ne saurait trop insister sur l’importance de développer la mise en main autonome du cheval (équilibre). Telle qu’elle a toujours été décrite dans les traités d’équitation classique à partir du milieu du XVIe siècle, l'équilibre correspond à un état de « pilotage automatique ».
En réalité, cela va au-delà. Il s’agit de l’essence même du dressage, car c’est précisément ce qui le définit : apprendre au cheval à faire quelque chose et à le maintenir jusqu’à ce qu’un autre signal lui soit donné.
Si ce principe était correctement respecté et appliqué, les sports équestres ne se trouveraient peut-être pas dans la situation actuelle, où ils peinent à obtenir l’acceptation du public (ce qu’on appelle la « licence sociale d’exploitation »).
Je me risquerais à dire que, si les sports équestres n’adoptent pas rapidement l'équilibre comme référence, et si les systèmes actuels de jugement ne l’intègrent pas, ces disciplines deviendront de plus en plus intenables.
La mise en main autonome est la clef de la durabilité des sports équestres.
— Extrait de Modern Horse Training: Equitation Science Principles & Practice, Volume 2, par Andrew McLean
Post originial https://www.facebook.com/share/p/1AN2rJEfpX/