Esprit Quarter Horse

Esprit Quarter Horse Élevage et vente de Quarter Horses Esprit Quarter Horse est un élevage de chevaux Fondation, enregistrés NFQHA.

En 2009, nos poulinières sont arrivées tout droit du Texas. Elles ont été choisies pour leurs lignées de Ranch, avec deux poulinières très rares en Europe, de lignée PlayGun et FrenchMans Guy. N'ayez pas peur de vous déplacer pour voir nos chevaux et poulains à vendre. Nous sommes à votre entière disposition pour vous faire parvenir plus de photos et de renseignements. Faites de votre rêve une réalité, achetez un véritable Quarter Horse Fondation

13/12/2024

Lors du salon du cheval de Paris, une question récurrente a été posée… pourquoi des éperons? Sujet parfois houleux, il est important d’y apporter quelques précisions.

L’utilisation des éperons en équitation western : précision, finesse et respect du cheval

Les éperons, souvent associés à l’image du cow-boy, suscitent parfois des incompréhensions ou des jugements hâtifs. Pourtant, loin d’être un outil de contrainte ou de violence, ils sont un moyen de communication subtil et respectueux entre le cavalier et son cheval, notamment en équitation western. Dans cet article, nous allons démystifier leur usage et mettre en lumière leur véritable rôle : celui de favoriser la légèreté, la précision, et une meilleure harmonie dans le travail avec le cheval.

C’est un outil de précision, pas de contrainte.

Contrairement à certaines idées reçues, les éperons ne sont pas conçus pour “forcer” un cheval à obéir. En équitation western, ils sont utilisés pour affiner les actions du cavalier, en réduisant les mouvements de jambes nécessaires à une demande. Cette subtilité est essentielle, car elle permet de transmettre des signaux clairs et ponctuels au cheval, sans répétition ni intensité excessive.

Les éperons offrent une manière de communiquer avec le cheval qui, bien utilisée, est plus douce et plus précise que des pressions prolongées ou mal dosées des mollets. Par exemple, au lieu d’appuyer constamment la jambe contre le flanc du cheval pour maintenir un déplacement, une légère action ponctuelle de l’éperon peut suffire à obtenir la réponse désirée. Cela soulage le cheval, limite les efforts physiques du cavalier, et favorise une relation basée sur la compréhension mutuelle.

Les cow-boys et leurs éperons, une logique d’efficacité et de légèreté.

Historiquement, les cow-boys passaient leurs journées à cheval, qu’ils travaillent sur des troupeaux ou parcourent de longues distances. Leur objectif n’était pas de contraindre leur monture, mais de collaborer avec elle efficacement.

L’utilisation des éperons dans ce contexte répondait à une double exigence :
1. Gagner du temps : Les cow-boys avaient besoin de chevaux réactifs et prêts à effectuer des actions précises en un instant. Les éperons leur permettaient de donner des indications claires et immédiates, essentielles dans des situations comme la séparation d’un bétail ou le franchissement d’obstacles.
2. Préserver la légèreté : L’objectif était de maintenir une communication subtile et non intrusive, évitant des actions de jambes répétées ou trop intenses. Les éperons sont donc devenus un outil d’économie physique, à la fois pour le cavalier et pour le cheval.

Il est important de souligner que, pour ces hommes qui passaient des heures en selle, le bien-être du cheval était une priorité absolue. Un cheval blessé ou fatigué ne pouvait pas travailler efficacement, et la relation entre le cavalier et sa monture reposait sur une confiance mutuelle.

L’éperon en concours western , une réglementation stricte.

Dans les compétitions, les éperons continuent de jouer un rôle central dans l’élégance et la précision des mouvements du cheval. Cependant, leur usage est soumis à une réglementation stricte pour garantir le respect du bien-être animal.

Après chaque passage en compétition, les juges procèdent à une vérification minutieuse des chevaux :
• Ils examinent les flancs pour détecter d’éventuelles marques, blessures ou irritations.
• Ils veillent à ce que les éperons aient été utilisés correctement, c’est-à-dire pour affiner la communication et non comme un outil de contrainte.

Ces contrôles reflètent une prise de conscience accrue dans le milieu de l’équitation western : le respect du cheval est au cœur de la discipline. Toute forme d’abus ou de contrainte est strictement sanctionnée, garantissant que l’utilisation des éperons reste en accord avec les valeurs éthiques du sport.

Une communication subtile et harmonieuse

L’utilisation des éperons n’est pas une question de domination, mais de partenariat. Bien utilisés, ils permettent de :
• Améliorer la réactivité : Un cheval bien éduqué réagit immédiatement à une légère sollicitation.
• Renforcer la légèreté : Les actions ponctuelles et précises évitent des pressions constantes et fatigantes.
• Favoriser la compréhension : Les signaux clairs et subtils évitent les confusions ou les incompréhensions, rendant le travail plus agréable pour le cheval.

L’éperon devient ainsi un outil qui renforce la communication, permettant au cavalier d’obtenir des réponses précises sans jamais entrer en conflit avec sa monture.

Une éducation indispensable pour le cavalier et le cheval

Il est essentiel de rappeler que l’efficacité et la bienveillance de l’éperon dépendent de l’éducation du cavalier et de son cheval. Un cheval bien dressé et un cavalier formé à l’utilisation des aides auront une relation fondée sur la confiance et la légèreté.

Chez les cavaliers novices, il est important de se familiariser d’abord avec les aides naturelles (voix, mains, jambes) avant d’introduire les éperons. Ces derniers doivent être considérés comme un outil complémentaire, destiné à affiner une communication déjà en place.

En conclusion, légèreté, précision et respect.

Les éperons en équitation western ne sont pas des instruments de contrainte, mais des outils de finesse et de précision. Ils incarnent une philosophie centrée sur la légèreté et le respect du cheval, permettant d’obtenir des actions précises avec un minimum d’effort.

Qu’ils soient utilisés dans un contexte historique ou en compétition moderne, leur rôle reste le même : offrir une communication claire, ponctuelle, et respectueuse, tout en préservant le bien-être du cheval.

Lorsque bien employés, les éperons sont donc non seulement un symbole de la tradition western, mais aussi un exemple d’harmonie entre l’homme et le cheval.

19/11/2024
26/08/2024

HORSEMAN
There are horse trainers, horse traders and horse whisperers. There are show men, show boaters and show offs. There are fast talkers and would be magicians.

But then there are true Horsemen and Horsewomen, and these are harder to find and sometimes even harder to recognize because they are often tucked away in quiet hidden places, working slowly and silently without national recognition or appreciation.

Often times, the true horseman or woman does not have the most horses in training or those horses that are exceptionally bred or high priced. Often times, the true Horsemen and Women do not have access to big money owners or run through dozens and dozens of prospects in order to find the few that can take the pressure of aged event prize money or high profile exhibition. Many times, the true horsemen and women are slow and steady, methodical and patient, training on an individual horse's timeline and not to a rigid show schedule set by the seasons or show management.

These people recognize a horse's physical and mental capabilities and showcase their assets without sacrificing their bodies or minds. Horsemen and women take their time developing their horses' skills and confidence through a traditional steps, one before the next, placing just as much credence in their teaching relationship and equine partnership as they do in show pen results. Horsemen and women are humble because their reward comes from within; from knowing that they have taught through kindness, patience, fortitude, and logic. Their rewards coming from creating a confident horse that works with them and not for them, horses that are not scared or intimidated, horses with solid foundations that last season after season and that carry a gamut of riders from the experienced non pro to the Amateur to the Green Reiner. Always Dedicated. Always Patient. Always Consistent. Whether it be riding young horses, resurrecting older horses, or maintaining the Steady Eddy, a True Horseman is one of the first ones to throw a leg over in the morning and one of the last ones to pull their boots off in the evening.
Horsemen and women are a pleasure to watch in the arena or on the ranch as they diligently and patiently impart their knowledge and logic to both horses and students.

In an era where the horse industry is so economically driven and success is measured primarily in prize money and accolades, the tradition of the true horseman and the process of training horses seems to be changing; giving way to an assembly line mentality where immediate success and financial compensation take precedence over handcrafted quality and longevity. Dedicated to their craft, loyal to their students, ambitious, hardworking and a role model for anyone interested in making their way in an industry dominated by pressure to build great animals in less and less time, old fashioned horsemen are women are now Artisans, assets to our heritage and traditions and harder and harder to find.

A thoughtful teacher, a thorough instructor, a gentle hand, a firm guide, a rational yet fearless showman, the greatest compliment that I think could ever be given to someone who works with horses, is to be thought of as a Horseman.

📝Becky Hanson

28/07/2024

Doc O’Lena was foaled in 1967, the offspring of Doc Bar and Poco Lena. He is one of only two horses in the American Quarter Horse Hall of Fame with both parents also inductees. He was a bay foal owned by Dr. and Mrs. Stephen F. Jensen of Paicines, California.

It is really quite a miracle that Doc O’Lena was ever born at all. The Jensen family bought his dam, the severely foundered Poco Lena, in 1963, with the intention of breeding her to their already proven halter and performance sire, Doc Bar. In addition to an already heart wrenching story behind her laminitis, Poco Lena had suffered long-term effects from the drugs that had kept her from cycling during her cutting career. It took three breeding seasons before she carried a foal. That foal was Doc O’Lena, born June 21, 1967.

The Jensens hoped to sell Doc O’Lena while still a yearling to Don Dodge, who had trained the c**t’s dam, Poco Lena, but Dodge thought the c**t was too small to train as a cutting horse. So instead, the Jensens decided to keep the c**t and have Shorty Freeman of Scottsdale, Arizona, come look at him to see if Freeman wanted to train the c**t. Freeman did not have an auspicious beginning, as the first time Freeman tried to ride the green broke yearling, Doc O’Lena ran away. However, Freeman decided to take Doc O’Lena on, and said of the horse, “I didn’t train Doc O’Lena anyway, he trained himself. I knew about 30 days after I got him that he was an exceptional horse. I always had to ride him last in the training program, ’cause if I didn’t, I’d be mad at all the other horses in the barn. He was just that good.”

Freeman talked one of his clients into going into partnership with him and buying Doc O’Lena from the Jensens in April 1970 for $15,000. That December, Doc O’Lena and Freeman became the first competitors to make a clean sweep of the National Cutting Horse Association (NCHA) Futurity’s preliminary go-rounds, semi-finals and finals becoming the 1970 Futurity Champion and winning $17, 357 for his new owners. In all, Doc O’Lena earned $21,991.93 in NCHA earnings, along with an NCHA Certificate of Ability.

Doc O’Lena sired 1,310 foals. Of these, 321 accumulated 3,978.5 points; 87 earned performance Registers of Merit (also nine amateur, three youth); nine earned Superior performance awards; four were world champions; six were youth world champions; six were youth world champions; and four were reserve world champions.

Among Doc O’Lena’s offspring were Tanquery Gin, Shorty Lena, CD Olena, Mr Sun O Lena, Travalena, Sarlett O’LenaDoc Athena, Sugar Olena, Lenas Peppy, Smart LittleLena, and Todaysmyluckyday. His son Montana Doc is a member of the NCHA Hall of Fame. Doc O’Lena was the first NCHA Futurity winner to sire a Futurity winner when Lenaette won the Futurity in 1975. His son Smart Little Lena was the first winner of the NCHA triple crown. And in 1978, Doc O’Lena himself was syndicated for $2.1 million, at that time a record for the cutting horse industry.

Doc O’Lena died on February 27, 1993, at the Phillips Ranch in Frisco, Texas. He was inducted into the American Quarter Horse Hall of Fame in 1997.

28/06/2024

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Lieu Dit La Ribeyre
Saugues
43170

Téléphone

+33611231819

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