Au chien de Stanislas

Au chien de Stanislas Educatrice canin - Comportementaliste - méthode positive - formation chiens catégorisés.
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22/09/2024

Le secret du rappel, c'est... La bonne attitude? La meilleure récompense ? Un conditionnement fort? Le choix stratégique du bon "mot"? Un travail quotidien?

Et bien... Non.

On en parle trop peu, mais le secret du rappel est ailleurs. Le secret du rappel, c'est avant toute autre chose une relation forte et saine avec son chien. Le reste, c'est juste de la technique, et ça vient après.

Le secret du rappel, c'est de donner envie à son chien de revenir. Pas parce qu'on a des saucisses ou parce qu'on a beaucoup travaillé, mais simplement parce que c'est super chouette d'être près de nous.

Mais comment faire?

Une nouvelle fois, c'est très simple : il suffit d'être un élément UNIQUEMENT positif pour son chien. Il suffit de le traiter comme un être vivant doté d'une sensibilité, d'une personnalité et de désirs qui lui sont propres. Il suffit de répondre à ses besoins de chien. Il suffit de partager avec lui des moments agréables, des ressources, du plaisir. Il suffit de partager DU TEMPS. Du temps de qualité durant lequel on est réellement disponible pour lui. Il suffit de vivre AVEC son chien, et non A COTE de son chien. Il suffit d'avoir une vraie communication non verbale avec son compagnon, une vraie compréhension, un vrai lien (sauf que la communication et la compréhension ne peut pas être à sens unique... L'humain aussi doit faire l'effort de comprendre). Il "suffit".

Quand cette base est acquise, et seulement à ce moment là, on peut utiliser des techniques pour "conditionner" le rappel. Mais sans elle, c'est peine perdue.

Et j'ajouterais que si la relation est là, le rappel oral devient superflu dans la majorité des cas. Le "rappel silencieux" s'installera de lui-même, mais ça fera l'objet d'une prochaine publication ;)

15/09/2024
08/09/2024

Adolescence occurs between six months and 18 months of age—a time when guardians typically struggle the most with their dogs. Some guardians are so overwhelmed and underprepared for this developmental stage of their dog’s life, they choose to surrender the dog to a local shelter or rescue group. In a recent study published in the Journal of Applied Animal Welfare Science found that the majority of the surrendered dogs (47.7 percent) ) were between 5 months and 3 years of age (M.D. Salman,John G. New, Jr.,Janet M. Scarlett,Philip H. Kass,Rebecca Ruch-Gallie &Suzanne Hetts, 2010)

The neurobiology of adolescence is fascinating, with some key events that alter both the structure and function of the brain.

During canine adolescence, changing s*x hormones effect the animals stress responses. Adolescent dogs have a decreased ability to process information they are receiving from the environment including the presence of dogs, vehicles, people, or really anything around them. They behave in ways that might feel frustrating or upsetting for the dog’s person.

The connectivity between the frontal cortex (responsible for decision making) and amygdala (responsible for emotional processing) decreases, resulting in less behavioral control. We see increased risk taking and more sensitivity to fear.

So what does this mean? This could mean that what was once no big deal to the dog now feels scary; what was once easy to do is now stressful; what once made sense is now confusing. At times, the world can feel like ‘too much’ for the adolescent dog.

As your puppy undergoes this transition into adulthood their inner world is intense, even chaotic. Many pet owners experience an increase in undesirable behavior and find themselves becoming increasingly frustrated. In turn, our own frustration and impatience can cause us to act unpredictably. This adds to our puppy’s inner turmoil. When the inside and the outside are both unpredictable it can be difficult for our dogs to adjust.

If you have an adolescent dog, what can you do? You can give your dog the time and space to observe what is going on around them when on leash at a distance away from the activity when possible. You can give your dog long walks to sniff and explore in nature, giving their brain time to decompress. You can offer your dog a quiet space to sleep so that they can consolidate memories effectively. You can continue training various skills, breaking them down into easier steps that can be generously reinforced.

By understanding what our adolescent dog is experiencing we gain greater compassion and understanding. When we approach adolescence with patience we create a world that is predictable and gentle so our puppies grow up to be their best adult selves.

Balade petit format ce matin. Fallait regarder où on mettait les pieds 😆🥰…
27/08/2024

Balade petit format ce matin. Fallait regarder où on mettait les pieds 😆🥰…

Super texte !
26/08/2024

Super texte !

Aujourd’hui, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮 𝗷𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲́𝗲 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗰𝗵𝗶𝗲𝗻 et comme chaque 26 août, je vous partage ce texte que j'ai écrit il y a quelques années ❤️

Les chiens… Bon sang, les chiens… Les chiens sont juste les êtres les plus formidables qui existent ❤️

Ils sont tous parfaits, ils sont tous tellement géniaux.
Du p’tit gars qui traîne sur le canapé toute la journée à la p’tite puce qui défonce tout sur les parcours d’agility en passant par n’importe quel toutou qui déteste ses congénères ou qui craint les voitures ou encore qui détruit le canapé. Tous. 𝗜𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗮𝘂𝘅.

On leur en demande tellement, sans arrêt. On attend souvent d’eux qu’ils soient parfaits alors qu’on est nous-même incapables de maintenir nos qualités en place pendant plus de 12 heures consécutives 🤦‍♀‍🤦🤦‍♂‍

Ils ne méritent rien d’autre que notre amour, notre compassion, notre empathie, notre indulgence. Rien d’autre 💚

𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗼𝗻 𝘀𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘃𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗾𝘂’𝘂𝗻 𝗰𝗵𝗶𝗲𝗻 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻 𝗰𝗵𝗶𝗲𝗻, 𝗼𝗻 𝗻𝗲 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗹𝘂𝗶 𝗲𝗻 𝘃𝗼𝘂𝗹𝗼𝗶𝗿 𝗱’𝗲𝗻 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝘂𝗻.

Un chien :
• Aboie
• Creuse
• Mâchouille
• Mord
• Saute
• Court
• Marche plus vite qu’un humain
• Aime le confort
• N’aime pas trop être serré/touché
• Lèche
• Etc

C’est quand même fou qu’on en vienne à leur reprocher ce qu’ils sont.
On les adopte parce qu’ils sont des chiens, parce qu’on aime les chiens, puis, on leur reproche d’en être.
𝗖̧𝗮 𝗻’𝗮 𝗮𝘂𝗰𝘂𝗻 𝘀𝗲𝗻𝘀.

Vous voulez vivre en harmonie avec votre chien ?
Voici quelques pistes pour y parvenir :

✴ 𝗥𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗼𝗻𝘀-𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗾𝘂’𝘂𝗻 𝗰𝗵𝗶𝗲𝗻 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻 𝗰𝗵𝗶𝗲𝗻.
Cela implique donc de se souvenir que notre chien va émettre des comportements de… chien ! Il va aboyer, sauter, marcher plus vite que nous, mâchouiller des trucs, lécher ce qui traîne, etc.
Un chien est aussi un être qui n’a pas du tout la même notion que nous de ce qui est bien ou mal. Manger le c**a des autres animaux, c’est cool. Se rouler dans les déchets, c’est classe. Manger les saucisses qui traînent sur la table, c’est NORMAL. Ce qu’il va savoir, c’est si une situation va être dangereuse ou non. Ne devenons pas le danger que notre chien va craindre. Soyons au contraire les gardiens qui allons les rassurer.

✴ 𝗔𝗱𝗼𝗽𝘁𝗼𝗻𝘀 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗮𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗰𝗼𝗿𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝗱.
En plus des comportements spécifiques à l’espèce, certaines caractéristiques vont être plus présentes chez certaines races que d’autres.
Alors oui, un chien-loup, ça a de la gu**le, mais si on ne veut pas d’un chien qui a envie de massacrer toute la faune de notre jolie forêt, ce n’est peut-être pas la bonne race pour nous. Vous adorez le côté dynamique du Jack Russel mais vous avez un joli jardin que vous souhaitez conserver sans trou de 600 mètres de profondeur ? Le Jack n’est peut-être pas la bonne race pour vous. Vous adorez les longs cheveux soyeux des Shetland mais vous êtes sensibles au bruit ? Cette race n’est peut-être pas la meilleure pour vous.
Bien sûr, chaque individu est différent, mais c’est quand même se mettre de sacrés bâtons dans les roues que de ne pas regarder les caractéristiques d’une race avant d’en adopter un individu.

✴ 𝗥𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗼𝗻𝘀-𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗾𝘂𝗲 𝗶𝗻𝗱𝗶𝘃𝗶𝗱𝘂 𝗲𝘀𝘁 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝘁 et adaptons-nous à notre chien.
Vous avez adopté un border collie mais il ne démontre aucune envie, passion ou prédisposition pour faire du troupeau ? NON, ne le tapez pas avec un bâton, non, ne lui mettez pas un collier électrique. Cherchez simplement le sport ou l’activité que CET individu va apprécier. Vous pourriez vous-même en découvrir une nouvelle au passage, et l'apprécier.

✴ 𝗖𝗼𝗺𝗯𝗹𝗼𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻𝘀 𝗯𝗶𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘂𝘅, 𝗲́𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝗰𝗵𝗶𝗲𝗻𝘀.
Tout le monde a bien évidemment intégré le fait qu’un chien a besoin de manger et de boire. Mais pour avoir un toutou équilibré et bien dans ses pattes, c’est loin (mais alors loiiiiiin) d’être suffisant.

Alors, quels sont les éléments à intégrer pour remplir les besoins du chien ?
➡ Sommeil
➡ Confort
➡ Sécurité
➡ Soins
➡ Constance
➡ Confiance
➡ Bienveillance
➡ Interactions sociales
➡ Jeu
➡ Renifler
➡ Mastiquer
➡ Rechercher
➡ Apprentissages
➡ Exercices physiques
➡ Découvertes
Pour ne citer que les principaux !

✴ 𝗨𝘁𝗶𝗹𝗶𝘀𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗼𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗯𝗼𝗻𝗯𝗼𝗻𝘀, 𝗱𝗲 𝗳𝗲́𝗹𝗶𝗰𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀, 𝗱’𝗮𝗺𝗼𝘂𝗿.
Et bannissons les punitions, qui, au mieux, seront contre-productives, au pire apprendront à notre chien à nous fuir.
Vous pensez que les punitions sont nécessaires pour apprendre au chien à bien se comporter ? Ça n’en devient pas forcément une réalité si vous le pensez, par contre, cela prouve simplement qu’il faut continuer à vous former pour savoir faire mieux.

"𝐶𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒𝑟 𝑑'𝑎𝑝𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑧 𝑠𝑡𝑢𝑝𝑖𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑙𝑖𝑒𝑢; 𝑐𝑒𝑙𝑎 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑒̂𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑙𝑙𝑖𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑎̀ 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒." Melanie Joy

"𝐹𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑛 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑢 𝑒𝑛 𝑠𝑎𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠. 𝑃𝑢𝑖𝑠, 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑡𝑢 𝑒𝑛 𝑠𝑎𝑢𝑟𝑎𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠, 𝑓𝑎𝑖𝑠 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥." Maya Angelou

✴ Lorsque leurs comportements pourraient être un danger pour eux-mêmes ou pour les autres, 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗶𝘀𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲́𝘁𝗵𝗼𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗱𝗶𝗳𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲 𝗻𝗼𝗻 𝗮𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘃𝗲𝘀, 𝗶𝗻𝘁𝗿𝘂𝘀𝗶𝘃𝗲𝘀 𝗼𝘂 𝗰𝗼𝗲𝗿𝗰𝗶𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀. Il existe un tas d’outils qui permettent de modifier un comportement tout en respectant l’intégrité physique ET émotionnel de nos chiens. Un tas.

Aujourd’hui, et chaque jour, 𝗰𝗲́𝗹𝗲́𝗯𝗿𝗼𝗻𝘀 𝗧𝗢𝗨𝗦 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗶𝗲𝗻𝘀.
Célébrons ce qu’ils sont et pas ce que nous voudrions qu’ils deviennent.

𝗜𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝘀𝘂𝗳𝗳𝗶𝘀𝗮𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗮𝘂𝘅 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲 𝗰̧𝗮.

Lisa Longo, CPBT-KA, CBCC-KA
𝐶𝑜𝑛𝑠𝑢𝑙𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑙
Elite FearFree Certified Professional
Family Dog Mediator
TAGteacher niveau 1
Animal Académie

Petit mélange de forêt et de village pour la balade de ce matin.
16/08/2024

Petit mélange de forêt et de village pour la balade de ce matin.

16/08/2024

⚠️Petite piqûre de rappel, il n'y en a jamais assez⚠️

En vacances (ici en été) alors qu'il est de rigueur d'être chaussés, nos chiens ne le sont pas... leurs coussinets sont fragiles autant que votre voûte plantaire!
Les sols asphaltés accumulent la chaleur, pouvant ainsi atteindre des températures supérieures à 60°C 😱

En ce moment, nous découvrons des petits coins paradisiaques créés par l'homme (oui oui ça existe...) 🤩 Avec Nailys plusieurs choix s'offrent à nous :
- la laisser dans le van➡️même pas en rêve
- ne pas y aller➡️évidemment, et sans regrets
- se mettre à son niveau et voir c'est si supportable pour ses coussinets 💪➡️ une solution...?
‼️SE METTRE PIEDS NUS‼️
‼️TÂTER LE SOL AVEC VOTRE MAIN NE SUFFIT PAAAAS‼️🤦‍♀️

➡️ J'ai pu découvrir les différentes températures que pouvaient dégager les sols en fonction de leur revêtement... et j'ai bien été surprise 😲 certains sols les plus chauds/brûlants n'étaient pas ceux que j'imaginais 😢😖
Alors, heureuse de m'être mise pieds nus pour elle!

➡️Autre point, même si le sol était "supportable" (pour mes pieds) 20-30min pieds nus ➡️ arrivés en voiture, mes pieds me chauffaient énormément, sensation douloureuse... donc la température seule n'est pas à prendre en compte, mais votre temps d'exposition sur des sols chauds aussi ont des incidences!!!

Sans laisse, nos chiens n'auraient pas fouler ces sols 🥵

Belle journée à vous, on continue nos vacances 🚐🐾

(Photo: Nailys et moi-même claquettes à la main)

12/08/2024

🐾 VÉRITÉS ET IDÉES FAUSSES SUR… LE HUSKY ! 🐾

Ah, le Husky ! Animal presque sauvage, chien indomptable, épris de liberté, qui a besoin d’être guidé par un véritable « chef de meute » pour s’épanouir, et qui ravage le salon de ses maîtres s’il ne court pas ses vingt kilomètres par jour… il en circule, des idées reçues à son sujet ! Son allure lupine, sa fourrure de canidé sauvage et ses yeux parfois bleu azur suscitent bien des fantasmes…

J’adore les Huskies. Vraiment. J’en parlais encore avec des amis cette semaine. À partir du moment où leurs besoins sont comblés, ce sont des chiens joyeux et faciles à vivre. Sauf exception, ils adorent la compagnie de leurs congénères. C’est un trait de caractère à prendre sérieusement en compte : si vous avez un autre chien, c’est un sacré bonus, car le Husky apprécie vraiment la vie de groupe. Sinon, il faudra lui présenter d’autres chiens régulièrement, à défaut de quoi, il n’hésitera pas à passer sous votre clôture pour aller taper la causette avec le Labrador du voisin. Rien de plus normal, pour un chien dont les ancêtres tiraient des traîneaux en groupe et dont les compétences sociales étaient recherchées. Attention cependant, le Husky tel que nous le connaissons n’est plus celui qui tirait des traîneaux en Sibérie. S’il existe encore des lignées de Huskies Sibériens de travail, plébiscitées par les mushers, le Husky tel qu’on le rencontre actuellement est sélectionné sur des critères physiques et est beaucoup moins demandeur d’exercice physique que son cousin. Ce serait totalement ingérable dans la vie quotidienne ! Si le Husky actuel a besoin d’au moins une heure de promenade quotidienne pour être bien dans ses pattes, il n’est pas obligatoire d’être un sportif de haut niveau pour le rendre heureux. Il peut même vivre très confortablement en appartement malgré les dires des mauvaises langues, à partir du moment où il bénéficie de plusieurs promenades journalières.

Il n’est pas complètement faux d’affirmer que le Husky est fugueur. Si ses besoins exploratoires et sociaux ne sont pas comblés, il saura très bien se débrouiller pour les satisfaire tout seul ! Il est suffisamment agile et autonome pour cela. Cependant, il reste avant tout un chien et il préfère partager ces activités avec son groupe social (ses humains). Si vous lui proposez suffisamment d’activités (je ne le répéterai jamais assez, faire un tour dans le jardin n’est PAS une activité), il ne ressentira pas le besoin de s’échapper pour se trouver des occupations. De même, il peut être promené en liberté en forêt ou dans un parc comme n’importe quelle autre race de chien : si vous entretenez une bonne relation avec lui, et si vous lui enseignez le rappel en positif (quelques morceaux de viande dans la poche pourront aider !), votre Husky sera ravi de revenir au rappel… à moins qu’un écureuil ne montre le bout de sa queue.

Car le Husky est chasseur. C’est indéniable. Son instinct de prédation étant plus prononcé que chez d’autres races de chien, il est nécessaire d’être vigilant quand il est en liberté. La faune sauvage et les chats du quartier pourraient en faire les frais. Si vous avez l’occasion de le nourrir au cru, vous comblerez au moins chez le Husky le besoin de mastiquer, dilacérer la viande et croquer les os, à défaut de pouvoir combler son instinct de poursuite en le laissant chasser, ce qui serait bien évidemment cruel pour les animaux croisés en promenade.

Conseil qu’il est toujours bon de rappeler, le Husky n’est pas fait pour rester seul dix heures par jour. Il est évident que travailler est nécessaire pour vivre, mais laisser un chien seul aussi longtemps est une négation totale de ses besoins éthologiques. Essayez de recruter un(e) dog-sitter, laissez votre chien en garde chez un ami qui a un autre chien, confiez-le à une garderie canine de jour, mais ne le laissez pas seul dix heures par jour, cinq jours sur sept. Le Husky n’est peut-être plus un acharné des sports de traîneaux (et encore, certains le sont, en fonction de leur génétique et de la condition physique dans laquelle on les maintient), mais il a besoin d’explorer, de gambader, de renifler, de jouer, de rencontrer d’autres chiens, bref, de vivre, tout simplement !

Enfin, si vous comptez sur votre Husky pour monter la garde, vous risquez de tomber de haut. Il est plus probable de le retrouver en train de prendre le thé avec un cambrioleur plutôt que de le surprendre tout crocs dehors et l’échine hérissée à essayer de chasser un intrus qui se serait trop approché de votre portail. Le Husky est probablement l’une des seules races de chien à faire la fête au facteur ! Dire que, parfois, il ne se lève même pas du canapé pour vous saluer quand vous rentrez du travail…

C’est ça, le Husky : un chien qui vous amènera toujours à vous remettre en question et à vous améliorer, un animal tout en contradictions, qui vous fera mourir de rire quand il vous fera la conversation (le Husky cause, et aime s’entendre parler !), et qui vous fera vous arracher les cheveux quand il aura décidé de ne revenir à vos pieds qu’APRÈS s’être copieusement roulé dans ce cadavre de ragondin faisandé qui empeste à deux-cents mètres. Le Husky est un hymne à la vie enfoui sous un amas de fourrure, un épicurien caché derrière un regard couleur lagon. À ses côtés, et si vous lui consacrez le temps et la patience qu’il mérite, vous apprendrez à devenir un peu chien vous-même et vous mordrez à pleines dents dans la vie.

Elsa Weiss / Cynopolis
© Tous droits réservés - 2021

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07/08/2024
Petite balade collective à la fraîche et bien calme. Il fait déjà chaud de bon matin…
02/08/2024

Petite balade collective à la fraîche et bien calme. Il fait déjà chaud de bon matin…

29/07/2024

INTERDIT AUX CHIENS … SAUF SI MA VIE EN DÉPEND !

« Interdit aux chiens ».
« Interdit aux chiens même tenus en laisse »
Sur les plages, même tôt le matin, dans certains parcs, même le soir t**d, en forêt (in et ex-période de chasse), autour de certains lacs et moins souvent, dans certains restaurants et hôtels…

D’année en année, nous parcourons les routes de France avec nos chiens, et nous faisons ce constat : ils ne sont pas souvent les bienvenus. Pour certains, nous avons (en plus) le mauvais goût de nous déplacer avec un « grand ou gros chien », et parmi ceux-là, si c’est un malinois, un staff ou un berger allemand, le délit de faciès est parfois difficile à supporter.

Certains jours, il relève de l’héroïsme de continuer à prendre les choses avec philosophie. Quand ce n’est pas le lieu lui-même qui nous interdit de franchir la porte et nous oblige à patienter dehors, c’est le regard accusateur des gens qui nous fait clairement comprendre que nous n’avons rien à faire ici avec « un chien comme ça ».

Je voulais partager mes réflexions sur notre société qui ferme les yeux sur la sur-production, ne punit pas réellement l’abandon ou la maltraitance, ne réglemente la détention que pour certaines races honteusement stigmatisées mais qui paradoxalement, empêche tous ces chiens nés sur son territoire d’exister en son sein. En somme, « vous pouvez les produire, les vendre, les re-vendre, faire du trafic avec eux, les exploiter, les battre, les envoyer sur la Lune si ça vous chante ou créer du capital avec leur vie mais par contre, on ne veut pas les voir ». Et le constat empire : d’année en année le chien est de moins en moins accepté en France, pourtant l’un des pays qui le produit le plus.

« Quant à nous, les humains qui n’aimons pas les chiens et qui fusillons du regard les personnes qui nous imposent le-leur dans les lieux publics » - ou pire - « nous, les humains qui n’aimons que certaines races perçues comme politiquement correctes, sachez que cela nous rendra bien service quand cet animal risquera sa vie dans la police, l’armée ou les pompiers pour sauver la nôtre. Sachez que nous le trouverons soudain très utile - héroïque - de savoir détecter nos maladies ou nos crises, de nous protéger des bombes, de nous retrouver après une avalanche ou sous des décombres… Mais vraiment, par contre, ne polluez pas nos vacances en nous les mettant sous les yeux ».

Parce que oui… Il faut préciser que dans ces contextes de catastrophe et de maladie où les « gens-qui-n’aiment-pas-les-chiens » seront soulagés d’en voir un, ce sont précisément les bergers allemands, malinois, hollandais et autres « fauteurs de troubles » qui feront le job. Ceux-là même avec lesquels vous ne souhaitez pas coexister parce que vous estimez que « des chiens pareils n’ont rien à faire ici ».

On pourra nous accuser d’user d’un levier facile pour nous élever contre cette contradiction. Mais si c’est jugé « facile » c’est peut-être parce que c’est « un peu vrai ». Le chien des films « oui », le chien-héros « oui », mais le chien « en vrai », beaucoup moins.

À l’inverse, nous, les humains qui voyageons avec nos chiens, nous remercions sincèrement les restaurateurs et les bars, en terrasse comme en salle, qui nous accueillent avec une gamelle d’eau, nous offrent une place à l’ombre, et aussi tous les logements privés qui précisent dans leur annonce que nos chiens sont les bienvenus, les employés aimables croisés sur la route des vacances qui, malgré les interdictions souvent incompréhensibles font preuve de bon sens et d’indulgence, ne conseillent jamais de laisser le chien dans la voiture ou de le faire attendre seul dehors, mais aussi les gardes, sauveteurs ou animateurs qui, avec clémence, nous indiquent les endroits où nos chiens ne seront pas surveillés, et donc « pas vu-pas pris ». Bref, tous ces humains qui nous rendent les vacances un peu moins compliquées et qui nous indiquent que oui, l’humain est encore capable de faire la part des choses, de communiquer et d’aider, plutôt que de tout interdire.

Enfin, il est évident que cet article « coup de gu**le » ne parle pas des lieux où le chien est interdit pour des questions légitimes de préservation des espèces. Nous ne sommes pas des idiots. La plupart des personnes qui aiment les chiens aiment tous les autres animaux. Mais aussi, nous n’oublions pas que nous, humains respectueux accompagnés d’un chien, payons le prix fort du comportement des autres, la minorité envahissante et plus visible, celle qui ne respecte rien et ne sait pas lire les panneaux « Merci de ramasser ».

Audrey Ventura / Cynoconsult

Cynoconsult / Audrey Ventura
- Mon chien, mon coach et moi : https://shorturl.at/cFIV1
- Le chien, cet animal qui nous échappe : https://shorturl.at/eLNT2 =

Ci-dessous : Image trouvée sur le web et choisie pour tout le paradoxe qu'elle exprime.

26/07/2024

Qu’est-ce qu’une cage ?Une cage est un espace clos, avec une porte, où le chien est possiblement enfermé. Le plus souvent, elle est en ferraille. Il est aussi possible d’en trouver en plastique, en bois, ou dans d’autres matériaux. Certaines sont à des prix très abordables pour de petit...

Et voilà….CQFD
22/07/2024

Et voilà….CQFD

Jolie balade collective ce matin. Avec pause fraîcheur, merci les arbres creux 😄. Chacun son tour comme à la poissonneri...
14/07/2024

Jolie balade collective ce matin. Avec pause fraîcheur, merci les arbres creux 😄. Chacun son tour comme à la poissonnerie 🤣.

13/07/2024
10/07/2024

Excellente vidéo sur un sujet fréquemment rencontré.

Très bon article que je me permets de relayer.
30/06/2024

Très bon article que je me permets de relayer.

[le contrôle comme outil contre la réactivité]

Les personnes qui partagent leur vie avec un chien réactif pourront en témoigner : dans le long chemin vers l'apaisement de la réactivité, de nombreux renforçateurs sont utilisés pour valoriser les comportements attendus : friandises, séquences de jeu, contact physique, accès à une ressource...

Si ces renforçateurs peuvent être tout à fait valides et efficaces dans le processus de rééducation, en fonction du chien et de la situation, il en est un que j'affectionne particulièrement, et qui constitue la base de la méthode B.A.T (Behavior Adjustment Training, en français "technique d'ajustement du comportement), que j'utilise beaucoup dans mes suivis comportementaux : la capacité à exercer du contrôle sur l'environnement et à faire des choix.
Quelques explications :

🍁Tout être vivant a besoin de sentir qu'il exerce une forme de contrôle sur son environnement pour s'y sentir en sécurité. À divers degrés, les humains n'échappent pas à cette règle. Quelques exemples :

- on tend de plus en plus à éviter de laisser un jeune enfant pleurer, car les pleurs sont un moyen pour l'enfant d'exercer du contrôle sur l'environnement en rappelant la figure d'attachement dont dépend sa survie. L'absence de contrôle sur la situation, par la non réaction aux pleurs, entraîne de l'angoisse (et favorise le développement de mécanismes d'adaptation néfastes pour le développement affectif et neuro-cérébral) --> coucou l'impuissance acquise, un terme qui doit maintenant parler à beaucoup d'entre vous

- de nombreuses personnes ont besoin de connaître leur planning en avance afin de se sentir sécurisées, de façon à éviter au maximum les imprévus gênants, de pouvoir gérer leur quotidien, etc. Cette forme de prévoyance leur permet de se sentir plus en contrôle de la situation face à l'inconnu

- on observe beaucoup, chez les personnes vieillissantes vivant en maisons de retraite, une augmentation des angoisses (ainsi qu'une baisse des capacités cognitives) lorsque la possibilité de choisir ses activités, ses repas, ses heures de sortie... se réduit. Ce constat peut amener à penser que la capacité à faire des choix et à exercer du contrôle sur sa propre vie est prépondérante dans le bien-être mental et la maîtrise des angoisses

En tant que mammifères sociaux, nos chiens et nous-mêmes possédons des fonctionnements cérébraux extrêmement similaires. De ce fait, il est loin d'être absurde de penser que, comme chez l'humain, la capacité à faire des choix est absolument primordiale pour l'équilibre psychologique et émotionnel

🍁 Quel rapport avec la réactivité me direz-vous ? Quelques pistes :

- la réactivité peut se déclarer (et c'est malheureusement souvent le cas) suite à des évènements qui ont placé le chien en position passive, qui l'ont rendu impuissant face à une situation dangereuse/effrayante/douloureuse/anxiogène. Les raisons peuvent être multiples : tenue en laisse empêchant la fuite lors d'un incident, environnement étroit empêchant l'évitement, non-respect des signaux de distanciation du chien, éducation basée sur la peur/douleur/inconfort qui punit les prises d'initiative, environnement trop pauvre pour apprendre à faire des choix...

- la réactivité se situe par définition dans l'action : le chien charge, aboie, grogne, claque des dents, cherche à mordre... Bref, il cherche à FAIRE quelque chose pour éloigner (ou pour se rapprocher de, en fonction des émotions qui sous-tendent les comportements) l'élément déclencheur. Par ses actions, il cherche à regagner du contrôle sur son environnement en se débarrassant de ce qui le gêne, en contrôlant le mouvement de ce qui l'effraie (coucou les chiens qui se mettent à vouloir arrêter les voitures après s'être faits percuter)...

- le sentiment de perte de contrôle, comme dit précédemment, génère de l'angoisse et de la tension. Ce stress, de par les réactions physiologiques qu'il provoque (augmentation du flux sanguin, de la fréquence cardiaque, dilatation des pupilles...) prépare le chien à l'action, le rend plus prompt à réagir pour stabiliser ses émotions. Le retour à l'homéostasie (sentiment de paix et d'équilibre intérieur) se fait alors à travers l'action... Qui se traduit alors par des comportements dits "réactifs"

🍁 Une fois ces constats établis, comment cette histoire de contrôle et de capacité à faire des choix peut-elle nous aider dans l'amélioration de la réactivité ?

- lorsqu'on met un chien en contact avec un de ses déclencheurs (et lorsque je dis en contact je n'entends pas forcément à proximité immédiate; en fait, il est fréquent que le travail commence à grande distance, puisque le but est de garder autant que possible le chien sous son seuil de déclenchement), il est primordial s'assurer que le chien a LE CHOIX de la distance qu'il souhaite mettre avec celui-ci. La sélection de l'environnement de travail est alors primordiale : il sera nécessaire de choisir un lieu large, dégagé (mais avec assez d'obstacles visuels pour pouvoir faire des pauses), et que ledit déclencheur soit sous contrôle afin qu'il ne puisse pas s'approcher plus que le chien est capable de tolérer (d'où l'intérêt de l'approche B.A.T), sous peine de mettre à mal cette fameuse capacité de contrôle sur l'environnement

- une fois cela mis en place, la logique est simple à comprendre : le chien peut produire tous les comportements qu'il souhaite pour interagir avec son déclencheur et avec l'environnement, tant que ceux-ci sont définis comme adaptés et non-dangereux. Quelques exemples : le chien aura la possibilité de regarder le déclencheur, de s'en approcher calmement, de s'en éloigner, de renifler au sol, de produire des signaux d'apaisement ou de distanciation (dans ce cas précis, il sera alors important de les repérer et d'accéder à la demande sous peine d'escalade des comportements), de se poser pour faire une activité (comme mâchouiller de l'herbe ou un bâton)... Bref, tout comportement LIBREMENT CHOISI par le chien sera respecté et renforcé de lui-même en lui procurant un effet positif (détente, prise d'informations, sentiment de sécurité, etc)

- si le chien produit des comportements dangereux, nous partons du principe que la configuration de la situation ne lui a pas permis de produire les choix adéquats : une modification de paramètres s'impose. Un réglage de la distance, de la difficulté du déclencheur (profil de chien/humain, mouvement, attitude...), de l'environnement en lui-même, pourra être effectué

- il est absolument essentiel de ne pas punir ce que nous considérons être des "mauvais choix" : le chien, lui, ne fait pas de mauvais choix, il fait simplement "un choix", et tout comportement est une tentative de regagner du contrôle. Punir cela, c'est s'exposer au risque de voir s'inhiber la capacité du chien à prendre des décisions... Y compris les bonnes. Et le cercle vicieux se remet en route. Pour palier aux comportements inadéquats, on favorisera toujours la gestion d'environnement, comme expliqué dans le point précédent

- le but final de cette technique est, par la répétition des comportements adéquats entraînant des conséquences positives pour le chien, de renforcer sa confiance en lui, en son environnement, son libre-arbitre. Et de voir, à terme, les comportements adaptés et réfléchis se généraliser

La capacité à faire des choix et à avoir du contrôle sur sa vie est un élément central pour le bien-être de tout être vivant. Outre les soucis de réactivité, garder ce principe en tête dans chaque composante de la relation avec nos chiens nous permettra d'entretenir cette relation de façon saine, et de développer leur résilience et leur capacité à faire des choix sécuritaires pour eux, pour nous et pour autrui.

Juliette Sastre
Yes We Dog - Education & Comportement canin
Illustration : Pancho, qui fait le choix de regarder passer le berger allemand, puis de se détourner pour renifler au sol et retourner à ses activités

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