Neutral horse

Neutral horse Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de Neutral horse, Service pour animaux, Quimper.

17/07/2024

S'il y a bien une chose que je me dis aujourd'hui, avec beaucoup de mélancolie, c est que tout ce qui va dans le sens du cheval, pour toujours un peu mieux....devrait logiquement avoir sa place légitime et dans le monde du cheval...et dans le cœur de chaque homme/femme de cheval.

Dommage pour le cheval juste que les places se comptent sur la notoriété de l homme envers l homme.

Le cheval vous épie.Tout le temps, dès votre entrée dans son environnement. Au champs, à l écurie, au box...partout. Vou...
10/07/2024

Le cheval vous épie.
Tout le temps, dès votre entrée dans son environnement.

Au champs, à l écurie, au box...partout.
Vous entrez dans son cadre, en faites parti.
Il n'a plus d'autre choix que de vous y compter.
Il y réagira ou pas, mais vous serez un élément supplémentaire dont il ne pourra faire abstraction, ni se défaire, un ajout de sa surveillance.

Comme le reste, il vous scrutera, de face, de biais, de coin...de façon insistante, détachée, vous serez dans le viseur, et, constamment.

Et ça tombe bien, car on va pouvoir s'entraîner à faire pareil.
Si l attention qu'il vous porte, dès la minute où vous pénétrez son périmètre, ne fléchit pas d un pouce, vous constaterez, en vous prêtant au jeu, que la vôtre sera, plus ou moins légère.
Que la permanence de l attention pour l'autre (sans intention ni intensité) n'est pas innée chez l homme.
Nous n'avons rien à surveiller dont on ne dépende.

Alors, disons-le, si notre façon de nous voir diffère, notre façon de comprendre et de répondre à ce que nous voyons, du haut de nos espèces respectives, diffère également.
Sans doute un détail sur lequel on ne s'attarde pas...et si capital !

On ne peut assoir une relation saine que par le biais des filtres qui nous composent.
À un moment donné, l'un des deux sera lésé.

En se prêtant aux jeux des chevaux, de leur quotidien, on aiguise son regard, affûte la vue, on l'étire.
On accumule de l information brute, stockée (même inconsciemment), on décuple les possibles, les cadres deviennent flexibles, variés, on tire presque sur l'intuition jusqu'à la deviner.

En tout cas, on apprend son cheval, jusqu'à le savoir...presque...au détail près.
Et croyez moi, c est également ce qu'il fait.
On peut partager le même rail, ce n'est qu'une question de filtre...voir...de façon de s'investir.

Comment vivez vous cheval?Chacun sa propre façon, intime, dans sa justesse, dans sa justice.…je dirai presque… un person...
03/05/2024

Comment vivez vous cheval?

Chacun sa propre façon, intime, dans sa justesse, dans sa justice.
…je dirai presque… un personnel confidentiel.

Il n’y a pas mieux ou pire quand nos convictions pilotent.
Il y a juste l’endroit.
Là où nous nous situons sur un temps qui n’est le même pour personne.

Nous ne sommes pas tous au même endroit lorsque nous parlons cheval, c’est évident.
Nous avons tous des compétences, des clartés, des lucidités et toutes sont valables de là où nous sommes, maintenant.

Nous sommes tous pros, dans un domaine qu’un autre ne touche pas.
Avec des compréhensions différentes, admissibles et justifiées pour nous.
Tous garnis de savoirs faire satisfaisants sur l’instant, qu’une tierce, septique, remettra en cause, juste parce qu’elle n’est pas… au même endroit.

Alors on s’accorde, délicatement on aiguille, on tente de faire entendre, avec les armes, le cœur des tripes, les cris, des combats, la force ou la douceur, avec des textes butés, des mots poétiques ouverts, des provocations, des questions, quelques uns s’évertuent, s’épuisent, certains, plus pédagogues ou patients s’accrochent au temps pour que la compréhension de leur vision émerge chez les autres…

Il y a mille façons et jamais la bonne…
Car il y a toujours l’endroit, où nous ne sommes pas.

Je trouve tristement très délicat de parler de cheval, les avis sont si tranchés, si ancrés, si déteignables….tellement influencés.
Va donc faire comprendre à quelqu’un comment tu vis cheval!

Les pros physio, loco, bien être, comportement, les pros santé, terrain, conditions, soins, les pros proprios, (oui, un proprio depuis 30 ans chaque jour à côtoyer son cheval, s’il n’est pas un pro du cheval….quel est-il?
Son expérience n’est pas moins fiable sur 3 décennies qu’un installé spécialisé depuis 6 mois), tous pros que nous sommes de notre partenaire, nous n’en parlons pas la même langue et…..sans doute que c’est bien mieux comme ça….pour l’avancée des choses, la flexibilité, l’amenuisement des dommages, la diversité.

Nous tâtonnons sur des expériences journalières, découvrant des évidences qui souvent ne sont cohérentes et vivantes que pour notre intime….conviction.
Expériences uniques où nous restons seuls à véritablement toucher l’endroit éclairé en cet instant, de cette façon.

On peut écrire mille textes, avec des précisions preuves, des sciences confirmées, démontrées, raisonnées, certifiantes…
Elles ne parleront que peu, à celui qui ne les vit qu’à travers ce qu’il en lit.

Un valable reste tellement transposable, remaniable.
Tout est tellement modulable….même le fiable.

Parce que personne n’est dans la dimension de l’instant de l’autre.
À situation identique, personne n’en sera au même stade de compréhension.
Pas même un cheval, pas même le vôtre.
Nous comprenons de nos apprentissages, de nos assurances profondes, nos dons, nos savoirs, nos essais, de nos acquis, nos intuitions, d’un simple feeling différent pour chacun…
D’un instant variable, élastique et fluctuant.

Je sais faire ce que je sais faire, sans aucun doute…puisque je sais le faire.
Est ce bon pour le cheval? Vrai? Infaillible ? Est ce une certification?
Ça l’est, dans mon monde, à l’endroit où je me situe avec ce cheval, aujourd’hui.
Ça ne pourra jamais l’être pour autrui…à la virgule prêt.
Il ne sera jamais assis sur mon échelle de pensée, jamais ne touchera la place de mon curseur de ressentis…mon degré.
L’autre n’est pas moi, même au même endroit, au même instant, dans une même situation.
Nous n’hébergeons que de notre essentiel, notre important, notre intra reconnaissable, notre « constitutif », ce qui…pour nous…individuellement…est.

Je crois que je ne peux plus parler de confiance avec mon cheval.Je crois que nous l’avons dépassée, pour autre chose.Et...
20/04/2024

Je crois que je ne peux plus parler de confiance avec mon cheval.
Je crois que nous l’avons dépassée, pour autre chose.
Et plus j’y réfléchis, et plus ça me semble évident.

Je ne ressent plus cette histoire de confiance à installer, à apprivoiser, à donner, à recevoir, à devoir….
Je me demande même si je l’ai jamais pensée comme ça.
Elle ne fut pas une recherche, un graal sacré qu’il nous faudrait travailler avec acharnement…et atteindre pour du mieux.
Elle s’installait tant mieux, elle n’était pas, nous ferions avec.

Je crois que je visualisais autre chose.
Je visualisais ce qui se vit aujourd’hui.
La complicité.
Un partenariat où l’un est là pour l’autre comme si c’était pour lui.
Un partage double sens qui ne s’interroge de rien.
Une paix pour l’autre et évidente.
Infinie.
Indiscutable.
Un truc qui va de soi.
Une entente, profonde, consciente et spontanée.
Gorgée d’autonomie.
volontaire.

C’est ça!
Une complicité volontairement autonome, référente, quasi automatique.
Une association à collaboration.
Coopérer dans l’élan de ce qui se présente, inconditionnellement, et l’attachement de croire que cette façon est encore la moins fragile, pour nous deux, quand il y a un choix à faire.

Elle a grandit ma jument, et j’ai suivi, sans même m’en apercevoir.
Ce stade où nous sommes, c’était ça, ce petit espace que j’humais depuis le départ sans en avoir ni l’idée, ni le sens.
Un détail anonyme, qui marquerait notre début.
Et nous y sommes.
La fluidité.
Sans résistance. Aucune.
Flagrante, transparente.

Un jour, j’ai eu l’idée de *réparer le comportement cassé* des chevaux.Parce que je sais que je sais faire ça.À quel niv...
08/04/2024

Un jour, j’ai eu l’idée de *réparer le comportement cassé* des chevaux.
Parce que je sais que je sais faire ça.
À quel niveau, dans quelle mesure, comment, pourquoi?
Aucune idée des réponses appropriées, aucune idée de comment ça marche, aucune idée même de ce que je fais.
Je fais…avec le temps que le cheval propose.
Je rebondis à ce qu’il évoque, distinguant l’infime particularité qu’il laisse échapper….parce qu’avec beaucoup, beaucoup, beaucoup de temps, on peut l’apercevoir.

Je ne répare pas le comportement cassé des chevaux.
Parce qu’il n’est pas cassé.
Il est le développement conséquence de ce qu’il s’est construit, face à l’expérience.
Il est donc, son comportement actuel, actif, pleinement.
Et c’est ici, qu’il y a forcément un quelque chose qui pré domine, et qui se trouve être plutôt divergent d’un quelque chose qui lui serait certainement plus adapté… plus bénéfique.
( référence à ce que d’autres de son espèce auraient choisi de répondre…soit…le plus grand nombre.)
C’est tout.

Un détail prévaut sur le reste, et le pousse à emprunter certaines voies fâcheuses pour ses organes internes, son mental, son identité profonde.
Un peu comme une douleur dont on masquerait les effets par compensation.
Les nouvelles postures étant celles du palliatif d’urgence, vont parfois, avec le temps, devenir une norme pour le corps, une nouvelle évidence qui s’imprime.
Elles ont lieu d’être, elles sont le plâtre qui aide, qui permet de continuer à se vivre…le plus confortablement possible.
Le jour où le plâtre est enlevé, une rééducation est parfois nécessaire, lorsque le corps a oublié sa facilité, ses évidences.
C’est un peu pareil pour un comportement.
Une nature à soi, à son espèce…qui s’est décalée pour palier.

Alors, on ne répare pas un comportement, on réajuste, on relance à la surface des acquis enfouis, des logiques, des chemins moins farfelus…et avec beaucoup beaucoup beaucoup de temps, le cheval se souvient et y re réagit.
C’est là qu’il choisira, de lui même, ce qui lui est le plus confortable pour lui, le comment il sait vivre sa vie.

Il y a les trucs scientifiques, les trucs académiques, il y a les méthodes, les techniques, les vérités, les vérifiables...
05/04/2024

Il y a les trucs scientifiques, les trucs académiques, il y a les méthodes, les techniques, les vérités, les vérifiables, les déductions, 1000 interprétations…il y a les plus légitimes que les autres, les likes de l’expérience valide, les followers de moutonnisme, il y a tout ce qu’on croit savoir, les aboutis jamais remis en question…..
Il y a tellement de chose.

Puis, il y a son cheval.
La vie.
Celui qui sait car il n’a pas d’objectifs, de gains désirés, pas d’échecs envisagés, de supposés, pas de déductions à en devenir, de choses à vérifier, à valider ou à exclure.
Celui qui voit car il observe en s’incluant.
En s’ incluant parce qu’il en fait partie.
Parce qu’il ne cherche pas….à faire…de ses observations.
Observateur acteur et observé, pas différentiable, pas à la marge de ce qui se déroule devant lui.
Il sait.
Il saura toujours mieux que ce que la science validera ou non par ses tests sélectifs, expériences nichées sur des précis répétés, fragmentés ou le global n’a que peu de place finalement.
Il saura toujours mieux que ce qu’on aura cru comprendre en spectateur attentif, dont les fruits, validés ou non, n’échappent pas à la fragmentation, la division de l’entièreté.
Il saura toujours mieux que ce que les études, les probables, les certifiés nous renseigneront par petits bouts éparses attachés à l’isolé.
Il en saura toujours plus que vous, sur lui.

Sans doute parce qu’il n’exclut pas pour…
Il n’exclut pas ce qui défile devant lui, avec lui, dans l’instant.

Mon cheval, profondément, je sais qu’il sait.

31/03/2024

SANCTUAIRE

Comme tant d'autres collègues, j'oeuvre tous les jours à mon niveau pour que Les Chevaux d'Arcand soient un "sanctuaire dans un monde instable".

Pour les humains comme pour les chevaux.

Il y a des choses à améliorer, d'autres à changer mais je ne parle pas de perfection, je fais au mieux avec tout ce que j'ai à disposition.

Ici c'est un endroit abrité et dieu sait que de la météo aux taxes diverses en passant par les personnes pas toujours conscientes de leurs actes, les attaques sont nombreuses, pourtant les priorités sont claires :
- Oeuvrer dans la matière d'abord. Les terres, les corps, les végétaux, les infrastructures, les ressources.
- Penser global. Je bouge une variable ? qu'entraîne t'elle comme conséquences.
- Penser rythme. De chacun. Le mien, celui de chaque équidé, celui des végétaux, des saisons, des terrains, celui des humains qui viennent ici
- Intégrer le non visible. Le subtil, le spirituel, les élémentaux, l'intuition aussi.

Car en effet, ce n'est pas juste une question de chevaux, c'est une question d'amour, de vie et d'apprentissage.

Enjoy 🙏

Illustration : auteur inconnu

28/03/2024

RAPPEL DES PRESTATIONS "CHEVAUX D’ARCAND"

🐴 COURS :
Cours « Ami des poneys » pour les 6 - 10 ans
Cours « Ami des chevaux » pour les 10 - 15ans
Cours « Plaisir » pour les adultes et les plus de 16 ans
Cours « Web » pour les personnes qui sont trop loin géographiquement (vous n’aurez besoin que d’un smartphone)

🤎 Dans les cours, je tiens absolument à ce que chacun évolue à son rythme physique et émotionnel. Je tiens également à ce que les chevaux et poneys passent un bon moment avec des humains qui apprennent petit à petit à communiquer aisément avec eux et qui les comprennent.

🌳 BALADES :
Balades « Plaisir » les dimanches matin pour les adultes déjà cavaliers même si ils ne sont pas montés depuis trèèèèèès longtemps.

💚 Ces balades sont menées avec humour, respect de vos rythmes et de ceux de mes chevaux. Ce sont des balades tranquilles au pas et au trot. J’y glisse des indications sur la connaissance des chevaux et sur l’équitation pour que vous puissiez devenir des personnes confortables à porter pour un cheval.

😎FORMATION PRO :
👉 Des formations éligibles au financement Vivéa. Vous pouvez soit choisir une formation privée sur un thème que vous souhaitez creuser, il suffit de me contacter pour fixer les dates et les modalités. Vous pouvez également suivre la page pour connaitre les thèmes des formations en groupe.

🕵️‍♀️ DIAGNOSTICS :
🫶 J’interviens en tant que " facilitateur " et je met mon expertise à votre service pour que vous ayez à un instant T un regard extérieur sur votre duo humain/cheval.
Nous ferons le tour de tous les aspects de votre duo, de l’hébergement du cheval à la relation en passant par le travail, l’émotionnel, l’état physique, la biomécanique, l’éthologie et tant d’autres points tous aussi importants les uns que les autres.

💛 A la suite de ce diagnostic, nous réfléchissons à des pistes d’amélioration ou de changement tout en étant réalistes et pragmatiques sur leur facilité de mise en place et leur adéquation avec vos personnalités respectives.

Ces séances durent 2h30, qui comprennent la visite du lieu d’hébergement du cheval, son observation dans les différents endroits qu’il fréquente (aire de pansage, aires de passages, aires de travail..), observation en mouvement au sol et monté si le cheval est monté, temps de questions et de discussion.

🦄 PENSIONS :
💜 J’accueille quelques chevaux en pension pré. Ils sont complémentés à l’année en CMV, disposent de foin 6 mois par an en plus du pré et reçoivent une ration quotidienne adaptée à leurs besoins.

Illustration Marie-Anne Bonneterre je vous encourage vivement à aller découvrir son monde 🥰

28/03/2024

Lightbulb moment!
This is how important balance & co-ordination are to the horse.

In my own head, from learning Human Physiotherapy first, the Cerebellum is a small part behind & below the main part of Brain (cerebrum). It co-ordinates gait, balance, and posture control.

So to see in real life, that the horse’s cerebellum is almost as big as the rest of the brain itself, was a massive eye-opener!

We know that horses don’t have a large frontal cortex, the complex thought part, like humans. But, naively, I kinda thought the whole brain was just smaller. I never expected the ratios of parts to be so clearly different.

So is it any wonder then, that horses react when they feel unbalanced? They react when their co-ordination is messed with?

The size of the cerebellum means it is VITAL for horses to maintain balance, gait & posture co-ordination.

If you put your horse off balance when riding, because your own body is wonky or weak, they have to react. Biomechanically, they HAVE to stabilise the system. But it could be a behavioural reaction too.

If you mess with their gait & posture control because you have no idea about timing of aids, or suddenly pull them around, or block their spinal movement with your rigid seat… they will probably react. You’ll be met with resistance. They might even rear or buck you off.

It’s not just about pain. A rider that puts their horse off balance doesn’t necessarily hurt them, but it does impact these vital things that horses need to feel safe.

If your horse doesn’t like their feet being picked up… or they do silly behavioural things with the farrier… Please ask yourself if it’s because they find it difficult to balance, and therefore don’t feel safe!

A lot of people these days are looking for pain when there’s a behavioural problem, which is fantastic and right. But if your Vet doesn’t find anything, don’t just assume ‘it must be behavioural then’ and try to TRAIN them better.

Consider balance & muscle/posture control. Ask a Physiotherapist to assess and teach you exercises to help your horse.

Sort your body as a rider, to improve your own balance & symmetry, to avoid throwing your horse off balance.

Save this post to remind yourself again.

10/03/2024

PFFF MAIS COMMENT TU FAIS POUR…

Que tes chevaux soient aussi sympas et en même temps qu’ils gardent toute leur personnalité ?

En fait, c’est simple ! Il n’y a que 2 choses /

1️⃣ Les choses que je fais
Et
2️⃣ Les choses que je ne fais pas !

JE FAIS
✅ Continuer à apprendre encore et encore pour comprendre toujours mieux les chevaux
✅ Essayer/échouer/recommencer pour savoir ce qui fonctionne fluidement pour qui je suis MOI
✅ Observer obsessionnellement mes chevaux et tous ceux que je rencontre pour affiner mon regard
✅ M’impliquer à haute dose dans savoir comment fonctionner sur un cheval pour être confortable pour lui
✅ Me glisser le plus rapidement possible dans le fonctionnement intime de chaque cheval en terme de besoin d’espace, de contact, d’énergie, de rythme, d’être directif, asservir, aidant ou passif pour qu'il se sente confortable
✅ Me servir de l’équitation en en comprenant le sens, si je pose une aide, je sais ce qu’elle entraine en terme de modification de la biomécanique chez le quadrupède auquel je m’adresse
✅ Connaître mes émotions, savoir quoi en faire et savoir comment elles interfèrent dans la communication avec les chevaux
✅ Rester le plus possible proche de ce pour quoi les chevaux sont faits

JE NE FAIS PAS
🙄 Être pressée que mon cheval change et/ou évolue et focaliser là dessus
😑 Répéter des exercices
🙄 Laisser la peur figer mon corps ou certains de mes gestes (et pour autant je peux avoir peur)
😑 Répéter cent fois un exercice
🙄 Faire tourner les chevaux autour de moi en longe ou en liberté (très anthropocentré ce truc) sauf si raison véto
😑 Répéter mille fois des exercices
🙄 Avoir besoin de mes rênes chaque seconde
😑 Faire faire des exercices à mon cheval
🙄 Être psychorigide sur la distance que le cheval doit garder entre lui et moi
😑 Affiner la réponse à un exercice
🙄 Descendre mes talons, me redresser, me grandir, baisser mes mains, mettre mes mollets au contact
😑 Je vous ai dit que je n’étais pas fan des exercices à répéter ?
🙄Essayer de me mettre dans la « bonne attitude » ou la « bonne posture »
😑Vous avez compris que pour moi « l’éducation » ne passe pas par des exercices à répéter ?
🙄 Oublier que les chevaux sont faits POUR et PAR le mouvement en ligne droite et en extérieur

Des questions, des objections ? Allez, on en débat en commentaire

💚 Enjoy ! 💚

LES ACTUS:
L’actu, c’est de la formation PRO** (Possibilités de prise en charge VIVÉA au titre de la formation professionnelle continue).

1️⃣ Développer ses compétences en lecture des langages corporels du cheval pour une communication performante et sécuritaire.
🐴Public : tout public ayant à interagir régulièrement avec des équidés dans son activité professionnelle
🐴Pré-requis : être propriétaire d'équidé ou avoir un diplôme de la branche équestre
🐴Dates : 29 et 30 avril
🐴Tarif : 350€ (pris en charge VIVÉA en fonction de vos droits) + frais de dossier 120€ à votre charge

2️⃣ Se servir des langages corporels équins au quotidien pour gagner en pertinence, efficacité et sécurité au sol et en selle.
🦄Public : tout public ayant à interagir régulièrement avec des équidés dans son activité professionnelle
🦄Pré-requis : Avoir assisté à la formation "Développer ses compétences en lecture des langages corporels du cheval pour une communication performante et sécuritaire" et avoir un niveau G4 minimum.
🦄Dates : 1 et 2 mai
🦄Tarif : 350€ (pris en charge VIVÉA en fonction de vos droits à la formation) + frais de dossier 120€ à votre charge.
Il est possible d'enchaîner les 2 formations à la suite l'une de l'autre sur la même semaine.
Pour des formations individuelles sur ces sujets ou d'autres, me contacter.

**Organisme de formation enregistré sous le n°84730212573 Certifié Qualiopi pour les actions de formation.

Photo : L'irremplaçable Chipie montée en liberté au milieu de mes autres chevaux en liberté lors d'une journée portes ouvertes.

Langage Non, je ne parle pas.En mots.J’observe, attentif éveillé.Je ne peux me défaire de ce mécanisme, il est ma foncti...
01/03/2024

Langage

Non, je ne parle pas.
En mots.
J’observe, attentif éveillé.
Je ne peux me défaire de ce mécanisme, il est ma fonction décisive.
C’est par là que je peux me mouvoir libre de tensions, que je peux dialoguer…que je peux…

Je joue de sons modulables, nuancés.
Ils retentissent, vibrent, ponctués d’intonations, ils sont souffles ou poussées, raclants ou ronflés, parfois répétés, saccadés, timides, effacés ou sourds.
Ils sont choisis à demande, à réaction, spécifiques et précis selon les situations.
J’y met des accents de vitesse, rapides, éphémères, lents ou étirés.
Aussi, je bloque mon souffle, dans certaines conditions .
Tout cela pour traduire, ce que j’ai à dire.
Car, je suis de sons.
Les sons de mon langage

Je vis mon corps, il est une de mes expressions, une de mes paroles, il m’exprime.
J’en met à contribution chaque partie, chaque composant pour me faire comprendre, pour répliquer.
Dans mon parlé, le corps est un acteur puissant pour appuyer, répondre, suggérer ou demander.
Mes mimiques informent.
Je ne peux pas faire autrement.
Je suis ainsi fait.
Le corps de mon langage

J’exécute des mouvements parfois explosifs, parfois ébauchés et dosés, maîtrisés, ciblés.
Ils s’ajustent à l’espace.
L’expression de ce que j’incarne dans ce que je veux énoncer, une des tournures de ma communication.
Aussi j’utilise l’attitude, dans le mouvement, ou sans lui…ça peut vouloir dire aussi.
L’espace fait parti de mon lexique, la distance, la place,
Je l’utilise car mon corps vit d’espaces.
L’espace de mon langage

Mes mouvements, mes courbes ont des raisons dans mes échanges et j’y intégre le temps, la rapidité souvent présente appuyant des gestes presque reflex, millimétrés et francs.
À l’inverse, j’affirme d’autres dispositions quand la lenteur m’envahit.
Oui, mes allures sont des temps et mes temps signifient, traduisent, préviennent, renseignent, ils parlent, eux aussi.
Car mon corps vit de temps,
Le temps de mon langage.

Ma langue est riche, infiniment riche.
Elle date du fond de l’âge de mon espèce.
Elle est reliée à tous les composants qui m’entourent et m’habitent.
Ma langue est accessible à ceux qui regardent pour voir, écoutent et entendent, elle est présente à chaque instant de vie.
Car je vis la vie.
La vie de mon langage, usuel.
Ordinaire.

Donc, là, on prend tout, tout tout tout, et on ne jette rien, surtout!❤️🙏❤️
28/02/2024

Donc, là, on prend tout, tout tout tout, et on ne jette rien, surtout!
❤️🙏❤️

RELATION, LE CÔTÉ OBSCUR DU RESPECT (repost)


Bon... là, d’emblée je suis d’entrée sur un terrain plus glissant qu’une peau de banane savonneuse posée sur du verglas ! Je vais essayer de faire passer une ou deux idées là dessus, puis on verra bien ^,^



Cette réflexion part d’une constatation: le fait que votre cheval ou mes chevaux vienne vous toucher si vous ne l’avez pas prévu déclenche toute une série de comportements visant à repousser le dit cheval pour qu’il sorte de “votre” espace/bulle/zone selon la terminologie que vous employez. Surs de votre bon droit, la main se lève, la longe s’agite, on attrape le mousqueton pour repousser fermement le cheval en arrière ou de côté dans le but clairement exprimé “d’éduquer au respect”.



Et quand j’interviens en m’étonnant la réaction, j’ai en retour toujours la même expression de surprise horrifiée genre “non mais ça c’est la base de tout, tu viens de Mars ou quoi?”

NON, JE NE VIENS PAS DE MARS



Que tout soit bien clair, il y 3 règles inter-espéces non discutables à la maison : on ne tape pas, on ne mord pas, on ne bouscule pas. Ces 3 là sont absolument NON négociables alors que TOUT le reste est sujet de discussion potentiel. Par contre, les chevaux ont le droit de menacer si ils trouvent que la situation est vraiment trop inconfortable pour eux et d’être proche de l’humain si il n’y a pas d’indication contraire. Normal, j’ai choisi de laisser mes chevaux s’exprimer. Cela me semble simple, cela fonctionne depuis des dizaines d’années maintenant, c’est sécure pour tout le monde et pourtant rien que cela choque déjà certains élèves lors de leurs premiers cours.

JE N'EXIGE PAS QUE MES CHEVAUX ME RESPECTENT



Car ce serait déjà une prise de pouvoir sur eux. Ne sautez pas au plafond, je vais essayer de vous expliquer POURQUOI je dis ça. Pour moi, un cheval c’est un très gros animal qui a eu la bonté d’accepter d’être apprivoisé. Il ne parle pas notre langue, il ne comprends rien à nos activités quotidiennes, il n’a absolument pas les même priorités que nous, pas le même rapport au temps ni à l’espace, pas les mêmes modes relationnels ET POURTANT, il nous accepte dans son environnement immédiat et veut bien interagir avec nous.



Je n’oublie jamais la bonté dont ils font preuve à notre égard, je n’oublie jamais ce côté absolument magique et incroyable qu’ils acceptent de nous intégrer dans leur monde et de tisser des relations avec nous. Je n’oublie jamais la chance que nous avons de côtoyer cette espèce si différente de la nôtre. Je n’oublie jamais non plus qu’ils sont plus lourds, plus forts, et plus rapides que nous et qu’ils ont la capacité de nous tuer si ils se sentent trop en danger.

LE CHOIX DE LA PEUR OU LE CHOIX D'AIMER ?



Ils nous acceptent. Ils peuvent nous tuer.



C’est de cette dualité que naît le côté obscur du respect. Notre cerveau reptilien, en bon gardien de notre survie classe très rapidement le cheval dans le panier “objets dangereux, ne pas s’approcher”. Conséquence pratique de ce classement inconscient: l’objet dangereux doit coûte que coûte rester à bonne distance de moi. Comportements associés : agiter les bras/longes/sticks, repousser fermement, chasser au besoin. Comportements motivés par : LA PEUR. Une peur logique de l’autre, du sauvage, de la puissance, de la nature qui s’exprime. Une peur que je connais, rassurez vous !



J’ai choisi de comprendre ce phénomène. J’ai choisi de remercier mon cerveau reptilien de prendre soin de ma survie. J’ai choisi de me fais confiance pour écouter ce que la peur a à me dire lorsqu’elle apparaît mais de l’avoir comme conseillère et non comme souveraine. J’ai choisi d’être entièrement consciente du danger que représente le quotidien avec les chevaux mais de ne pas les craindre.



J’ai choisi de les comprendre, comprendre leurs règles et leur langage. Comprendre qu’on est jamais en danger auprès d’eux si l’on est capable d’avoir cette attention vive et claire qu’ont tous les animaux et qui nous fait vivre au présent. Comprendre qu’un cheval dangereux est un cheval qu’on a rendu dangereux. Comprendre que tous leurs comportements sont des mots dans leurs langue si riche et si complexe, qu’ils ne sont jamais anodins et demandent à être écoutés, entendus. Ce sont des appels, des questions, des demandes.



J’ai choisi de les aimer. Les aimer pour ce qu’ils sont. Les aimer comme ils sont. Ce sont des êtres pacifiques, ne vous laissez pas leurrer par les comportement violents que l’on peut observer sur nos chevaux domestiques, ils ne sont que réponses à des environnements inadaptés.

EXIGER LE RESPECT OU ÊTRE RESPECTABLE ?



J’ai choisi d’essayer de comprendre leur monde et d’en accepter leurs règles. Ce que je vois, c’est que petit à petit, les chevaux me considèrent différemment. Ils ont fait évoluer mon rapport au sol, à l’espace, au mouvement, au temps. Ils ont fait évoluer mes sens et mes perceptions. Ce que je vois, c’est que je n’ai pas à exiger le respect, ils commencent à me trouver respectable.



Claire - Les Chevaux D'Arcand

Photo : le beau Jao, cheval de Frédéric Pignon & Magali Delgado avec lequel j'ai eu la chance de faire de la liberté lors d'un stage chez eux

22/02/2024

Aujourd'hui j'avais envie de vous partager un petit passage du livre "Dans la tête d'un cheval" de .

Il est important que tout gardien de cheval sache reconnaitre les signes de douleurs de son cheval quand il est monté. Cela permettra à la fois le bien-être du cheval et évitera un certain nombre d'accident.

L'observation est la meilleure façon de comprendre son animal que ce soit pour le cheval ou un autre animal.

Je ne vous ai partagé que quelques marqueurs, si vous souhaitez connaitre la totalité je vous invite à acheter son livre (je ne touche rien du tout à vous dire cela 😉 je partage juste ce qui est pour moi intéressant et important à mes yeux)

Ces signes de douleurs je les vois régulièrement en consultation ou même lorsque je me rends dans des écuries sur des chevaux qui sont montés à côté.
Pour moi ils montrent un degré élevé de douleur même si chaque animal à son seuil de sensibilité et de tolérance.

Observer, votre cheval est là pour vous apprendre, il vous montre tout. Posez vous des questions ou poser ces questions a d'autres personnes, renseigner vous, chercher, fouiner vous verrez c'est merveilleux tout ce que l'on peut découvrir sur les animaux. 😀

Si vous avez des questions n'hésitez pas et si le coeur vous en dit partager 🥰

Zone de confort (pavé😅)J’ai lu un texte disant que, pour que la confiance habite un couple cheval humain, il nous fallai...
17/02/2024

Zone de confort (pavé😅)

J’ai lu un texte disant que, pour que la confiance habite un couple cheval humain, il nous fallait quand même sortir de notre zone de confort.

Bon.

la zone de confort est l’endroit où l’on se sent neutre d’anxiété.
Plutôt pas mal le *neutre d’anxiété * quand on se trouve face à un cheval qui en est si friand.

Je n’aime pas trop cliver l’espace (réel/psycho) en zones éparses différenciées, differenciables, comme si tout était indépendant de tout.
Mais, visiblement, les zones parlent à tout le monde.

Si à l’origine le mot confort signifiait *ce qui rend fort*, il a vite changé de sens à des fins de bien être matériel.
( ceci étant si le confort matériel est très *reconfortant*, il peut devenir aussi ce qui nous affaiblit…mais c’est un autre sujet).

Ensuite, il a évolué en quelque chose d’impalpable, un truc individuel propre à chacun et pas le même pour tous.
Le confort moral, mental, psychique dont on ressentirait les bons effets physiologiquement…si…on n’en dépasse pas les limites de sa zone…
….ne pas franchir au risque de….

La zone est une portion d’espace plutôt limitée à des caractéristiques spécifiques en général géographiques ou physiques.

Nous avons fragmenté notre espace intérieur (extérieur) en bouts bien distincts, limités, et le confort n’y a pas échappé.

Là dessus, nous avons imaginé, qu’en passant ces frontières illusoires, nous allions rencontrer la peur, l’angoisse, l’inconnu, le danger, la colère, la tristesse….et j’en passe.
Il semble plutôt logique, qu’en séparant la vie en bouts d’espaces distincts, nous allions aussi y coller des trucs négatifs à certains d’entre eux, c’est un peu ce qu’on sait faire de mieux.

Inévitablement, créer des zones connues suppose qu’il existe des zones inconnues.
Et l’inconnu, je ne sais pas pourquoi, on l’envisage souvent avec des termes dits négatifs.

Si on nous avait dit au départ que derrière ces zones confortables, il existait d’autres zones plus confortables, dans lesquelles la joie, la paix, le calme, la sérénité, le cocon, le rire et la douceur prospéraient ….croyez moi, les zones n’existeraient probablement pas.

De fait, rien ne nous dit que…..Hhhhhaaaaaa oooouuuiii!!!!
« In.con.nues »
Il est là le couac 😁
DONT ON N’A PAS LA MAÎTRISE.

La maîtrise serait devenue une zone de confort, parce que connue.

Je vais tourner les choses différemment.
Imaginons nous sans zones, le confort étant toujours cet état de non anxiété calme et paisible.

Ça n’est pas facile et pourtant, s’il est bien vrai que nous avons su imaginer des zones et coller des limites partout, pour tout…..visuellement, elles sont où?
Vous les voyez?
Parce qu’il est aussi vrai que nous pouvons revenir sur ce fait, et imaginer qu’il n’y en a pas, parce que visuellement on ne les voit pas.
Donc pas obligés non plus de ressentir en réel le fruit d’une imagination.

Il n’existe pas de zones que celles que nous avons dessinées de façon volontaires dans nos gentilles cervelles si créatives.

Donc, imaginons nous, sans zones négatives/ positives ailleurs, et enlevons les anticipations et les suppositions qui y sont accolées.

Là, l’inconnu se présente, tel quel, l’instantané incertain et son hasard, l’aventure, la nouveauté de chaque nouvel instant ( ce qui est un peu un fait hein), en gros : la vie!
…et mettons y nos deux pieds en nous y laissant flâner….neutres.

Il nous reste quoi?
Et bien il nous reste ce qu’on est, un être, attentif à ce qui se passe autour, attentif à lui, pour pouvoir palier à chaque éventualité avec ses pleins pouvoirs primaires de lucidité, sa raison, son discernement…..
tous ses innés rangés dans son disque dur…dont tout être vivant est doté.
Et ce fort avantage tout de même….sa performante adaptabilité.

Il reste nous, vierge, pouvant deguener facilement, clairement tous nos outils fournis au départ, nos sens…compter sur eux pour nous guider au mieux dans l’aventure.
Nous et rien d’autre qu’un temps pour la vivre cette aventure, avec….ce que nous sommes et nos capacités initiales pour.

Anticiper le pire scenar, nous a poussé à en créer des zones presque matérialisées, et de fait, des zones dans lesquelles il nous fallait entrer, sortir, pour gagner ou perdre.

Croyez moi, les animaux s’aventurent dans la vie avec la vigilance de leur disque dur, aiguisée à son maximum de potentialités, ce qui leur permet rapidement de faire les meilleurs choix à des fins de toujours rester confortablement prospères, si ce n’est, plutôt assurés.
Ils ne sont probablement pas chahuter par les micmacs du cerveau tant leur attention est au sens pertinent des choses et de leurs évolutions dans l’instant.
Ce qui leur vaut sans doute cette facile rapidité d exécution.
Parce que leur disque dur sait que l’erreur peut leur être fatale, il se doit donc de ne pas être altéré par des perturbateurs psychiques.
Il est le disque sûr.
Fiable.
Celui qui fait toujours le choix du moins pire.

Et là, on en arrive à nous et nos inventions,
Nous devons sortir d’une zone de confort pour aller se forcer à combattre, affronter ce qui est échafaudé comme inconfortable voir pourri dans un ailleurs invisible, incertain….
Un ailleurs pourtant bien là.

Combattre laisse quand même largement supposer qu’il existe une guerre😅
Et qu’alors, il faut la faire😅
Croyez vous que nous soyons en vie pour nous faire la guerre ?
Combattre notre nous?
Pourtant, c’est bien ce qu’on nous propose….nous affronter en nous, nous combattre, nous forcer pour rencontrer ce qu’est la vie….
Une aventure inconnue dont on ne sait rien de son aboutissement.

Alors oui, il n’est pas simple de rester confortable…si le but présenté est de se combattre par jeux d’affrontement entre nous et nous, nous et un ailleurs, nous et le reste?

Nous pouvons être confortables et nous aventurer si nous éliminons ces zones limitantes qui schématisent des faits qui peuvent, ne pas avoir lieu et ne pas se dérouler.

Ne faire que fructifier ce qui nous appartient déjà.
La capacité d’être capable.
Vivre les choses naissantes au fil de l’histoire, au fil de la decouverte, des apprentissages qui jonchent nos vie, au fil de la nouveauté .

Et ce fil peut aller se toucher en étant neutre d’anxiété, j’ai envie de dire…il vaut presque mieux d’ailleurs!

Il est mille fois plus facile d’aller toucher les choses de façon confortable, en conservant par là nos sens éveillés, nos pleins potentiels en état de fonctionnement, huilés, parfaitement aiguisés et sains à trouver les solutions les plus adaptées dans l’insaisissable inconnue de la vie, nan?
En revanche avec des zones limitées…c’est faisable…mais vachement moins confortable.

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